Jean Louis est un homme soumis.
C’est comme ça. Il ne sait pas pourquoi il aime être dominé par les Femmes, mais il a cessé de s’interroger et il accepte son fantasme et son goût pour la soumission.
Alors il cherche périodiquement des dominatrices pour satisfaire ses pulsions.
Il a répondu récemment à une annonce d’une certaine Madame Nora. L’annonce était assez sommaire et écrite dans un français approximatif, mais elle l’a interpellé :
« Madame Nora Femme Arabe supérieure cherche des merde blanche a exploité. Tu sera traité comme une salope »
Suivait un numéro de portable que Jean Louis nota aussitôt.
Le jour même il envoyait un sms pour vérifier que le numéro était bon.
Trente minutes après il recevait une réponse laconique en sms :
« apel salope »
La seule vue de cet ordre donné sur un ton aussi méprisant provoqua immédiatement une bouffée d’excitation, et il sentit son slip se tendre.
Jean Louis s’isola de ses collègues de travail et appela aussitôt le numéro.
La conversation dura seulement quelques minutes.
Une femme au fort accent Arabe lui parla de la façon la plus insultante et méprisante, lui demandant tout d’abord s’il était français. Jean Louis répondit que oui, ce qui paru satisfaire son interlocutrice. Elle lui demanda à peine ce qu’il recherchait, semblant s’en moquer éperdument. Jean Louis réussit quand même à expliquer brièvement qu’il aimait être rabaissé et insulté, et qu’il appréciait aussi d’être battu, qu’il était prêt à payer, etc.…
Madame Nora lui dit qu’elle exigeait 250 euros, mais qu’à ce prix là il ne serait pas déçu et qu’il aurait une surprise.
La somme parut importante à Jean Louis, et l’idée de la surprise ne l’emballait pas trop…
Mais cette Femme avait un tel mépris et une telle autorité dans la voix qu’il fut subjugué.
Il allait la rencontrer, il le savait.
Il raccrocha en remerciant respectueusement, comme il le faisait toujours.
Madame Nora n’eut pour lui qu’un cinglant « dépêche toi de rappeler salope ! ».
Jean Louis pensa sans cesse à cette conversation pendant les trois jours qui suivirent.
Le quatrième jour il se décida enfin a rappeler.
Madame Nora répondit à la troisième sonnerie et dit directement :
« alors salope tu t’es décidé ? »
Oui, Jean Louis était maintenant décidé, et le rendez vous fut pris pour le lendemain.
Madame Nora lui donna une adresse en banlieue, dans un coin où il n’avait jamais mis les pieds. Il n’avait absolument aucune idée de là où ça se trouvait, mais puisqu’elle pouvait recevoir, cela lui économiserait l’hôtel et lui simplifierait les choses. Et le GPS pourvoirait au reste !
Le lendemain, Jean Louis partit en avance et programma l’adresse sur son GPS. Il suivit scrupuleusement les indications de l’appareil et se retrouva très vite dans une banlieue plutôt défavorisée, faite de barres d’immeubles immenses aux balcons tous décorés d’antennes paraboliques, aux murs tagués et décorés de fresques colorées.
Le jeune cadre bourgeois ne connaissait pas ces quartiers. Il se sentait perdu, étranger dans un univers qui n’était pas le sien. Les codes sociaux, vestimentaires, culturels, tout lui paraissait différent et intimidant.
Il gara sa voiture au pied d’une barre d’immeuble, et la laissa avec un peu d’appréhension. Des jeunes assis non loin de là le regardèrent avec curiosité, mais personne ne lui adressa la parole.
Il se dirigea vers l’entrée B, comme Madame Nora lui avait indiqué.
Il pénétra dans le hall désert.
Les boites aux lettres étaient toutes taguées et certaines étaient cassées, les murs du hall étaient tous décorés de fresques. Cela sentait l’abandon.
Il prit l’ascenseur et monta directement au neuvième étage, le cœur battant.
L’ascenseur s’immobilisa et Jean Louis sortit sur le palier sombre et désert.
Tout était miteux, sale. Ca suait la misère, et Jean Louis commençait à regretter d’être venu jusqu’ici.
Tout ça n’était pas son monde. Que pouvait il espérer trouver ici ?
Pourtant il ne put s’empêcher d’avancer dans le couloir.
Sans même s’en rendre compte il se retrouva devant la porte de l’appartement 908.
Le cœur battant, il posa son index sur le bouton de la sonnette et appuya.
Il entendit des pas qui claquèrent à l’intérieur. Il reconnu aussitôt le bruit de talons aiguilles sur du carrelage, et cela lui plut.
La porte s’ouvrit brusquement.
Devant lui se trouvait une femme Arabe d’environ 35 ans, très typée.
Elle était très brune, aux cheveux courts, très mate de peau, avec d’immenses et superbes yeux noirs en amande. Sans être grosse, elle était plutôt pulpeuse, et cet aspect était encore renforcé par sa petite taille (1 mètre 60 au maximum, supposa Jean Louis) et une poitrine très opulente.
Elle portait une jupe droite, noire, qui lui descendait jusqu’aux genoux et un pull à manches courtes en laine bleu ciel, très moulant, par dessus lequel un simple collier des perles soulignait son cou.
Comme Jean Louis l’avait deviné, elle était perchée sur des escarpins noirs aux talons de 12 cm.
Son aspect vestimentaire contrastait avec le lieu, et Jean Louis fut désorienté.
Madame Nora le fixa d’un regard dur et hautain et il dut aussitôt baisser les yeux.
Il courba la tête et se présenta avec humilité.
« Bonjour Madame Nora, je suis Jean Louis »
« Entre, salope ! Dépêche ! », fit elle avec le fort accent qu’il avait déjà entendu.
Jean Louis s’empressa d’obéir et entra dans l’appartement.
Elle referma la porte derrière lui et se retourna dans sa direction.
« A quatre pattes sale pute ! » lui ordonna t’elle aussitôt.
Jean Louis se jeta sur le sol.
« Bouge pas ! »
Elle se dirigea vers le salon, et revint quelques instants plus tard. Elle tenait à la main un collier de cuir et une laisse. Elle lui mit le collier, accrocha la laisse et tira d’un coup sec et violent pour l’amener vers le salon.
Jean Louis dut suivre tant bien que mal, à quatre pattes.
Arrivé au salon, elle accrocha vaguement la laisse après la poignée du radiateur.
Elle se recula.
« A poil ! »
Jean Louis obéit immédiatement et se déshabilla intégralement.
Elle le regarda faire. Il n’osa pas lever les yeux sur elle, mais il sentait son regard méprisant.
Lorsqu’il fut nu, elle détacha le collier de cuir. Elle le remplaça aussitôt par une chaîne qu’elle lui passa autour du cou et ferma avec un cadenas.
L’autre extrémité de la chaîne fut fixée de la même manière au radiateur.
Cette fois, Jean Louis était attaché bien plus strictement.
Une paire de menottes claqua sur ses poignets, les immobilisant dans son dos.
Madame Nora se recula.
« Alors salope de gouere ? maintenant je vais te montrer ce que les Arabes vont tous vous faire bientôt ! »
Elle se pencha vers lui.
La seconde d’après, un violent crachat s’écrasa sur son visage.
« t’es qu’une merde, une sous race ! Les blanc culs, nous on leur fait la misère ! Vous êtes que des merdes et on vous exploite ! »
Jean Louis sentait la salive lui couler le long de la joue. Il baissa encore la tête, vaincu d’avance.
Un second crachat lui arriva au visage, puis un troisième sur les cheveux.
Madame Nora recula, se dirigea vers la table et saisit une grosse ceinture de cuir. Elle mit la boucle dans sa paume et enroula plusieurs fois le cuir autour de sa main.
Elle s’approcha de Jean Louis.
« sale porc de français de merde, tu va commencer par couiner un peu ! J’adore ça ! »
Le premier coup de ceinture s’abattit sur le dos de Jean Louis avec violence.
Il poussa un gémissement de douleur et de surprise.
Les coups se mirent à pleuvoir sur son dos et ses fesses.
Il se tortillait pour échapper à la morsure du cuir, en geignant plaintivement.
Au bout du sixième ou septième coup, il commença a couiner plaintivement comme l’avait dit Madame Nora. Il le faisait un peu automatiquement, mais il savait aussi qu’elle attendait ça.
Et effectivement, cela eu pour effet d’exciter sa tortionnaire, qui redoubla d’ardeur en entendant les premiers couinements.
Elle frappait de plus en plus fort, et Jean Louis poussait maintenant de vrais couinements de douleur en se tortillant pour échapper au cuir cinglant.
« Couine encore, sale truie! Salope! Couine! Couine plus fort! »
Au bout d’un moment, épuisée et haletante, elle reposa la ceinture.
Jean Louis était recroquevillé contre le radiateur, le dos et les fesses zébrés de longues traces rouges. Il continuait à couiner faiblement, les yeux trempés de larmes.
« salope de gouère, on va te montrer ce que tu vaux ! »
Jean Louis ne comprenait pas pourquoi elle disait toujours « on ».
Mais il n’était pas vraiment en état de réfléchir.
Après quelques instants, il entendit Madame Nora parler en Arabe et comprit qu’Elle téléphonait à quelqu’un.
La conversation dura plusieurs minutes et se déroula intégralement en Arabe. Il ne comprit rien, mais Madame Nora semblait s’amuser. Elle rit à plusieurs reprises, semblant plaisanter avec son interlocuteur.
Elle raccrocha et quitta la pièce, laissant Jean Louis seul un long moment.
De longues minutes passèrent.
Jean Louis sentait son dos lui cuire, mais retrouvait peu à peu ses esprits.
Il commença à analyser la situation et trouva sa position inconfortable, mais de plus en plus excitante.
Madame Nora l’avait traité avec une extrême sévérité, et il aimait ca.
Il l’entendit marcher dans la pièce d’à côté. Ses talons aiguilles claquaient sur le carrelage.
Ce bruit l’excitait.
Il était là, enchaîné, humilié, souillé de crachats, battu par une femme qui faisait vingt centimètres de moins que lui. Il adorait ca.
Son sexe commença à se tendre.
La sonnette de l’appartement retentit de nouveau.
Jean Louis fut surpris.
Il le fut encore plus quand Madame Nora se dirigea vers la porte et ouvrit sans hésitation.
Il était là, lui, enchaîné au salon, et elle ouvrait à un visiteur ?
En fait de visiteur, il entendit des voix de femmes, plusieurs voix joyeuses qui parlaient en Arabe.
Madame Nora entra alors dans le salon, accompagnée de plusieurs jeunes filles.
Jean Louis n’osa pas lever les yeux, mais il entendait leurs voix juvéniles.
Madame Nora s’adressa aux jeunes filles en français cette fois ci.
« regardez ! cette salope de gouère a voulu me rencontrer ! Il aime se faire dresser ! je l’ai fait couiner cette truie ! »
Les jeunes filles éclatèrent de rire.
Elles étaient trois. Trois jeunes Maghrébines de la cité. Samira était la plus âgée. Elle avait 19 ans et était la nièce de Madame Nora. C’était une superbe jeune fille brune, aux longs cheveux bouclés. Elle était bien plus grande que sa tante, mais avait comme elle une poitrine très généreuse et de grands yeux en amande. Samira était une vraie beauté. La deuxième, Mounia, avait tout juste dix sept ans. Elle était grande et mince, avec des cheveux coupés courts qui lui donnaient un air androgyne, qui contrastait avec des manières douces et très féminines. Kenza, la dernière, avait seize ans. C’était une petite terreur de la cité, la seule des trois qui avait déjà un casier. Elle était plutôt petite, assez jolie, même si elle ne cherchait absolument pas à se mettre en valeur avec son survêtement bleu ciel et ses Nike aux pieds. Elle avait un caractère de chien, violente, rebelle, et ne respectait rien.
Ce fut elle qui remarqua la chose.
« Wallah ! mattez ! il bande ! »
Jean Louis était toujours en érection quand elles entrèrent dans le salon, et Kenza s’en était apercu immédiatement.
Les filles éclatèrent toutes de rire.
Kenza s’approcha de Jean Louis. Elle se mit derrière lui et lui balanca deux coups de pieds à l’interieur des cuisses pour l’obliger à les écarter.
« Ecarte, sale merde ! Allez, fais voir ! »
Il écarta aussitôt les cuisses, cambrant ses fesses pour leur offrir docilement la meilleure vue.
Kenza s’en amusa.
« Ouais… ! Prends bien la bonne position, salope ! », dit elle en riant.
Du bout de son pied, elle secoua la verge tendue et appuya sur les testicules gonflés.
Jean Louis se cambra encore plus et son sexe se gonfla encore.
Les filles rigolaient et s’excitaient devant le spectacle.
« Ahhh… la pute, mais t’aime ca ? sale merde de français, salope de sous race ! »
« Vous êtes tous des merdes les blanc culs, on va te faire la misère, sale pute ! »
Madame Nora les encouragea.
« Allez y les filles ! Montrez lui comment les Arabes s’occupent des sous races ! On va lui montrer ce qu’on fait des putes, ici ! »
Samira s’approcha de Jean Louis. Comme sa tante quelques minutes plus tôt, elle se pencha et lui cracha violemment en pleine figure. Elle recommença aussitôt à deux reprises.
Mounia se pencha à son tour et cracha elle aussi plusieurs fois.
Kenza ne voulu pas être en reste et fit la même chose.
Au bout d’une ou deux minutes, Jean Louis dégoulinait de salive sur le visage, les cheveux et le dos.
Mounia s’approcha de nouveau, se plaçant à quelques centimètres de son visage.
«Ouvre la bouche ! »
Elle se racla la gorge, et un gros crachat épais atterrit directement dans la bouche de Jean Louis.
« Avale ! »
Il dut s’exécuter, et avala docilement.
« Bonne truie, ca ! », dit elle avec satisfaction.
Samira s’approcha a son tour. Jean Louis s’attendait à un nouveau crachat.
Au lieu de ca, une violente gifle lui cingla la joue droite.
Il fut presque déséquilibré. Sa tête bourdonnait.
A peine recouvrait il ses esprits que Samira lui balança une autre gifle sur la joue gauche, sans un mot.
Kenza s’approcha à son tour. Les visage dur, les dents serrées, elle le gifla deux fois, puis lui cracha encore au visage.
Mounia la remplaça. Elle le gifla tout aussi violemment sur les deux joues, puis s’approcha de son visage.
« Sale pute ! On va te faire mal, salope ! Vraiment mal ! Tu vas regretter d’être français ! », siffla t’elle avec excitation.
Jean Louis sentit son sexe durcir encore.
Il savait que les heures à venir allaient être intenses et difficile.
Mais il ne pouvait plus rien faire que subir.
(A suivre)
On a envie d'en savoir plus... J'adore le début, le SMS "apel salope". Il sait ce qui l'attend, mais il n'y peut rien, la Domina le tient déjà.
RépondreSupprimerOuî on en veut plus
RépondreSupprimersublime nous les sous race de francais on mérite que sa servir de wc humain pour Magrébine et de tête a claques moi je suis esclave francais travesti fabrice himblot Divines Reine Magrébine , à vos ordres
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