mardi 1 mai 2012

Histoire : Tard le soir


http://www.thevalkyrie.com/stories/french/histoiresdelakahba02.txt 
Je rentre chez moi vraiment tard après une sortie au restaurant avec des amis.
J'ai envie de prendre un peu l'air alors j'ai decidé de marcher un peu. Mais
ce quartier ne m'est pas familier, et je me suis un peu égaré. j' me retrouve
sans le vouloir dans une rue isolée et déserte à cette heure tardive. je
traverse une cité et ses barres d'immeubles. Tout est désert. je marche assez
vite, pressé de rentrer chez moi. Tout à coup au détour d'un angle de rue,
j'apercois un groupe de jeunes au pied d'un batiment. Ils discutent et
plaisantent. je ne distingue pas ce qu'ils disent, mais j'entends des éclats
de rire et des voix féminines. je continue mon chemin et arrivent vers eux. Il
y a quatre filles et deux garcons. Ils ne m'ont pas encore remarqué. j'arrive
presque a leur hauteur quand ils me voient. Le silence se fait. Au moment ou
j'arrive vers le groupe, une des filles se lève et m'interpéle

"ho, tu vas ou là ?"

je ralentis car elle se place en meme temps devant moi pour me gener. jue ne
reponds pas tout de suite.

"tu vas ou là , j'tai dis?"

je comprends que je vais me faire agresser. j'ai le choix: soit me rebeller,
mais il y a deux garcons, qui sont costauds, soit m'ecraser et repondre
poliment. je choisis instantanement d'etre poli et respectueux.

"je rentre chez moi Mademoiselle, mais je me suis égaré, je crois."

"tu t'es é-ga-ré?", repond la fille d'un ton moqueur et méprisant. "t'es chez
nous, là ! t'as rien a faire là , bouffon!"
Elle me toise d'un air dedaigneux et méprisant. C'est une Jeune Fille de 18 ou
20 ans au plus, brune, Orientale, très typée, vetue de facon assez soignée.
Elle porte un jean tres moulant sur lequel Elle a enfilé de longues bottes en
cuir marron, aux talons fins et hauts.

je bafouille "je Vous demande pardon, je me suis perdu, je ne voulais pas
venir ici, je cherche seulement mon chemin"

les trois autres filles se lèvent a leur tour et s'approchent. Elles sont
toutes du meme age, peut etre meme plus jeunes. Toutes sont brunes aux cheveux
longs. L'une d'Elles est frisee, avec de magnifiques yeux noirs en amande.
Deux d'entre Elles machent du chewing gum d'un air vulgaire. Elles ont toutes
le meme air agressif et meprisant, et me regardent durement. les deux garcons
restent assis, et regardent la scene. Les Filles s'approchent de moi et
m'entourent. Celle qui est intervenue la première s'approche encore de moi.
Elle tend le bras et me pousse legerement sur la poitrine. C'est un geste
anodin, mais une provocation évidente. Elle cherche le conflit.

"alors bouffon? tu fais quoi ici? tu te crois ou?"

je ne réagis pas. Elle me regarde durement, Ses yeux braqués dans les miens.
Instinctivement je baisse les yeux. Elle le remarque surement. Elle comprend
instinctivement qu'Elle a le dessus et que je suis un perdant. Son ton monte
aussitot, et Elle pousse son avantage. Elle me bouscule encore, plus
violemment cette fois.

"t'as compris, bouffon? j'te parle! tu te crois ou?"

je cherche a la contourner. je veux m'en aller. La première claque me prend à
froid. avant meme que j'ai eu le temps de voir venir, je prend une violente
gifle en plein visage, qui me stoppe instantanément. je vois 36 chandelles et
j'ai l'impression que ma tête vibre.

"tu bouge pas, salope!", hurle la Fille qui vient de me gifler.

j'essaye de réagir. "mais ca va pas? qu'est ce que je Vous ai fait, laissez
moi tranquille!"

Pour toute reponse je recois une deuxième gifle qui me fait taire. j'entends
les garcons qui réagissent.

"Vas y Sara, nique lui sa race!"

Encouragée par les garcons, Elle me prend par le col brutalement.

"si tu passe là , faut payer une taxe! t'es chez nous, tu payes! Files ton
flous sale race!" Les trois autres Filles interviennent à Leur tour. Elles me
bousculent, et me poussent contre le mur. Celle qui a les cheveux frisés me
saisit par les cheveux et me tord la tete en arriere en me cognant violement
le crane contre le mur. je ne réagis plus, je suis terrorisé et tétanisé par
ces Filles qui me subjugnent. Elles ont l'air de prendre du plaisir a me
rabaisser et me bousculer, et moi, je suis incapable de me defendre.

La frisée me lance d'un ton meprisant: "on va te faire la depouille salope! tu
vas voir comment on les traite ici les goueres!"

Aussitot les quatre filles m'entrainent vers une allée discrete entre les
batiment et celui d'a côté. Elles me bousculent et me poussent sans
menagement.

"Allez, bouge! Vas la bas, sale pute!"

A peine arrivé dans l'allée, je suis de nouveau bousculé et balancé contre le
mur. je prends aussitot une volée de claques et de gifles qui viennent des
quatres Filles. les garcons ont suivi et regardent en rigolant, mais
n'interviennent pas. je me recroqueville sur moi meme pour eviter les coups,
mais Elles savent frapper et ne se retiennent pas.

Un des garcons interpelle les Filles "foutez la a poil cette salope!"

Les coups cessent, et Celle qui m'a agressé la première, dont j'ai compris
qu'Elle s'appelle Sara, me saisit pas le col et me bouscule vers le sol.
"Allez, t'as entendu sale pute? deshabille toi!"

je suis terrorisé et j'obeis aussitot sans hesiter. je retire tous mes
vetements et les depose devant moi. Sara me montre les bennes a ordures a
quelques metres.

"Vas la bas, salope! Et tu bouges pas!"

j'obeis. Les quatres Filles commencent a fouiller mes vetements. L'une d'Elles
ouvre mon portefeuille et en sort les 300 euros que j'avais retiré dans
l'aprés midi.

"ca c'est pour nous!"

je ne réagis pas. Elles s'approprient mon telephone portable et mon Ipod neuf,
ainsi que ma montre.

"reviens ici!"

j'obeis. Elles m'entourent de nouveau. Sara me rebalance une gifle, sans rien
dire, juste pour le plaisir. Elle ne dit rien, me regarde l'air degoutée. Sans
rien dire, Elle me crache violemment au visage. Puis Elle me saisit par les
cheveux, me renverse la tete, et me crache de nouveau dessus.

Elles ont eu ce qu'Elles voulaient. je comprends que maintenant Elles vont
s'amuser. Et effectivement, les trois autres s'approchent a Leur tour. L'une
après l'autre, Elles me crachent dessus à plusieurs reprises en m'insultant

"sale putain!" "salope!" "sale race!" je degouline de salive, j'en ai dans les
cheveux, sur la figure, sur tout le corps. Elle alternent les crachats avec
les gifles. La Jeune aux cheveux frisés ramasse mon pantalon. Elle defait ma
ceinture qu'elle enroule en partie autour de Son poing. Elle s'approche de
moi.

"Alors salope de gouere, tu veux la misere?" je ne reponds pas. je garde les
yeux baissés.

"Quatre pattes salope! tu vas voir comment on traite les sous races ici!"

j'obeis sans sourcillier. Aussitot Elle s'approche de moi. Elle a compris que
je n'etais pas capable de resister et que je me soumettrai facilement. Elle a
decidé d'en profiter sans retenue. Le premier coup de ceinture claque sur mes
fesses et m'arrache un gemissement. Les garcons eclatent de rire. Les filles
au contraire semblent plus silencieuses. Les coups se succedent et claquent de
plus en plus fort. je gemis a chaque fois.

"Vas y couine, sale truie, sale hallouf!"

Les coups se succedent, Elles se passent la ceinture et frappent chacune a
Leur tour. je prends des cinglées sur les fesses, les cuisses le dos, je
prends des claques, je recois des crachats, je suis insulté, je ne sais plus
ou je suis, je ne réagis plus. Ca dure seulement quelques minutes, mais j'ai
l'impression que ca dure des heures. Elles me laissent recroquevillé par
terre, la peau rougie, couvert de crachats. je pleure. Mes vetements sont
éparpillés dans la ruelle, sales, et pour certains dechirés.

Elles sont satisfaites. Sara se tient devant moi, me dominant de toute Sa
hauteur. je ne distingue que Ses bottes entre mes larmes.

"On a ton nom et ton adresse salope, alors tu fermes ta gueule, t'as compris?"

Elle s'eloigne en riant. Elle se retourne vers moi.

"Et si tu reviens ici t'auras encore la misere!"

Le groupe s'en va. Au fond de moi, je sais bien que je reviendrai un jour.

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