jeudi 17 mai 2012

Histoire BBforum : Mauvaise rencontre dans le train de banlieue

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Je rentrais tranquillement dans ma banlieue avec ma petite cousine de 14 ans un dimanche après-midi. Le train était quasiment vide, calme, mais comme la banlieue est très sensible, j'avais décidé de la raccompagner chez elle. Après tout, plusieurs filles s'étaient déjà faites violées dans ce train bien trop calme, et ma cousine étant plutôt jolie et sexy, je n'avais pas envie que ses parents la récupèrent avec les collants déchirés et du sperme coulant de son corps…
J'aurais peut-être mieux fait de me méfier pour moi ce jour-là…


Lors d'un arrêt, c'est là qu'elles sont montées, une bande de 5 filles de 16-17 ans, plutôt mignonnes, mais terriblement vulgaires. Tout de suite, elles ont commencé à chercher la merde auprès des quelques voyageurs qui restaient dans le train.
"Ne les regarde pas", je disais à ma cousine. Du haut de mes 25 ans, plutôt baraqué, elles ne me faisaient pas peur, mais autant éviter les ennuis…


Trop tard, elles l'avaient repérée…
"Alors poupée, on s'habille comme une pute pour aller se faire sauter ?" lui lança l'une d'elle, habillée d'un jean troué moulant et d'un petit haut bien décolleté qui laissait apparaître ses petits seins.
Ma cousine, bien qu'habillée en jupe assez courte avec des collants et de petites bottes, semblait bien moins provocante que ces jeunes filles en manque de sexe.
J'intervenais "Laissez-là tranquille !"
"Oh mais t'es avec ton mac", balança une autre. "Il va pas être content si on te tape ?!" Et avant que j'ai pu faire quoi que ce soit, elle lui asséna une claque magistrale.


C'en était trop. Je me levais et attrapait celle qui avait osé lever la main sur ma cousine, une petite asiatique qui portait de très hauts talons et était habillée d'une manière de dire "viens me baiser", pour la gifler à mon tour.
C'est là que j'ai compris mon erreur. Les autres filles s'étaient regroupées autour de moi, et à peine ma main s'était-elle posée sur la joue de cette jeune fille que toutes se mirent à m'asséner de coups de poing. Et elles étaient fortes pour let âge !
Le train avait marqué un nouvel arrêt, et les rares personnes qui restaient s'empressèrent de sortir du wagon. Lâches.
Mon visage fut roué de coups, tout mon corps aussi, mais ces vicieuses s'acharnaient plus particulièrement sur mes couilles, les écrasant à coups de poing et de pieds. Le souffle coupé, je tombait à leur pied. Ma cousine, impuissante, s'était mise à crier et à pleurer, mais personne ne prêtait attention à elle.


"Enlevez-lui son fut' les filles, on va lui montrer de quoi on est capable !" cria celle qui semblait la plus âgée d'entre elles, une jeune fille avec une très belle poitrine, qui m'aurait fait fantasmer si elle n'était pas en train de m'éclater les couilles…


Impuissant, je sentais une poignée de mains défaire mon jeans, certaines donnant un nouveau coup dans mes parties au passage, ou en profitant pour les serrer. Mon boxer lui aussi fut vite déchiré par ses filles qui n'en voulaient qu'à mes couilles. Je me retrouvais nu devant ces 5 filles excitées et ma petite cousine, spectatrice impuissante qui fixait là où j'étais encore un homme…


Après avoir serré et frappé mes couilles encore quelques minutes, alors que je n'en pouvais plus, l'une d'elle s'exclama "Allez les filles, on le castre contre le poteau!"


"Noooooonnnnn!!!!" je criais, mais déjà elles me saisirent par les jambes et les bras et me dirigèrent vers le poteau d'acier où les gens normalement se tiennent pour ne pas tomber.
"Blammmm" mes couilles s'écrasèrent contre le dur poteau, et je criais de douleur. Mortes de rire, elle recommencèrent une dizaine de fois avant que je ne finisse par tomber dans les pommes…


Je repris conscience quelques instants plus tard en pensant que tout ça n'était qu'un cauchemar, mais j'étais bien toujours allongé dans le wagon, 5 jolies filles autour de moi et ma cousine un peu plus loin, tétanisée, qui ne manquait pas une miette de la scène…
"On va jouer à un petit jeu bouffon" me dit l'une d'elle. "On aime bien voir les mecs se ridiculiser, alors on va te laisser 2 minutes pour te branler et éjaculer. Si tu y arrives, on vous laisse tranquille et on se casse. Sinon, on oblige ta meut là-bas à te castrer, et on l'aide. Top chrono !"


"Non, s'il vous plait !…" je gémissais.
"1 minute 50" aboya celle qui avait lancé son chrono sur son téléphone.


Ne les provoque pas, je me dit… 6 paires d'yeux rivées sur moi, j'entrepris donc de m'astiquer le manche. Mes couilles me faisaient super mal, mais la vue de ces jeunes filles autour de moi redonnait à mon sexe quelques couleurs… Je matais sans vergogne ces petites putes, m'imaginant en chacune d'entre elles, en train de les défoncer ou me faisant sucer.
"30 secondes, dépêche toi !"
Je me branlais maintenant frénétiquement. Je regardais également ma petite cousine, encore jeune et pourtant si sexy, avec ses jolis seins encore bien fermes, et un petit cul tellement tentant. Je m'étais déjà branlé bien des fois en pensant à elle… Je regardais tous ces culs autour de moi et sentait la semence venir…
"5… 4… 3… 2… 1… TROP TARD!!!" hurla celle qui tenait le chrono en me mettant un puissant coup de pied dans les couilles.
C'est le moment que choisit mon sperme pour s'échapper et aller d'écraser sur la jambe de la jeune fille, et un peu partout autour, sous le regard amusé de toutes les filles.


"Hé ben, on t'excite à ce point ou t'as pas baisé depuis longtemps ? Y'en a beaucoup!"
"En tout cas, t'aurais peut-être pu finir à temps si t'avais pas perdu ton temps à parler !", me lança avec un sourire celle qui avait de hauts talons. S'approchant de moi, elle souleva sa jambe droite au-dessus de mes couilles devenues presque violettes et…



"On va te castrer pour en avoir mis partout !" me dit la petite asiatique en plaçant son haut talon aiguille au-dessus de mes couilles. Je vis un petit sourire vicieux se dessiner sur son visage, puis sans que je puisse bouger, je vis son pied s'abaisser rapidement et senti une douleur immense m'envahir lorsqu'elle planta son talon dans mes couilles. Je hurlais alors que mes agresseuses étaient mortes de rire.
"Manqué", lui dit une de ses copines aux gros seins. "Sa couille s'est échappée !" En effet, malgré la douleur, je pouvais constater que mes boules étaient "intactes". Ouf...


"Allez, on va s'amuser s'amuser un peu". Deux d'entres elles se dirigèrent vers ma petite cousine Chloé et la forcèrent à venir près de moi.
"Frappe-lui les couilles !"
Surprise, Chloé fixa un instant mes boules endolories. Ma cousine regardant mes bijoux de famille… Dans d'autres circonstances, ç'aurait été un rêve éveillé, et j'aurais bandé comme un taureau. Là, j'avais les couilles meurtries par l'écrasement qu'elles venaient de subir, et la douleur était tellement forte que je en pouvais pas bander, mais mon sexe réagit cependant un tout petit peu à cette situation.
La surprise passée, Chloé se débattait. "Non!" cria-t-elle. "Laissez-le tranquille !"
"Éclate-lui les couilles on te dit ! Montre lui qui est le sexe dominant !" Ma cousine se débattait toujours. "Écoute, tu fais ce qu'on te dit, ou c'est nous qui te violons avec des godes et des bouteilles, ok ?!"


Les filles se faisaient agressives. Sachant que je n'échapperait sans doute pas à la correction, et voulant protéger ma cousine, je lui dit :
"Fais-le, Chloé, fais ce qu'elles te disent et qu'elles nous laissent tranquilles…"
Chloé était abasourdie
"Mais… tes couilles…". Les filles autour étaient mortes de rire.
"Allez, démerde-toi, on n'a pas que ça à foutre !" dit l'une d'elle.
Je fixait ma cousine du regard. "Vas-y" put-elle y lire.


Timidement, elle plaça alors son pied au-dessus de mes couilles, et gentiment me donna un petit coup. Je sursautais un peu, plus de crainte que de douleur, tellement le coup était faible.
"Ça va ?" me demanda ma cousine
"Plus fort !" lui hurlèrent les autres filles.
Placée au dessus de moi, elle était terriblement sexy. J'avais une vue parfaite sur sa petite culotte et mon sexe commençait à se dresser à nouveau. Chloé avait dû le remarquait et me donna un autre coup, à peine plus fort, me lançant un regard réprobateur.
"Regardez comme il bande ce pervers", lança une des filles. "Tape plus fort, qu'il débande !"
Un autre coup, encore un peu plus fort, et la douleur se réveillait. Ma cousine semblait de plus en plus à l'aise, j'aurais même cru voir un soupçon de plaisir dans ses yeux."


Un coup encore plus fort, puis un autre. Et un coup beaucoup plus puissant. Je criais, ma cousine s'arrêta.
"Continue !" lui crièrent les autres. "Ou on lui montre tes seins ! Tu voudrais pas que ce pervers te voies à poil, si ?!"
Rien qu'à l'idée, mon sexe se dressa fièrement. C'est le moment que choisit Chloé pour m'asséner un coup violent dans les parties. Puis un autre, encore un autre ! Mon sexe débandait aussi vite qu'il s'était dressé. Mais ma cousine ne s'arrêtait plus. Les filles autour d'elle l'encourageaient :
"Écrase-lui ! On sait que t'en as envie !"


Rien n'arrêtait plus ma cousine qui prenait un malin plaisir à me broyer les couilles. Je criais, tentais de me débattre, mais les filles me tenaient fermement.
"Elles ont raison", me dit Chloé à ma plus grande stupeur, s'arrêtant un instant de frapper. "À chaque fois que tu me vois, t'arrête pas de me mater les seins, le cul. C'est ça que tu veux voir ?" D'un coup, elle remonta son haut pour laisser apparaître l'objet de tous mes fantasmes, ses jolis seins bien fermes. Bien que souffrant le martyre, mon sexe se redressa presque immédiatement. La petite asiatique s'en empara et commença à me masturber frénétiquement. Une autre fille se mit à malaxer mes couilles violettes pendant que ma cousine plaquait sa poitrine contre mon visage.
"Profite-en, ça va pas durer" me chuchota-t-elle
Les mains tenant mes couilles se mire à les serrer très fort, mais déjà, je répandais une nouvelle fois ma semence dans le wagon. Le plaisir laissa place à la douleur intense lorsque les doigts serrèrent encore un peu plus fort mes couilles. Puis les relâchèrent. Je cru un instant que tout était fini. Une fraction de seconde seulement. Car les coups de pieds, poings et genoux s'abattaient sur mes couilles de plus belle. Les filles s'acharnaient sur mes parties, Chloé également.
"Noooooooooooooooonnnnn!!!!" je hurlais.
"Tu materas plus jamais personne !" me cria-t-elle, se préparant à écraser mes couilles.
"Éclate-lui! Broie-lui" lui criaient les filles.


Plaçant son talon sur mes couilles, elle appuya soudain d'un coup sec, plaçant tout son poids sur un seul pied. Je hurlais, mais mes couilles tenaient bon. Après tout, elle n'était pas bien lourde…
"Saute !" lui crièrent les autres filles. L'une d'elle, excitée par tout ceci, était en train de se doigter. Aucune ne prêtait attention à mes cris.
Chloé sauta une fois. Raté.
Deux fois. Sous la pression, ma couille droite éclata. Je m'évanouis alors que Chloé se préparait à sauter une nouvelle fois…


Lorsque je repris conscience, j'étais seul, allongé dans le wagon, le train arrivait à son terminus. Mes couilles n'étaient plus qu'un souvenir.
Ma cousine était devenue une éclateuse de couilles et s'était faite de nouvelles amies.
Je ne parla de mon expérience à personne, ni même ne racontait au médecin qui m'accueilli aux urgences comment c'était arrivé.


Je revois de temps en temps ma cousine, qui agit comme si rien ne s'était passé. Tout juste me chuchote-t-elle à l'oreille le nombre de gars qu'elle a calmé ou éclaté à chaque fois. Ça ne m'offusque pas, je suis un châtré maintenant...

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J'espère que vous avez aimé l'histoire !

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