préambule C’était sans doute inévitable que je finisse dépendante aux grosses queues noires. Ma mère avait rendu la vie de mon père pitoyable du fait de son infidélité incessante avec des hommes noirs, lui imposant l’humiliation de ses sorties habillée en salope, rentrant aux petites heures, quand elle rentrait ! Il travaillait comme un chien pendant qu’elle ne levait pas le petit doigt, alors il n’était sans doute pas au courant de toutes ses escapades, mais à de nombreuses reprises je suis rentrée de l’école et l’ai trouvée dans sa chambre avec un noir. Je l’entendais réclamer sa queue, puis gueuler orgasme sur orgasme sur le fond sonore, désormais familier, des corps claquant l’un contre l’autre, puis un grognement énergique quand son amant du moment se vidait en elle. J’avais 11/12 ans et j’étais très mure pour mon âge, alors je m’y connaissais pas mal en matière amoureuse. J’avais eu quelques aventures avec des grands à l’école, mais ce que vivait ma mère, c’était clairement le niveau du dessus ! Avec le temps, ma mère avait fait de la vie de mon père un véritable enfer, mais je n’ai jamais ressenti une grande sympathie pour lui, partant du principe que s’il était un homme, il lui tiendrait tête. Mais il ne l’a jamais fait, il se contentait d’opiner quand elle lui donnait une liste de tâches à accomplir avant de passer la porte en micro-jupe, les talons hauts claquant le sol sous ses pas. J’ai fini par comprendre un peu, un jour où elle est rentrée aux petites heures du matin, et que je l’ai entendue parler à mon père dans leur chambre: J’ai entendu “embrasse moi les pieds larbin”. Curieuse d’en savoir plus, je me suis faufilée jusqu’à leur porte et ai écouté sur le seuil. “Bien, nettoie moi de tout ce sperme de noir que j’ai dedans, et t’arrête pas de lécher jusqu’à ce que je t’en donne l’ordre, espèce de demi-branlette de sous-homme” “Oui Maîtresse” Il fallait que je sache ce qui se passait, et comme ils étaient tous deux manifestement occupés, j’entrouvrais doucement la porte et regardais à l’intérieur. Ma mère était là, nue en talons hauts provoc’, allongée confortablement avec mon père à genoux par terre la tête entre ses cuisses, lapant vigoureusement. Je sentis un chatouillis au niveau de ma chatte en voyant ça et en me rendant compte de la situation – mon père était en train d’exécuter l’ordre qu’il avait reçu de lui lécher le sperme de son amant qu’elle avait à l’intérieur ! Soudain, Maman se rendit compte de ma présence, mais elle se contenta de me faire un clin d’œil, sourit, ferma les yeux et continua à profiter de l’instant. Bon, pour faire très court, deux ans plus tard, elle était engagée dans une relation sérieuse avec Noir bien foutu du nom de Derek. Il était régulièrement à la maison quand papa était au travail, et je n’ai jamais mal vécu le fait qu’il soit traité de la sorte. Après ce que j’avais vu, je m’étais forgé l’opinion qu’il méritait tout ce qu’il subissait ! Un jour, j’avais 14 ans, ma mère me fit asseoir, elle avait quelque chose d’important à ma dire: “Tu sais que ton père et moi n’avons plus une relation normale depuis très longtemps, ma puce, et depuis que j’ai rencontré Derek, je me rends compte que je veux vivre avec un vrai homme, pas avec un pauvre larbin faible. Alors j’ai dit à ton père qu’il devait quitter la maison le temps que je voie si je suis sûre que je veux faire ma vie avec Derek ; il va prendre une chambre dans un hôtel, le moins cher possible de façon à ce qu’il lui reste beaucoup d’argent pour les factures et le reste ici. Je l’ai prévenu que le coût allait augmenter, parce que Derek a 2 garçons qui vont s’installer avec nous aussi, et bien sûr il y aura les vacances pour nous 5 au lieu de 3, alors il va sans doute devoir travailler davantage. » J’étais étonnée que mon père semble avoir accepté tout ça, et qu’il s’apprête à se tuer au travail pour payer la belle vie à sa femme et son amant ! J’ai dit à Maman que j’aimais bien Derek, mais que j’étais pas sure pour ses fils qui allaient venir ici. “Oh, ça te plaira, fais moi confiance ! Ils ont 2/3 ans de plus que toi, alors ils pourront te sortir, te montrer des trucs sympa". “Mais, ils vont mettre le bazar, rien ranger, non ? Tous les gars que je connais sont comme ça" “ Ca sera pas un problème, j’ai fait payer ton père pour du ménage quotidien pour que la maison soit nickel. Comme c’est lui qui faisait tout le ménage, c’est le moins qu’il pouvait faire. " L’abnégation de mon père pour se rabaisser pour ma mère me stupéfiait, mais je me disais qu’elle avait pris les décisions qu’il fallait – un beau modèle pour moi ! Les fils de Derek s’appelaient Earl et Darius, et j’ai été très impressionnée quand je les ai vus la première fois ! Ils étaient grands, beaux, bien foutus, avec un corps d’athlète, et ils débordaient d’assurance. Moi, je suis allée dans la chambre d’amis pour que eux puissent se mettre tous les deux dans ma chambre, qui était plus grande; mais il y restait plein d’affaires à moi, alors j’étais tout le temps en train d’y entrer et sortir. Souvent, j’étais en plein en train de m’habiller quand je m’apercevais qu’il me manquait quelque chose, alors j’étais juste en sous-vêtements, et eux aussi, et leurs corps, ça valait le coup à contempler ! Sculptural, noir, et puissant ! Tous les soirs, au lit, je me touchais en fantasmant sur eux, imaginant faire l’amour avec eux – de la baise à la dure, bien crade, comme une fille de 14 ans devrait même pas savoir que ça existe, et encore moins fantasmer dessus ! Un soir, je suis sortie exprès de la douche directement dans leur chambre juste entourée d’une serviette courte “pour prendre un truc”, et “sans faire exprès”, elle a glissé devant eux. Darius l’a ramassée et l’a levée par dessus sa tête, en riant et en disant à son frère: “Ouah frangin ! regarde le chouette petit corps qu’elle a notre nouvelle petite soeurette !” Puis ils se sont passé la serviette de l’un à l’autre, riant de la difficulté dans laquelle j’étais, mais ne quittant pas une seule seconde mon corps des yeux ! Après quelques minutes, je remarquai qu’ils avaient tous les deux un galbe énorme au short ! Putain ! aucun des garçons avec qui je m’étais amusée n’avait une queue ne serait-ce que la moitié de cette taille ! Darius m’a surprise à le mater ouvertement, et il dit avec un rictus: “On veut voir c’que c’est qu’une grosse queue noire, fillette ?” J’opinai en silence, et il dit: “Allez viens regarder” Ce sur quoi il écarta d’un doigt son short, et son membre massif en sortit tendu devant lui. “Qu’est-ce qu’y a ma belle, aucun de tes petits blancs a une vraie bite ?” Je secouai la tête et m’approchai lentement de lui. Il m’attrapa la main et se la plaça sur la queue. “Comme ça ma puce, caresse comme ça pendant un peu” Je le branlais doucement avec mes deux mains qui l’entouraient juste. J’avais fait ça plein de fois avec des bites qui tenaient dans une main, mais jamais avec un monstre comme ça ! “Bon, maintenant, ma belle petite allumeuse, mets toi donc à genoux pour voir quel goût ça a” J’avais pas besoin qu’on me le répète, et en peu de temps, j’étais en train de forcer sur ma machoire pour ouvrir la bouche le plus grand possible pour tout rentrer dedans ! Je me mis à sucer le zob et à lui masser les couilles; il gémissait de plaisir au dessus de moi. Ensuite, j’ai senti Earl se mettre à genoux derrière moi, m’embrasser dans le cou et m’effleurer les tétons. Je m’excitai comme une dingue, et pompais Darius comme une experte. Earl descendit en dessous de mes fesses et se mit à jouer avec mon clito, m’envoyant dans les spasmes ! Soudain, la queue de Darius fut prise de pulsations, et l’instant d’après, ma bouche s’emplissait de litres de sperme. J’ai tenu jusqu’à ce qu’il ait fini, puis j’ai ouvert la gorge plusieurs fois pour avaler jusqu’à la dernière goutte. A ce moment là, Earl s’empara de moi, m’allongea sur son lit, puis me grimpa dessus alors que j’ouvrais prestement mes cuisses. Sa queue avait l’air bien trop grosse et je pensais pas que ça rentrerait, mais j’étais tellement mouillée et chaude qu’il a réussi petit à petit à me rentrer dedans, avec moi hurlant d’extase sous lui. Il commença lentement puis accéléra, faisant de moi une vraie dingue ! Juste au moment où un orgasme commença à me déchirer, j’ai senti la bite d’Earl m’envoyer une pleine ventrée de sa jute. Ca a encore intensifié mon orgasme et j’ai hurlé à ébouler la maison ! (heureusement, Maman et Derek étaient sortis avec des amis). Earl s’effondra à côté de moi et m’entoura de ses bras volumineux, me disant que j’étais super bonne. Darius s’allongea de l’autre côté et me caressa la jambe, me disant qu’ils allaient vraiment passer de bons moments avec leur nouvelle soeur. Mon coeur de fille de 14 ans en train de récupérer après s’être accouplée avec deux garçons de 17 et 19 ans chavirait, mon dieu, ce que c’était booon ! Darius dit que j’étais géniale, et que puisqu’on était sous le même toit, on devrait faire ça à chaque fois qu’on avait envie. Comme une vraie garce en devenir, j’ai souri et dit: “bon, alors est-ce que deux fois par jour ça irait, les garçons ?” Ils ont ri tous deux et se sont mis à me chauffer avec expertise pour une nouvelle session. On y a été toute la nuit, et chacun d’eux a juté quatre autres fois. De la baise fantastique, putain de putain de putain !! Le matin suivant, j’ai pris la pillule du lendemain, puis j’ai dit à Maman que j’avais commencé à avoir des rapports sexuels et que je pensais qu’il était temps que je prenne la pillule maintenant. Elle n’eut pas l’air choquée ne serait-ce qu’un peu, mais eut un sourire narquois et dit: “Alors, tu t’entends bien avec Earl et Darius, ma puce ?” J’éclatai de rire et lui dis qu’ils étaient extraordinaires, et que je voulais qu’ils restent tout le temps. “Ca me va” répondit-elle. “je prévois que Derek reste pour de bon aussi. Je vais annoncer à ton père la bonne nouvelle qu’il devra voir à prendre un deuxième boulot pour nous garder tous sur le long terme.” A partir de ce moment, les garçons et moi faisions l’amour le matin, le midi et le soir. Maman et Derek faisaient pareil, alors ils nous embêtaient pas. Les garçons m’ont initié à la sodomie, la levrette en suçant, et d’autres trucs merveilleux dont je pouvais plus me passer. Ils ont commencé à me sortir avec eux à des soirées avec leurs copains noirs, et m’ont encouragée à baiser avec autant d’hommes que je voulais. J’avais pas encore 15 ans, mais j’étais dépendante à la queue de Noir, et profitais de chaque occasion de me faire remplir les 3 trous de sperme de noir puissamment giclé. Ma scolarité patissait de mon inclination à rester à la maison au lit avec mes étalons noirs. Papa payait toutes les factures, alors personne ne travaillait. Nos journées se passaient à faire l’amour, aller au club de sport, faire l’amour, sortir déjeuner, faire l’amour, rentrer faire l’amour, et se finissaient par encore de l’amour. Les garçons adoraient me prendre dans mon uniforme scolaire, alors souvent, je me préparais pour l’école, et ils m’agrippaient, me tiraient dans leur chambre pour me sauter – pouvait-on rêver plus belle vie ?! Les mois passant, ma réputation s’étendait, et je me faisais baiser par plusieurs Noirs différents tous les jours. On allait dans des boites de Noirs où il y avait une salle spéciale à l’arrière pour les accouplements. Mais moi quand j’y étais, c’était à quatre pattes en train de me faire farcir des 3 trous, avec une file d’attente qui observait – la dépendance aux queues de Noirs vous dites ? Yep, totalement !! Un jour, Darius me demanda si ça me brancherait de devenir actrice de porno, et j’y étais tout à fait prête ! “Ca consiste juste à continuer comme je fais, mais en étant filmée ?” “C’est à peu près ça” rigola-t-il. “Tu peux gagner une fortune” “Ca m’a l’air super, grand frère” je lui ai répondu, en me remuant plantée sur sa pine massive pendant qu’il me roulait et me pinçait les mamelons en expert. Les garçons ont monté l’opération, avec un site en ligne, une location de studio, et un grand lit ! Les mois qui suivirent, le solde de mon compte en banque augmenta considérablement, et mes films étaient sur tous les sites d’adultère interracial. On a eu un soumis blanc qui s’est mis avec nous, qui jouait mon mari, et j’aime autant dire qu’il a salement dégusté ! Il a dû avaler des litres de jute et de pisse durant la période où on s’est servis de lui. On lui a même installé une cage de chasteté cadenassée sur sa petite queue, qu’on a laissée de façon permanente. Puis, j’ai suggéré qu’on prenne une grande cage pour chien pour mettre dans un coin du studio, et qu’on l’enferme dedans quand on se servait pas de lui. On pouvait laisser une cam braquée dessus 24 h sur 24 7 jours sur 7, et faire payer pour le regarder. Cela alla encore plus loin quand j’ai acheté une pique à bétail, et que je me suis mise à le taper et à le tourmenter avec à travers les barreaux, puis tous mes hommes s’y sont mis aussi. J’ai eu l’idée qu’on pourrait installer un tuyau dans le coin de sa cage et que tout le monde pourrait lui pisser dessus, toujours avec la cam branchée. C’est ce qu’on fit, et tous les mecs qui m’ont baisée ont pris un grand plaisir à lui faire ouvrir la bouche en grand pendant qu’ils le couvraient de pisse ! Quand on l’utilisait pour les films, on le faisait prendre une douche puis jouer son rôle – sucer des queues, lécher la jute dans ma chatte et dans mon cul, lécher la jute par terre, se prendre des coups, se prendre des fouettées, devoir lécher le sol des toilettes pendant que je reposais mon escarpin à talons hauts sur son dos en me faisant baiser debout. Je me dis qu’on pourrait augmenter notre audience en faisant du X homo, alors on a passé des annonces pour des homos dominateurs pour le maltraiter devant la caméra, et on a été inondés de réponses ! Il fut bientôt habitué à être utilisé 24h sur 24 7 jours sur 7 pour mon truc d’adultère interracial ou pour des films homo. Et il a absolument tout accepté ! Je décidai alors que, puisqu’il prenait clairement son pied avec la maltraitance et l’humiliation qu’on lui imposait, il pourrait aussi bien payer pour. Alors un jour, alors que je l’avais à genoux devant moi, filmé en train de sucer la jute d’un préservatif usagé qu’on était allé lui faire ramasser dans une impasse derrière le studio, je luis dis qu’on n’avait plus besoin de lui, qu’il pouvait donc embarquer ses affaires et dégager. Il supplia sans fin qu’on lui permette de rester et de jouer encore dans des films, et au fur et à mesure de ses suppliques, je fis mine de me laisser convaincre, et lui dis qu’il pourrait continuer tant qu’il paierait pour ce privilège. Il s’y engagea, et je me mis à lui facturer 200 £ de l’heure, non seulement pour ses prestations d’acteur, mais pour chaque heure passée au studio, même les nuits où il était seulement enfermé avec une bouteille de ma pisse à boire. Il était plutôt à l’aise financièrement quand il a commencé avec nous, mais en quelques mois il fut ruiné, alors on l’a vendu à un bordel homo et on lui a très rapidement trouvé un remplaçant – de tout évidence les blancs faibles qui prennent leur pied à se faire maltraiter courent les rues ! Avec le temps, je commençais à remarquer des hommes blancs plus âgés qui se retournaient sur moi, semblant me reconnaitre. J’adorais la sensation de pouvoir que ça me donnait, de savoir que s’ils me connaissaient par mes films, c’est qu’ils étaient des minables pathétiques qui payaient pour me voir baiser avec des Noirs et maltraiter des petits blancs – mon passe-temps préféré ! Ce furent quelques années fabuleuses d’une vie de rêve, mais je décidai qu’il me fallait mon propre mari soumis pour me garantir les moeurs auxquelles j’étais acoûtumée. Je savais que cela impliquait d’épouser un homme blanc riche, mais ça me convenait, parce que je continuerais à remplir mes journées de queues de Noirs une fois que je lui aurais appris à rester à sa place. J’ai testé un échantillon de blancs faibles jusqu’à rencontrer celui qui correspondait au profil: (à partir de là, les évènements reprennent au debut de l’histoire: “Garce égotiste”) |
Garce égotiste
Quand j’ai rencontré mon mari, il était déjà propriétaire d’une belle maison et gagnait bien sa vie – tout-à-fait le genre d’homme que je cherchais, pouvant m’assurer un mode de vie élevé et sans soucis.
J’ai toujours été une vraie salope et une garce intégrale, en particulier avec les hommes noirs à grosse queue dans les parages, et n’avais pas l’intention de renoncer à cet aspect de ma vie ! Aussi, cependant que mon futur mari me courtisait, je poursuivais ma vie nymphomane à son insu, mais en lui faisant l’amour comme jamais il n’avait connu, et il fut bientôt complètement accro.
Quand j’ai évoqué le mariage au bout de 3 mois, il a sauté sur l’occasion et en 2 temps 3 mouvements j’avais investi sa jolie maison et dépensais pour la satisfaction de mes plaisirs son argent durement gagné !
Très vite après m’être installée chez lui je commençai à lui réduire ses doses d’amour avec moi, tout en continuant à avoir des aventures dans son dos. Il était extrêmement frustré et plein de désir en permanence, mais ça n’avait pour effet que de m’inciter à augmenter les intervalles de temps entre lesquels je le laissais baiser avec moi ! Plus je le privais d’amour, plus il se mettait en quatre pour me satisfaire. Je suppose qu’il sentait au plus profond de lui-même que j’étais trop supérieure à lui et que je le quitterais s’il faisait trop d’histoires au sujet de ses privations amoureuses.
J’ai arrêté de travailler après notre mariage et mes journées consistaient en séances de gym au club de sport, suivies d’un « massage » avec un des mâles noirs de là-bas, puis d’un restau avec mes copines suivi d’une séance fantastique avec un de mes amants, la plupart du temps dans mon propre lit. Je refuse d’utiliser des préservatifs car j’adore la sensation d’une bite dure qui me remplit de jets de sperme puissants.
Je suis toujours habillée comme une garce intégrale – tous petits hauts, mini-strings, jupes courtes et talons hauts. Je porte parfois aussi des bas, en fonction du (ou des) mâle(s) qui vont me mettre leur queue ce jour-là.
La vie de mon petit mari tournait entièrement autour de ma personne, aussi n’objectait-il jamais quand je sortais le soir, souvent pour toute la nuit, et rentrant parfois le lendemain sous le prétexte d’avoir dormi chez une de mes copines. Avant de partir je lui laissais toujours une liste de tâches ménagères à faire pendant que j’étais de sortie à m’amuser en dépensant son argent. Le larbin pathétique !
Si j’étais à la maison quand mon petit mari rentrait du travail, je lui laissais souvent me lécher les pieds pendant que je regardais du porno noir & blanche. Je le laissais aussi me cunnilinguer pendant des heures, ce qu’il aimait beaucoup faire. Il avait le privilège d’enduire de crème pour bébé chaque centimètre carré de mon corps, mais évidemment ça ne faisait que renforcer encore son désir et sa frustration. J’étais allongée là, à le titiller en lui disant à quel point j’aime ça quand tous les noirs musclés au club cherchent à m’aider dans mes exercices, à lui rappeler que je ne porte pas grand-chose là-bas et que donc ils voient que j’ai beaucoup à offrir et qu’ils profitent de la moindre excuse pour me toucher – ce que j’encourage par mes attitudes très câlines ! Puis je luis disais à quel point leurs queues paraissaient grosses à travers leurs shorts, combien j’étais excitée en leur présence, et à quel point lui était minable en comparaison. Apparemment il n’était pas conscient que des dizaines d’entre eux m’avaient déjà sautée de nombreuses fois, et il pensait entendre de ma bouche les prémices d’une éventuelle première relation avec l’un d’entre eux. J’adorais lui faire dire combien de temps s’était écoulé depuis la dernière fois où je l’avais laissé faire l’amour, et puis lui dire que s’il était vraiment un homme il pourrait le faire tout le temps. « Mais tu es plus adapté pour aller travailler pour que je puisse avoir la belle vie, c’est à ça que servent les minables. L’amour, c’est pour les vrais mecs ! »
Un soir qu’il était occupé entre mes jambes j’ai senti l’envie pressante de faire pipi monter, mais n’avais pas envie de me lever du canapé, alors je lui annoncé qu’il allait avaler et qu’il avait plutôt intérêt à ne rien laisser couler. Il a appuyé ses lèvres bien collées sur ma chatte et je me suis vidée la vessie dans sa bouche. Il a réussi de justesse à tout engloutir sans rien laisser perdre. Je lui ai demandé s’il avait aimé, il a opiné, alors je lui ai dit qu’il pourrait désormais boire toute mon urine s’il voulait, et il m’a remerciée !
Je lui défendis de se masturber pour qu’il soit concentré en totalité sur mes besoins – il n’était cependant pas avec moi 24h sur 24 7 jours sur 7, alors il aurait bien pu céder à la branlette pendant qu’il était au travail, mais j’ai rapidement trouvé comment remédier à ça !
Le sex-shop de chez nous appartient à Karl, un noir bien monté avec qui j’avais passé quelque après-midi dans son arrière-boutique. J’y suis allée ce jour-là et me suis trouvée y être la seule cliente, alors il m’a attrapée et a embrassé sauvagement ma bouche tout en me glissant la main sous ma jupe très très courte et m’a titillé le clitoris. Putain, quel salaud ! En un rien de temps il avait fermé la porte à clé et on était au lit dans l’arrière-salle, moi chevauchant sa queue fantastique pendant qu’il me pétrissait les seins et m’agaçait le cul. Après m’avoir prodigué 2/3 orgasmes merveilleux il a juté et s’est vidé les burnes profond en moi – mon dieu, c’est vraiment un magnifique baiseur !!
Blottis l’un contre l’autre, je lui ai ensuite dit que je cherchais une cage de chasteté avec cadenas pour pouvoir empêcher mon petit mari de se branler, sauf à ce que je le libère – ce que je n’avais nullement l’intention de faire. Je lui ai aussi dit à quel point j’étais excitée à l’idée de mon petit mari encagé rampant au pied de Karl puis étouffant sur sa queue pendant que lui me pelotait tout son saoul. Cela le fit redurcir, alors il m’attrapa la tête qu’il s’enfonça sur la queue, et je la dévorai passionnément, léchant et suçant la queue et les couilles sans fin jusqu’à ce qu’il m’attrape de nouveau la tête fermement, et il se vida une nouvelle fois les burnes en moi – j’avais l’impression d’avaler un litre de jute, et putain j’adorais ça !
On est revenus dans le magasin, où j’ai choisi la cage de chasteté la plus chère qu’il avait. Elle comportait un petit boitier de contrôle qui recevait des commandes par texto d’un téléphone mobile, ce qui envoyait une impulsion électrique à la queue et aux couilles, variable en fonction du chiffre qu’on envoyait ! Je testai ça et la commande du milieu m’a bien piqué la main, alors j’imaginais bien la douleur que je pouvais infliger aux parties sensibles de mon petit mari ! Le seul problème était qu’il fallait recharger la batterie toutes les semaines, mais je me suis dit que je pourrais sans doute y arriver.
Karl a proposé de me l’offrir mais je lui ai expliqué que je tenais à la payer avec la carte de crédit de mon petit mari – Claquer 800 £ durement gagnés par mon mari à l’homme qui venait de me baiser pendant une heure, surtout pour payer la cage de chasteté qui lui était destinée, m’envoya un frisson dans le corps ! Mon arrêt suivant fut à une bijouterie de luxe où je m’achetai une chaine de cheville en or à 500 £, toujours sur la carte de mon petit mari.
Je rentrai, et quand mon petit mari à son tour revint du travail, j’étais allongée sur le sofa nue à nouveau en train de regarder un porno noir & blanche. Je luis dis de se déshabiller et de me lécher la chatte, ce qu’il fit avec beaucoup d’implication – me nettoyant sans le savoir de toute cette bonne jute. Pendant qu’il y était, je lui expliquai que j’avais un cadeau pour lui pour qu’on soit surs qu’il se branlerait pas sans ma permission. Il protesta mais je lui dis que s’il ne s’y pliait pas je ne le laisserais pas me lécher la chatte ou les pieds, alors il finit par accepter à contrecœur. Je l’envoyai chercher un sachet de petits pois dans le congélateur et lui ordonnai de se l’appliquer contre la queue et les couilles. Sa petite queue dure se transforma aussitôt en toute petite queue molle. J’ajustai la cage, pressai sur le cadenas et lui donnai la chaine en or. Je luis dis de glisser la clé sur la chaine puis de l’ajuster autour de ma cheville. Symbolique et très très sexe !! Puis je luis dis qu’il pouvait me lécher les pieds en guise de récompense, ce qu’il fit avec application. Pendant qu’il était à cette tâche je luis expliquai qu’il ne devrait jamais demander à être libéré et que c’était moi qui déciderait de cela. Si d’aventure il demandait, ou simplement faisait une allusion, à son envie de jouir, j’augmenterais la durée de sa chasteté. Il ne se doutait pas que de toute façon il ne serait jamais libéré – très prochainement il verrait d’autres hommes se vider les couilles dans sa femme, puis il leur nettoierait la queue, sans possibilité ne serait-ce que de se branler, jamais – je suis une vraie garce et j’adore ça !!
Un de mes mecs m’avait parlé des orgasmes par le cul, mais il disait que peu de gens pouvaient les atteindre parce que cela nécessitait des heures de stimulation avec une queue, une langue ou un gode. Ca m’a tout de suite intéressée, alors je me suis mise à me faire lécher le cul pendant des heures d’affilée par mon petit mari encagé, jusqu’aux petites heures du matin, bien qu’il dût être levé tôt pour son travail. Ca n’était pas un problème pour moi, je pouvais rester au lit toute la journée si je voulais pendant qu’il travaillait de longues heures pour gagner l’argent que je dilapidais en fringues sexe, en restaus, en sorties nocturnes, etc. Les orgasmes de cul étaient fantastiques, c’est vrai, et bientôt je lui fis passer toutes ses nuits à me mettre la langue profond dans le cul. Il ne pouvait pas résister car il était totalement obsédé par moi. Il me finissait en général vers les 3h du matin, alors je l’autorisais à descendre passer le reste de la nuit nu à genou dans la cuisine à lécher une paire de mes talons aiguilles stylés garce jusqu’à 7h, puis il devait aller directement au travail sans avoir dormi. Et pour couronner le tout, il me remerciait de ce privilège !
J’avais, en tout cela, un plan structuré – je voulais l’épuiser pour qu’il accepte tout ce que je voulais, et qu’il devienne au bout du compte esclave cocu à plein temps pour moi et mes amants. Ca m’excitait vraiment de penser à lui à genou aux pieds d’un de mes copains noirs bien montés, puis de le supplier de lui sucer la queue, pendant que lui m’embrassait et me pelotait partout partout. Hmmmmmm ! Je mouille rien qu’en écrivant ça – le moment d’appeler un de mes amants…
Après quelques jours sans sommeil il était épuisé, alors je mis les choses en place – un nouveau festival de queue avec Karl au sex-shop et je rentrai avec une cravache et un énorme gode noir queue et couilles réalistes. Ce soir là je m’étais mise à 4 pattes sur le sofa et me suis fait lécher le cul par mon petit mari pendant qu’il me baisait avec le gode. Je luis disais à quel point ça me bottait de me prendre une grosse queue et que je fantasmais sur le fait de me faire baiser par un homme noir bien monté. Je lui dis combien le gode noir était meilleur que sa nouille pathétique, puis j’orgasmai merveilleusement.
Je m’allongeai pour me détendre et lui dis de s’agenouiller devant moi et de tenir le gode à hauteur de son visage. Puis je lui dis d’imaginer qu’il était à genou devant un grand noir qui venait de me baiser et qu’il lui avait ordonné de lui nettoyer la queue et les couilles. Il ne répondait pas alors j’ai claqué des doigts « Tu suces la queue de mon mec tout de suite minable !! » Ca provoqua un choc en lui et il se mit à le lécher doucement. Je lui dis de le sucer profond dans sa bouche et de pomper comme s’il essayait de faire jouir mon amant. Putain ça m’excitait trop ! Il se mit à sucer comme il faut puis je lui donnai instruction de masser les couilles de mon amant pendant qu’il suçait. « Allez ducon, cet homme vient de me baiser sous tes yeux et de me prodiguer un orgasme fabuleux. Montre que tu sais où est ta place et pompe le ».
Au bout d’un moment je lui dis de se pencher, tout en continuant de sucer, et je me dresse au-dessus de lui en tenant la cravache puis commence à lui fouetter doucement son dos offert. Il gémit mais continue sa fellation sur le gode. Je voulais pas lui faire mal tout de suite, juste l’habituer à se faire fouetter par moi. « Tu t’avises pas d’arrêter de sucer la queue de mon amant avant que j’t’en donne l’ordre, ducon. J’te fouette pour que tu sois conscient de ta place, et tu vas l’accepter, tu m’as bien compris ? »
Il marmonna quelque chose, alors je lui envoyai quelques coups de plus. Je laissai des traces de coups mais sans causer de dégâts. Au bout de quelques minutes je me rendis compte que ça me faisait de l’effet de le fouetter ! Alors j’augmentai ma vitesse et ma force de frappe. Il gémissait, mais avec la bouche pleine du gode noir, il ne pouvait pas dire grand-chose. Plus je frappais fort plus j’étais excitée, et, rapidement, surexcitée.
Je me suis mise assise et lui ai dit d’arrêter de sucer et d’amener sa face entre mes jambes. Sa langue, c’était très bon, mais à regarder les lignes rouges qui striaient son dos, j’avais trop envie de lui remettre encore de la cravache. A chaque coup que je frappais je sentais la pression de sa langue sur le clitoris – très agréable aussi ! Alors j’y suis allée de plus en plus fort. Il faisait beaucoup de bruit entre mes cuisses et au bout d’un moment il s’est retiré en disant qu’il ne pouvait pas en supporter plus. Il avait le dos couvert des stries des fouettées, alors je dis : « bon, d’accord, tu en as eu assez pour l’instant, reprends la queue de mon amant en bouche et pompe le bien ».
Il était dans mon champ pour regarder la télé alors je le fis ramper au coin de la pièce pour continuer sa pipe au gode. Il essayait même pas de se rebeller et j’ai su alors que je l’aurais bientôt réduit en esclavage.
Au bout d’une heure je luis dis « je vais bientôt aller me coucher mais je pensais t’autoriser à passer la nuit nu à genou dans la cuisine à sucer le string que j’ai porté toute la journée. Tu aimerais ça ? » Il se sortit la queue de la bouche et opina vigoureusement « Oui, s’il te plait !! » « J’ai dit que j’y pensais, j’ai pas encore dit que tu pouvais. Suis-moi à la cuisine à 4 pattes ».
Il me suivit à 4 pattes comme je traversai la pièce juste en talons-aiguilles et tout petit string. Je m’asseyai sur le rebord de la table de cuisine et lui dis de lécher mes semelles de chaussures. Ce qu’il fit immédiatement, pendant que je lui dis que j’avais porté ces mêmes chaussures en boîte 2 jours plus tôt et que le sol des toilettes que j’avais dû traverser était ruisselant de pisse. Il s’arrêta de lécher, je claquai des doigts en le regardant et aussitôt il se remit à sa tâche. Puis je dis :
- A quel point tu as envie de sucer mon string ?
- Plus que tout !!
- Bon, alors si tu pouvais exaucer un vœu maintenant, ce serait de sucer mon string pour y avoir mon goût ?
- Oh, mon Dieu ! Oui !
- Plus que tout au monde ?
- Oui !! Plus que tout au monde !
- Bien, en retour du fait que j’aie juste envisagé de t’accorder éventuellement l’honneur de sucer mon string, il va falloir que tu acceptes de nombreux changements.
- Tout ! Tout ce que tu voudras
« Bien. En premier lieu, tu vas faire beaucoup plus d’heures de travail – 12 heures par jour minimum, 7 jours par semaine, sans jours de repos, jamais, pour que j’aie plus d’argent à dilapider. Moi, bien sûr, je continue à mener une vie oisive, c’est d’accord ? » « 12 heures par jour, tous les jours sans exception ? » balbutia-t-il en continuant à laper ma chaussure.
- C’est bien ce que j’ai dit, 12 heures par jour minimum TOUS LES JOURS sans exception, ou tu peux oublier l’idée de sucer mon string.
- Mais je serai épuisé en un rien de temps .
« C’est pas mon problème, moi ce que je veux c’est que tu partes me gagner plein de fric à dépenser pour mes plaisirs, alors, ta réponse ? » dis-je en glissant mes doigts dans mon string pour me toucher.
Il leva son regard vers moi, regarda chaque mouvement de mes doigts, et dit : « D’accord, je le ferai ».
« Bien sûr que tu vas le faire, tu es obsédé par moi. Bien, ensuite, ça fait des mois que je ne te laisse plus faire l’amour, alors nous allons rendre ça définitif – tu ne feras plus l’amour, plus jamais ». Il resta muet pendant un moment, alors je le frappai de la chaussure qu’il était en train de lécher. « Tu me réponds ! » « D’accord » répondit-il.
« Mieux que ça » répliquai-je, « Implore moi de ne plus jamais te laisser faire l’amour ». Il ne réagit pas, alors je lui dis qu’il avait perdu toute chance de sucer mon string. « D’accord ! » dit-il aussitôt.
- Je t’en supplie, ne me laisse plus faire l’amour, plus jamais
- C’est mieux, mais je n’ai évidemment pour ma part aucune intention de renoncer à l’amour, donc tu accepteras que je prenne des amants
Pas de réponse, j’élevai alors la voix : « Implore moi de faire l’amour chaque fois que j’en aurai envie!! »
« S’il te plait, pas ça, répondit-il, je t’aime, et je peux pas supporter l’idée que tu fasses l’amour avec d’autres hommes ».
Je me mis à rire, et lui dis qu’il était bien trop tard pour qu’il se tracasse pour ça ! Puis je poursuivis : « Bon, écoute, tu es à terre en train de me lécher les chaussures bien que je t’aie dit qu’elles étaient pleines de pisse de chiotte publique. Ta petite queue est enfermée sous mon contrôle et tu as accepté mes lois de ne plus jamais faire l’amour de ta vie et de travailler comme un âne pendant que je ferai rien. Tu n’es pas un homme, tu es un minable pitoyable et si tu n’acceptes pas de te plier à mes exigences, je te quitte et te prenant jusqu’à ton dernier penny. Tu t’imagines ta vie sans moi pour la remplir, minable ? »
- Je pourrais pas le supporter si tu me quittais
- On est bien d’accord, et de toute façon je ferai l’amour avec qui je veux, que tu le veuilles ou non, alors tu fais ce que je te dis maintenant !
Et il prononça les mots magiques :
- Je t’en supplie, fais l’amour à chaque fois que tu en auras envie
Mon Dieu, j’étais consciente que je l’obsédais, mais je pensais qu’il aurait été un peu plus combattif sur le fait que je le fasse cocu – quelle lopette ! A présent, il m’appartenait, mais pour être sûre qu’il n’y avait pas d’ambiguïté, je lui dis : « Implore moi de te faire cocu avec le ou les hommes que je voudrai ».
Et il répéta mot pour mot !
- Je t’en supplie, fais moi cocu avec le ou les hommes que tu voudras
- Implore moi de faire l’amour dans notre lit pendant que tu accumules les heures de travail
- Je t’en supplie, fais l’amour dans notre lit pendant que j’accumule les heures de travail
- Implore moi de faire l’amour devant toi et de te forcer à regarder
- Je t’en supplie, fais l’amour devant moi et force moi à regarder
- Implore moi de t’humilier en présence de mes amants
- Je t’en supplie, humilie moi en présence de tes amants
Je souris intérieurement et poursuivis : « Je veux aussi pouvoir passer tout mon temps à faire des choses que j’aime, l’amour avec des mâles noirs par exemple, et les tâches ménagères sont un souci, alors à partir de maintenant tu prends en charge tout le travail domestique. Je veux la maison nickel en permanence ; tout mon linge impeccable, la cuisine, les courses, le jardin, mes transports, tout. Et moi je lèverai pas un doigt pour tout ça. S’il y a quelque chose à faire, c’est ton boulot et je veux jamais avoir à te rappeler de t’occuper de quoi que ce soit. Vu ? »
- Mais, je n’aurai pas le temps si je travaille 12 heures par jour
- D’abord, j’ai dit que tu travaillerais 12 heures par jour MINIMUM, ce qui veut dire que la plupart du temps j’en attends beaucoup plus que ça. Et deuxièmement, cela laisse encore de nombreuses heures pour le travail domestique, alors il n’y a pas de problème. Si toutes tes tâches sont faites, tu peux encore profiter de quelques heures de sommeil ; si ce n’est pas le cas, c’est ton problème, pas le mien
« Bien » marmonna-t-il, mais il était démoli à présent, alors je l’ai enfoncé plus profond :
- A partir de maintenant, je fais tout ce que je veux, avec qui je veux, où je veux et quand je veux. Et toi, tu fais ce qu’on te dit. Compris ? Répète !
- Oui, j’ai compris ; tu fais tout ce que tu veux
- Et tu me vouvoies ; tu n’es plus maintenant qu’un esclave et rien d’autre
- Oui
- C’est oui Maîtresse pour toi !
« Oui Maîtresse » répondit-il.
- Le sens de ton existence est d’être utilisé par moi
- Oui Maîtresse
- Je vais t’utiliser et abuser de toi de toutes les façons qui me chantent et tu m’adoreras pour ça
- Oui Maitresse
- Bien, arrête de lécher ma chaussure et regarde moi
Je me levai et fis doucement glisser mon petit string, chose qui le mettait toujours dans tous ses états. Il gémit et ouvrit la bouche cependant que je l’agitai devant lui, debout au-dessus de lui, nue à l’exception de mes escarpins garce. La vision du désir dans ses yeux, c’était extraordinaire, et je savais que tout son être à ce moment-là était tendu vers l’objectif de goûter à mon corps par l’intermédiaire de mon string.
Alors j’ai dit tranquillement : « J’ai décidé que tu le sucerais pas, mais tu vas passer la nuit à le regarder et à te titiller les tétons jusqu’à l’heure de partir travailler. »
Cela dit, je le laissai tomber au sol et m’en allai, laissant mon nouvellement esclavagisé petit mari à genou nu à terre, le regard fixé sur mon mini string et se frottant les tétons. Il les a toujours eus sensibles alors je savais que sa queue allait gonfler sa cage toute la nuit. Je suis vraiment une franche salope et j’adore ça ! Je passai une heure d’amour au téléphone avec un de mes mecs avant de sombrer dans un sommeil régénérant. Le lendemain, je retournai au sex-shop et achetai un plug pour mon petit mari. Là-bas, Karl m’a embrassée, m’a caressée sur la cuisse. J’avais la chatte mouillée illico alors j’ai de suite répondu à ses avances, langues dans les bouches et mains partout, avant qu’il m’attrape et m’emmène derrière. J’en pouvais plus de sentir une nouvelle fois cette épaisse queue noire en moi !
Nous nous sommes jetés au lit et avons poursuivi l’exploration de nos corps en nous embrassant avec passion, puis il m’a retournée, s’est mis derrière moi tout en continuant à m’embrasser dans le cou et à me pincer le bout des seins. Je sentais son gland pressé sur mon cul, alors je tortillai dessus. Il s’est ajusté progressivement et a commencé à lentement me prendre le trou du cul, ce qui me rendait dingue. Il se pencha sur le côté, se mit à me titiller le clitoris, et en un rien de temps je jouis très bruyamment ! Peu de temps après, je sentis la tension de sa part, suivie de la chaude sensation de la jute dont il me remplissait par jets en rugissant que j’étais la meilleure baiseuse au monde.
Putain, qu’est-ce qu’il est bon ! Comment mon petit mari a-t-il pu ne serait-ce que s’imaginer que je pouvais me satisfaire de sa petite pine ?! Il est tout juste bon à gagner de l’argent, à faire le ménage et à m’attendre au taquais, ce qui est exactement ce à quoi je le consacre ! Je décidai que je voulais qu’on parte pour un week-end d’amour débridé (au frais du petit mari bien sûr) ; Karl n’en pouvait plus d’excitation quand je suggérai ça.
Plus tard, quand mon petit mari est rentré, je lui dis qu’il devait réserver 2 nuits dans un hôtel de luxe pour mon amant et moi. Il prit un air horrifié, mais je lui rappelai les engagements qu’il avait pris envers moi la nuit passée et lui dis de se mettre à genou et de m’embrasser les pieds. Il m’obéit, puis j’allai sur Internet et trouvai juste ce que je cherchais – la suite affaires dans un hôtel 5 étoiles au cœur de Londres. 2 nuits, vols compris pour 1800 ₤ !! Je luis dis d’appeler, de payer tout de suite avec sa carte, et de bien leur préciser que la réservation était pour sa femme et son amant. Il fit ce que je lui avais dit avec réticence – Putain, entendre mon mari s’occuper des réservations pour mon week-end de baise, c’était trop bon !
Puis je m’allongeai sur le canapé, montrai du doigt le plug que j’avais pris dans la journée et dis à mon petit mari de se l’enfoncer dans le cul. Il prit un air consterné car il n’avait jamais rien pris par là, et certainement pas un gros plug anal !
« Fais le, minable ! »
Il essaya de se le mettre, mais il avait le cul trop serré, alors j’attrapai mon portable et lui dis « Regarde moi bien ».
J’ai envoyé le texto du choc maximum pour sa cage et il m’a regardé livide pendant quelques secondes, puis soudain il couina de douleur et s’attrapa l’entrejambe, essayant d’arracher sa cage. Il se tortilla bientôt à l’agonie à mes pieds jusqu’à ce que l’écoulement du temps réglé à 30 seconds, puis il se prostra, à la recherche de son souffle.
Je lui dis : « Ca, c’était une petit truc que je peux faire quand je veux et d’où je veux. Je peux être allongée sous le soleil sur une plage avec mon amant, à tes frais bien sûr, et décider d’envoyer un choc à ta petite queue, alors à l’avenir quand je te donne un ordre, tu serais bien avisé de te contenter d’obéir. Maintenant, fous toi bien fort ce plug dans le cul ! »
Il le mit bien droit par terre, puis s’assied fort dessus. Le regard d’agonie sur son visage quand le plug se glissait en lui, c’était très très bon. « Bien, à présent lèche moi la chatte, je suis prête pour un orgasme. Tu te souviens quand toi aussi tu pouvais avoir des orgasmes, minable ? » lui dis-je en riant.
- Seuls les hommes ont des orgasmes, comme l’étalon fantastique avec qui j’ai passé l’après-midi
Il s’arrêta de lécher et leva son regard sur moi ; je claquai des doigts : « Hier soir tu m’as suppliée de faire l’amour avec qui je voulais, alors c’est ce que j’ai fait. »
Je me tournai et levai le derrière en disant : « J’me suis pris une épaisse grosse queue noire dans le cul cet après-midi et il est plein de jute, alors amène ta langue et nettoie-moi » Et il s’exécuta, lapant toute la jute de Karl de mon cul, comme le larbe qu’il est !
Il avait toujours le dos bien marqué de sa fouettée, mais je me souvenais comment j’avais aimé sa langue sur mon clitoris pendant que je le cravachais, alors après qu’il m’ait nettoyé le derrière, je lui ai dit d’arrêter, me suis retournée, allongée, et lui ai dit de me lécher la chatte. Je voyais la jute de Karl étalée sur ses joues et sur son nez ! Puis je me suis remise à le fouetter, toujours plus vite et plus fort. C’était comme un lien direct entre chaque coup et mon clitoris – c’était génial ! Il se retira après une vingtaine de coups et dit qu’il était à l’agonie. Je décidai qu’il fallait mettre les choses au clair tout de suite, alors je lui envoyai un nouveau choc et dis :
- Ecoute, minable, après ce qui s’est passé la nuit dernière, tu n’es qu’un esclave et rien de plus. Tu m’appartiens pour que j’use et abuse de toi comme il me chante et si je veux fouetter la peau de ton dos jusqu’à ce qu’elle soit en lambeaux je le fais, et toi tu t’inclines devant et tu m’en remercies. Tu n’as plus aucun droit désormais – je décide de ce qui doit t’arriver et tu me vénères pour ça. Suis-je claire larbin ?
- Oui Maîtresse
- Bien, maintenant mets toi debout contre le mur et tiens toi prêt pour ta punition
Je me remis à lui infliger la fouettée de sa vie, lui faisant venir des plaies sur le dos et cravachant même entre ses jambes en un mouvement ascendant pour lui donner une bonne impulsion aux couilles. Quand j’ai arrêté, je lui ai dit de m’embrasser les pieds et de me remercier, ce que, bien sûr, il fit immédiatement. Tout cela m’avait tellement chauffé qu’il me fallait sentir de nouveau la queue de Karl. Mais il me fallait d’abord infliger un nouveau sévice à mon petit mari :
Je lui donnai l’ordre de me suivre à la salle de bain et de s’agenouiller dans la baignoire, tête baissée au fond. Puis je me positionnai debout, nue et un de mes talons hauts sur chaque bord, et laissai couler un torrent de pisse chaude sur les plaies ouvertes de son dos rouge vif ! Il gémit, mais moi je riais de lui. Puis je descendis dans la baignoire sur son dos. Il avait tout le poids de mon corps sur son dos meurtri et mes talons s’enfonçaient durement. Il pleurnichait et gémissait de douleur mais était incapable d’y rien faire, alors je lui marchai dessus, lui faisant délibérément bien sentir mes talons acérés. Ensuite j’attrapai mon téléphone et lui envoyai un nouveau choc tout en continuant à le piétiner. Il glapissait et couinait sous mes pieds. J’ai absolument adoré cette sensation de pouvoir !
Je suis descendue de lui après quelques minutes et ai ordonné : « sors du bain, minable ! ».
Il grimpa et s’étala au sol haletant et gémissant de douleur. Je m’assis aux toilettes, lui donnai l’ordre de se mettre à genoux devant moi et dis : « sers-toi de ta langue et nettoie moi les semelles des chaussures, minable, elles sont pleines de pisse de t’avoir marché sur le dos ». Et il s’y mit en léchant avec appétit !
- bon, maintenant habille-toi, tu vas me conduire chez mon mec pour une bonne baise
« Oui Maîtresse », répondit-il avec humilité.
J’enfilai un tout petit string et une robe ridiculement minuscule qui dévoilait un maximum de peau ferme et bronzée. Puis une paire de talons à lanières de 12 cm , et j’étais prête. Je sautai dans la voiture à l’arrière et indiquai le chemin à mon petit mari ; pendant tout le trajet je parlai du corps de Karl, disant à quel point j’étais impatiente de sentit sa queue fantastique en moi. J’en vins à lui dire combien mes orgasmes étaient intenses avec Karl, et comment il était pathétique à côté. Une fois arrivé, je lui dis de rester assis et d’attendre les ordres. Et il était là, plug au cul et cage de chasteté fermement en place, à attendre dans la voiture que sa femme ait fini de baiser avec son homme !
On s’est fait une baise fantastique de 2 heures, rendue d’autant plus intense de savoir que mon mari m’attendait sagement dehors dans sa voiture ! Puis nous avons sombré dans les bras l’un de l’autre. Je me suis réveillée à 6h1/2 du matin, et ai réalisé que le minable devait aller au travail, alors j’ai enfilé mes chaussures et ma robe et suis sortie. Il était bien à sa place, j’ai ouvert la porte et dit : « Je passe la journée ici avec Karl ».
Je lui frottai mes mains sur tout le visage et dis : « Mes mains, elles ont caressé chaque centimètre du corps de mon amant toute la nuit, lèche moi les ! »
Il s’exécuta, me lapant les paumes. Puis je lui enfonçai un doigt dans la bouche en disant : « Suce la jute de mon amant sur mes doigts ». Il avait un air dégoûté mais n’osait pas désobéir, alors il me les suça comme un bon esclave !
Je lui dis : « Imagine, tu aurais pu être à la maison et profiter d’un peu de sommeil au lieu d’attendre là pendant que ta garce de femme baisait avec son mec – dommage ! »
Puis je levai ma robe, exposant le corps fantastique, ferme et bronzé, qui était dessous. Je me mis à rire et lui dis que Karl allait profiter de mon corps toute la journée pendant qu’il serait au travail à me gagner plein d’argent à claquer. Et pour bien lui mettre le nez dedans, j’ajoutai :
- Je crois qu’on va aller faire des emplettes avec Karl aujourd’hui, entre deux super parties de jambes en l’air, pour m’acheter des tonnes de fringues, très sexe et très chères. Comme ça, Karl appréciera d’autant plus de passer du temps avec moi. Hein, pense à ça, pendant que tu travailles dur, on va creuser d’énormes trous dans ta carte de crédit pour le plus grand bien de notre vie amoureuse. Maintenant, dis merci Maîtresse, je vous adore.
Il avait l’air totalement désemparé, mais dit : « Merci maîtresse, je vous adore. »
Ceci fait, je rabattis ma robe, et retournai en riant à l’intérieur et à la queue de mon mec !
Le mardi soir, je lui donnai ses ordres pour la fin de semaine : « Je vais à l’hôtel demain matin, alors tu me verras plus passé ce soir et jusqu’à dimanche soir. Pendant que je suis absente pour une équipée sauvage avec mon homme tu resteras enfermé dans ta cage de chasteté avec ton plug au cul et tu vas me faire le grand nettoyage de printemps dans la maison. A partir de ton retour du travail vendredi tu t’y mettras jusqu’à l’heure de partir au travail samedi et t’as plutôt intérêt à faire un boulot remarquable ! Je veux que ce soit parfait quand je rentre. »
Je poursuivis : « Karl laisse sa BMW dans l’allée pendant qu’on est partis. Samedi soir après le travail, tu vas la briquer complètement, intérieur et extérieur. Je veux qu’elle soit impeccable quand on rentrera dimanche, alors tu vas y passer la nuit jusqu’à l’heure de partir au travail dimanche. Imagine, pendant que tu nettoies sa voiture, il sera en train de défoncer ta femme avec sa queue de rêve. Ah, au fait, j’ai laissé une bouteille de ma pisse au frigo, et la seule chose que tu boiras pendant notre absence c’est de la pisse diluée. Et ta seule nourriture sera du pain sec trempé dans ma pisse. Des questions, larbin ? »
Il se contenta de lever son regard sur moi, une expression de désespoir au visage et dit « s’il vous plait, ne partez pas ! »
Je lui appliquai violemment mon genou dans les couilles et dis « embrasse moi les pieds et excuse toi pour avoir contesté mon autorité sur toi, larbin ! »
Il se mit aussitôt à embrasser ma chaussure et à me lécher les doigts de pieds tout en marmonnant des excuses. Je lui envoyai un coup de pied et dis :
- Remercie-moi de me prendre un week-end de cul avec mon amant
- Merci de vous prendre un week-end de cul avec votre amant Maîtresse
- Bien, c’est l’heure de mon orgasme anal, minable, tu me suis en haut.
Et voilà ce qu’il en a été de sa nuit. 4 heures à me lécher le cul sa cage et son plug fermement en place, puis 3 heures à lécher une paire de talons hauts bien salope, jusqu’à ce qu’il soit l’heure du travail à nouveau. Et ensuite, quand il est rentré dans une maison vide le vendredi soir, il savait que je me payais la vie de rêve avec un autre homme pendant qu’il croulait sous le travail. Je suis vraiment salope et cruelle, mais ça me perturbe pas plus que ça. Tout ce qui compte pour moi, c’est moi !
On a passé notre temps à Londres à faire l’amour et à sortir en bars et en clubs. Une fois quand on est sortis, Karl m’a fait porter mon string avec des bas auto-fixants et des talons hauts, et juste un manteau court en haut. On s’est promenés dans Londres, et il me mettait la main au cul à chaque fois qu’il pouvait. Il m’a même assise sur ses genoux dans un train bondé et m’a baisée, avec des dizaines de personnes autour de nous ! Sacrés moments de folie ! On a dépensé une fortune en dépenses sur la carte de crédit de mon petit mari, à s’acheter tout ce qui nous attirait. J’ai vu un collier et une laisse très chers, et je me suis soudain imaginée mes amants tenant la laisse et promenant le minable comme un chien – il me les fallait ! On a également chacun notre tour envoyé des textes-chocs à la queue de mon petit mari tout le week-end.
On est rentrés le dimanche soir, après un putain de week-end de sa race. On est rentrés, moi toujours habillée dans ma tenue la plus garce à moitié à poil, il était là en train de repasser dans la cuisine. Je lui ai pas parlé, je me suis juste retournée pour embrasser Karl avec passion, en massant le galbe de son pantalon. Karl m’a déshabillée progressivement pendant qu’on était à s’embrasser et à se caresser. Quand je me suis trouvée juste en les talons hauts et string, je me suis tournée vers le minable et lui ai dit :
- A genoux et baisse moi mon string.
Il tomba à genoux et le fit doucement glisser sur mes jambes ; je quittai le string, et la main de Karl vint me chercher la chatte. MMMMMH, sympa !
Puis je lui dis « Embrasse les chaussures de Karl et dis lui « merci d’avoir baisé ma splendide épouse tout le week-end, Maître » ».
Sans ambages il a embrassé les chaussures de Karl et a répété mot pour mot – la vie est belle parfois, quand même !!
- Maintenant, lèche les chaussures de ton maître, puis dis lui à quel point il t’est supérieur, et propose lui de t’occuper de son linge pendant qu’on monte au lit, et quand tu auras fini, monte et agenouille toi sagement dans le couloir devant la porte de la chambre. »
Pendant que Karl continuait à peloter tout mon corps et qu’on s’embrassait avec passion, le minable se mit à lécher ses chaussures. Puis il dit :
« Vous m’êtes supérieur en tout, Maître, s’il vous plait, est-ce que je peux m’occuper de votre linge pendant que vous baisez ma femme ? » Karl sortit son téléphone, mon petit mari parut terrifié ! Quelques touches pressées et le larbin connut l’agonie de nouveau. Karl dit : « je baiserai ta femme tant que je veux et tu vas me vénérer pour ça, compris ? »
- Oui, Maître, je vous vénère !!
En un rien de temps, je chevauchais à nouveau la grosse queue épaisse de Karl pendant que mon petit mari procédait au lavage à la main de son slip en bas. Vers les 2h du matin j’eus envie de pipi, j’appelai mon petit mari dans le couloir et lui ordonnai d’appliquer sa bouche autour de ma chatte. Après que je me fus vidée la vessie et qu’il eut bien tout avalé, je luis dis de me nettoyer à la langue de la jute de son maître ; il n’eut pas besoin de se le faire dire deux fois ! La peur d’un nouvel électrochoc a dû un peu monopoliser son esprit ! Il lapa bien pendant 15 minutes, puis je demandai à Karl s’il avait envie de faire pipi. Mon petit mari s’étrangla en m’entendant dire ça, et Karl répondit que oui, ça venait.
« Prends la queue de ton maître dans la bouche et avale sa pisse ! » lui dis-je avec autorité.
Karl se mit sur le bord du lit, et mon petit mari prit sa queue en semi-érection dans sa bouche. Karl eut un rictus de contentement en se vidant la vessie dans le fond de sa gorge. Karl avait l’air de bien apprécier l’humiliation de la situation, et il me dit en se tournant vers moi : « j’ai trop envie de me faire lécher le cul et sucer la queue. Larbin, tu vas me lécher le cul pendant que ta femme me taille une pipe ». Putain, j’en pouvais plus d’excitation !
Mon petit mari obéit et son visage disparut dans le cul de Karl pendant que je lui dévorais la queue comme une dingue. Au bout de 10 minutes, il m’expulsa une pleine bouche de sperme. Sa 12ème jutée en 2 jours je crois ! Cet homme-là, il pouvait juter sans arrêt ! J’eus une autre super idée : j’envoyai mon petit mari chercher les chaussures de Karl en bas, les lui pris, et en couvrais les semelles de jute. Puis je dis à mon petit mari d’aller se faire foutre et de descendre passer la nuit à les nettoyer à la langue.
Il dégagea sans broncher, et quand je suis descendue me fumer une cigarette une heure plus tard, il était là à laper les semelles de l’homme qui lui avait pris sa femme ! J’entrai dans la cuisine, juste en talons hauts, m’accroupis par terre au milieu de la pièce et lâchai encore un torrent de pipi, et lui dis de lécher ça pendant que je restai assise à fumer. Il s’y mit, léchant le sol devant moi.
Karl arriva, s’approcha de moi par derrière, m’embrassa dans le cou et m’agaça le bout des seins pendant que mon petit mari léchait le sol. Son toucher expert commençait à me rendre folle, mais il s’arrêta, s’avança tranquillement vers le minable et lui pissa dessus ! Oh, mon dieu, quel putain de bonheur ! On s’embrassa passionnément Karl et moi, s’agrippant l’un l’autre pendant que le minable léchait le sol. Je dis à Karl à quel point ça m’exciterait de le voir mettre une fouettée à mon petit mari. Le voir subir une raclée de mon supermec, ça me rendrait dingue !
Mais d’abord, j’envoyai le larbe chercher le collier et la laisse de chien et lui dis de les mettre. Puis : « Offre la poignée de ta laisse à ton maître et supplie le de te traiter pire qu’un chien ».
Il s’agenouilla devant Karl : « S’il vous plait, voulez-vous bien prendre ma laisse Maître, et me traiter pire qu’un chien ».
Karl lui arracha la poignée et lui ordonna de lui lécher les pieds, ce que bien sûr il fit immédiatement, puis l’envoya marcher à travers la maison, s’arrêtant chaque fois que nécessaire pour lui mettre un bon coup de pied dans les couilles. Cet homme était tellement supérieur à mon mari en absolument tout, et en était tellement conscient !
Quand ils sont revenus à la cuisine, Karl dit : « Lèche moi encore les pieds, cocu. »
Mon petit mari s’agenouilla et lui lécha les pieds pendant que Karl lui envoyait décharge sur décharge. J’adorais le regarder martyriser et rabaisser mon petit con de mari ! Au bout d’un moment, Karl lui dit de se mettre debout face au mur les pieds grand écartés. Puis il se saisit de la cravache et agressa mon petit mari. Il hurla de douleur quand la pisse de Karl lui imprégna ses plaies ouvertes. En regardant ça, j’avais les tétons douloureux tellement ils étaient tendus dur, et la chatte qui ruisselait ! Voir mon niqueur mettre une raclée à mon pathétique esclave de mari cocu, c’était le panard absolu !
Au bout de quelques minutes je lui dis : « Fais lui te sucer la queue Karl, montre-lui qu’il est qu’un moins que rien ! »
Alors Karl cessa de le lacérer, et mon petit mari s’écroula en gémissant. Karl lui envoya un coup de pied dans les couilles et lui dit : « Ma bite – tout de suite esclave ! »
Mon petit mari se redressa, prit la queue dans sa bouche, et suça. Je parcourais tout le corps dur et noir de Karl pendant que mon petit mari le pompait. Qu’est-ce que c’était excitant !! Quelques minutes plus tard, je lui dis que j’avais besoin de baise. Il sortit de mon petit mari, et lui claqua sa queue au visage plusieurs fois. Puis il me retourna, mes bras reposant sur les bords de la table, se plaça derrière moi, m’embrassa dans le cou et me malaxa les seins, me faisant grogner de plaisir. Il toisa le larbe et dit : « Tu vas me lécher mes chaussures pendant que je baise ta femme. »
Puis il glissa sa queue de rêve en moi par derrière et me prodigua la plus fantastique des baises, d’autant plus épanouissante avec mon petit mari en train de lécher ses chaussures à genoux dans un coin de la pièce pendant qu’il voyait un vrai mâle prendre sa femme. Quand on eût tous deux joui, j’ai tenu à ce que le larbin nous lèche et nous suce jusqu’à ce qu’on soit propres, puis, comme on allait pour remonter, je luis dis : « Tu te laves pas de la pisse de ton maître avant d’aller travailler, larbin. Tu vas sentir toute la journée pour te rappeler ta situation. Finis la nuit à lécher les chaussures de ton maître et à penser à sa supériorité sur toi. »
2ème partie
A ma séance suivante de gym, j’ai dit à cinq des mecs avec qui je baisais qu’ils pouvaient tous m’avoir chez moi sans avoir à s’inquiéter de partir avant que mon petit mari rentre. En fait, je VOULAIS qu’ils restent pour le mettre à sa place maintenant que je l’avais réduit à l’état d’esclave cocu. Ils ont adoré et se sont mis à imaginer divers moyens de l’humilier.
Je suis rentrée à la maison, me suis déshabillée, restant juste en string et en talons hauts à sangles, et ai regardé un porno en attendant l’arrivée des hommes. J’étais toute chaude toute humide, alors j’ai bondi en l’air au premier toc toc à la porte. J’ai ouvert pour découvrir non pas 5, mais 8 de mes étalons noirs !! Ils n’ont pas perdu de temps à m’agripper, à m’embrasser – je jouis presque immédiatement ! Puis je fus portée au salon et on me fit mettre à quatre pattes. Ils passèrent les 2 heures suivantes à pilonner les 3 trous de leurs splendides et larges queues et à me remplir de leur jute épaisse de Noirs. J’étais au paradis et eus orgasme sur orgasme ! Fantastique, putain de bordel de merde !!! J’étais remplie de sperme dedans, couverte de sperme dessus, et j’a-do-rais ça.
Vers 19 heures, alors que j’étais assise sur les genoux d’un mec qui s’appelait LeRoy, plantée sur sa belle grosse queue, pendant qu’il me massait les seins et que les autres étaient debout autour à m’attraper toutes les parties de mon corps et que je suçais des queues, mon petit mari arriva, de retour du travail. Il fit mine de faire demi-tour, mais je me mis à gueuler : « Eh, où tu crois aller comme ça, connard !? »
Il afficha un air totalement médusé devant ces 8 hommes noirs nus se tapant sa femme, et balbutia : « euh, je ne sais pas ».
- Tu vas nulle part connard, à poil, mets ta laisse et viens là te mettre à genoux à mes pieds.
Une fois ses vêtements enlevés, j’eus un petit rire à la vue de son plug toujours fermement planté dans son cul. Ca faisait maintenant 4 jours de rang qu’il l’avait là (excepté pour les fonctions vitales !), et il avait des instructions de ne pas l’enlever sans autorisation. Son dos était strié de coups, et sa queue toujours encagée.
Il s’agenouilla à mes pieds et j’enchainais : « allez, lèche moi les chaussures pendant que je me fais tringler par ces Noirs splendides. »
Il se mit à lécher et je continuais à chevaucher LeRoy jusqu’à ce qu’on jouisse tous deux très bruyamment, puis je grimpai par-dessus lui et me glissai sur le divan où je m’allongeai les jambes ouvertes : « Allez, ta langue, nettoie moi la chatte, elle est plein de jus de mâle, de vrais mâles. »
Il la parcourut d’une langue timide, alors je lui chopai la tête et me l’enfonçai bien fort dans la chatte : « Allez, lèche moi, incapable ! »
Il se mit à lécher, au grand amusement de mes amants, qui s’étaient tous assis pour profiter du spectacle. Au bout de10 minutes environ, je l’envoyai bouler, me retournai à quatre pattes et lui dis que mon cul aussi était rempli de jute, et donc qu’il allait falloir qu’il me nettoie ça (N.B.: je ne l’ai jamais laissé m’enculer). Il se planta la face là-dedans et se mit à laper de tout son être. Je demandai à un des mecs de me baiser pendant que mon petit mari me léchait le cul, alors ils me soulevèrent et me redescendirent sur une grosse queue de 22 cm , pendant que mon petit mari continuait à me nettoyer le cul. Ce fut une sensation incroyable de me faire faire l’amour fabuleusement pendant que mon mari me léchait la jute qui me sortait du cul – l’orgasme qui ne tarda pas à me traverser parut durer l’éternité ! Peu de temps après, le mec m’envoya une nouvelle giclée à l’intérieur, et là j’étais prête à enfoncer mon petit mari plus profond dans son humiliation.
- Maintenant, rampe jusqu’à LeRoy et dis lui merci de baiser ta merveilleuse et si excitante femme.
Il sortit de mon cul, le visage couvert de jute épaisse en train de sécher et de jus de chatte, et fit ce que je lui avais dit : « Merci de baiser ma merveilleuse et si excitante femme. »
- Tu as oublié de l’appeler Maître. Tout homme qui baise avec moi est ton maître. Recommence comme il faut.
- Merci de baiser ma merveilleuse et si excitante femme, Maître.
Je voulais bien apprécier la suite, alors je me suis dirigée vers un autre de mes amoureux, me suis assise sur ses genoux, et ai commencé à l’embrasser. Il me retourna et me glissa sa grosse queue dedans, me provoquant un grognement sourd d’extase. On s’engagea dans une baise lente, lui me massant les seins : « Bien, maintenant, demande à ton maître la permission de lui embrasser les pieds ! »
Il avait l’air sous hypnose en me voyant coulisser sur une grosse et épaisse queue noire, alors je dus répéter l’ordre. Cette fois, il retourna à LeRoy et lui dit : « S’il vous plait, puis-je embrasser vos pieds, Maître ? »
LeRoy opina, et mon petit mari se mit à lui embrasser les pieds.
Je le laissai continuer quelques minutes pendant que je jouissais de la baise qui m’était prodiguée, puis je dis : « Maintenant, tends la poignée de ta laisse à ton maître, et demande lui si tu peux lui nettoyer sa magnifique queue. »
Cette fois, il me jeta un regard terrifié, mais j’étais sur le point de jouir à nouveau, et j’ai juste dit « fais le ! »
- S’il vous plait, Maître, est-ce que je peux vous nettoyer votre magnifique queue ? »
LeRoy saisit la laisse, tira fort dessus, et répondit « Tu m’étonnes que tu peux. Viens là goûter à ta femme sur ma queue. »
Mon petit mari ouvrit la bouche et y prit tout ce qu’il pouvait, mais LeRoy lui poussa l’arrière de la tête, et j’ai entendu un gargouillement d’étouffement sortir de mon petit mari alors que le plus beau morceau des 22 cm s’enfournait au fond de sa gorge ! Tout ça, c’ était trop, et j’ai joui très très bruyamment, étranglée par l’orgasme qui me traversait le corps. Quand je repris mes esprits, j’ai pu voir la tête de mon petit mari gigoter de haut en bas entre les muscles tendus des cuisses de LeRoy, avec le plug qui lui sortait du cul. Si seulement il avait su ce que je lui réservais encore.
Au bout d’un quart d’heure, LeRoy émit un grognement et se vida les burnes dans la bouche de mon petit mari. Visiblement, la quantité abondante avait pris mon petit mari par surprise et il en coula un peu sur le parquet.
- Avale, et remercie ton maître de t’avoir pris comme cuvette à sperme
Il engloutit, avec un air maladif, et dit : « Merci de m’avoir pris comme cuvette à sperme, Maître. »
- Maintenant baisse toi et lèche ce qui reste par terre, nullard.
Ce qu’il fit comme il se doit, cependant que LeRoy le toisait d’un un rictus supérieur et posait ses pieds sur son dos, se servant de lui comme repose-pieds. Je m’approchai de LeRoy, lui soulevais le pied et me le frottai fort contre ma chatte enspermée, puis je passai à un autre mec (Hank), et m’assis sur ses genoux en l’embrassant et en lui agaçant la queue. Au bout de quelques minutes, je dis : « Bon, le sol est propre maintenant, mais le pied de LeRoy est plein de mes jus et de jute de vrai mec – Tu vas lécher ça ! »
LeRoy rigola de nouveau et enfonça ses doigts de pieds dans la bouche de mon petit mari qui aussitôt se mit à sucer et à lécher comme si sa vie en dépendait.
Quand LeRoy en eut fini avec lui, je dis : « rampe jusqu’ici et embrasse moi les pieds ! »
Il obéit immédiatement, et je poursuivis : « Maintenant, tu vas pomper tous les mecs dans cette pièce et tous les remercier de baiser ta femme. Tu vas avaler toute leur jute et lécher tout ce que tu laisserais échapper. Compris ? »
- Oui.
Je lui envoyai un bon coup de pied en disant « Et tu me dis Maîtresse quand tu t’adresses à moi, pauvre merde ! »
« Oui Maîtresse ! » dit-il rapidement.
« Bien ; viens ici avant. Là, tu vois cette belle queue bien dure impatiente de me baiser ? Tu vas la prendre et me la mettre – TOUT DE SUITE ! »
Il se saisit alors de la queue d’Hank sur laquelle je m’enfonçai progressivement.
- Maintenant, lèche-lui les couilles pendant qu’il baise ta femme.
Ce qu’il fit : totalement anéanti, il s’agenouilla entre les cuisses d’Hank et lui langua bien les burnes, ce qui l’amena à jouir deux fois plus vite. Ces mecs étaient prodigieux – Hank m’avait joui dedans déjà quatre fois, et pourtant ça lui a pris que 5 minutes pour m’envoyer une autre giclée dedans.
Après cela, je vins m’étendre avec 3 d’entre eux sur le divan, et ils me caressaient et jouaient avec moi pendant que mon petit mari faisait le tour de la pièce enchainant pipe sur pipe. En rampant vers chacun d’eux, il devait leur embrasser les pieds et les supplier de le laisser leur sucer la bite. J’ai adoré ce que j’avais fait de lui, mais j’étais très loin encore d’en avoir fini avec lui.
3ème partie
Dès lors que mon cocu eut accepté son rôle de domestique multifonctions et de suceur en chef, ma vie devenait encore plus cool. Il m’obéissait au doigt et à l’œil, faisait tout son possible pour me satisfaire et acceptait toutes les humiliations que je lui infligeais. Mes mecs prenaient leur pied à le rabaisser et à lui infliger des sévices devant moi, ce qui en retour avait un effet étonnant sur la qualité de mes orgasmes – quand mon petit mari est maintenu à genoux de force par un grand noir et obligé de lui dire combien il le trouve supérieur en tout en se trainant à ses pieds, ça me rend dingue !
Je lui ai fait jeter la plupart de ses vêtements, en gardant seulement ceux dont il avait besoin pour le travail, puis il a dû dégager un espace dans le garage juste assez grand pour y mettre une paillasse et son sac de vêtements. A partir de ce moment, il devait aller directement au garage en rentrant du travail, se mettre nu et se mettre à ses corvées (tout cela dans ce qui était en fait sa maison à lui !). Une fois que tout était fait, il devait venir me trouver et me demander si j’avais besoin de lui, et alors seulement il pouvait retourner au garage passer quelques heures inconfortables sur sa paillasse avant son travail du lendemain. Si j’étais à la maison, il y avait toujours au moins un noir, et généralement plus, au lit avec moi ; il devait les appeler Maitre et leur demander s’ils avaient besoin de quelque chose. Certains soirs, je lui trouvais des tâches à faire pour la nuit, comme nettoyer les sous-vêtements de mon amant en les suçant toute la nuit à genoux dans la cuisine, ou sortir avec un éclairage et briquer les roues de la voiture de mon mec. Le maltraiter et l’humilier ainsi amélioraient tellement mes orgasmes qu’il avait rarement plus qu’une ou deux heures de repos, mais ça, c’était son problème, pas le mien.
Peu de temps après, je me faisais régulièrement des furieuses baises de groupe, où mon petit mari devait sucer des queues, lécher des culs, lécher la jute par terre, se faire frapper et trainer d’un coin à l’autre par mes amants, tout en nous servant d’urinoir. Plus je le maltraitais et laissais mes amants lui infliger des sévices, mieux je jouissais, et plus j’avais envie de le pousser encore et toujours plus loin.
Je passais de plus en plus mes nuits chez Karl, des nuits d’amour prodigieuses, pendant que je laissais mon petit mari à la maison à ses corvées, cage et plug bien en place. Un soir, je décidai qu’on devrait le faire venir pour faire le ménage chez Karl pendant qu’on baiserait devant lui. Je lui ai fait faire les 8 kilomètres à pied avec juste un manteau sur lui. Pas de chaussures, de chaussettes ou de vêtements. Et quand il est arrivé, je l’ai fait mettre nu à genoux et l’ai mis de suite au nettoyage du sol des toilettes. Il a demandé où étaient les produits d’entretien, ce qui m’a fait lui envoyer un violent coup de pied dans les couilles en disant « Tu fais ça avec ta langue, minable ! » Il s’abaissa et se mit à lécher le sol autour des toilettes, je m’appuyai contre le mur, levai une jambe et reposai mon escarpin sur son dos. Puis Karl arriva, posa ses mains sur mes hanches et m’embrassa. Ses doigts et sa langue allumaient toutes les parties de mon être avec expertise et on ne tarda pas à baiser avec passion, mon talon haut planté fort dans le dos de mon petit mari qui lapait le sol des toilettes de Karl – j’a-do-re !!
On a gueulé de jouissance ensemble, puis j’ai baissé les yeux sur mon petit mari et ai vu une plaie là où je lui avais planté mon talon. Il avait aussi le dos couvert de marques des fouettées régulières qu’il se prenait par moi et mes amants. Dans sa position prostrée, il avait les couilles pendantes de son dos, paraissant très vulnérables, alors je leur ai envoyé un grand coup de pied, il a couiné comme un chien, mais il a pas arrêté de lécher le sol des toilettes. Dommage vraiment, j’avais espéré qu’il se plaigne pour me donner une raison de le punir encore.
Puis, je lui ai dit que Karl et moi avions fait l’amour à l’arrière de la voiture l’après-midi et qu’il fallait qu’il nettoie ça :
- Tu vas sortir tout nu et passer l’heure qui vient à nettoyer le siège arrière de toutes nos sécrétions avec ta langue. Puis pendant l’heure suivante, tu lécheras les pédales sur lesquelles se sont posé les pieds de ton maître – 20 minutes chaque pédale. Quand tu auras fini avec ça, rentre et mets toi à ton ménage.
- Oui Maitresse.
Quand il est rentré 2 heures plus tard on est retournés au lit et on a continué à faire l’amour bestialement pendant que mon petit mari s’attelait au ménage dans toute la maison. Je remarquai les sous-vêtements de Karl par terre dans la chambre et gueulai à l’esclave de venir.
- Larbin, prends le slip de ton maître dans ta bouche et suce-le en continuant ton travail.
Au grand amusement de Karl, il s’exécuta et se le mit dans la bouche. « Bon allez, dégage, va faire ton travail, et t’as plutôt intérêt à ce que ce soit nickel, ou je te fais punir par ton maître. »
Il passa des heures à faire le ménage pendant qu’on alternait entre l’amour au lit et le repos devant la télé, se servant de lui comme toilette à chaque fois que l’envie venait, puis le faisait se remettre le slip sale en bouche.
A un moment, pendant qu’on enfilait des perles sur le divan, une autre idée tordue me traversa l’esprit. J’appelai le larbe au salon et lui ordonnai de s’allonger sur le dos. Je lui mis quelques coussins sur le ventre, m’assieds sur son visage et m’allongeai, la tête sur les coussins. Je lui dis de m’écarter les fesses, d’enfoncer sa langue à l’intérieur de mon cul et de lécher de toute son âme. J’appelai Karl qui me monta dessus, me glissant sa grosse queue épaisse dedans, ses couilles butant sur le nez de mon petit mari ; On a niqué pendant une dizaine de minutes, au cours desquelles je connus 3 orgasmes fabuleux ! Au bout d’un moment, Karl grogna et m’envoya encore une énorme giclée dedans avant de reposer son corps sur moi. Mon petit mari cherchait désespérément un peu d’air à ce moment là, alors au bout d’un moment on s’est relevés et étendu dans les bras l’un de l’autre sur le divan, puis on s’est faits nettoyer par le larbin et on l’a fait nous remercier de nous être servis de lui comme matelas.
Je lui donnai l’ordre de s’allonger sur le dos à nouveau, puis je m’agenouillai sur son torse et lui dis d’ouvrir la bouche. Je laissai pendant quelques secondes la salive me monter à la bouche, puis l’expulsai dans la sienne et lui fis avaler. Karl a adoré le spectacle et dit qu’il voulait participer. D’abord, il s’assit sur le visage du larbe et s’en fit mettre la langue au cul. Je pouvais pas rester là à regarder, j’ai pompé cette queue de rêve, faisant se tortiller Karl de plaisir pendant que le larbin lapait profond l’intérieur de son cul. Juste avant de juter, Karl me retira, se retourna, et éclaboussa de sperme tout le visage du minable. Puis il lui dit d’ouvrir grand et à son tour expulsa sa salive au fond de sa gorge.
- Te nettoie pas de ma jute, laisse la sécher comme ça et tomber toute seule, même si ça prend des jours. T’as compris, connard ?
- Oui, Maître.
Je le dégageai et l’envoyai poursuivre son travail pendant qu’on se câlinait sur le divan. Il était bientôt l’heure pour lui de partir au travail, alors je l’appelai et lui dis : « Tu vas devoir t’arrêter et partir au travail bientôt, mais avant, il faut que je te dise une chose – je vais te quitter pour de bon et m’installer chez Karl bientôt. Mais je continuerai à te prendre ton argent pour financer notre mode de vie. Karl va vendre la boutique et on va mener une vie de loisir et de plaisir à tes frais. Et c’est même toi qui va porter mes bagages à pied le jour où je vais te quitter ».
Je l’ai fait mettre à genoux, embrasser les pieds de Karl, et le remercier de lui enlever sa femme. Je lui dis : « T’imagines, tu vas travailler toutes ces heures pour qu’on puisse avoir une belle vie d’amour, de vacances, de sorties, et encore d’amour. Je vais vendre ta maison, alors tu seras aussi sans domicile, mais comme tu vas travailler 24 heures par jour, c’est pas bien grave. On va peut-être te laisser un espace par terre dans le garage chez Karl si tu fais tes preuves de bon esclave. Ta cage de chasteté reste en place pour toujours. Tu ne jouiras plus de toute ta vie, mais ton maître, lui, jouira tant qu’il voudra. Dis moi que c’est ce que tu veux parce c’est ce que je veux. » Il s’agenouilla aussitôt à mes pieds et me répéta tout ça.
Ensuite, je m’assis nue sur les genoux de Karl, on s’embrassait avec passion, avec ses mains expertes qui envoyaient des aiguilles de bonheur partout en moi. J’ai dit à mon petit mari : « Lèche les pieds de ton maître et dis lui que tu l’adores pour t’avoir pris ta femme et se servir de toi comme le pathétique esclave larbinisé que tu es ! »
On a continué nos tendres jeux pendant que le larbin léchait les pieds de Karl et marmonnait : « Je vous adore, Maître, vous m’êtes supérieur en tout. Merci de m’avoir pris ma femme et de vous servir de moi comme votre esclave cocu et larbinisé. Ce sera un honneur de travailler comme un chien et de ne jamais plus jouir pour que vous puissiez avoir une vie de plaisirs et baiser ma femme à chaque fois que vous le voudrez, Maître. »
Peu de temps plus tard, on baisait encore pendant que mon petit mari était à genoux au coin à lécher les chaussures de Karl. Ca faisait un bon moment que je n’avais pas monté de nouvelles humiliations, alors je me dis que, puisqu’il était habitué à être à genoux à sucer des queues, il pourrait prodiguer le même service pour des homos aussi. L’idée de mon hétéro pur jus de mari à genoux à pomper une rangée d’homos me faisait tellement mouiller qu’il fallait que j’organise ça illico presto. Par chance, notre communauté homo locale regorgeait d’hommes qui aimaient une bonne pipe par un hétéro, alors j’organisai une « nuit portes ouvertes » homo un soir où je sortais avec Karl.
Un ami à moi homo dominateur, Gareth, put venir prendre la direction de la nuit, et je dis à mon petit mari qu’en plus de faire ses corvées (nu, comme toujours) pendant que je faisais la salope dehors avec Karl, il devait laisser la porte d’entrée ouverte et obéir à Gareth et à tout autre homme qui entrerait. Puis je lui fis m’embrasser les pieds et me remercier de sortir faire l’amour avec un vrai mec et de le traiter comme une merde. On le laissa là-dessus, et j’eus le gros braquemard noir de Karl dans la bouche dès l’instant où la porte du taxi se referma sur nous. On est sortis danser et boire avec quelques unes de mes copines et leurs copains noirs, puis on est tous rentrés chez Karl pour une orgie de toute la nuit. Ah, qu’elle est belle la vie de garce cocufieuse !! Larbe était au boulot quand je suis rentrée l’après-midi suivant, alors j’ai appelé Gareth pour savoir comment il s’était comporté :
Dès qu’on était partis, Gareth avait sorti sa queue et lui avait baisé sa face, puis deux hommes sont entrés et l’ont fait mettre à genoux, lui enfonçant tour à tour leurs queues au fond de la gorge, et lui giclant bientôt une pleine bouche de jute, qu’il avala vaillamment. Puis ils lui firent embrasser leurs pieds et les remercier d’abuser de lui. Gareth lui ré-enfonça sa queue dans la bouche et lui ordonna d’avaler sa pisse, en faisant en sorte qu’il en aille par terre pour qu’il puisse lui faire lécher. La maison avait bientôt été remplie d’homos en rut attendant leur pipe, et mon petit mari avait dû s’y atteler de plus en plus rapidement pour assurer. Ils lui ont appris des techniques pour les faire partir rapidement, et bientôt il en faisait une toutes les 10 minutes ! Ils étaient tous avec leur portable à se passer le mot au sujet du buveur de sperme esclavagisé par sa femme. Apparemment, bien qu’ils se jutent dans la bouche, la plupart des homos n’avalent pas, alors ils prenaient tous leur pied à regarder mon petit mari engloutir. Gareth estime qu’il a pompé 40 hommes cette nuit là et avalé chaque goutte, ce qui me fit réfléchir…
Si les homos aiment tant les pipes d’un hétéro qui avale tout, ils pourraient être prêts à payer pour. Disons 50 ₤, et s’il en faisait une toutes les 10 minutes, ça faisait 300 ₤ l’heure ! Si je lui faisais faire une séance de 24 heures à genoux, je me ferais 4.800 ₤ en un jour ! Ca commençait à devenir excitant – je pouvais me faire 35.000 ₤ la semaine ! Ou bien plus d’un million et demi l’année ! Cela s’ancra dans mon cerveau, il fallait que je trouve un endroit dans un boui-boui homo où je pouvais le laisser sous le contrôle de quelqu’un en payant juste une commission sur ses gains. J’aurais pas à le voir, ou même à penser à lui, juste vivre une vie de luxe pendant qu’il se consumait dans un sous-sol sombre à sucer queue sur queue sans la moindre pause, à subir un régime exclusif de sperme et à me vénérer. De toute évidence, il ne tiendrait pas très longtemps, mais s’il tenait un an avant d’être détruit, j’étais tranquille pour la vie.
Karl avait un ami, Jamal, qui était propriétaire d’une maison de passes en centre ville dans le quartier homo, alors j’ai récupéré son téléphone et l’ai appelé ; je lui ai expliqué mon projet et il a admis que, une fois le bouche à oreille effectué, il y aurait assez de boulot pour le faire sucer en continu, 24h sur 24, 7 jours sur 7. On s’est mis d’accord sur un partage 20%-80% en ma faveur, et je l’ai invité pour qu’il évalue les capacités de l’esclave.
Jamal s’avéra être superbe, musclé, et hétéro !! J’ai fait venir mon petit mari et lui ai dit de ramper au pied de son nouveau maître noir ; puis j’ai branloté la queue de Jamal à travers son pantalon et l’ai sentie grossir de façon incroyable. Mmmmmmm, il me la fallait dedans !! Par chance, il m’avait déjà collé sa main sous la jupe et glissé ses doigts experts à l’intérieur du string. Je l’ai embrassé avec passion et on est tombés en arrière sur le divan pendant que mon petit mari regardait à genoux en silence. C’était un super baiseur, encore valorisé à mes yeux par la pensée de son contrôle sur chaque seconde à venir de la vie de mon suceur de bites de mari.
Une fois qu’on eût joui tous les deux, j’ai appelé l’esclave pour ses devoirs de nettoyage, puis je lui ai annoncé ce qui allait arriver :
- Jamal, ton maître, va te mettre à genoux au sous-sol de son bordel et suceras queue sur queue pour me gagner de l’argent. Tu t’arrêteras pas sauf si on t’en donne l’ordre. Tu vas passer le reste de ta vie à genoux à donner du plaisir à des homos pour que je puisse vivre dans le luxe sans avoir jamais à penser à toi. Tu suceras au minimum 6 queues de l’heure, chaque heure de chaque jour, 24 h sur 24, 7 jours sur 7, et il est bien possible que tu ne me revoies plus jamais, mais tu sauras toujours que j’ai une belle vie pendant que tu survis dans la misère gorgé de sperme et de pisse sans jamais voir la lumière du jour. Tu seras plus qu’une machine à fric pour moi. J’enverrai des papiers que tu auras à signer, pour me transférer la propriété de la maison, ta pension, et tous tes gains futurs.
Une fois que j’eus fini mon discours, je ruisselais à nouveau et mourais d’envie d’une nouvelle dose de la queue de Jamal. Par chance, lui mourait d’envie d’une nouvelle dose de ma chatte, alors on s’est remis à niquer pendant que mon petit mari contemplait son avenir à genoux. Jamal a du décider d’évaluer les capacités de l’esclave, il l’a fait approcher pendant qu’on était dans une longue baise lente, et lui commanda de lui lécher les pieds. Le larbin obéit et, évidemment, cela me rendit encore plus excitée que jamais, et l’orgasme qui me prit ensuite fut du genre assourdissant ! Jamal m’envoya une nouvelle giclée dedans pendant mon spasme, j’étais au paradis de l’amour.
J’étais nue à présent, à l’exception de mes talons hauts, alors je dis à mon petit mari de jeter un dernier œil à mon corps, vu que c’était probablement la dernière fois qu’il le voyait. Je lui ai fait nous nettoyer tous deux en lui disant à quel point ma vie allait être belle sans lui.
Puis j’ai dit à Jamal de l’emmener et de le mettre au travail. Jamal lui donna l’ordre de se mettre dans le coffre de sa Mercedes, toujours nu, et de le rabaisser sur lui. Aussitôt, le larbin sortit et fit ce qu’on lui avait dit. Je ne pus pas dire au revoir à Jamal sans avoir gouté de nouveau à sa queue, alors je me mis à genoux et lui dévorai la queue et les couilles. Au bout de 15 minutes, il juta à nouveau et je récupérai ça dans ma main. Etant assurément une cruelle salope, je sortais, ouvrais le coffre de Jamal et étalais la jute sur tout le visage du larbe, puis lui glissais mes doigts dans la bouche, qu’il suça avec intensité. « Fous le camp et va sucer des queues, connard » lui lançai-je, « je t’ai manipulé depuis le premier jour pour pouvoir mener une vie de plaisir à tes dépens et tu as tout accepté. Je vais sans doute faire ma vie avec Karl et tu vas financer notre vie en suçant des queues d’homos. Qu’est-ce que tu as déclarer ? » « Je vous vénère Maîtresse, mais s’il vous plait, ne me faites pas faire ça » répondit-il. Je ris et claquai le coffre. Jamal monta dans la voiture et démarra pour l’emmener me gagner du méga-cash.
Karl débarqua plus tard avec quelques copains et ils me baisèrent tous, me faisant jouir encore et encore. Et voilà, mon petit mari était oublié jusqu’à ce que l’argent commence à rentrer !
Chaque semaine, Jamal envoyait un de ses gars avec une enveloppe pleine de liquide, en général autour de 25.000 ₤. Avec Karl, on vivait les plus beaux jours de notre vie, on achetait tout ce qui nous faisait plaisir, on allait où on voulait, on séjournait dans des hôtels de luxe. On a décidé de réserver un mois dans une villégiature privée dans les Caraïbes, ce qui me faisait très envie aussi parce que j’avais envie d’y essayer toutes ces grosses queues noires. Pour votre gouverne, ce n’était pas unilatéral – Karl ne se limitait certainement pas à ma chatte, et il aimait l’idée de glisser sa queue dans quelques nymphettes chocolat !
Avant les vacances, j’avais fait établir les papiers pour les faire signer par mon petit mari ; il y avait des papiers de divorce express mentionnant son comportement irresponsable, un compromis me transférant la propriété de la maison, la liquidation de sa pension avec donation du capital à mon bénéfice, et le transfert irrévocable de chaque penny qu’il pourrait gagner à l’avenir. Je les ai envoyés à Jamal, et quelques jours après ils sont revenus revêtus de la signature de mon petit mari, avec Jamal comme témoin indépendant.
Puis on est partis et on a passé des vacances extraordinaires. Je crois que je me suis fait plus de queue noire pendant ces quatre semaines qu’à aucun autre moment de ma vie. Je n’ai pas eu la moindre pensée pour mon petit mari pendant qu’on était là-bas.
Quand on est rentrés, Jamal est venu avec le gain d’un mois en liquide (et avec une épaisse queue noire à laquelle j’avais tant besoin de goûter encore) . Il me dit que la bouche du larbin avait tellement de succès qu’il devait refuser du monde. Il suçait plus de 140 pines par jour et il y avait encore la queue à la porte !
L’idée de tout cet argent potentiel perdu me fit réfléchir : l’esclave était à genoux depuis 2 mois maintenant sans interruption, alors avec cet entrainement, il pouvait surement faire juter les mecs beaucoup plus vite qu’en 10 minutes ?
Je sautais dans la Mercedes de Jamal avec lui et on est allés à son bouge.
Je l’ai suivi en bas au sous-sol, le larbin était là à genoux en train de sucer une queue. Il était couvert de sperme séché et avait l’air absolument loqueteux et épuisé, et pourtant il massait les couilles de son client et pompait avec vigueur. On a regardé pendant quelques minutes jusqu’à ce que son miché vienne et qu’il avale tout. Alors, j’ai dit à Jamal de faire attendre le suivant un peu. Je m’approchai de l’esclave, et ses yeux s’éclairèrent. Je portais une brassière très serrée qui me couvrait à peine les nichons, épaules nues, une micro jupe, les jambes nues bronzées et de très hautes chaussures à sangles.
« Embrasse le sol devant mes pieds, larbin ! » Je ne voulais pas que sa langue et ses lèvres dégueux touchent mes chaussures !
Il était déjà à genoux, alors il se pencha en avant pour embrasser avec conviction le sol crade. Jamal était à côté de moi, il me posa la main sur la cuisse, appuya et m’embrassa dans le cou. On s’est embrassés passionnément pendant que le larbin continuait à me vénérer, puis Jamal m’enleva mon haut pour me malaxer et me lécher les tétons. Je baissai ma jupe à mes pieds et dis au larbe de me l’enlever. Les mains et la bouche de Jamal étaient partout, et uniquement en string et chaussures, tout mon corps était à sa disposition. Je ne perdis pas de temps à lui sortit sa queue monstrueuse et à lui enlever sa chemise.
J’étais trop bien, mais je lui ai dit d’attendre pendant que je donnai ses ordres au larbin : « Je vais pas perdre de temps à te parler, larbin, j’ai trop besoin de la queue de ton maître en moi alors je vais être brève, tu as passé trop de temps à 6 queues par heure. Je veux beaucoup plus d’argent à claquer alors à partir de maintenant tu vas sucer 10 mecs à l’heure ; ça te laisse 6 minutes pour chaque alors t’as intérêt à bosser vite. »
« Mais je vais aussi vite que je peux, Maitresse ! » croassa-t-il. Je suppose que le régime sperme et pisse avait dû affecter sa gorge, mais bon, ça m’intéressait pas assez pour me poser la question.
- De la merde, je t’ai regardé là, et tu faisais pas assez d’efforts. Bon, de toute façon, ça se discute pas. Tu es mon esclave obéissant, je t’utilise comme je veux, tu vas faire juter 10 queues de l’heure à partir de maintenant. Et ça veut bien dire chaque heure, je veux traire énormément plus de fric de toi avant que tu sois trop ruiné pour continuer. Mets toi bien ça dans la tête – tu n’es qu’une pompe à fric humaine, et rien d’autre. Tu n’existes que pour être exploitée par MOI !
« Oui, Maîtresse », croassa-t-il.
- Maintenant, supplie pour la permission de sucer 10 queues de l’heure pour me gagner encore plus d’argent à dépenser.
- Je vous en supplie Maîtresse, laissez moi sucer 10 queues de l’heure pour vous gagner encore plus d’argent à dépenser, s’il vous plait.
- Maintenant, supplie d’être laissé ici pour toujours avec ta cage de chasteté et ton plug au cul, à sucer des queues pour de l’argent pendant que je mène une vie de luxe, épanouie par l’amour avec des centaines de Noirs
Il répéta mot pour mot : « Je vous en supplie Maîtresse, laissez moi ici avec ma cage de chasteté et mon plug au cul, à sucer des queues pour de l’argent pendant que vous menez une vie de luxe, épanouie par l’amour avec des centaines de Noirs, s’il vous plait »
Sur ce, je lui envoyai un coup de pied dans les burnes, dis « je me casse maintenant, je vais me faire baiser, allez, suce connard !! », et sortis.
Avec Jamal, on baisa comme des dieux dans son bureau, pendant que mon petit mari ployait sous sa charge de travail augmentée ! Et c’est comme ça depuis 6 mois. Je n’ai pas vu le larbin depuis et je ne pense presque plus jamais à lui, mais l’argent continue à rentrer et on mène la plus merveilleuse des vies ; et c’est tout ce qui compte !
le meilleur récit que je n'ai jamais lu.
RépondreSupprimermatosman@hotmail.fr
Jamais rien lu d'aussi bandant...
RépondreSupprimerDOWNLOAD $12,234 within 2 months Gambling ROBOT?
RépondreSupprimerLet me tell it straight.
I don't care about sports. Never cared less.
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I think I finally found it. Grab It Today!!