lundi 9 septembre 2013
La black de la salle de gym chapitre 9
Cette histoire m'est arrivée vers 13h00, lors d'un intercours alors qu’Ingrid m'a demandé de l'attendre dans son escalier pour lui remettre 100 francs. Bien évidemment, j'en apportais 200, vu quelle le méritait. Je la vis arriver avec sa meilleure copine, une burkinabé d'1m75 soit la même taille qu’Ingrid, aussi jolie bien que plus ronde d'une quinzaine de kilogrammes. Cette belle africaine se nommait Habibatou. Je me rappelle juste quelles portaient toutes deux des Converses rouges. Là, Ingrid s'exclama avec sa manière de forcer son accent banlieusard en présence de ses copines : ''Wesh Habh, c'est elle Pascaline, la fille dont j’t’avais parlée, c'est une bonne grosse tapin, tu vas voir que sur ce coup j’t’ai pas mytho'. Elle m'ordonna de tomber à ses pieds et de lécher les shoes d’Habibatou. Je m'executai, ce qui la fit rire d'un air gêné et elle dit : « il est ouf, wa trop con. » Ingrid remarqua que la situation m'excitait et me mit un gros coup de pied dans les couilles, assez fort mais peu assuré. Je m'effondrai en hurlant autant pour la douleur loin d'être feinte que pour flatter l'adresse et la force de ma maitresse devant sa copine. Ingrid sortit une règle en métal, très dense et abattit sur mes fesses violemment à 10 reprises ce triple-décimètre me laissant en pleurs (avec d’énormes marques pour qui cela intéresse). Quand elle m'appliquait cette correction, on sentait sa jouissance monter crescendo. Et là elle dit à Habibatou : ''A toi''. Et Habibatou se mit à son tour derrière moi, prit la règle et me battit à son tour, cette fois des coups plus instinctifs et moins appuyés. Ingrid, elle, mis ses semelles sur mes mains en vrillant ma peau avec l'élastomère de ses Converses et dit à sa copine : ''Fais lui ce qu'on a dit''. Là, elle me mit un énorme coup de son 40 et demi aux couilles, précis et avec un plaisir perceptible, deux fois plus fort que la pointure 39 de la menue ingrid. J’hurlai comme un animal égorgé, ne sentant plus mon bas-ventre, d'autan qu’elle s'amusa ensuite à appuyer sa semelle sur mes couilles déjà plus que douloureuses. Ingrid partagea avec sa pote mon offrande qui lui dit ''j'adore faire ca aux keums pour rien et là en plus ca me rapporte 100 balles, trop con ton pigeon ». Puis elles partirent en cours en rigolant, non sans me dire un petit ''tchao'', me laissant à ma douleur.
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Jouissif !
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