vendredi 13 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 11

Alors qu’Ingrid et moi étions dans ma chambre tous les deux pour un motif que même la bonne morale légitimerait (je lui dispensais un cours de soutien en mathématiques), voilà comment cette visite dérapa. Vous constaterez l'évolution de nos rapports, bien que ceux-ci restaient encore à proprement parler ''BDSM''. Ingrid se mit à l'aise pour me troubler (seins nus, une petite poitrine mais extrêmement belle). Elle me dit ''T’as des trucs de cul ici ? Cassettes video, bouquins...?''. Après une tentative de dénégation qui ne fit pas le poids face à sa ''connaissance des mecs'' et son ''vous en avez tous'', je me résignai à prendre ma chaise et monter sur l'armoire afin de lui montrer ce que j'avais là-haut, planqué sous les revues automobiles, cynégétiques et motocyclistes. J’en sorti une pile de revues bien hards où la grande majorité des filles étaient noires et pas qu'à moitié, des vraies femmes au type africain. Elle s'exclama : ''un truc de ouf, même là ya des renoies, tu t'branles renoies'' Elle soulignait le ''machisme de ces publications'' où la femme ''faisait le chien'', je me défendis comme je pouvais, invoquant le fait que j'ai changé grâce à elle et le ''dressage''. Visiblement peu convaincue, elle m'ordonna de baisser mon pantalon (et quitta elle aussi son jean et son string, se retrouvant nue avec moi). Là elle sortit de son grand sac de toile aux couleurs africaines la fameuse paire de menottes (avec laquelle elle me lia les main dans le dos) puis une bouteille de soda cola en verre vide, les petites classiques bien connues. Elle me fit m'assoir sur le fauteuil de ma chambre, mais le goulot de la bouteille était déjà rentré de quelques centimètres dans mon cul, en m'asseyant la bouteille allait me pénétrer. Voyant que de mes jambes, je tentai de minimiser la dite pénétration, elle se mit d'abord à appuyer sur mes épaules me mettant ses seins nus devant mon visage, celui-ci se retrouvant collé à sa peau soyeuse. Elle me fit lécher ses seins, j'étais aux anges, sa peau si magnifique. Mon excitation était si forte que je ne protestai pas quand elle montait sur mes cuisses (elle était nue je rappelle). Se faisant, son poids fit entrer très profond la bouteille, la douleur fut une des plus terribles de ma vie, un déchirement, la bouteille n'étant absolument pas lubrifiée comme d'habitude avec Ingrid. Mais malgré tout, la vue de sa beauté, couplée à son odeur si agréable me permettait de supporter son petit jeu vicieux. En effet, sur mes genoux, moi assis, les mains liées, littéralement empalé sur une petite bouteille, elle m'ordonna de lui bouffer les seins, ce que je fis avec plaisir, et elle s'amusa même a m'embrasser elle aussi, puis me mordit les tétons presque à sang à travers ma chemise. Elle guida mon pénis gonflé à bloc dans son vagin trempé, j'étais a la fois homme devant et soumis derrière. Malgré ma turgescence et la pire excitation de ma vie, la bouteille m'empêcha d'éjaculer vite comme je l'aurai fait dans cette situation. Ma maîtresse quittait son statut d'''inaccessible'' mais me faisait subir un viol cuisant, ET JE N'AVAIS AUCUNE PRISE SUR LE MOUVEMENT, J'ETAIS COMME UN OBJET DE PLAISIR, UN GODE VIVANT, ATTACHÉ ET VIOLÉ. Je mis de longues minutes mais finis par éjaculer dans son vagin, sans plaisir orgasmique (effet de la bouteille contre la prostate) mais avec un immense bonheur intérieur (l'orgasme le plus planant de ma vie à défaut d'être le plus fort) et mon pénis resta dur sans la douleur habituelle de la phase réfractaire post-éjaculatoire. Ainsi Ingrid pouvait continuer à se donner du plaisir jusqu’à son propre orgasme. Ce fut là une des plus fortes séances, nous étions désormais dans une phase de bdsm-amitié précédant une relation classique.

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