mardi 17 septembre 2013
La black de la salle de gym chapitre 17
Cette fois, nous nous vîmes au centre commercial régional, j'avais pour ordre de venir avec de l'argent (mille francs je crois, je ne m'en souviens plus précisément, car, chez elle, les exigences financières n'étaient jamais une fin en soi mais que des moyens de prouver sa domination). Et oui, c'est bientôt la Saint Valentin et je devais offrir des fringues à Ingrid et surtout être capable de lui prouver ma soumission devant des inconnus. En effet, s'étant pas mal renseignée sur ce qu'elle pratiquait d'abord uniquement a l'instinct en plus de 6 mois de relation, elle s'amusait maintenant à reproduire dans ses grandes lignes des scenarii qui lui plaisaient et dont elle eu connaissance par le net ainsi que par d'autres copines à elles (également dominas, ce que je n'imaginais pas un instant à l'époque). Bref, pour commencer, je du m'habiller selon ses directives, en ''fon-bou'' et oublier pour cette sortie mes ensembles Nike ou Lacoste pour un pantalon de ville, un t-shirt mité trop petit et, comble de la honte, porter en lieu et place de ma casquette NBA,un bob semblant venir tout droit de la tête de Bobby, le personnage malheureux du film ''Delivrance'' de John Borman. Je ne comprenais pas pourquoi j'avais cette horreur dans ma garde-robe. Je ressemblais à une caricature de moi-même, une sorte de sdf (c'est à l'occasion de cette sortie que j'ai pu apprécier ma totale imperméabilité à la honte). J’était, suivant Ingrid, à un mètre derrière elle, c'était le jeu, elle habillée fashion, resplendissante. Je portais tous ses paquets et je payais tout. J’ai remarqué que deux vendeuses black avaient fait des clins d'oeil à Ingrid, qui était amusée et galvanisée par le fait de voir que ce n’était pas une relation unique, la deuxième vendeuse lui disant même ''c’est ton pigeon ?''. Moi, ça m'excitait (surtout de mater le string de ma maitresse dépassant de son taille basse, et comble du bonheur, dès quelle me voyait mater son derrière, elle m'envoyait un grand coup peu discret dans les parties avec sa main. Je poussai ensuite le vice à réclamer quelle me mette un concombre ou directement, ou par allusion, devant parfois des gens outrés. Comme à la caisse d'une boutique de fringues pour 'jeunettes'' où j'ai dit ostensiblement : ''il faut qu’on garde 20 franc pour le concombre à acheter'', sans compter les objets longs et divers sur lesquels je mimais une masturbation en disant ''humm si tu m'enfonces ça en entier, je te donne 10 000 francs''. Elle était heureuse ce jour-là, un peu car elle a récuperé mille balles de fringues mais surtout par les crises de fous rires incontrôlées que je je lui ai offert. Elle m'avoua plus tard que cette sortie fut pour elle un premier pas vers le respect vis-à-vis de moi. Elle pensait que j'aurai été mort de honte. Curieusement cet évènement marqua la fin de toute domination de sa part ''devant un tiers'' ainsi que de l'utilisation envers moi d'un langage dégradant. Ce jour-là, ne réagissant pas du tout comme elle l'attendait, elle perdit définitivement une clef, un levier, celui de la domination psychologique. Cela explique le durcissement de l'aspect SM de notre relation.
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