mercredi 18 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 18

J'arrivais chez elle à 17 heures pile avec la chose qu'elle m'avait demandée de rapporter de ma ballade à Paris, discrètement rangée dans un sac en plastique noir à motifs dorés. Ingrid, pieds nus, en tenue d'intérieur regarda dans le sac et je pu voir s'esquisser sur son visage un sourire de satisfaction, sourire que je connaissais si bien après presque un an de domination, qui devait s'accentuer quand elle déballa l'objet devant moi. Avant de le placer comme il se doit à sa taille, elle me félicita car j'avais entièrement respecté son cahier des charges, à savoir la couleur noire et les plus de 22cm de long et 5cm de largeur de l'imposant GODE-CEINTURE que je venais de lui ramener d'un sex shop parisien. Ingrid était littéralement transportée de joie en me braquant avec cet objet tout en latex, elle tapotait dessus comme s’il s'agissait de sa propre bite. Elle s'approcha de moi, m’embrassa d'un long et langoureux baiser ''lesbien'' profond et sincère et me fit mettre a genoux et effectuer une fellation à l’énorme gode. Jamais en presque une année elle ne m'avait fait sucer un objet, même au temps déjà révolu de la ''Ingrid-humiliatrice''. J'étais troublé, choqué même. J'avais un mal fou à le mettre dans la bouche, malgré les caresses de ses doigts sur ma tête et ses encouragements si excitants d'ambigüité de cette voix féminine et douce m'intimant l'ordre de sucer ''SA QUEUE''. Bref je m'appliquais et des ses doigts, elle s'amusait à ''pénétrer'' mes conduits auditifs, elle en caressait surtout le tour comme pour me dire ''c’est ton cul que je veux''. Je caressais ses fesses, sans m'enhardir à aller plus loin. Je n'étais encore que 'Pascaline sa soumise et c'était trop bon. Je la laissai ensuite me retourner, me mettre en levrette et me déculotter par ses soins. Soudain, elle saisi ma queue d'une main, doucement pour une masturbation très efficace (très rare pour une fille et surtout une jeunette) puis elle me pénétra violemment avec le gode sans aucun lubrifiant, la salive ayant séché depuis longtemps. Je me cambrais de douleur mais me rassurais car je connaissais la mollesse du latex. Je pris le parti de pousser pour laisser le gode rentrer a fond et de me concentrer sur le plaisir que la main d'Ingrid me procurait. Après 5 bonne minutes de coups de reins et de masturbation coordonnés, j'éjaculais dans sa main oubliant la douleur ainsi le temps de l’orgasme, temps dont elle eu la mansuétude de profiter pour retirer le membre factice de mon fondement, chose qu'elle se serait gardé de faire quelques mois en arrière afin d'accroitre ma douleur). Ce fut une superbe expérience.

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