jeudi 19 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 19

Alors que nous étions chez moi avec Ingrid, celle-ci me déshabilla entièrement et m'attacha allongé sur le dos sur un des lits installés dans le salon, à l'aide des petites cordelettes faisant parti de nos ''outils'' depuis déjà près d'une année. Elle se déshabilla entièrement en mode strip-tease devant moi avant de remettre son petit blouson en jean qui, ouvert sur ses beaux petits seins nus, lui donnait l'air très sexy, digne d'un des calendriers érotiques que mon père aimait conserver en haut des armoires. Elle se mit au-dessus de moi en position 69 mais en restant trop éloignée pour que je puisse avoir un contact autre que visuel. Mon sexe était tendu au maximum et elle n'hésitait pas à le caresser de temps en temps. Soudain, elle se retourna comme pour m'embrasser la poitrine, mais au lieu de m'embrasser elle me mordit le téton gauche presque au sang, me faisant hurler de douleur et cabrer sur les cordelettes. Puis elle m'embrassa tendrement l'endroit de sa morsure, avant de passer à mon téton droit qu'elle embrassa chaudement avec sa langue avant de.....le mordre et me faire hurler de nouveau de douleur. Sa tête descendit vers mon sexe toujours turgescent malgré une horrible douleur de brûlure à la poitrine et là, elle entoura mon pénis dans un fin drap de coton avant de me le mordre à travers celui-ci en me fixant dans les yeux, comme pour mieux capter et jouir de ma souffrance. En effet, ses dents me firent un mal cuisant bien qu'elle n'avait en rien forcé sur les muscles de sa mâchoire. De sa main gauche aux ongles pointus, et cette fois-ci main nue, sans le moindre gant, elle me doigta, à sec, deux doigt d'un coup, puis trois). Elle se déchaîna ainsi sur mon cul, s'amusant à caresser mon sexe de ses joues en alternant avec quelques caresses buccales (contact direct également) très furtives, plus excitantes et frustrantes qu'apaisantes. La douleur que j'éprouvais niveau anal m'empêcha d'en apprécier sur le coup la valeur. Finalement, j'éjaculais dans sa main droite pendant que jusqu'à 4 longs doigts de sa si belle main gauche me torturaient et me dilataient. Cette émission de semence fit taire ma douleur les quelques secondes qui auraient été pure extase si seulement elle m'avait lubrifié au préalable, ou au moins si elle avait daigné couper ses ongles. En tous cas, moralement, j'étais dans une totale jouissance masochiste parfaite, entre douleur et orgasme, le tout grâce à la main de ma belle Maitresse.

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