vendredi 13 septembre 2013
La black de la salle de gym chapitre 12
Cette fois-ci nous étions partis Ingrid et moi nous balader car le temps était très beau et nous voulions profiter un peu de la Porsche. Nous allâmes du côté des Yvelines puis de la proche Normandie. Sachant son intérêt pour la culture (exceptionnel à cet âge pour une fille dite ''de banlieue''), je décidai de l'emmener à Giverny, visiter la maison transformée en musée du peintre impressionniste Claude Monet. Deux semaines jour pour jour après avoir emmené ma mère , nous allâmes également ensuite au même MacDo à quelque kilomètres de là. Cependant, si les deux sorties semblaient identiques, visite/bouffe/discussion, je savais pertinemment qu'avec Ingrid la journée finirait tout a fait différemment qu'avec ma mère ! En effet, sur le retour, Ingrid m'ordonna de me garer aux abords d'une de ces forêts normandes qui aurait pu servir de décors à une nouvelles de Guy de Maupassant. Nous nous enfonçâmes à pied au travers des arbres et là, isolés de tous, elle reprit sa ''casquette'' de dominatrice et surtout, plus concrètement un bâton d'environ un mètre assez fin et souple ''whippy'' comme on le dirait outre manche, tel une cravache. Là elle exigea que je baisse mon froc, en ces termes là. Une fois ce premier ordre exécuté, elle me fouetta le bas du dos avec le bâton à deux reprises dans un aller-retour brutal qui brisa le morceau de bois trop sec pour cet usage. Elle me fit me mettre en levrette et continua de me frapper avec les 40cm de branche restante mais sur les fesses. Au début ce n'était que peu douloureux, mais, passer quelques 10 ou 15 coups, cela devenait extrêmement pénible, bien que je bandais quand même comme un malade et regardant la chute de reins de ma maitresse, son jean taille basse laissant apparaitre son string, jean déchiré à dessein au niveau des cuisses donnant un air jeune mais aucunement négligé. Soudain, de la pointe du bâton, elle s'amusait à tirer sur la peau de mes couilles et à les frapper alternativement jusqu’àme faire geindre. Puis elle laissa tomber et se mit à m'écarter les fesses à pleines mains, très fort avant d'exiger que je les tienne ouvertes moi-même, ce que je fis. Je sentis un objet dur appuyer sur mon trou, le bâton. Je pris le parti de me détendre car je savais quelle ne s'énerverait pas si elle voyait le bois s'enfoncer comme ''ELLE LE VOULAIT''. Malgré l'absence de tout lubrifiant (UNE REGLE ABSOLUE AVEC INGRID) avec comme prétexte ''t’as qu’à mouiller seul, si tu me trouves belle, tu mouilles !!',' je sentis le bâton (assez fin mais rêche et pointu) progresser d'environ 10cm ou un peu plus dans mon rectum avant de toucher doucement la paroi. Elle me dit ''cool sale pute, c’est dedans » puis le retira assez prudemment. Elle m’ordonna de me frotter à son pantalon ''comme un klebs'', elle m'aidant de sa semelle pour que j’y frotte mon sexe sous ses directives ''et ne me salis pas hein...''. Je jouis très vite la queue prisonnière entre le sol et sa chaussure. Puis nous rentrâmes sur Paris assez tôt, Ingrid profitant du fait que je conduisais une Porsche 928 GTS à boite automatique pour me tenir la main droite pendant tout le trajet autoroutier. Je me rappelle avoir eu des irritation au niveau du sexe mais le soir même de cette journée, gland rouge ou pas, j’ai du me masturber au moins 2 fois en y repensant .......
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