La black de la salle de gym chapitre 10

Voici une autre séance ''trio'' pendant laquelle j’ai été l'objet de défoulement d'Ingrid et d'Habibatou. Cette fois-ci, c'est Habibatou qui, finissant les cours à 11h15, arriva en premier devant l'escalier d'Ingrid, elle était habillée de façon négligée en jogging façon garçonne et baskets Converse comme toujours. Elle n'a jamais kiffé fringues et maquillage, j’ai su plus tard qu’en tenue traditionnelle elle était magnifique, quand au retour de futures vacances elle me montra ses photos d'elle au mariage de sa grande soeur à Ouagadougou (Wa'ga comme elle disait si fièrement). En guise de bonjour, elle m'attrapa par l'oreille qu'elle tira pour me faire ployer, me montrant ainsi la confiance quelle avait ainsi au pouvoir de soumission de sa copine Ingrid. Elle me fit monter ainsi dans l'ascenseur sans se soucier du regard amusé de deux mamies témoins de la scène. Une fois sur le pallier, elle ouvrit prestement la porte (Ingrid lui avait passé ses clefs comme d'habitude quand ses cours finissaient plus tôt) et me jeta littéralement dans le couloir sachant l'appartement vide, sans aucun risque de retour inopiné des parents d'Ingrid (travaillant dans le même établissement comme agents hospitalier). Elle me dit, le sourire en coin : ''Dessape toi, enlève tout, mais garde les chaussettes''. Je lui obéis et me retrouva a sa merci. Inquiet et surtout excité par la situation, mon sexe était assez gonflé, ce quelle me fit remarquer : ''Ah t’es circoncis, c’est mieux mais c'est trop moche en blanc, c'est abusé''. Je lui fis remarquer qu’il y avait du matos dans mon sac (cordes....). Elle rit et me dit : ''Tu crois j'ai besoin de t'attacher ? Tu crois ça ? Aucun blanc ne me fait peur ». Disant ça, elle me mit 2 énormes gifles qui me laissèrent un sifflement persistant et un petit goût de sang à l’intérieur de ma joue ayant du ''morfler'' un peu. Elle se jeta sur moi et me plaqua au sol, seulement remarquant que mon sexe était devenu tout dur, excité par la situation (et j'avais même eu l'extrême chance de pouvoir me frotter subrepticement à son bas de survet). Elle s'énerva et me colla son genou dans les couilles, me causant une immense douleur et surtout m'empêcha de parer ses nouveaux coups. Elle me gifla et attrapa ma queue devenue toute molle, elle me fit me relever ainsi. Elle tirait dessus et surtout serrait, je sentais ses ongles se planter dans mon pénis. A peine remis du premier coup bas, elle m’en donna un deuxième du plat de sa semelle qui m'aurait renvoyé au sol si elle ne me maintenait pas debout par la queue. Elle ne desserra son étreinte que lorsqu’Ingrid sonna à la porte pour aller lui ouvrir. Elles revinrent toutes les deux et je vis les deux filles rire et me dire de me rhabiller...Ce que je fis avant que nous 3 quittâmes l'appart. Et Ingrid m'ordonna de sortir mon portefeuille pour quelles aillent manger ''au grec''. Je le donnai a Habibatou qui en retira juste le billet de 50 francs, me laissant près de 200 francs visiblement plus amusée par le fait de m’avoir mis à l'amende et de m’avoir fait souffrir que par mon argent. J'avoue que ca m'a presque déçu. Habibatou me rendit le portefeuille et profita de ma distraction pour me coller son genou dans les testicules une troisième fois, se faisant, elle accompagnait son geste d'un cri un peu semblable à une tenniswoman faisant un service en force, me laissant choir au sol en me tenant le bas ventre et en pleurant, J'entendis tout juste le ''tchao Pascaline' d'Ingrid qui me troublait tant. Et je les vis s'éloigner en rigolant de moi.