samedi 14 septembre 2013

Ghetto Youth New Generation 15

Je les suivis donc dans le jardin, et posai les verres et les bouteilles à l'ombre.
Fanta retira son tee shirt Hello Kitty et son slim noir déchiré. Elle portait un petit bikini rouge.
Bien que la trouvant antipathique, je ne pus m’empêcher d’être fasciné par la beauté de son jeune corps. Sa chute de reins était hallucinante. Son dos mince et musclé, cambré à souhait, ses petites fesses, rondes et fermes surplombaient ses fines jambes athlétiques imberbes. Ses petits seins ronds tenaient tout seul, et apercevoir ses petits tétons pointer sous son maillot de bain, me fit une sensation étrange. Fanta avait eu raison de refuser à ma femme de venir à la piscine avec elles. Cela aurait été avilissant pour elle, de devoir montrer son corps de femme quadragénaire lambda près de ce magnifique corps de jeune femme.
Kimberley portait un trikini rose bonbon. Ses seins semblaient encore plus énormes, on ne voyait que ça. Ses fesses étaient larges, ses jambes courtes et rondes, ses pieds petits. Sa peau mate brillait au soleil.
Scara portait un bikini orange fluo. Son ventre et ses seins débordaient un peu de son maillot de bain.
Je ne pus m’empêcher d’être excité. J'eus honte.
Audrey portait un bikini marron, qui jurait avec sa peau pale.
                    Faut que tu bronzes, c'est trop cheum la peau blanche comme ça, lui dit Fanta avec mépris.
                    Oui t'as raison...
                    Eh monsieur, tu viens pas plonger avec nous ?
                    Non, je suis trop gros, j'aurai peur de trop vous éclabousser,  blaguai-je en souriant.
                    Non tu nous éclabousserais pas !
                    Ah bon ? Dis je étonné qu'elle me dise une chose gentille.
                    Non. Tu viderais la piscine. Gros porc.
Et sous un éclat de rire, elle plongea dans la piscine.
Après 30 minutes de baignade, Fanta, lassée ordonna à Audrey de demander ses cadeaux.
Celle-ci vint donc me les demander.
Je les fis venir dans le salon, et donna ses 3 cadeaux à Audrey. Nous étions tous les 4 assis.
Elle déchira rapidement le papier cadeau du cadeau le plus compact.
Un cri strident retentit.
                    Oh mon dieu, le Iphone 5, je le voulais absolument, oh merci merci merci papa ! Hurla t-elle à s'en exploser les poumons.
Scara et Kimberkey regardèrent avec envie son cadeau.
Fanta le lui arracha des mains.
                    Ah bien, vous devez avoir des thunes pour offrir un truc comme ça à votre fille, nan ? Me demanda t-elle.
                    Heu et bien..
                    Nan c'est bien, c'est bien... Hey Audrey tu me le prêtes despi ?
                    Heu … oui bien sur.
                    Cimer, dit Fanta en enlevant le iphone 5 de sa boite avec l'aide de ses 2 comparses.
Audrey ouvrit le second cadeau, des baskets Isabelle Marrant bleues. Elle sauta de joie en me remerciant.
                    Ça, tu peux le garder par contre, dit Scara en réprimant un rire moqueur.
                    C'est tellement moche comme chaussures. Dit Fanta, je sais pas, si tu veux des sneakers prends en des vraies au lieu d'acheter ces merdes de parisiens qui veulent se la jouer street style. Pue la merde.
                    Ouais vous avez raison.. Mais c'est à la mode, quoi. Répondit Audrey en rougissant comme si cet argument allait faire la différence.
                    Pas ici, lui dit Fanta en lui faisant un clin d'oeil.
La joie d'Audrey retomba et elle poussa les Isabelle Marrant loin d'elle.
                    Finalement je les veux plus, papa. Me dit elle, décidée.
Je fus vexé.
                    Ah bah si tu les veux pas, moi je les prends, dit Scara en les essayant, en plus c'est ma taille. Frais !
Eclats de rire de Fanta et Kimberley. Audrey se mordit la lèvre inférieure de rage, mais ne répondit rien. Que pouvait-elle dire de toute façon ?
Elle ouvrit le dernier cadeau, des pulls et des tee-shirt Asos. Elle attendit l'opinion de ses « amies » sur ses cadeaux afin de savoir si elle  avait le droit de sauter de joie ou pas.
                    Dar ce tee ! Dit Fanta en empoignant un tee shirt sur lequel était écrit « In diamonds we trust », tu me le passes ?
                    Oui, bien sur, répondit Audrey, toute contente que Fanta approuve ses cadeaux.
                    T'façon il m'ira mieux qu'à toi.. Dit-elle en l'essayant tout de suite.
Et en effet, il lui allait parfaitement.
                    Tema comme Jean-Pierre il te matte, dit avec dégoût Kimberley à Fanta.
                    Tranquille, je vais rien dire. Vu la femme qu'il a, il doit pas avoir v'la les occasions de mater un beau corps. Vrai ou faux ? Me dit-elle en souriant.
Je ne répondis pas, mais sentis mes joues rougir.
                    Pourquoi tu réponds pas, j'ai pas un beau corps ?
                    Heu.. si si bien sur.
                    Je t'avais dit qu'il te kiffait, dit Kimberley à Fanta.
Fanta et ses deux amies continuèrent de piocher dans le dernier cadeau de ma fille, et ne laissèrent que les vêtements qu'elles jugeaient ringards. Elles avaient littéralement dépouillé ma fille de ses cadeaux. Celle-ci ne dit rien.
                    Je pourrais avoir mon iphone maintenant ? Faut que je l'allume, demanda Audrey à Fanta.
                    Mais tu sais comment on fait même ?
                    Bah je vais regarder sur la notice et au pire sur internet ?
                    Pas la peine, mon frère c'est un pro dans les nouvelles technologies, il va te le pimper t'inquiète, je l'amène chez moi et je te le rends demain.
                    Hein ? Mais, t'inquiète je peux le faire toute seule.
                    … Tu me fais pas confiance ? Putain ça me fout le seum, parce que je suis noire, que je vis en banlieue, ça y'est je suis une voleuse ? Putain moi je voulais juste être sympa avec toi, comme j'ai pas pu t'offrir de cadeaux, en rendant ton iphone 5 dar, et toi tu refuses parce que tu me soupçonnes ou je sais pas, azi reprends le ton iphone je m'en bats les couilles, cria t-elle en tendant violemment à Audrey son cadeau d'anniversaire.
Surprise et effrayée de la colère soudaine de Fanta, elle abdiqua.
                    Nan c'est bon, désolée, tu peux le garder, je te soupçonnais pas.
                    Azi bref, dit Fanta en rangeant l'iphone dans sa besace.
Énervé de voir ma fille s’être faite extorquée ses cadeaux, que J'avais payé, j'entrepris de m'allumer une cigarette, mais mon zippo ne se trouvait pas sur la table. Ah oui, Kimberley !
                    Kimberley, tout à l'heure je crois t'avoir vu prendre mon zippo.. Commençai-je d'un ton sans reproche.
                    Je vois pas de quoi tu parles, répondit Kimberley indifférente.
Son attitude m'irrita.
                    En fait, je ne crois pas, j'en suis sur, tu l'as mis entre ta poitrine.
                    Putain mais t'es un vicelard toi ! T'es tellement un pervers tu vas jusqu'à m'inventer des vies pour pouvoir toucher mes 'eins, mais remballe putain !
Le groupe de filles dont Audrey me regarda avec écœurement.
                    Eh mais t'es un de ces obsédés en scred, c'est chaud... dit Fanta, je comprends que voir des belles meufs ça t'excite, vu que t'es pas habitué à ça. Ça je comprends. Mais que t'ailles jusqu'à raconter des vieux trucs pour toucher les seins d'une lycéenne c'est grave, wallah.
                    Mais... Je ne mens pas, je l'ai vu ! Je n'ai aucune envie de toucher ses seins, je m'en fous complètement de ses seins ! Je veux juste mon zippo ! Hurlai-je excédé et épouvanté que l'on me traite de cette façon. 
                    Hey déjà tu fermes ta gueule ! Hurla Fanta encore plus fort que moi, si tu mens pas, c'est nous les menteuses alors ? T'es sérieux de nous traiter de menteuses là ? Tu crois on va faire quoi de ton vieux zippo de merde, enfoiré ? On fume même pas ! Putain tu veux savoir si y'a ton zippo entre ses seins ?
Fanta attrapa violemment ma main et l'a mis dans le décolleté de Kimberley qui pouffa de rire.
Elle força mes doigts entre l’impressionnante poitrine de la jeune fille. C'était chaud et moelleux... Je rougis.
-                    Alors, y'a quelque chose fils de pute de menteur ? Hurla Fanta.
                    Non il n'y a rien mais...
                    Quoi mais ? T'es toujours persuadé qu'on a ton zippo ?
Et elle enfonça mes mains entre les seins de Scara. Je ne pus m’empêcher de comparer les jeunes poitrines de ces jeunes filles à celle de ma femme, pendante et molle.
Audrey me regardait avec dégoût.
De honte, je rougis. D'excitation, je durcis.
Je priai intérieurement pour que tout cela cesse, mais je priai encore plus fort pour que Fanta prenne ma main et la mette entre ses deux mignons seins.
Et c'est ce qu'elle fit.
                    T'aimes ça, sale enfoiré de pervers hein ? Me demanda t-elle.
Sans que je le leur ordonne, mes doigts s'aventurèrent dans son soutien gorge de maillot de pain. C'était si doux, si ferme, si chaud, si rond, si... Mon index effleura son téton dur.
J'eus peur que mon érection fut visible.
                    Putain le boug il est en train de me peloter, je suis sure qu'il bande ! Hurla Fanta.
-                    Quel fils de pute, dit Scara avec mépris.
J'entendis des pas rapides, arrivés dans le salon.
Nadine.
Oh non.
                    Mais.. Que se passe t-il ? Dit-elle livide en voyant Fanta bloquer ma main entre ses seins.
                    C'est votre mari, ce sale bâtard qui voulait vérifier si on avait son zippo entre nos seins !
Ma femme me regarda avec incompréhension. Que se passait-il ? Pourquoi n'enlevai-je pas ma main des seins de cette jeune fille ? J'étais pourtant bien plus grand et fort.
Mais j'étais trop faible, toute ma force se concentrait dans mon caleçon, je n'étais plus qu'un mollusque.
Fanta enleva brusquement ma main d'entre ses seins, et de ses petites mains tripota mon entrejambe. Je me sentis durcir davantage.
                    T'as une petite bite, boloss, me dit-elle avec mépris, putain j'en étais sur il bande comme un chien. Je vais te faire débander, t'inquiète pas.
Elle souleva son pied nu, car elle était toujours en maillot de bain, et le laissa tomber avec force sur mon entrejambe. J'hurlai de douleur. Les jeunes filles éclatèrent de rire. Ma fille aussi.
                    Ça t'apprendra à un être un vieux pervers, tu me dégoûtes ! Dit Audrey.
Ma femme semblait paralysée de peur.
Je sentis les larmes monter à mes yeux. La douleur était atroce.
                    Tu crois que c'est fini ? Me demanda Fanta.
Et elle recommença. Elle piétina mon entrejambe avec rage. Automatiquement je me pliai en deux, plaçant mes mains dessus. Mon corps tentant tant bien que mal de protéger mes parties. Les larmes coulaient, je tentai de réprimer des cris de douleur, mais je ne réussis pas.
                    Audrey tiens sa main gauche, Scara sa main droite ! Ordonna Fanta à ses deux sbires d'un air sadique.
Elles s'exécutèrent. Je ne pouvais à présent plus me protéger. Ma propre fille me bloquait le bras pour que son amie me détruise l'entrejambe.
Fanta recommença encore et encore. Ses petits pieds sautaient, foulaient, éclataient mon entrejambe.
C'était comme si l'on me martelait le sexe de coups de marteau. Je me sentis défaillir. Fanta s’arrêta alors, sous les cris de guerrière de ses amies.
                    Fils de pute, ça t'apprendra. Je pourrais très bien aller te balancer aux flics pour attouchements, ta femme et même ta fille t'ont vu. Hein Audrey ?
Audrey approuva.
Paralysé par la douleur, je ne réussis qu'à émettre que de petits borborygmes de douleur.
                    Putain t'es vraiment trop moche. Me dit Fanta en me fixant, comme si elle était sur le point de vomir.
L'horreur de ses propos et de ce qu'elle venait de me faire contrastait avec l'intense beauté de son visage, la pureté, la perfection de sa peau, la douceur de ses lèvres.
                    Si je veux, ta vie je la brise. Mais comme je suis sympa, je le ferai pas. Tu me donnes quoi pour me remercier de mon silence ?
Paralysé je ne réussis à rien dire. Cela sembla la mettre en colère, car elle m'attrapa la tête violemment, plongeant ses ongles manucurés dans mon crane, tellement fort que je sentis ma peau s'enlever.
                    J'ai pas entendu de réponse, hurla t-elle avec sadisme, enfonçant d'avantage ses beaux ongles dans ma peau.
                    J... Q.. Qu'e.. Qu'est ce que vous voulez ? Dis-je faiblement, la voix chevrotante, les yeux larmoyants.
                    A ton avis ? En plus d’être moche et gras, t'es débile ? Envoie de la thune, bordel !
                    Ouais envoie de la thune, fils de pute, sinon on te balance aux flics, dit Kimberley en me crachant au visage.
                    Il est où ton portefeuille, bâtard ? Me demanda Fanta.
Je refusai de répondre. Je comptais justement donner de l'argent de poche à Audrey pour son anniversaire. Il y avait plus de 500 euros dans ce portefeuille, bien que pétrifié par la douleur, et craignant qu'elle continue de me frapper, je refusai de donner cet argent à Fanta.
                    T'es sérieux de pas me répondre ?
J'entendis un bruit sourd. Puis une douleur se propagea dans mon crane. Un bourdonnement intense provenait de mon oreille. Elle venait de m'envoyer une droite sur la tempe gauche. Les larmes jaillirent de mes yeux, et mes cordes vocales émirent des gémissements inquiétants. Fanta eut l'air satisfaite. Audrey me regardait avec pitié.
                    Alors ?
Craignant une autre droite, je lui désignai du menton une chaise sur laquelle se trouvait mon manteau. Elle ordonna à Kimberley d'aller regarder. Celle ci fouilla dans mon manteau et trouva mon portefeuille, elle alla l'apporter à Fanta. Celle-ci l'ouvrit violemment, en sortit une liasse de billets de 100.
                    Putain t'es plein aux as, toi. Maintenant écoute moi bien, chaque moi tu devras raquer pour pas qu'on aille te balancer aux flics. T'as compris ?
Et elle me cracha dessus.
Elle prit l'argent, le mit dans sa poche.
Et les 3 comparses s'en allèrent après avoir détruit ma famille en moins de 2 heures.

2 commentaires:

  1. Yeesss ! J'imagine même pas ce que vont faire Fanta et ses copines de leur nouveau pouvoir :)

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  2. c'est pour quand le chapitre 16 de cette fabuleuse et bandante histoire merci beaucoup

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