vendredi 18 mai 2012

Histoire : L'homme créé pour la Femme


http://www.auxpiedsdesfemmes.com/histoires/autres/autre018.html 

Je m'appelle Heather K. et je suis ravie de vous annoncer que j'ai suivi le chemin que d'autres Femmes (des Femmes plus expérimentées), des Femmes telles que vous, ont montré à ma génération. Je possède actuellement mon propre misérable esclave. C'est mon beau-père, ou plutôt mon ex-beau-père, Richard. Croyez-le ou pas, ce chauve décharné était marié avec ma mère. Cela était étonnant en soi, parce que maman a toujours été du genre sûre d'elle. Traditionaliste et parfois un peu vieux jeu, mais sûre d'elle ! Les seules qualités qu'elle a pu lui trouver, j'imagine, sont son argent et sa prédisposition à l'obéissance. Ils se marièrent il y a six ans, alors que j'avais 14 ans mais ont divorcé l'année dernière. Depuis lors, il est vraiment devenu ma propriété et j'adore le traiter comme le déchet qu'il est.
        Je n'étais pas très heureuse que maman épouse cet abruti. Ce qui est drôle, c'est que je ne le considère même pas comme un homme ! Il ne ressemble pas à mon père. Il est grand, mais il paraît s'être échappé d'une série télé genre "le retour vengeur du pauvre type". Il a 43 ans, mais faisait déjà plus vieux que ses 38 ans à l'époque. Sa calvitie, son menton fuyant, sa physionomie désolante le font ressembler à la lavette par excellence. Pourtant, maman m'avait fait promettre d'essayer de m'entendre avec lui, ce que je fis, mais seulement devant elle.
        A l'époque, je n'avais que 14 ans, mais j'aurais dû comprendre plus vite qui il était ! Richard avait réussi dans la vie et était modérément riche (suffisamment en tout cas pour pouvoir se payer des domestiques), mais il insistait pour que tout se fasse à l'intérieur de la famille. Il était toujours volontaire pour faire la lessive, la cuisine, la vaisselle et toutes ces corvées, pas quelque chose qu'un homme dans sa position fait d'habitude. Ma mère était contente, pensant qu'il était juste un bon mari, mais je trouvais ça étrange.

        Richard était aussi toujours heureux d'aider. Une fois, pendant le dîner, j'eus besoin de sel. J'étais sur le point de me lever pour aller en chercher à la cuisine, mais il bondit : "oh, je vais y aller !" et il alla effectivement chercher le sel pour moi. Maman sourit, mais je ne pus m'empêcher de penser que c'était un pauvre type. Mais tous ces indices ne signifièrent rien pour moi avant que je n'atteigne l'âge de 16 ans et que je ne découvre Richard en train de se masturber dans la buanderie un samedi matin. Il avait une de mes culottes sales sur la tête, une paire de mes mi-bas en nylon dans la main, et il la pressait contre son nez.

        Au début, je fus choquée, mais j'ai juste ri pendant qu'il se caressait jusqu'à l'extase. Il ne m'avait pas vue. Je ne sais pas pourquoi, ça me fit vraiment chaud de penser qu'un homme pouvait s'exciter à ce point avec mes sous-vêtements ! C'était vraiment une excitation puissante pour moi, à seulement 16 ans.

        Tout à coup, cet homme que je ne pouvais pas supporter depuis deux ans éveillait ma curiosité. Plutôt que de l'éviter, je me mis à l'allumer jusqu'à la crise cardiaque. Pendant que maman était occupée le week-end à sa petite boutique d'antiquités, je faisais en sorte que Richard puisse loucher autant qu'il le voulait sur ce corps qu'il désirait tant. Je me mis à déambuler dans la maison en petite culotte et soutien-gorge, ou en bikini, ou en collant de gym. Il se transformait en idiot balbutiant lorsque je faisais ça. Je réussis même à le convaincre de faire des exercices avec moi les samedi et dimanche matins. Je mettais une cassette, mon collant le plus collant, le plus sexy, et m'assurais qu'il était toujours derrière moi pendant la séance afin qu'il ait la meilleure vue possible de mon joli cul moulé dans le collant. C'était vraiment drôle de l'allumer de cette manière. Approcher mon derrière en collant, tout transpirant, le plus près possible de son visage, devint comme une mission que je me fixais. Et lorsque mon cul heurtait accidentellement son visage ou sa tête pendant un exercice, je faisais comme si je n'avais rien senti.

        Peu après, Richard devint fan de gymnastique matinale. Il me réveillait en me disant "Heather ? je suis prêt pour ta séance" Je riais en moi-même "Ouais, t'es surtout prêt à regarde mon cul". Cela dura six mois, avant que je ne fasse une découverte...

        Maman et Richard partirent au concert un soir et j'en profitai pour me glisser dans son étude. Quelques uns des gros tiroirs de son bureau étaient fermés, mais je dénichai la clé. Dans ces tiroirs, je découvris des dizaines de magazines et de publications traitant de domination féminine, ainsi que son "journal" (les hommes sont si ignorants ! Ils tiennent un journal intime mais l'appellent simplement "journal" parce qu'ils ne veulent pas avouer qu'ils ont un côté sensible). En tout cas, je lus ces documents avec grand intérêt. Certains articles et histoires étaient mis en valeur, et c'est ainsi que je découvris qu'il aimait être rabaissé par les Femmes. Il aimait les insultes, les humiliations verbales et il était fétichiste du pied. J'en obtins confirmation en lisant son "journal".
        Ledit "journal" se révéla particulièrement instructif : je devais y être mentionnée une centaine de fois. Il écrivait à quel point il me trouvait jolie (je mesure 1,62m, pèse 50 kg, j'ai de belles mensurations et de longs cheveux blonds pour encadrer mon beau visage), combien il aimait vivre près de moi et comment il donnerait n'importe quoi, paierait n'importe quel prix juste pour pouvoir adorer mes pieds. Mes pieds ? De tous les charmes de mon corps superbe, il désirait mes pieds ! Je me mis à réfléchir "peut-être suis-je encore plus belle que je ne le crois ? J'avais hâte de voir quel parti je pouvais tirer de ces constatations.

        Le lendemain était un dimanche. Comme d'habitude, je remuai mon petit cul devant son visage niais [...]

        A l'époque où je finissais le lycée, Richard était devenu tellement obsédé par moi que ça le rendait zinzin. Il m'arrivait de sortir de la salle de bain vêtue d'une simple serviette et de me vernir les ongles des pieds juste devant lui. A 18 ans, je lui fis me vernir les ongles des pieds. Le jour de mon dix-neuvième anniversaire, je lui annonçai que je connaissais ses fantasmes à propos de la domination féminine et que j'allais tout révéler à ma mère. Cette espèce de cruche se jeta à mes pieds en me suppliant de ne pas le faire, et je le fis chanter pour qu'il me paye une nouvelle garde-robe et une voiture d'occasion.

        Je le dominais déjà depuis six mois lorsque ma mère m'annonça leur divorce. Je n'étais pas déçue ! Richard déménagea pour s'installer dans un appartement, puis s'acheta une nouvelle maison dans le même mois. C'est à ce moment que je me présentai, en lui annonçant que je comptais emménager chez lui. Il était plus que content, jusqu'à ce que je dicte mes conditions et lui explique que tout dépendrait de son obéissance envers moi. Il accepta et je m'installai à titre temporaire.

        Le premier mois d'essai fut du tonnerre ! Je le maltraitais si méchamment que c'en était dingue ! Il courait partout pour m'apporter telle ou telle chose, il faisait la cuisine, lavait mes petites culottes à la main. Moi je le giflais, le fouettais, lui crachais dessus, lui donnais des coups de pied, je le traitais comme un détritus et il aimait tellement ça qu'il m'en remerciait ! Cela me plaisait également, à tel point que j'invitai quelques amies pour partager la fête ! Après le dîner et le vin (servis par le crétin, bien sûr), nous lui ordonnâmes de nous masser les pieds (sans retirer nos collants) et de nettoyer le cuir de nos chaussures avec sa langue. Dee, ma copine d'origine espagnole, appréciait vraiment cela. Elle portait des bottines noires qu'elle lui fit lécher avant de s'en servir pour lui botter le cul cinquante fois. J'adorais ça ! Nous lui fîmes aussi sentir la puanteur de nos pieds gainés de nylon. Il devait nous baiser les pieds et nous, nous lui crachions en pleine figure, ou dans la bouche. Je le giflai aussi à répétition, avec une raquette. J'ai forcé Richard à embrasser mon cul une centaine de fois devant mes amies. Je me servais aussi de sa main comme d'un cendrier. Finalement, mes amies prirent congé. Elles ne voulaient pas partir parce qu'elles s'amusaient tellement à humilier cette lavette, mais il se faisait tard et j'avais envie d'aller au lit.

        Actuellement, les choses ne pourraient pas être meilleures ! Tout ce que j'ai à faire, c'est aller à la fac trois jours par semaine et vivre comme une reine. Richard fait toutes les corvées, y compris ma lessive et mes devoirs. Il paye pour tout et vénère le sol sur lequel je marche. Ce débile lamentable est mon majordome, ma bonniche et je m'essuie les pieds dessus. Sa figure a été consciencieusement giflée par ma main, une culotte ou une chaussure, et son postérieur affreux battu à vif. J'aime tout particulièrement cracher sur son visage stupide et écraser le tout sous mes pieds en collants. C'est un chien-chien-esclave très obéissant.

        La domination féminine m'a toujours fascinée. Je sais que nous sommes Supérieures aux hommes, et j'use et abuse de ce privilège. C'est marrant comment une fille si petite comme moi peut maîtriser si complètement un homme si grand. Je veux dire, mon esclave fait trente centimètres de plus que moi, fait deux fois mon poids et a plus du double de mon âge. Pourtant, il est entièrement en mon pouvoir. Il ne désobéit jamais, parce qu'il sait que je ferais de son cul une pulpe sanguinolente, et j'aime le menacer de châtiment. Actuellement, j'ai une tenue pour chaque jour de l'année, je possède deux voitures, trois douzaines de paires de chaussures et des quantités d'or. Richard me paye tout cela par respect pour moi, ce que tout mâle inférieur DEVRAIT faire. Je vis comme une reine et j'ai un homme que je fais marcher à coups de pied. Qu'est-ce qu'une femme pourrait demander de plus ? Merci V., je suis désormais une lectrice assidue de "Corporal", "The Dominant View" et de "Capitulation".
        Je le serai toujours !

        Avec toute mon admiration,

Heather 

jeudi 17 mai 2012

Histoire BBforum : Mauvaise rencontre dans le train de banlieue

Un bon forum de ball-busting : 
http://ballbusting.leforum.tv/t189-Mauvaise-rencontre-dans-le-train-de-banlieue.htm


Je rentrais tranquillement dans ma banlieue avec ma petite cousine de 14 ans un dimanche après-midi. Le train était quasiment vide, calme, mais comme la banlieue est très sensible, j'avais décidé de la raccompagner chez elle. Après tout, plusieurs filles s'étaient déjà faites violées dans ce train bien trop calme, et ma cousine étant plutôt jolie et sexy, je n'avais pas envie que ses parents la récupèrent avec les collants déchirés et du sperme coulant de son corps…
J'aurais peut-être mieux fait de me méfier pour moi ce jour-là…


Lors d'un arrêt, c'est là qu'elles sont montées, une bande de 5 filles de 16-17 ans, plutôt mignonnes, mais terriblement vulgaires. Tout de suite, elles ont commencé à chercher la merde auprès des quelques voyageurs qui restaient dans le train.
"Ne les regarde pas", je disais à ma cousine. Du haut de mes 25 ans, plutôt baraqué, elles ne me faisaient pas peur, mais autant éviter les ennuis…


Trop tard, elles l'avaient repérée…
"Alors poupée, on s'habille comme une pute pour aller se faire sauter ?" lui lança l'une d'elle, habillée d'un jean troué moulant et d'un petit haut bien décolleté qui laissait apparaître ses petits seins.
Ma cousine, bien qu'habillée en jupe assez courte avec des collants et de petites bottes, semblait bien moins provocante que ces jeunes filles en manque de sexe.
J'intervenais "Laissez-là tranquille !"
"Oh mais t'es avec ton mac", balança une autre. "Il va pas être content si on te tape ?!" Et avant que j'ai pu faire quoi que ce soit, elle lui asséna une claque magistrale.


C'en était trop. Je me levais et attrapait celle qui avait osé lever la main sur ma cousine, une petite asiatique qui portait de très hauts talons et était habillée d'une manière de dire "viens me baiser", pour la gifler à mon tour.
C'est là que j'ai compris mon erreur. Les autres filles s'étaient regroupées autour de moi, et à peine ma main s'était-elle posée sur la joue de cette jeune fille que toutes se mirent à m'asséner de coups de poing. Et elles étaient fortes pour let âge !
Le train avait marqué un nouvel arrêt, et les rares personnes qui restaient s'empressèrent de sortir du wagon. Lâches.
Mon visage fut roué de coups, tout mon corps aussi, mais ces vicieuses s'acharnaient plus particulièrement sur mes couilles, les écrasant à coups de poing et de pieds. Le souffle coupé, je tombait à leur pied. Ma cousine, impuissante, s'était mise à crier et à pleurer, mais personne ne prêtait attention à elle.


"Enlevez-lui son fut' les filles, on va lui montrer de quoi on est capable !" cria celle qui semblait la plus âgée d'entre elles, une jeune fille avec une très belle poitrine, qui m'aurait fait fantasmer si elle n'était pas en train de m'éclater les couilles…


Impuissant, je sentais une poignée de mains défaire mon jeans, certaines donnant un nouveau coup dans mes parties au passage, ou en profitant pour les serrer. Mon boxer lui aussi fut vite déchiré par ses filles qui n'en voulaient qu'à mes couilles. Je me retrouvais nu devant ces 5 filles excitées et ma petite cousine, spectatrice impuissante qui fixait là où j'étais encore un homme…


Après avoir serré et frappé mes couilles encore quelques minutes, alors que je n'en pouvais plus, l'une d'elle s'exclama "Allez les filles, on le castre contre le poteau!"


"Noooooonnnnn!!!!" je criais, mais déjà elles me saisirent par les jambes et les bras et me dirigèrent vers le poteau d'acier où les gens normalement se tiennent pour ne pas tomber.
"Blammmm" mes couilles s'écrasèrent contre le dur poteau, et je criais de douleur. Mortes de rire, elle recommencèrent une dizaine de fois avant que je ne finisse par tomber dans les pommes…


Je repris conscience quelques instants plus tard en pensant que tout ça n'était qu'un cauchemar, mais j'étais bien toujours allongé dans le wagon, 5 jolies filles autour de moi et ma cousine un peu plus loin, tétanisée, qui ne manquait pas une miette de la scène…
"On va jouer à un petit jeu bouffon" me dit l'une d'elle. "On aime bien voir les mecs se ridiculiser, alors on va te laisser 2 minutes pour te branler et éjaculer. Si tu y arrives, on vous laisse tranquille et on se casse. Sinon, on oblige ta meut là-bas à te castrer, et on l'aide. Top chrono !"


"Non, s'il vous plait !…" je gémissais.
"1 minute 50" aboya celle qui avait lancé son chrono sur son téléphone.


Ne les provoque pas, je me dit… 6 paires d'yeux rivées sur moi, j'entrepris donc de m'astiquer le manche. Mes couilles me faisaient super mal, mais la vue de ces jeunes filles autour de moi redonnait à mon sexe quelques couleurs… Je matais sans vergogne ces petites putes, m'imaginant en chacune d'entre elles, en train de les défoncer ou me faisant sucer.
"30 secondes, dépêche toi !"
Je me branlais maintenant frénétiquement. Je regardais également ma petite cousine, encore jeune et pourtant si sexy, avec ses jolis seins encore bien fermes, et un petit cul tellement tentant. Je m'étais déjà branlé bien des fois en pensant à elle… Je regardais tous ces culs autour de moi et sentait la semence venir…
"5… 4… 3… 2… 1… TROP TARD!!!" hurla celle qui tenait le chrono en me mettant un puissant coup de pied dans les couilles.
C'est le moment que choisit mon sperme pour s'échapper et aller d'écraser sur la jambe de la jeune fille, et un peu partout autour, sous le regard amusé de toutes les filles.


"Hé ben, on t'excite à ce point ou t'as pas baisé depuis longtemps ? Y'en a beaucoup!"
"En tout cas, t'aurais peut-être pu finir à temps si t'avais pas perdu ton temps à parler !", me lança avec un sourire celle qui avait de hauts talons. S'approchant de moi, elle souleva sa jambe droite au-dessus de mes couilles devenues presque violettes et…



"On va te castrer pour en avoir mis partout !" me dit la petite asiatique en plaçant son haut talon aiguille au-dessus de mes couilles. Je vis un petit sourire vicieux se dessiner sur son visage, puis sans que je puisse bouger, je vis son pied s'abaisser rapidement et senti une douleur immense m'envahir lorsqu'elle planta son talon dans mes couilles. Je hurlais alors que mes agresseuses étaient mortes de rire.
"Manqué", lui dit une de ses copines aux gros seins. "Sa couille s'est échappée !" En effet, malgré la douleur, je pouvais constater que mes boules étaient "intactes". Ouf...


"Allez, on va s'amuser s'amuser un peu". Deux d'entres elles se dirigèrent vers ma petite cousine Chloé et la forcèrent à venir près de moi.
"Frappe-lui les couilles !"
Surprise, Chloé fixa un instant mes boules endolories. Ma cousine regardant mes bijoux de famille… Dans d'autres circonstances, ç'aurait été un rêve éveillé, et j'aurais bandé comme un taureau. Là, j'avais les couilles meurtries par l'écrasement qu'elles venaient de subir, et la douleur était tellement forte que je en pouvais pas bander, mais mon sexe réagit cependant un tout petit peu à cette situation.
La surprise passée, Chloé se débattait. "Non!" cria-t-elle. "Laissez-le tranquille !"
"Éclate-lui les couilles on te dit ! Montre lui qui est le sexe dominant !" Ma cousine se débattait toujours. "Écoute, tu fais ce qu'on te dit, ou c'est nous qui te violons avec des godes et des bouteilles, ok ?!"


Les filles se faisaient agressives. Sachant que je n'échapperait sans doute pas à la correction, et voulant protéger ma cousine, je lui dit :
"Fais-le, Chloé, fais ce qu'elles te disent et qu'elles nous laissent tranquilles…"
Chloé était abasourdie
"Mais… tes couilles…". Les filles autour étaient mortes de rire.
"Allez, démerde-toi, on n'a pas que ça à foutre !" dit l'une d'elle.
Je fixait ma cousine du regard. "Vas-y" put-elle y lire.


Timidement, elle plaça alors son pied au-dessus de mes couilles, et gentiment me donna un petit coup. Je sursautais un peu, plus de crainte que de douleur, tellement le coup était faible.
"Ça va ?" me demanda ma cousine
"Plus fort !" lui hurlèrent les autres filles.
Placée au dessus de moi, elle était terriblement sexy. J'avais une vue parfaite sur sa petite culotte et mon sexe commençait à se dresser à nouveau. Chloé avait dû le remarquait et me donna un autre coup, à peine plus fort, me lançant un regard réprobateur.
"Regardez comme il bande ce pervers", lança une des filles. "Tape plus fort, qu'il débande !"
Un autre coup, encore un peu plus fort, et la douleur se réveillait. Ma cousine semblait de plus en plus à l'aise, j'aurais même cru voir un soupçon de plaisir dans ses yeux."


Un coup encore plus fort, puis un autre. Et un coup beaucoup plus puissant. Je criais, ma cousine s'arrêta.
"Continue !" lui crièrent les autres. "Ou on lui montre tes seins ! Tu voudrais pas que ce pervers te voies à poil, si ?!"
Rien qu'à l'idée, mon sexe se dressa fièrement. C'est le moment que choisit Chloé pour m'asséner un coup violent dans les parties. Puis un autre, encore un autre ! Mon sexe débandait aussi vite qu'il s'était dressé. Mais ma cousine ne s'arrêtait plus. Les filles autour d'elle l'encourageaient :
"Écrase-lui ! On sait que t'en as envie !"


Rien n'arrêtait plus ma cousine qui prenait un malin plaisir à me broyer les couilles. Je criais, tentais de me débattre, mais les filles me tenaient fermement.
"Elles ont raison", me dit Chloé à ma plus grande stupeur, s'arrêtant un instant de frapper. "À chaque fois que tu me vois, t'arrête pas de me mater les seins, le cul. C'est ça que tu veux voir ?" D'un coup, elle remonta son haut pour laisser apparaître l'objet de tous mes fantasmes, ses jolis seins bien fermes. Bien que souffrant le martyre, mon sexe se redressa presque immédiatement. La petite asiatique s'en empara et commença à me masturber frénétiquement. Une autre fille se mit à malaxer mes couilles violettes pendant que ma cousine plaquait sa poitrine contre mon visage.
"Profite-en, ça va pas durer" me chuchota-t-elle
Les mains tenant mes couilles se mire à les serrer très fort, mais déjà, je répandais une nouvelle fois ma semence dans le wagon. Le plaisir laissa place à la douleur intense lorsque les doigts serrèrent encore un peu plus fort mes couilles. Puis les relâchèrent. Je cru un instant que tout était fini. Une fraction de seconde seulement. Car les coups de pieds, poings et genoux s'abattaient sur mes couilles de plus belle. Les filles s'acharnaient sur mes parties, Chloé également.
"Noooooooooooooooonnnnn!!!!" je hurlais.
"Tu materas plus jamais personne !" me cria-t-elle, se préparant à écraser mes couilles.
"Éclate-lui! Broie-lui" lui criaient les filles.


Plaçant son talon sur mes couilles, elle appuya soudain d'un coup sec, plaçant tout son poids sur un seul pied. Je hurlais, mais mes couilles tenaient bon. Après tout, elle n'était pas bien lourde…
"Saute !" lui crièrent les autres filles. L'une d'elle, excitée par tout ceci, était en train de se doigter. Aucune ne prêtait attention à mes cris.
Chloé sauta une fois. Raté.
Deux fois. Sous la pression, ma couille droite éclata. Je m'évanouis alors que Chloé se préparait à sauter une nouvelle fois…


Lorsque je repris conscience, j'étais seul, allongé dans le wagon, le train arrivait à son terminus. Mes couilles n'étaient plus qu'un souvenir.
Ma cousine était devenue une éclateuse de couilles et s'était faite de nouvelles amies.
Je ne parla de mon expérience à personne, ni même ne racontait au médecin qui m'accueilli aux urgences comment c'était arrivé.


Je revois de temps en temps ma cousine, qui agit comme si rien ne s'était passé. Tout juste me chuchote-t-elle à l'oreille le nombre de gars qu'elle a calmé ou éclaté à chaque fois. Ça ne m'offusque pas, je suis un châtré maintenant...

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J'espère que vous avez aimé l'histoire !

Histoire HDS : Cette petite branleuse qui me domine (4ème partie)

Après être resté au bureau jusqu’à minuit, je rentre chez moi espérant que ma femme
soit endormie. Cette petite branleuse m’ayant fait gicler dans mon jean, des tâches
étaient plus que visibles, et elle souhaitait que je reste ainsi pour venir la
chercher, plus par jeu, cette petite humiliation de garder mon pantalon souillé
l’amusait.

J’arrive chez moi, aucune lumière, tout le monde dormais, je rentre et m’installe
devant la télévision pour patienter.
J’étais dans un état d’excitation permanent en repensant à Natasha, à sa peau douce
que j’avais touchée, à ses baisers sur ses seins, son cou et sa bouche, même si elle
n’avait rien fait pour rendre agréable ces baisers sur la bouche. J’ai du me branler
plus de 3 ou 4 fois avant de tomber de sommeil et m’endormir sur le canapé.

A 4h15, les vibrations de mon téléphone me réveillent, c’était le SMS tant attendu de
Natasha :
[Attend-moi sur le parking]

Je me réveille, passe de l’eau sur le visage pour m’aider à reprendre conscience, mon
jean est collé à ma cuisse, je ne peux m’empêcher de penser « qu’elle salope cette
petite peste quand même »

Je prends ma voiture pour aller la chercher, je ne suis pas totalement réveillé, je me
force, « C… réveille-toi, Natasha t’attend pour un super spectacle », arrivé sur le
parking, peu de monde à l’extérieur, pas Natasha en tout cas, je stationne et
patiente.

Au bout de 20 mn, toujours pas de Natasha, quelle branleuse ! Je lui envoi un SMS :
[Je suis sur le parking]

5 mn plus tard, aucune réponse, je me risque à l’appeler, elle répond au bout du
troisième appel :
- Ouais, t’es là, j’ai compris, t’as un RDV ? Non ! Alors tu garde ton gros cul
sur le siège et tu attends

Elle raccroche, ouah ça c’est une réponse, l’alcool semble la rendre encore plus
insolente, j’en ai déjà eu l’expérience. Je patiente

15 à 20 mn plus tard j’aperçois Natasha sortir … Elle est accompagné d’un jeune mec,
je le distingue pas très bien à cette distance. Elle arrive à la portière arrière
droite, l’ouvre et monte en se poussant jusque derrière moi, le jeune mec la suit et
monte à coté, derrière le siège passager, c’est un jeune rebeu, Natasha me dit
simplement :
- C’est Rachid, tu connais, tu l’as eu au téléphone mercredi

Je ne m’y attendais pas, sachant en plus qu’il est au courant de mon achat pour
Natasha et probable qu’elle lui en ait dit plus ! Je ne suis pas très à l’aise, mais
Rachid prend la parole en s’adressant à Natasha :
- Tu fais chier avec ton plan, c’est relou

Natasha :
- C’est pareil, ça change rien, en plus je me suis engagé

Rachid :
- Et alors qu’est t’en à foutre de sa gueule à ce connard

Natasha :
- T’as vu le fric qu’il a dépensé pour moi, toi qu’est que ça te coute, rien,
fait pas la gueule merde

Si je pouvais m’en douter, maintenant j’en suis sur, c’est de moi qu’ils parlent :
- Natasha, de quoi tu parle …

Natasha :
- Toi tu ferme ta gueule et tu démarre, direction chez moi, ok

Bon elle est hyper énervée, je roule en direction de chez elle.

Je ne peux pas voir Natasha dans mon rétro, par contre je vois Rachid qui tire la
gueule, pas un mot dans la voiture, mais je constate que Natasha lui caresse la jambe,
par ses mouvements remonte à son entre-jambe, certainement pour le calmer, ça n’a pas
l’air de fonctionner.

Puis Natasha me tape sur l’épaule et toujours aussi énervée me dit :
- Le petit parking de la dune à coté du X.., tu connais ?

Comment ça si je connais ??? On y était il y a quelques heures ???

Ce qui veut dire que mes craintes que Rachid connaisse toute l’histoire ne sont pas
fondé, si elle lui a rien dit pour hier soir, pour le reste non plus, elle s’est tout
au plus vanté de se faire offrir un téléphone dernier cris.

Sa question me rassure pour ça et également pour ma surprise, mais Rachid ? C’est vrai
qu’elle m’a souvent dit que j’avais une « bite de pd », ce qui veut pas dire grand-
chose d’ailleurs, mais un plan avec Rachid ne m’intéresse pas du tout, je ne dis pas
que me faire sodomiser par un gode ne m’a jamais traversé l’esprit, mais avec une
femme derrière pas un mec !

Je réponds hypocritement :
- Oui je sais où est ce parking

Natasha :
- Vas là-bas et gare-toi au fond

Là Rachid se réveil et dit à Natasha :
- Je n’ai pas envi de te baiser devant ce gros connard, merde, tu fais chier

LA SURPRISE !!! Natasha se faisant prendre par Rachid (probablement son copain du
moment), le tableau ne me déplaisait pas, la voir se faire baiser, voir ses seins,
humm l’idée m’excite, la voir jouir encore plus, comment jouit-elle, elle gémit, elle
crie ?

Natasha répond à Rachid d’une voix douce :
- Allez Rachid, tu fais comme s’il n’était pas là, il fermera sa gueule
t’inquiète

Rachid :
- Ouais, mais il reste dehors, pas dans la voiture

Rachid ne s’adressait jamais à moi, mais parlais de moi à Natasha comme si je n’étais
pas présent !

Natasha :
- Ok, pas de problème

On arrive enfin au parking des dunes, pas d’autres voitures, je me stationne et éteint
le moteur
Natasha prend la parole :
- Bon t’as compris le cadeau, t’es pas con à ce point là, alors tu descends, tu
peux te branler, mais je ne veux pas t’entendre, allez bouge toi gros porc

Je sors, je me positionne à coté de la portière de Natasha, il fait sombre, mais
heureusement c’est presque la période de pleine lune, donc il m’est facile de voir à
l’intérieur de l’habitacle.

Natasha se penche sur le sexe de Rachid, qui fait toujours la gueule, elle déboutonne
son jean, arrête, lui parle dans l’oreille, je n’entends pas, mais Natasha se penche
vers le tableau de bord, met le contact sans démarrer, revient à sa place et baisse sa
vitre et m’adresse la parole :
- Baisse ton froc

Je ne comprends pas vraiment ce qu’elle cherche, mais je le fais.
J’ai mon jean sur les mollets, la bite toute raide

Natasha se tourne vers Rachid et lui dit :
- Tu vois ce que je te disais

Rachid regarde ma bite en rigolant :
- Putain, et tu me dis qu’il est marié ! Sa meuf le fait cocu, c’est obligé

Natasha :
- De toute façon c’est une salope sa meuf, elle doit aimer se faire tirer

Rachid :
- Et faut que tu me la présente

Natasha :
- T’es con

Rachid :
- Je déconne, vu sa bite, ça doit être un cagot

Natasha :
- Tu serais surpris, tiens regarde je l’ais en photo à mon anniv

Rachid :
- Ah ouais, elle est bonne, c’est quand ta prochaine fête ave elle

Natasha :
- Tu vas pas te taper une vieille, t’es vraiment con

Et elle reprend sa position sur Rachid, lui sort le sexe, il bande comme un taureau

Elle est doué, tout ça, mon humiliation vis-à-vis de mon sexe, c’était pour détendre
Rachid, la garce elle sait y faire.

Je ne distingue pas très bien son sexe, il est plus long et plus gros que le mien
c’est sur, ce qui explique les moqueries de Natasha sur ma virilité, étant habitué au
sexe de Rachid, mais elle se rendra compte avec l’expérience, qu’un sexe de 15/16 cm
comme le mien n’est pas spécialement petit et que le contraire est plus exceptionnel.

Rachid ne semble pas avoir envi de faire durée les choses, il enlève la tête de
Natasha de sa bite, se lève comme il peut, dos à moi, lui demande d’enlever son string
et qu’il veut la prendre.
Je vois Natasha enlevé sa culotte, s’allongé sur le siège arrière face à moi cuisse
écarté, mais jupe baissée me permettant pas d’espérer voir sa chatte. Mais ses jambes
hum, je me branle comme un fou.
Rachid s’allonge sur elle et commence ses vas et viens, ma seule vue, les fesses de
Rachid, pas très excitant, mais je commence à entendre les gémissements de Natasha,
Rachid accélère, elle pousse des petits cris, humm j’en peu plus, je gicle sur la
portière de ma voiture.
Malgré ma jouissance, je continu de regarder le spectacle, ne voulant rien rater.
Rachid a un mouvement de recul, lève les jambes de Natasha et se remet en position.
Je comprends tout de suite qu’il va la sodomiser, mais mon espoir est de courte durée,
Natasha repousse Rachid et s’assoie sur le siège énervé, elle le regarde :
- Pas ça, tu le sais bien

Rachid :
- Il va bien falloir que tu essaye, allez dit oui

Natasha :
- Non, c’est non

Rachid se rassoit derrière le siège conducteur, referme son jean, et pour la première
fois me regarde et me parle :
- Tu monte et tu démarre ta caisse gros pd

Sa voix était agressive, je n’ais pas cherché à comprendre, j’ai démarré du parking en
direction de chez Natasha. Je la voyais dans le rétro remettre son string et réajuster
sa tenue, ce qui curieusement ne m’excitait pas, l’intonation de Rachid m’ayant fait
un peu peur, je préférais me tenir à carreau.
Je conduisais dans un silence de cathédrale

A l’approche de sa maison, Natasha prend enfin la parole, elle faisait également la
gueule :
- Arrête-toi 5 m avant la maison, là dans le virage

Je stationne à l’endroit demandé, elle descend ainsi que Rachid, elle me dit
simplement :
- Toi tu ne bouges pas

Ils s’éloignent de quelques mètres du coté gauche de la voiture vers l’arrière, je les
aperçois dans mon rétro, ils discutent, elle l’enlace et finissent pas s’embrasser, la
dispute est terminée.

Ils prennent la direction de la maison de Natasha, qu’est-ce que je fais ? Mais
surprise, Natasha tourne pour aller chez elle, par contre Rachid fait demi tour et
reviens vers moi !

Il ouvre la portière passager et s’installe, me regarde une seconde et me dit :
- Tu sais où s’est X…

Moi :
- Oui c’est à 20 mn d’ici

Rachid :
- Qu’est t’attend, démarre, je t’indiquerais une fois sur place

Malgré qu’il se soit réconcilié avec Natasha, le ton était toujours emprunt
d’énervement. Il était pas prévu que je face le taxi pour lui, mais ne le connaissant
pas et surtout pas ses réactions, je prends la direction de la ville qu’il m’avait
indiqué.

On était à peine parti, qu’il commence un monologue :
- Fait chier, jvoulais baiser, elle fait chier cette salope avec son cul, jvais
pas trouver de meuf à cette heure là

Je tente une réponse où plutôt la confirmation de sa réflexion :
- Oui, à l’heure qu’il est les boites sont fermées

Rachid :
- Qu’est tu me parle toi gros connard, tu connais quoi à la baise gros pd, hein
… Tu kiffe ma meuf, je suis sur que tu dois te branler tous les soirs en pensant à
elle

Et il se met à rigoler et reprend :
- Si elle te demandait de te branler devant elle, tu le ferais, hein … tu le
ferais connard

Si il savait, heureusement que non, je ne pense pas qu’il apprécierait.

Il réfléchi quelques secondes et s’adresse ouvertement à moi :
- T’habite où, ta meuf est chez toi ?

C’est qu’il serait près à se taper ma femme ce con, il doute de rien :
- Ma femme ? Ca va pas, non, il en est pas question, je te ramène chez toi c’est
tout

Rachid :
- Tu me joue quoi toi, si je veux baiser ta femme, je le fais, en plus je la
ferais crier cette chienne, ça la changera … C’est toi qui va m’en empêcher, hein,
mais je vais te démonter la gueule sale connard

Il devient hyper agressif, son regard est noir, j’essaye de calmer les choses :
- Il y a mes filles à la maison aussi

Rachid :
- Ouais … je la baiserais une autre fois ta femme, je peux venir la baiser quand
?

Merde alors, il ne lâche pas le morceau :
- Rachid stp, je ne veux pas, c’est tout et je ne suis pas sur qu’elle veuille
non plus

Rachid :
- Si je te prête Natasha, elle est bonne, t’as envi … et moi je baise ta femme,
c’est cool comme plan, non ?

Moi :
- Tu sais je suis certain que Natasha refuserai, je la connais bien pour ça

Je m’aperçois tout de suite de mon erreur, ma dernière phrase … Rachid réagi tout de
suite :
- Pourquoi tu la connais bien ! Tu l’as déjà baisé, tu la paye pour ça cette
pute, je comprends maintenant

Moi :
- Non, je t’assure, jamais, tu te trompe

Rachid ne répond pas, a-t-il compris ? il semble être calmé, plus aucune parole
pendant 2 mn, puis :
- Arrête-toi dans le chemin à droite après le bois

Moi :
- Pourquoi

Rachid :
- Arrête-toi et ferme ta gueule, je veux pisser, tu préfère que je pisse dans ta
caisse

Je tourne à droite et me stationne dans le chemin, Rachid descend, se positionne
devant la voiture pour pisser, dos à moi. La situation est gênante, je me dis qu’il
serait plus sage d’éteindre les phares, ne voulant pas paraitre pour un voyeur, même
si il m’a vu dans ce contexte, mais il y avait Natasha, j’éteins donc les phares.
J’entends Rachid crier :
- Rallume connard, tu veux que je me pisse sur les skeets

Je rallume immédiatement et vois Rachid la tête tourné en ma direction me regardant
plus que durement, il fini par se retourner et reprend son affaire.

Il fini, revient vers la voiture, mais de mon coté, il ouvre la portière, m’agrippe
par le col de la chemise et me tire dehors, je tombe sur le sol la tête la première,
les pieds encore dans la voiture.

Que veut-il, me frapper ? Me voler ? Tout me passe dans la tête durant ses quelques
secondes au sol. C’est vrai qu’il me fait peur, je vais pas m’en cacher, est-ce le
coté rebeu et l’image qu’ils ont, je sais pas, mais rien ne prouve qu’il soit aussi «
dur » qu’il veut bien le montrer, je ne suis pas un gringalet quand même, je ne sais
peut-être pas me battre, mais il y a personne d’autre que moi et lui, alors avec la
force, même en tapant n’importe comment je peux le mettre à terre, ce n’est pas un
gros gabarit.

C’est décidé, je ne vais pas me laisser faire par ce petit con de rebeu, je me relève,
fait face à lui et je le repousse violemment en arrière, mon geste le fait reculer de
plusieurs mètre mais il ne tombe pas, il me regarde, se met à rigoler :
- Tu veux en prendre plein la gueule toi

Il se rapproche avec une telle rapidité que je n’ais pas le temps de réagir, Je prends
un coup de poing au visage, un autre dans le ventre et pour finir un coup de pied dans
la cuisse, je tombe à genoux, mon seul reflexe est de me protéger avec mon bras et il
me lance :
- T’en veux encore ou t’en a assez

Je comprenais à peine comment il avait fait pour me frapper aussi rapidement et me
mettre au sol en aussi peu de temps, ses coups m’avait fait mal et j’étais mort de
trouille :
- Non, Rachid c’est bon
(Il savait frapper ce petit con, j’avais compris qu’il pouvait me battre sans aucune
difficulté)

Rachid :
- Bouge pas connard, alors tu fais quoi avec cette pute ?

Il voulait savoir, il ne lâchait pas le morceau, il fallait calmer le jeu :
- Mais rien ……..

Je reçois un coup de pied dans le ventre, je m’écroule à ses pieds, il me prend par
les cheveux, me lève la tête et me dit :
- Tu lui donne un téléphone comme ça toi ? T’avais l’air habitué tout à l’heure
avec cette salope, hein ? Ce n’était pas la première fois ? t’as intérêt à tout me
dire ou je te fais pisser le sang

Ok, autant dire la vérité, minimiser mes rapports avec Natasha, lui expliquant que je
ne faisais que me branler devant elle et que Natasha d’ailleurs n’appréciait pas ça
spécialement, puisqu’elle prenait plaisir à se moquer de moi et me gifler, mais qu’en
aucun cas je n’avais couché avec elle.
Je lui décrit tout en prenant soins de mettre Natasha en valeur, me dévalorisant le
plus possible et exagérant la domination de sa copine, ce qui devrait le calmer.

Rachid semblait surpris et soulagé en même temps :
- Elle te claque la gueule, te fais mettre à genoux et toi ça te plait, c’est
toi la pute … elle te traite comme une larve et tu lui paye un téléphone, ouhaou, elle
a trouvé le barge de service

La réalité semble l’avoir rassurée, mais je ne voudrais pas qu’il croit que mon
plaisir est de me faire frapper, l’idée pourrait être dangereuse avec lui, j’essaye de
lui démontrer que mon but premier est sexuel, mais sans qu’il puisse croire que je
veuille me taper Natasha, pas simple :
- Elle me laisse me branler quand même en la regardant, je ne suis pas maso
quand même, mais elle est jolie

Rachid :
- Putain si j’étais une meuf, avec toi je me taperais du fric, tu cherche quoi
exactement, c’est quoi qui te plais dans ce truc ?

Natasha avait remonté dans l’estime de Rachid, il en était presque fière, mais avait
de la peine à comprendre ce qui me plaisait à me faire humilier par Natasha, j’essaye
de lui faire comprendre :
- Je la trouve très excitante surtout et j’aime bien me branler en la matant,
elle est ne peut pas s’empêcher de se moquer de moi ou me gifler, mais moi ce que
j’aime c’est prendre mon pied en la matant, c’est tout.

Rachid essaye de comprendre et me dit :
- Et moi tu me donne quoi

Moi :
- Je ne comprends pas, Natasha me plait, pas toi, je ne suis pas bi, désolé

Rachid :
- Tu crois quoi connard, je ne suis pas pd … bouge pas je vais vérifier tout ça

Il prend son téléphone et appelle (je n’entends pas l’autre personne, mais je
comprends tout de suite qui c’est) :
- Nat
- ….
- Ton gros il m’a tout raconté, alors tu te laisse mater par lui
- ….
- Arrête ton cinéma, je sais que c’est vrai
- ….
- J’ai du lui en foutre plein la gueule, et il m’a tout dit, jt’ai même pris
pour une pute
- ….
- T’inquiète, j’ai compris, je sais que tu le claque aussi, t’as raison, ça vaut
le coup pour le tél, putain t’as des bon plan toi
- ….
- Non il est là, à genoux, moi aussi j’en veux un
- ….
- C’est la vérité je te jure, il me suce la bite ce pd
- ….
- Si, il a ma bite dans sa gueule
- ….
- Une tof ? T’es malade je te faisais marcher, je ne suis pas pd
- ….
- Et j’aurais le droit à quoi si je fais ça ?
- ….
- Tu ne diras pas non, tu ne déconne pas là ?
- ….
- Ok, ça marche, je la prends et je te l’envoi

Il raccroche, manipule son téléphone, revient vers moi, me dit :
- Putain jvais pouvoir l’enculer grâce à toi pd

Il me laisse pas le temps de comprendre, il sort sa bite toute molle, me colle la tête
à la portière ouverte, me met sa bite sur mon visage et me dit :
- Ouvre la gueule connard

Voyant mon refus, il me fout une claque, je me retrouve la tête contre le siège
conducteur :
- T’aime te faire claquer ou tu me la prends, allez ouvre ta gueule

J’ouvre la bouche, elle sent la pisse c’est dégueulasse, mais heureusement il ne bande
pas.

Et il prend une photo de moi, sa bite dans ma bouche, sort sa bite, recule, et je
pense envoi la photo à Natasha, elle ne tarde pas à appeler :
- Alors t’as vu ce pd, j’ai tenu ma parole moi
- ….
- Ok, t’as intérêt à tenir ta promesse
- ….
- A plus

Il a raccroché, fière de lui, il me regarde, me jauge de bas en haut me voyant assis
par terre, la tête appuyé, les yeux hagards, son regard est haineux, mais il semble
réfléchir, il se rapproche une nouvelle fois de moi, me colle sa bite sur le visage.

Instinctivement j’ouvre la bouche, il se couche littéralement sur moi en appuyant ses
mains sur le toit de la voiture, ce qui à pour effet de me faire engloutir entièrement
sa bite jusqu’aux couilles, j’ai des difficultés à respirer.

Pas un mot, il reste dans cette position quelques secondes, je sens sa bite qui prend
du volume, il se retire légèrement, puis d’un coup sec la rentre dans ma bouche, il
continu à une cadence lente mais avec violence. Sa bite semble énorme en bouche, je ne
réfléchis plus, je n’y arrive pas, j’essaye seulement de respirer les cours moments
qui me sont donnés.

L’étreinte se desserre, il relâche ses appuis de la voiture, il se tient débout,
recule de 20 cm en me tirant vers lui, sa bite toujours en bouche, me prend par les
oreilles avec ses deux mains et se met à me défoncer la bouche avec sa bite, ses
assauts sont violents et rapides, il ne s’occupe pas de moi, il baise c’est tout, il
me baise la bouche, se défoule de son manque de baise !

Elle est énorme, sa bite me prend à la gorge il s’en fout, il accélère et stoppe d’un
seul coup, ma bouche collée à ses couilles … J’entends un râle «
aaarrrrggggghhhhhhhhhhh … »

Il vient de décharger dans ma bouche, ça n’arrête pas, je suis en feu, son liquide est
chaud, les jets sont finis, ma bouche est pleine. Il recule, retire sa bite, je
respire enfin, son jus me sors de la bouche, ça coule de partout, obligé d’en avaler.

Il prend ma chemise à pleine main, tire dessus, faisant sauté les boutons du haut,
elle se déchire à l’épaule par la violence de son geste, me regarde de dégout et
s’essuie la bite avec ma chemise, rentre sa bite et referme sa braguette sans me
quitter du regard et me dit :

- T’as pas intérêt à en parler à Nat sinon je te fais pisser le sang

J’essaye de reprendre mon souffle, mes esprits, il m’a violé la gueule ce connard, si
il croit que j’ai envi de m’en vanter, bien sur que je dirais rien espèce de salaud

Il fait le tour de la voiture, s’assoit sur le siège passager, moi toujours assis par
terre, essayant de me reprendre, il se tourne vers moi et me dit :
- Tu bouge ton cul, on y va, et nettoie ta gueule sale pute

Je ne réponds même pas, je m’essuie le visage avec ma chemise, me lève péniblement,
m’assois et redémarre le véhicule pour reprendre la direction de son domicile.

Les 10 mn de parcours restant se font dans le silence, il m’indique seulement d’un
geste les directions à prendre, puis me fait signe de stationner devant un petit
immeuble.
Il se tourne vers moi avant d’ouvrir sa portière pour descendre et me dit :
- T’as aimé me sucer ma grosse bite de rebeu, hein sale pd, tu sais ce que sais
qu’un vrai mec … Va falloir que ta femme essaye aussi

Et il sort et disparait dans l’immeuble,

Aimé ? Comme si j’avais eu le choix, sale con

J’ais fait demi tour, enfin arrivé chez moi, tout le monde dormait, je me suis jeter
sous la douche et y suis resté plus de 30 mn. Je n’arrivais toujours pas à comprendre
ce qui m’était arrivé, j’ais sucé sa bite, non il m’a violé plutôt, mais en y
repensant dans la douche je bande, j’ai même envi de me branler !!!!!!

Histoire HDS : Cette petite branleuse qui me domine (3ème partie)

Je n’avais plus de nouvelle de Natasha depuis plusieurs semaines, nous sommes mi-juin et l’école n’est pas terminée, mais j’évite de me rendre disponible pour aller les chercher à l’école ma fille et elle. Je ne veux surtout pas être confronté à Natasha en présence d’autres personnes et encore moins en présence de ma fille. Toutes les excuses liées au boulot, je les ai testées, je peux même m’autoriser à revendiquer le titre d’expert dans ce domaine.

Cette absence de Natasha me pesait, cette petite peste m’avait rendu accro, moi un homme marié de 44 ans complètement en manque d’une gamine qui pourrait-être ma fille, je dormais mal, pensais à elle jour et nuit, je me branlais très souvent en me remémorant nos rencontres ou imaginant des scénarios plus excitant les uns que les autres.

Aucun appel, aucun SMS, je me sentais comme en manque.

Si un SMS un vendredi soir, ce qui m’a permit de la voir quelques minutes, mais rien à voir avec mes délires imaginés lors de mes séances de masturbation,

Je reçois ce SMS vers 23h00 :
(Je le retraduis pour que tout le monde puisse le comprendre, il me faut bien le relire 2 ou 3 fois pour en saisir le sens)

[Fait chier, je suis à X.. et j’ai plus de clopes, tout est fermé, tu en as ?]

Toujours les cigarettes ! Mais, bon sans elles rien ne se serait passé, je lui réponds :

[Oui, j’en ais]

Sa réponse est toujours aussi rapide, ah les jeunes et les SMS :

[Bouge et viens sur le parking X.., quand tu es là tu m’envois un SMS]

Elle semble être de sortie ce soir, et reste toujours aussi direct, ce qui me déplait pas, je l’attendais trop, je lui réponds :

[J’arrive Natasha]

Au bout de quelques minutes, aucune réponse ? Elle ne prend même pas la peine de me dire, je t’attends, ou merci, c’est vrai qu’un merci de sa part serait surprenant.

Je trouve une nouvelle excuse de boulot pour sortir, monte dans ma voiture et me dirige sur le parking indiqué.
Arrivée sur place, je stationne et lui envoi un SMS pour lui signaler ma présence, aucune réponse, je regarde mon téléphone, non rien, ça fait 5 mn que je lui ais envoyé ? J’en renvois un second, mais toujours rien. Au bout de 10 mn, un appel, le numéro n’est pas enregistré, ce n’est pas elle, je réponds et je reconnais immédiatement la voix de Natasha qui me dit :

- T’es où exactement ?

Moi :
- Ce n’est pas ton numéro de téléphone ?

Natasha :
- C’est à une copine, j’ai plus de forfait, t’ais où ?

Je lui indique mon stationnement le plus précisément possible, deux minutes plus tard je la vois arriver accompagnée de trois autres filles et deux garçons. En la voyant s’approcher de ma portière, je ne peux m’empêcher de l’admirer dans sa mini jupe en jean, petit top vert très décolleté et un petit gilet boléro par-dessus, elle est craquante.
Elle s’approche, les cinq autres restants à 4/5 m, ma vitre est baissée, elle s’y appuie me donnant une vue inespérée sur sa jolie petite poitrine, le remarque et me dit :

- Profite en, t’as les clopes, t’as combien de paquet ?

Moi :
- J’en ai pris un neuf pour toi …….

Natasha ne me laisse pas terminer :
- Pas tu mais VOUS, t’es pas assez barge pour vouloir te faire claquer devant eux quand même, si ?

Moi :
- Non, je ne préfère pas

Natasha :
- T’inquiète gros porc, bon je te demande pas combien de clopes tu as prévues pour moi, mais combien tu en as, commence pas à m’énerver

Moi :
- Un paquet neuf et la moitié d’un autre, je n’ais que ça

Natasha :
- Alors donne, donne les deux paquets

Moi :
- J’en aurais plus pour moi ?

Natasha me prend le menton, me regarde fixement avec son petit sourire moqueur et me dit d’un ton très doux :
- Qu’est-ce tu veux que ça me foute, tu matte mes seins là, ça les vaut, non ?

J’acquiesce et lui remet les deux paquets, elle les prend avec un sourire satisfait et se relève, puis semble réfléchir quelques secondes, puis reprend sa position, descend sa main sur mon sexe, la retire et me dit :
- Je te fais bander, hein, il t’excite mes seins, t’as ta petite bite bien dure mon gros, hein.. t’as combien de fric sur toi ?

Moi :
- Je ne sais pas, 20 à 30 euros

Natasha :
- Donne

Moi :
- Que je te … pardon vous donne … (le faite de la vouvoyer m’a tout de suite remis à ma place, la question se posait pas) … oui tout de suite

Je fouille dans ma poche et lui remet tout ce que j’avais, 28 euros et quelques centimes, elle les prend, se retourne vers son groupe de copain et leur montre l’argent comme un trophée et dit :
- On va pouvoir aller à la fête foraine

Se retourne vers moi :
- Ben voilà, il est gentil le gros porc, il va pouvoir aller se branler maintenant

Et d’un ton plus autoritaire et emprunt de dégout :
- Dégage

J’ai redémarré et quitté immédiatement le parking, elle avait raison, quelques kilomètre plus loin, je me suis garé dans un petit chemin et me suis branlé en revoyant ses petit seins, j’ai giclé en à peine 2 mn.
Puis je suis revenu bien sagement chez moi
Un paquet et demi de cigarette et plus de 28 euros pour mater de jolie petit seins dans un décolleté et pouvoir me branler après, c’est beaucoup quand même, petite branleuse elle fait ce qu’elle veut de moi.

Après ça plus de nouvelle jusqu’à ce mercredi (5 jours plus tard), je reçois un SMS d’un numéro que je ne connais pas :

[Appel-moi sur ce numéro, Natasha]

Ce numéro ne correspondait pas au numéro de téléphone de sa copine qu’elle avait emprunté vendredi dernier, j’appel, ça décroche mais personne ne répond, je dis :

- C’est C..

Je reconnais la voix de Natasha :
- Mon téléphone marche plus, les touches déconnent, et en plus j’ai un forfait à la con, alors tu va m’acheter un X.. (Marque d’un téléphone) et me prendre un forfait illimité, internet et tout le reste ok ?

Moi :
- Natasha, il est cher ce téléphone et un forfait illimité ce n’est pas donné

Natasha avec une petite voix douce et sensuelle :
(Ce qui tendait à prouver qu’elle n’était pas certaine de son emprise sur moi)
- Fait ça pour moi, t’as du fric toi, t’inquiète pas je saurais te remercier, tu auras un cadeau, tu t’en rappelleras

Moi, trop heureux à l’idée du cadeau, ce moment va être inoubliable « tu t’en rappelleras » comment refuser :
- Bon d’accord, mais ce n’est pas facile, ce genre de dépense pourrait se voir, ma femme pourrais s’en rendre compte

Le ton de Natasha change, elle a compris que je ne pouvais rien lui refuser, elle ne prend plus de gant, sa voix est autoritaire et une certaine méchanceté :
- Ta salope, je m’en tape, tu l’achète et tu me rappelle sur ce numéro quand tu l’as, t’as compris

Je n’ais pas le temps de répondre que la tonalité résonne, elle a raccroché, certaine de mon acceptation.

Le lendemain, je me rends dans une boutique de téléphonie mobile, achète te téléphone et prend un abonnement illimité.

Tellement impatient de mon « cadeau », que dès la fin de matinée je la rappelle sur le numéro de la veille, une voix masculine me répond :
- Ouais

Je raccroche, vérifie de nouveau le numéro, c’est bien le bon ! Mais ce n’est pas Natasha, j’essaye de réfléchir, et au bout d’un quart d’heure je rappelle :
- Ouais

Moi :
- Bonjour, je m’appel C.. et Natasha m’avait de mandé de la rappeler sur ce nu….

Lui :
- C’est toi le connard qui m’a raccroché au nez t’a l’heure ?

Sa voix à un accent magrébin, mais semble jeune :
- Oui, désolé je croyais m’être trompé

Lui :
- Elle n’est pas là, elle te rappellera, t’as son tél ?

Il est au courant ! Elle s’en vante à toute l’école ! Je ne sais pas trop quoi répondre :
- Heu … oui je l’ais, elle me rappellera

Lui :
- Ben ouais, tu comprends rien ou quoi

Et il raccroche
Je reste très anxieux de la divulgation faite par Natasha, qu’a-t-elle dite, à qui ?

Je n’arrive même plus à bosser tellement je suis inquiet, je préfère rendre le téléphone, elle est belle, me rends complètement dingue, mais je ne veux pas être la risée de tous les gamins et mettre ma vie en l’air quand même !

15 mn plus tard, la sonnerie de mon portable me sort de ma réflexion, c’est le même numéro, c’est elle. Je réponds et j’entends Natasha :
- Bon tu l’as, t’as fait vite c’est bien

Je lui réponds avec froideur :
- Oui je l’ais, mais tout à l’heure, le type qui a répondu était au courant, tu lui as dit ? Je ne s’avais pas que tu le dirais à tout le monde !

Natasha :
- Oh, gras du bide, tu va te calmer, et tout de suite, dis moi encore TU et je te fais éclater la gueule, t’as bien compris, tu vas changer de ton, tu crois pas que je vais me faire emmerder par une lope

Sa voix était blessante, sèche et elle me criait dessus, j’essaye de répondre :
- Pardon Natasha, c’était juste que je trouvais ça inquiétant que d’autre le sache, je suis marié et j’ais une vie de famille, tu le … pardon, vous le savez bien

Elle se met à éclater de rire :
- Arrête avec « je suis marié » « j’ai une femme » … tu te prends pour qui, tu ne t’es pas vu dans la cabane à te branler à poil avec ton gros bite et ta bite de pd, t’avait l’air de quoi, t’es une couille molle c’est tout

Je l’entends rigoler sans aucune discrétion, et reprend :
- Je ne l’ais pas dit à tout le monde, t’es un malade, tu crois que j’ai envie qu’on sache qu’un vieux pervers se branle devant moi, ça va pas. Il y a que Rachid qui le sait, c’est un pote du bahut, t’inquiète pas, arrête de psy coter, c’est bon tu es rassuré

Moi :
- Oui mais pourquoi vous lui avez dit ?

Natasha :
- Lâche-moi avec ça, bon on revient au tél, comment on fait ça, Vendredi soir je t’appelle, tu feras le taxi pour la boîte, comme ça tu ne viendras pas pour rien et emmène le tél et la carte sim, t’as pas intérêt à oublier

Moi :
- Vers quelle heure, et tu avais … VOUS aviez parlé de cadeau ?

Natasha :
- Je t’appelle ok, tu ne vas pas me faire chier avec l’heure, et ton cadeau tu l’auras vendredi, je ne suis pas une garce, je l’ais dit, tu l’auras … et arrête de me vouvoyer, ça commence à me fatiguer, j’en ais marre

Elle raccroche, la discussion n’a pas été simple, la tutoyer maintenant ! C’est une vraie girouette, pas une garce ? C’est vite dit, elle me prend pour sa banque, elle en profite quand même, tu es une petite garce Natasha, que c’est bon de le dire, j’ai l’impression de me venger.
Un téléphone à 250 € et un abonnement illimité pour un cadeau, cette jolie petite branleuse a intérêt à me faire un cinéma d’enfer, humm j’ai hâte d’être à vendredi soir.


Arrivée au vendredi, dès le midi, je prends la précaution de prévenir ma femme que je vais devoir bosser très tard, ce qui m’évitera de trouver une nouvelle excuse à ma sortie ce soir.

A 17h00, je reçois un appel, un numéro de ligne fixe, le domicile de Natasha (je la trouve très en avance pour une sortie en discothèque) :
- Tu bouge, je t’attends chez moi, ma mère n’arrive pas avant 18h, et prend le téléphone

Et elle raccroche, ne me laissant même pas le temps de répondre, et si j’avais été bloqué au boulot ! Elle semble s’en foutre.

Je prends donc le paquet du téléphone, monte en voiture et me dirige chez elle. Arrivée à destination, l’absence de la voiture de sa mère me rassure et confirme ses dires.
Après mettre garé, je sonne à la porte d’entrée, Natasha m’ouvre la porte, regarde mes mains, voit le paquet, le prend et part avec vers sa chambre. Moi, je suis devant la porte ouverte comme un con !

Je décide donc de rentrer et d’aller dans sa chambre, prenant soins de refermer la porte d’entrée derrière moi,
Mon « cadeau » promis, dans la chambre ? Qu’a-t-elle prévue ? J’en bande déjà.
La porte de la chambre est entrouverte, je la pousse pour pouvoir contempler « mon cadeau », elle est allongé sur son lit, tapant sur son ordinateur, le téléphone relié à celui-ci ! Sa tenue, comme sa position n’avait rien du cadeau promis ? Elle paramétrait son téléphone, c’est tout !!!!!!!!

Elle m’entend rentrer, tourne la tête, les yeux surpris et avec un air méprisant me dit :
- Qu’es-tu fout là ? Dégage et ferme la porte derrière toi

La sensation de m’être fait avoir revient, comme mercredi dernier quand j’ai appris que ce type était au courant, l’énervement me prend, et d’un ton agressif je lui dis :

- Natasha, arrête de me prendre pour un con, tu n’es qu’une petite branleuse, tu me redonne tout de suite ce téléphone et je veux plus entendre parler de toi petite conne

Le ton est donné, c’est exactement ce que j’aurais du faire la première fois, là elle va trop loin

Je vois qu’à son regard elle est surprise de ma réaction, même une impression de crainte ressort de son visage, reprenant une attitude logique qu’une gamine aurait face à un adulte après des remontrances appuyées.

Je lui laisse pas le temps de réfléchir, et poursuit ma demande :
- Bon tu remets tout ça dans la boite et me le redonne, dépêche-toi

Son regard semble apeuré, son visage est abattus, elle me donne l’impression d’une petite fille à qui on retire son cadeau (ce n’est d’ailleurs que vengeance, je venais de ressentir la même chose). Mais elle semble reprendre de l’assurance, pas entièrement mais assez pour me dire :
- Pourquoi tu change d’avis, tu étais d’accord, non ?

Sa voix n’est pas assurée, j’ai envie d’en profiter et de lui assainir le coup de grâce, mais elle me fait pitié, ne semble pas comprendre. Je décide donc de lui expliquer calmement la raison de mon attitude :
- Natasha, la semaine dernière je t’ais donnés des cigarettes et du fric, là tu me demande un téléphone portable, je t’ais dit que ça faisait beaucoup, sans parler de ton copain que tu avais mise au courant, mais je suis gentil, j’accepte parce que tu m’avais promis un cadeau ! Venant de toi, tu sais très bien quel style de cadeau j’attendais, mais toi tu prends le téléphone et me demande de partir. Clairement, tu me prends pour ta banque, donc non c’est fini…

Je reprends mon souffle et continu :
- C’est vrai que j’ai été trop loin avec toi, c’est moi le responsable et pas toi, avec ce téléphone, le jeu aurait pus dégénéré, donc dans un sens, je suis content que tu les pris comme ça. Maintenant tu me le redonne, je le rends et tout rentre dans l’ordre, c’est plus simple pour moi comme pour toi

Elle m’a écouté jusqu’au bout, sans me coupé la parole. Elle se décide à parler avec une voix douce :
- Je comprends

Se lève, descend du lit, marche vers moi, se positionne face à moi
Je commence à bien connaitre ses réactions, elle veut essayer de reprendre la main en me giflant, je m’apprête à anticiper son geste quand je reçois un violent coup dans le bas du ventre.
Elle venait de me donner un coup de genoux dans les couilles, à peine avais-je compris ça, qu’elle me balance cette fois-ci un coup de pied au même endroit, je tombe à genoux et me tord de douleur. Et je l’entends :
- C’est pour ça que tu me fais chier, pour ton CADEAU

Sa voix n’est pas violente, un peu forte, mais douce.
Elle me prend la tête par derrière, sans vraiment me tirer les cheveux, et la colle à son sexe !
(Elle portait un jean noir)

Je ne l’avais jamais approché de si près, ma douleur était toujours présente, mais j’avais trop envie de la toucher, la position étant inconfortable, je passe mes mains sur ses fesses pour mieux me tenir, et elle s’adresse de nouveau à moi en me caressant les cheveux, un peu comme elle le ferait pour un chien :
- Tu aime, je te plais, c’est bon de me peloter le cul, hein, vas y profite en

Puis elle se met à rigoler, ce rire moqueur qu’elle a l’habitude d’avoir avec moi, et rajoute :
- Ca c’est rien, tu l’auras ton cadeau, mais pas maintenant, ce soir quand tu joueras le taxi, je te promets que tu t’en rappelleras, je n’ai pas une parole de pute

Me tire la tête en arrière, je n’ais pas arrêté de lui peloter son joli petit cul, elle m’écarte mes mains et me dit :
- Tu t’es assez amusé comme ça, le reste ce soir, je t’envoi un SMS et tu rapplique, ok ?

Moi :
- Tu ne me fais pas marcher pour le cadeau ?

Natasha :
- Tu as aimé te branler en me matant ma petite culotte dans la cabane, non ?

Moi :
- Oui tu es belle

Natasha :
- Oui je suis belle, je sais, tu me l’a déjà dit, mais dans la cabane tu as eu tout ça pour UN paquet de cigarette, pour un téléphone, ça va être du spectacle, t’imagine même pas.
Alors ce soir tu te ramène si tu veux l’avoir ton cadeau, ok

Moi :
- D’accord, j’attendrais ton SMS

Natasha :
- C’est bien, j’aime mieux quand tu es comme ça, par contre pour ce soir pas de caleçon ou slip et avec un jean, maintenant dégage si tu ne veux pas à avoir à expliquer à ma mère ce que tu fais là, allez bouge

Et elle se jette sur son lit et reprend le paramétrage de son téléphone, je me relève, une douleur toujours présente en bas du ventre, ressort de la maison et remonte dans ma voiture.
Obliger de repasser chez moi pour me changer comme elle me l’avait demandé. Je prétexte à ma femme un peu de fatigue et vouloir rentrer prendre une douche pour me revigorer avant de repartir au boulot. Ce que je fais, prenant le soin de changer de vêtement, jean et chemisette blanche à manche courte, avec un caleçon, mais que j’ôterai plus tard.

De retour au bureau, je patiente en prenant soin de ne pas me branler, me réservant pour ce soir,

A 23h30, un SMS de son nouveau téléphone, j’avais déjà enregistré le numéro :

[Viens et sonne à la porte]

Sonner à la porte, sa mère doit être là ? Mieux vaut ne pas chercher à comprendre avec elle. J’ôte mon caleçon et le laisse dans un tiroir du bureau, merde je bande déjà, il va falloir me calmer si sa mère m’aperçoit, j’espère que non, Natasha a du tout prévoir.

J’arrive devant la porte d’entrée, la voiture de sa mère était devant la maison ? Je sonne

J’entends « entrer », c’est Natasha, ouf, j’ouvre et j’aperçois Natasha, mais surtout sa mère un peu plus loin dans la cuisine ! Je l’entends me dire :
- C’est gentil de bien vouloir l’amener et la ramener de boite, sans ça je ne l’aurais pas autorisé

Je ne sais pas ce qu’elle avait raconté à sa mère, mais moi je me retrouvais dans un sale pétrin, si sa mère parle de ça à ma femme, comment expliquer ma présence avec Natasha !!!!!!!
Mon regard revient sur Natasha, elle est magnifique, mon inquiétude est oublié, elle porte des chaussures d’été beige à lanière et à talon de 8 cm attachées par une bande de la même couleur montant au dessus du mollet, une petite jupe volante courte marron foncé, humm quelle jambes, un blouson léger en haut ne me permettant pas d’apercevoir ce qu’elle porte dessous.

A peine sa mère avait-elle fini sa phrase, que je la vois sortir, sur le pas de la porte, elle se retourne vers moi :
- Bon on y va

J’étais perdu dans mes pensées en l’admirant marché vers la porte, j’espère que sa mère ne s’en ai pas aperçu. Je la rejoins immédiatement en laissant sortir un :
- Oui, j’arrive tout de suite

Et je la suis, sans même avoir dit au revoir à sa mère tellement captivé par la sensualité que Natasha dégage.
Je démarre la voiture, Natasha me regarde toute souriante :
- Putain, tu me kiffe grave ce soir, tu m’as maté direct sans faire gaffe à ma mère ! fait attention, merde

Moi :
- Pardon, c’est vrai, mais tu es tellement jolie habillée comme ça

Natasha :
- Bandante tu veux dire, allez arrête toi sur le parking de la dune, au fond, ok

Moi :
- Oh oui, tout de suite

L’enthousiasme de ma réponse la fait rigoler, je stationne au fond du petit parking, près des dunes. Elle descend et me fait signe de venir la rejoindre, elle est debout, appuyée à la voiture, moi en face d’elle ne sachant pas vraiment quoi faire, mais je bande comme un dingue, elle l’a vu et sourit en me disant :
- Bon ça c’est pour le téléphone, pour l’abonnement, tu verras ça quand tu viendras me chercher

Je sens déjà que je vais adorer cette nuit, et elle rajoute :
- Déboutonne ta braguette, et approche toi, tu as le droit de me toucher, mais dès que tu as giclé c’est fini, ok

Je ne réponds même pas, je déboutonne vite fait ma braguette et m’avance tout de suite vers elle, ma main droite sur sa cuisse, la gauche essayant de passer sous son blouson, je me branle pas, voulant faire durer le plaisir de la toucher le plus longtemps possible.
Elle rigole une nouvelle fois, me repousse de la main, et enlève son blouson qu’elle pose sur le toit de la voiture. Humm, elle porte un top écru à bretelle, laissant découvrir un large décolleté mettant en valeur sa jolie poitrine, elle ne porte pas de soutien gorges, ses petits seins étant bien ferme, son utilité n’était qu’accessoire. Elle me regarde toujours aussi souriante :
- T’as le droit de les embrasser, mais t’as pas intérêt à dégueulasser mes fringues, allez régale toi mon gros

Sur cette invitation, je ne peux m’empêcher d’embrasser la naissance de ses seins, elle sent bon, de la main gauche je touche sa poitrine, humm c’est bon, ma main droite qui remonte en haut de sa cuisse. Et là, je sens sa main qui rentre dans mon jean, me prend mon sexe, je l’entends dire :
- Faut la trouver ta petite bite !

C’était un peu exagéré quand même, mais bon, elle ne peut pas s’empêcher d’en rajouter.
Sa main tiède sur ma bite m’excite encore plus, elle me branle, je l’embrasse dans le cou, ma main droite remontant sur son sexe, je suis aux anges, mais l’extase est de courte durée, elle me retire violemment ma main de son sexe, me repousse, et m’envoi une gifle !
- Tu ne crois pas que tu va me baiser quand même, tu me plote c’est tout, tu ne touche pas à ma chatte

Et avec la même main qui m’avait assaini cette claque, me prend par derrière le cou, et me tire de nouveau à elle, ma tête à la hauteur de ses épaules, et elle reprend sa branle sur mon sexe. Je pose mes deux mains sur ses cuisses, elles sont douces, j’en peux plus, je prends le risque de glisser ma bouche sur ses lèvres, elle ne bouge pas, me laisse l’embrasser mais sans ouvrir la bouche. Ses mouvement de va et vient s’accélère, je ne peux pas m’empêcher de jouir et je lâche tout ……
Elle arrête ses mouvements, mais ne relâche pas mon sexe, prenant soin de diriger mes giclées sur ma cuisse gauche à l’intérieur de mon jean. Elle ressort sa main tout en me repoussant pour me dire clairement « s’est fini », s’essuie la main sur ma chemise, réajuste son top, prend sa veste et remonte en voiture sans me regarder.

La récréation est finie, même sans parler, elle sait se faire comprendre.
Je reprends ma place et démarre, sentant mon sperme se coller à mon jean. Elle comme à son habitude me demande une cigarette, je ne cherche pas à réfléchir, j’en sors une, l’allume et lui tend, pas de merci bien évidemment, mais tire sur la cigarette, m’envoi la fumé et me dit :
- Le paquet, donne le

J’oubli pas qu’une seconde surprise m’attend dans quelques heures, elle semble de bonne humeur, je ne voudrais pas la faire revenir sur ce « second cadeau », je sors le paquet et lui donne. Elle :
- J’croyais que ça allait durée un quart d’heure, mais même pas 5 minutes c’est encore mieux, t’en a profité qu’en même, hein ?

Moi :
- Oui, mais pas longtemps

Natasha rit aux éclats en rajoutant :
- Fallait pas gicler si vite mon gros

Facile à dire, la toucher, l’embrasser, la sentir, dur de se retenir. Surtout que la dextérité qu’elle avait mise à me branler, laissait à penser qu’elle n’était pas à sa première expérience de branle, elle devait même en connaitre tout les aspects, je n’avais aucune chance de tenir et elle le savait.

On arrive à la boite, et elle me dit :
- Tu connais la musique, quand je veux partir, je t’envois un SMS et tu rapplique, ok … Oh faite, ne t’amuse plus jamais à m’embrasser sur la bouche, t’as bien compris… Et tu reste dégueu pour t’à l’heure, t’as pas intérêt à te changer … Arrête-toi là, je descends

Ces paroles n’attendais aucunes réponses, et d’ailleurs elle ne m’en a pas laissé le temps, j’admire une dernière fois ses jambes pendant qu’elle s’engouffre dans la foule.

Je fais demi-tour, essayant d’imaginer la surprise qui m’attend ……….

Histoire HDS : Cette petite branleuse qui me domine (2ème partie)

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Histoire HDS : Cette petite branleuse qui me domine (1ère partie)

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