http://babtousm.blogspot.com/2014/03/chronique-d-shopping-sur-les-champs.html
http://babtousm.blogspot.com/2014/04/chronique-d-shopping-sur-les-champs-2.html
Ma princesse se dirige
directement vers les hauts en me poussant violemment au passage. Je la sens
énervée, alors je décide de me faire tout petit. J'ai l'impression qu'elle
n'attend qu'un dérapage de ma part pour se défouler sur moi. Je décide de faire
comme elle et d'aller examiner les hauts. J'en aperçois un blanc on ne peut
plus simple, la seule originalité semblant résider dans le logo, un petit LV.
Je le saisis, tentant d'en déterminer le prix.
•
Je vois que monsieur a
du goût. Me dit la vendeuse.• Comment ça ?
• C'est un article en cachemire.
J'aimerais lui demander le prix, mais je me ravise. Je ne veux pas que ma princesse plante une nouvelle fois son magnifique talon dans mon pied. Je décide de la jouer fine.
• Ah oui, mais il est simple ça ne doit pas coûter trop cher, non ?
• 300 euros, monsieur.
Je retins difficilement un « Quoi ?! » de stupeur et d'indignation. Et pour toute réponse, lui souris.
• C'est quand même exagéré non ? Dis-je en riant jaune.
• Non, ce sont les prix normaux, monsieur. C'est un Louis Vuitton tout de même.
Ma princesse qui n'avait rien raté de notre petit échange me foudroie du regard.
• Les prix te dérangent ?
• Non ..
• Non qui ?
• Non mademoiselle..
La vendeuse, nous observe interloquée. Je sens dans ce regard une pointe de mépris à mon égard. J'ai honte.
• Tu t'attends à quoi, on est pas à Belleville ou à Citadium ici.
• Oui vous avez raison mademoiselle..
• ça t'amuse de me faire honte devant les gens ?
• Mais ? Je ne voulai..
• La ferme, je t'ai demandé de parler ?
• Non mai..
Une gifle part. La vendeuse porte sa main à sa bouche et glousse. Je sens le sang affluer à mes joues. Mon oreille droite semble bourdonner de douleur.
• Non qui ?
• Non mademoiselle.
• Quand on fait du shopping, t'as pas à te plaindre des prix. Tu me suis et tu me fermes ta gueule. C'est tout.
Je hoche la tète, confus, ne comprenant pas mon erreur. Je ressens cette séance d’humiliation comme une injustice. Une autre gifle part, puissante et dure ; une bague en or blanc m'abîmant la lèvre inférieur au passage. Je ne sens plus la partie droite de mon visage, et ne me rends compte que je pleure seulement en voyant une grosse larme s'écraser sur ma poitrine.
J'ose lever les yeux vers le visage de ma princesse. Elle exulte de joie.
• Mais tu pleures en plus ?
Elle éclate d'un rire aigu et cruel.
• Mais tu pleures ?! Répète t-elle morte de rire.
La vendeuse ricane aussi. Lâche, elle se cache le visage dans les mains pour ne pas que je l'aperçoive.
• Non je ne pleure pas, réussis-je à dire la voix tremblante, encore choqué par la scène.
• Mais t'es vraiment une sous merde, tu te fais bolosser en public par une fille de la moitié de ton age. Et tu pleures ?! Putain t'es vraiment une merde, dit-elle affichant un large sourire.
Une lueur perverse luit dans ses yeux. Elle n'attendait qu'une occasion pour déverser sa rage sur moi. Je suis persuadée que même si je n'avais rien dit, elle aurait trouvé une raison pour m'humilier.
• Passe moi le tee-shirt dont vous parliez, toi. Dit-elle avec arrogance à la vendeuse en la tutoyant.
• Bien, mademoiselle. Dit celle-ci en s'empressant de le lui apporter.
• Y'a que toi comme vendeuse ici ?
• Non on est 3 mais comme c'est particulièrement calme en ce moment, les deux sont parties un moment, elles reviennent dans une heure je pense. Répondit-elle en tendant le tee shirt.
Ma princesse le saisit avec dédain et se dirige vers les cabines d'essayage.
• Accompagne moi sale chien, me lance t-elle sans me regarder.
Princière et tyrannique, elle s'avance dans la cabine, et d'un mouvement du menton m'indique de me placer devant celle-ci à terre. Je fais mine de ne pas avoir compris tant l'idée me semble saugrenue. M'asseoir par terre dans une boutique Louis Vuitton des Champs Elysées, ça ne se fait pas.
• A genoux. M'ordonne t-elle.
• Mais mademoiselle.. Ici ? Devant votre cabine d'ess..
Furieuse elle s'avance vers moi rapidement et me plante avec force son genoux entre les jambes. Le souffle coupé, le sexe extrêmement douloureux, je tombe à terre à genoux devant elle.
• Tu vois quand tu veux fils de pute. Dit-elle en me lançant un magnifique clin d'oeil.
Je sens des larmes coulées sur mes joues. Elle, indifférente à ma douleur, retire sa veste devant moi.
Étrangement elle ne ferme pas les rideaux de la cabine.
Tout en me regardant d'une façon perverse et cruelle, elle retire délicatement son haut noir. J'aperçois d'abord son petit ventre plat caramel puis tout doucement son soutien gorge moulant, blanc d'une matière noble. Elle me jette le débardeur sur le visage. Son magnifique et puissant parfum sucré m'embaume. Bien qu'endolori, je sens mon sexe durcir.
• Apporte moi les chaussures couleur crème à hauts talons qui sont en vitrine, toi. Crie t-elle à la vendeuse.
Celle ci, semblant dans cette scène surréaliste être également la soumise de ma princesse, comme un fidèle toutou apporte les dites chaussures. Sans merci, sans regard, ma déesse les attrape et les jette à ses pieds.
Elle me regarde fixement. Ses magnifiques seins ronds un peu serrés dans le soutien gorge m'obsèdent. J'aperçois de délicates minuscules protubérances sur le milieu de chacun de ses seins. Ils pointent. J'ai alors la certitude que la situation l'excite autant qu'à moi. Je sens une décharge de sang affluer dans mon sexe.
Elle descend ses mains baguées vers son pantalon et pose ses doigts sur sa braguette. Mon dieu.
• ça t'excite hein ? Sale pervers. T'as envie que j'enlève mon pantalon, pas vrai ? Je sais que t'en as envie.
Je n'ose rien répondre. Je ne peux rien répondre. Je suis ensorcelée par le spectacle.
Elle tire lentement sur sa braguette, j'aperçois un tissus blanc. Mon dieu.
Elle se retourne, se rapproche de moi, descend lentement son jean, et .. je suis nez à nez avec ses fesses sublimes. Parfaitement rondes et fermes, caramel. Elle porte un petit string blanc qui m'autorise à admirer ses deux magnifiques protubérances. La texture est lisse et elles semblent si douces. Le blanc contraste avec sa magnifique couleur de peau. Son corps entier sans la vanille et le lait de coco.
• T'es vraiment un gros porc, dit-elle d'un ton méprisant. Tu me regardes comme un vieux vicieux. T'es dégueulasse. Regarde moi bien, parce que tu m'auras jamais.
Elle retire ses chaussures sans l'aide de ses mains, et retire brusquement son jean qu'elle me lance encore une fois en plein visage. Lui aussi sent la vanille et le lait de coco...
Ma princesse est là, sublime, en chaussettes, string et soutien gorge se moquant de moi. A 5 centimètres de mon visage. Je suis dur comme un cheval.
Elle avance son petit pied sur mon entrejambe. Une vague de désir monte en moi.
• Même dur, ton sexe est minuscule. T'es vraiment un sous-homme c'est grave. Pouffe t-elle en continuant d'écraser son petit pied sur mon sexe.
Rouge de honte, je ne pus réprimer un gémissement. Elle s’arrête brusquement et me toise avec dégoût.
• T'es dégueulasse. Tu mérites même pas que mon pied te touche. Sale gros porc.
Elle retire ses petites chaussettes, et j'aperçois ses délicats pieds caramels aux ongles vernis rouges. Une bague en or blanc habille le plus long de ses orteils sur chaque pied.
• Voilà tout ce que tu mérites de moi fils de pute.
Elle m'attrape fermement par le cou et brutalement enfonce ses chaussettes dans ma bouche.
• ça te plaît ça, pas vrai ? Je suis sure que ça te plaît.
Malheureusement, oui... Ses chaussettes avaient le goût de la lessive et de la vanille.
Elle décide alors de mettre les talons que la vendeuse lui avait apportés. Elle s'évalue dans le miroir. Satisfaite se sourit à elle même, sort de la cabine et s’assoit sur une espèce de bloc beige dans la boutique vide.
• Suis moi, toi. M'ordonne t-elle.
Difficilement, les genoux endoloris par la position à genoux, je tente de me lever.
• Je t'ai demandé de te lever fils de pute ? Rampe.
Je sens le regard de la vendeuse sur moi, encore plus méprisant.
Je me couche alors au sol, et à l'aide de mes bras me porte jusqu'à elle. Mon sexe en érection frotte durement sur le sol, c'est une sensation très désagréable. J'ai besoin d'air, mais ne peut respirer par la bouche, ses chaussettes l'obstruant. Je suis rouge de douleur de honte et de chaleur. Je ne me vois pas mais je sais que je dois être horrible. Je débande un peu.
• A genoux. M'ordonne t-elle une nouvelle fois quand je suis arrivée devant elle.
J'aimerais protester mais je ne veux pas m'attirer ses foudres. Une nouvelle fois je me pose sur mes genoux, la position m'est encore plus douloureuse.
• Elles te plaisent mes chaussures, me demande t-elle en les posant sur mes épaules.
Je suis nez à nez avec son entrejambe recouvert simplement d'un fin tissus blanc. Cette simple vision suffit à me durcir au maximum. Je ne vois pas les chaussures mais hoche la tête, ne pouvant répondre à haute voix.
Elle placent ses chaussures devant moi et me retire ses chaussettes de la bouche.
• Prouve le que tu les aimes.
Ses chaussures sont couleur crème, fine, le talon haut et fin, 12 centimètres, une petite plateforme vient rendre le cambrement de son pied moins important. La texture semble être du cuir, un cuir brillant et lisse. La couleur met en valeur sa carnation. Sublimes.
Je ne comprends pas son ordre.
• La vendeuse là, viens ! Crie t-elle.
Celle ci qui n'a rien raté du spectacle s'approche.
• Oui mademoiselle ?
• Je vais te montrer un truc trop drôle. Tu vois ce gars, c'est un vrai chien.
• J'avais remarqué, murmure la vendeuse.
Ma princesse glousse.
• Prouve le que tu les aimes mes chaussures, m'oblige pas à répéter.
Mais je ne comprends toujours pas la question.
Elle approche son pied droit de mon visage et.. me donne un violent coup dans sur la bouche.
Je sens mes lèvres s'écraser contre mes dents, et une saveur de métal se répand dans ma bouche. Une douleur aigu me paralyse la mâchoire entière.
• Y'a quoi que tu comprends pas là dedans fils de pute ? Prouve le que tu les aimes ou je te détruis ta sale bouche ! M'hurle t-elle en me tirant violemment une oreille. Les yeux embrouillés par les larmes, je réussis à voir la vendeuse choquée par la scène.
• Fais pas cette tête, lui dit ma princesse, il kiffe ça. Il kiffe qu'on le démonte, c'est un chien. Pas vrai ?
J'hoche la tête. Le regard choqué de la vendeuse se métamorphose brusquement en regard de dégoût.
• Mais c'est un malade mental.. Dit-elle à ma princesse.
• Pire !
• Putain je savais pas que ça existait les gens comme ça en vrai.
• Regarde ça. Lui dit-elle, prouve le que tu les aimes fils de pute. Ajouta t-elle à mon égard.
Elle plaça son pied à coté de ma bouche. Je crus comprendre.
J'approche alors ma bouche endolori de sa chaussure, et lèche la plateforme.
Ma princesse éclate de rire.
• T'as vu ?! Lance t-elle à la vendeuse.
Celle ci comme fascinée par le spectacle s'avance et s’assoit à coté de ma princesse.
• Mais c'est un truc de fou ! Dit elle.
• Vas-y lèche bien sale chien. M'ordonne ma princesse.
Avec application je passe ma langue sur sa chaussure. Tentant tant bien que mal de ne pas y approcher mes dents douloureuses.
• Et les chaussures sales aussi il lèche ? Demande par curiosité la vendeuse.
• Bien sur, il lèche tout c'est un chien je t'ai dit.
La vendeuse avance ses chaussures vers moi, des ballerines gucci assez usées.
• Vas y lèche le dessous, m'ordonne ma princesse.
En un simple coup d'oeil j'aperçois un chewing gum avarié durci sur la semelle.
Je réprime un haut le cœur.
• S'il vous plait, je ..
Ma princesse écrase son talon sur mon pénis. Je gémis de douleur.
La vendeuse éclate de rire.
• Si tu le fais pas, je te détruis ta micro-bite fils de pute. Vas y lèche ! Hurle t-elle.
Écœuré je passe délicatement la pointe de ma langue sur la semelle, essayant de ne pas lécher le chewing gum. Je sens des saletés se coller à ma langue. J'ai un haut le cœur.
Ma princesse m'écrase violemment le pénis. Je me retins de crier de douleur. Une douleur cinglante se propage dans mon bas ventre, sans parler de mes genoux qui me torturent.
• Lèche bien putain, c'est quoi ça ?! Tu lèches avec toute ta langue de gros porc, dépêche toi !
A deux doigts de vomir, je sors ma langue à son maximum de la bouche et lèche la semelle répugnante, tentant encore une fois de ne pas toucher le chewing gum verdâtre.
Ca ne me semble pas convenir à mon tyran car elle me détruit une nouvelle fois le pénis. Les larmes jaillissent de mes vieux. Je n'ai jamais eu aussi mal de ma vie.
• Pitié, je l'implore la voix coupée. Pitié j'ai trop mal.
• Je m'en bats les couilles, tu lèches trop mal putain ! Passe moi ta ballerine, dit elle à la vendeuse.
Celle ci retire sa ballerine sous mon nez. Une odeur acre se répand. Ses pieds sont assez beaux et ses ongles manucurés mais l'odeur et les taches rougeâtres à certains endroits me répugnent.
• Ouvre la bouche et tire la langue, m'ordonne ma princesse.
Je m'exécute.
• Frotte la semelle de ta ballerine sur sa langue, dit ma princesse à la vendeuse, le regard excité.
J'aperçois ses tetons durs à travers son soutien gorge et une décharge de sang vient gonfler mon sexe.
La vendeuse, une jeune brune d'une vingtaine plutôt mignonne de type méditerranéen, m'attrape par le cou et frotte à grand coup sa semelle sur ma langue. Je sens les saletés répugnantes s’incruster dans ma langue, plusieurs hauts le cœur me secouent. Mes deux tortionnaires sont mortes de rire.
La vendeuse, amusée, retourne sa chaussure et m'ordonne de lécher l'intérieur. Je refuse d'un vif hochement de tête de gauche à droite.
3 coups de talons viennent écraser mes testicules. Je ne pus réprimer un cri de douleur.
• Ferme ta gueule putain, dit ma princesse en me giflant.
Pendant quelques secondes je suis incapable de bouger.
• Tu vas faire tout ce que je dis sans rechigner.
La vendeuse me plaque alors sa petite ballerine sur le nez et m'oblige à lécher. Leurs rires de pestes résonnent autour de moi, mon sexe endolori réussit à se durcir. Même l'odeur commence à m'exciter.
• Regarde comment il bande c'est vraiment un gros porc.
• Putain il est lazdeg.
• Quand il est excité, il achète tout ce qu'on veut.
• Sérieux ?!
Tout en léchant la ballerine je sens plusieurs petits pieds se frotter contre mon pénis. Malgré l'atroce douleur aux genoux qui s'est propagé dans le reste de mes jambes, et la douleur au bas ventre, je bande comme un fou. Les petits pieds continuent de plus en plus vite, je lèche la chaussure comme un chien, et mon sexe est gonflé de sang. Un gémissement d'excitation s'échappe involontairement de ma gorge.
• Arrêtons.
Les petits pieds se retirent.
• S'il éjacule, c'est fini. Faut l'exploiter pendant qu'il est dur. Là il est dans l'état parfait pour être dépouillé.
Elles se lèvent.
• Tu peux te lever maintenant, m'ordonne ma princesse.
J'essaie mais.. Je n'y arrive pas. Mes jambes sont paralysées de douleur à cause de la position à genoux. Je m'attrape au bloc sur lesquels elles étaient assises, et tombe grassement.
• On dirait pas une grosse larve obèse ? Il est horrible, sur ma vie.
Finalement je me relève après 5 minutes. Pendant ce temps ma princesse s'était rhabillée.
Je tourne les yeux vers la vendeuse et la vit braquer son portable sur moi. Je ne sais pas depuis quand.
Une horrible sensation me secoua. Et si elle mettait la vidéo sur internet ? J'eus froid brusquement. Mais malheureusement mon érection était toujours aussi importante.
• Maintenant, shopping. C'est pour ça qu'on est venu non ?
• Oui princesse.
• Déjà je veux les chaussures.
• Lesquelles, mademoiselle ?
• Celles que t'as léché comme un chien en rut.
Fous rires des deux filles.
Je n'ose pas demandé le prix.
Ma princesse place les chaussures sur le comptoir avec dédain.
• Je prends aussi le tee shirt que t'as trouvé trop cher.
• Mais ..
On était déjà à certainement plus de 1000e. Je ne pouvais pas me permettre de dépenser autant d'argent. Sur mon compte français je n'avais que 5000e de disponible, ce qui était censé me permettre de tenir jusqu'à la fin du séjour. Avec le sac dior on est déjà à 2200 euros.
• Quoi mais ? Putain je t'ai pas assez frappé aujourd'hui ? Dit-elle en s'avançant menaçante vers moi.
Instinctivement je portais une main à mon pénis l'autre à mon visage. Elles éclatèrent de rire.
• Oui pardon mademoiselle..
• Voilà c'est mieux comme ça sale chien.
Je sortis ma carte bleue pour payer les articles.
• Il t'arrive quoi là ? Je t'ai dit que j'avais fini ?
Quoi ?
• Il est beau hein ? Autant j'aime pas ceux de base les marrons et beiges autant le tout noir je le trouve dar. Me demande t-elle en mettant un sac louis vuitton noir en cuir lisse et aux fermetures dorées sous le nez.
Sans avoir le temps de répondre, elle le pose sur le comptoir.
On en est à certainement 3500 euros maintenant. Je ne peux pas me permettre de payer autant d'argent mais qu'est ce que je peux faire ?
• Je passe à la caisse mademoiselle ?
• Non. Me dit-elle en souriant.
Elle pose deux bagues identiques sur le comptoir. Deux grosse bagues en argent massif, incrustées du logo LV blanc.
• Mais, mademoiselle, elles sont pareilles ..?
• Une pour moi, une pour ma pote, dit elle en lançant un clin d'oeil à la vendeuse. Maintenant tu passes à la caisse.
Je déglutis et sors ma carte bleue sans aucune hâte. Je ne sais même pas combien coûtent tous ces articles, si un tee shirt quelconque est à 300e je n'ose même pas imaginer le reste. Mais si je n'ai plus d'argent comment je fais pour tenir le reste du séjour et surtout pour rentrer chez moi ? Quand on y pense, payer des milliers d'euros pour 4 articles .. Cette idée m'excita. Ma princesse me regardait d'un œil pervers et cruel. L'idée de me dépouiller de m'humilier l'excitait. Je repense à ses petits tétons durcis. Je durcis encore.
• Dépêche toi, j'ai pas ton temps. Lance t-elle.
La vendeuse passe les articles aux rayons et je comprends que je dois payer.
J'introduis ma carte bleue. Fais mon code. Mon dieu, faites que ça ne passe pas.
…
L'achat est passé. Les deux lancent des petits cris de joie.
• 4100 euros, dit en gloussant la vendeuse.
En compte le sac dior déjà payé, j'ai dépensé 5300 euros.. Mon dieu. Je sens mon sexe se gonfler.
Heureusement dans mon portefeuille j'ai 300 euros, ce qui me permettra de rentrer chez moi et de tenir jusqu'à la fin du séjour. Et mois qui comptais faire des activités.. Quand je pense que j'ai dépensé 5300e pour quelques articles..
• Vas-y je rentre. Dis ma princesse.
• Pardon, déjà ?
• T'es amoureux ou quoi ? On a fait ce qu'on avait à faire maintenant t'as plus de thunes. Donc je me casse.
• Mais mademoiselle..
• Pas d'argent, plus de rendez vous, c'est clair ? T'es qu'une carte bleue pour moi.
• Mais je ..
• Mais, mais, mais, dit-elle en imitant un débile. La ferme. Je t'ai dit que je m'en vais donc je m'en vais et t'as pas à parler.
Déçu mais excité par sa cruauté, je baissai les yeux.
• Comme vous voulez mademoiselle.
Sans au revoir, sans un mot, sans un regard, elle se dirigea vers la sortie. Puis un peu avant, se retourna vers moi.
• Donne l'argent, dit elle en tendant la main violemment.
• Pour quoi ? Dis-je, prenant peur qu'elle me prenne l'argent qu'il me restait.
• Pour le taxi wesh.
• Mais vous, vous n'av..
• Mais t'es sérieux dans ton délire là ? Je suis ta princesse non ?
• Oui mademoiselle.
• Et c'est moi qui dois payer pour le taxi ?! Mais t'es pas bien toi, la vie !
• Mais je …
• Azi ferme ta gueule et donne l'argent putain.
A contre cœur, je sors mon portefeuille tentant de lui en dissimuler le contenu.
Brusquement, elle m'envoie une droite dans le nez. Je sens mon visage bourdonner pendant quelques secondes qui me paraissent une éternité. Un liquide chaud se répand sur ma bouche. La douleur me détruis le visage. Les larmes coulent.
• Ah crari t'essaies de cacher ton portefeuille pour pas que je le vois ? Sale chien va !
Et elle me l'arrache des mains.
• Y'a combien là dedans même ? 50, 150, 200, 300. Ok. Je prends 50 eux pour le taxi.
J'aperçois du sang sur ses bagues, ça n'a pas l'air de la déranger.
• Bien mademoiselle, réussis je à dire, la voix nasillarde.
• Je prends encore 50e, c'est le taxi de l'aller. C'était à toi de me le payer non ?
• Oui mademoiselle.
• Je donne 50e à Maria, dit-elle l'air vicieux en tendant un billet doré à Maria folle de joie.
• Là il reste 150e, ça va non ? Ajoute t-elle.
Anéanti de voir le peu d'argent qu'il me restait réparti de façon si arbitraire, je sentis des larmes me monter aux yeux.
• Oui mademoiselle..
• En fait c'est même trop je trouve. Je prends 100e pour moi, comme argent de poche. J'ai même pas eu d'argent de liquide tu trouves ça normal ?
• Mais j'ai dépensé 5300e pour vous aujourd'hui..
• Non mais je m'en fous de ça, je te parle de l'argent liquide. C'est bon tu m'as payé 5 truc fais pas comme si c'était un truc de fou. Et putain le gars il me paie un truc, jusqu'à la fin de sa vie il va me le rappeler stp, un délire ! C'est bon respire, avance dans ta vie maintenant negro.
• Il est juif ou quoi, demande la vendeuse morte de rire.
• Même pas stp. En tout cas, 50e ça suffit largement pour te billet de train pour rentrer dans ta campagne de merde nan ?
Je ne répondis rien.
• J'ai pas entendu ? Dit-elle avançant sa main vers moi.
• Oui mademoiselle, ça suffit.
• Voilà. Azi bye.
Et elle s'en alla, belle et princière du magasin. M'ayant humilié et dépouillé jusqu'à l'os.
J'avais dépensé plus que j'avais, et il ne me restait même pas d'argent pour manger.
Cette simple idée me fit éjaculer..
choisir le type de chirurgie est une décision très difficile. Au début, j'étais catégorique sur le fait de sauver ma poitrine. Je ne voulais pas de mastectomie, encore moins dire ce mot horrible. Parce que j'avais un cancer depuis 3 ans et que le cancer était invasif, mon médecin m'a recommandé une mastectomie. cependant, comme la taille de la tumeur a diminué après la chimiothérapie, mon médecin m'a permis de choisir une tumorectomie. deux choses m'ont aidée dans ma décision de subir une mastectomie. 1 - J'étais tellement malade à cause de la chimiothérapie que je ne voulais pas courir le risque d'avoir à nouveau un cancer. 2 - J'ai rencontré plusieurs survivantes du cancer du sein qui avaient reçu un traitement à base de plantes dr itua qui a lavé toutes leurs tumeurs, puis le cancer n'est pas revenu. En raison de mon âge et de mon désir d'avoir plus d'enfants, j'ai décidé de réduire mes risques de récidive en choisissant une mastectomie. Je vais donc essayer le traitement à base de plantes dr itua que je subis pendant des semaines et aujourd'hui, j'ai un 4e enfant comme je l'ai toujours souhaité. Je suis très content de ma décision d'aujourd'hui. peu importe le type de cancer et le stade du cancer, il est préférable de discuter avec le dr itua oh oui, vous pouvez lui envoyer un courrier électronique à drituaherbalcenter@gmail.com, il guérit également la maladie suivante parkinson, als, ms, diabetes, lupus, hpv, l'herpès, les boutons de fièvre, le vih/sida, les crampes menstruelles, les médicaments de grossesse et d'autres maladies mortelles, tous sans effet secondaire.
RépondreSupprimer