Entre Enfer et Paradis avec Eden

Avant-hier j’ai vu un soumis. Il habite juste à côté de chez moi. Aujourd’hui il voulait que je le vois encore mais il pleut trop là, je ne sors pas. Il a 30 ans environ, on se connaît depuis à peu près un  an. Je suis allée chez lui. Dès qu’il a ouvert la porte, je l’ai giflé et j’ai dit « à genoux.».

Il s’est mis à genoux, il avait l’air tout craintif. Il a dit « oui Maîtresse » d’une vieille voix. Ce n’est pas que j‘étais vénére,  j’avais juste envie de me défouler et il était devant moi, voilà. Ensuite, toujours à genoux, je lui ai dit d’aller jusque dans son salon avec moi. Il a marché à 4 pattes, je lui donnais des coups de pied dans les côtes. Ensuite je me suis assise sur le canapé, et il m’a commandé japonais, c’est toujours ce qu’il me commande. En attendant que le japonais arrive, je lui ai dit de rester  à 4 pattes devant moi, j’ai posé mes pieds sur lui, toujours chaussés de chaussures à talon de 12 cm et j’ai commencé à télécharger des trucs sur son ordinateur portable, il a une connexion super rapide par rapport à chez moi. Après je récupère les films. Lui il parlait même pas, il restait silencieux, j’avais même oublié qu’il était là stp. Je suis à l’aise comme ça chez tout le monde.

Ensuite mon japonais est arrivé, ça a été rapide car le restau est juste à côté de chez lui. J’ai commencé à manger, lui il s’est plaint parce qu’il avait trop mal aux genoux, il m’a supplié littéralement de le laisser changer de position. J’ai dit « je t’ai autorisé à parler même ? ». Il a dit « non mais je vous en pris, je…. », et je l’ai giflé, il a du enlever ses lunettes parce que ça l’a blessé. Finalement je l’ai autorisé à se lever, il s’est relevé difficilement et je lui ai dit de rester immobile devant moi, j’ai mangé devant lui, je l’ai fait exprès parce qu’avant de venir, il m’avait dit qu’il n’avait pratiquement rien mangé de la journée et qu’il mourrait de faim d’où le fait qu’il croyait qu’on dinerait ensemble.  J’avais répondu que oui mais j’avais déjà décidé à ce moment là que je ne l’autoriserais pas à manger. J’étais super contente de l’effet que ça a eu sur lui, de lire la déception sur son visage qu’il ne pouvait pas manger avec moi. A la base il comptait me voir amicalement, mais j’ai transformé ça en séance de soumission, sans son avis. C’est comme ça que je suis naturellement.

Après je lui ai dit « t’as le seum ? ». Il a répondu « oui je pensais qu’on se verrait normalement cette fois ». J’ai éclaté de rire, j’ai dit « pourquoi j’aurais eu envie de te voir normalement même ? T’es quoi ? T’es mon pote ? Vas-y casse toi ». J’étais vraiment morte de rire, il avait l’air blessé, ça m’a encore plus fait rire. Ensuite je lui ai dit « azi approche toi », toujours en rigolant, il était pathétique, il s’est approché, mais ce qui m’a fait le plus kiffer, c’est son air craintif, c’est un homme de 30 ans, grand et athlétique, et pourtant il craint tout le temps que je le gifle, moi, une étudiante de 21 ans.

Bref, ensuite il s’est approché, j’ai dit « t’as pas répondu, on est pote ? ». Il a dit « je ne sais pas, dites moi ». J’ai dit « là t’as l’impression d’être mon pote ? ». Il a répondu « non », j’ai rebondi en disant « alors pourquoi tu parles pour rien ? ». Il a dit « je ne sais pas » avec une voix craintive et timorée.

J’ai continué « et là t’as l’impression d’être quoi ? », il n’a pas su quoi répondre, pendant quelques secondes il y a eu un silence. Brusquement j’ai pris le couteau posé sur la table et je lui ai jeté dans le ventre, ça ne l’a pas blessé bien sûr mais ça l’a surpris et il a sursauté. J’ai éclaté de rire. Ca me soulait qu’il ne réponde pas.

-          M’oblige pas à répéter encore !

-          Un chien

-          PLUS FORT J’AI PAS ENTENDU

-          J’ai l’impression d’être un chien

-          Parce que c’est ce que t’es, en plus tu kiffes ça non ?

Il n’a pas répondu, j’ai pris la fourchette en le regardant d’un air de défi, il a compris que s’il ne répondait pas, j’allais la lui jeter dessus. Il a répondu tout de suite.

-          Ca dépend.

Sa réponse m’a un peu déçue donc sérieusement je lui ai dit

-          Et là tu kiffes pas ? Réponds honnêtement, je ne te frapperai pas

-          Pas vraiment

-          Pourquoi ?

-          Parce que je me faisais une joie de vous voir pour dîner normalement

-          Ok, couche toi par terre » ai-je dit, déçue de sa réponse, il s’est exécuté aussitôt.

J’ai mis mes chaussures sur son visage et ai ordonné « lèche », je sais que c’est ce qu’il adore. Il a commencé à lécher mes chaussures noires à talons de 12 cm.

-          Putain tu lèches comme une salope, truc de fou

En plus il faisait ça de façon concentrée, méticuleusement, les yeux fermés. Je lui ai dit de sucer le talon comme un pénis, ce qu’il a fait sans rechigner. Ensuite j’ai posé ma chaussure gauche sur son pénis et j’ai « caressé » son bas ventre avec ma chaussure.

-          Ah ouais tu kiffes pas ?

-          Si Maîtresse

-          Donc tu kiffes être un chien ?

-          Oui Maîtresse

J’ai senti son « truc » se gonfler donc j’ai vite enlevé ma chaussure, et lui ai demandé de se relever, ce qu’il a fait normalement. Je lui ai ordonné de baisser son pantalon car je sais que c’est quelque chose qu’il déteste, se montrer nu. Il a hésité. Ca m’a énervé.

-          T’attends quoi ?

-          Oui Maîtresse

Il s’est exécuté,  je pouvais voir son sexe en érection à travers son caleçon. Il a rougi.

J’ai demandé « combien de centimètres ? », il a dit « je ne sais pas Maîtresse, 15 ou 16 environ ».

J’ai éclaté de rire, « pourquoi tu mens ? Ca c’est 7 ou 8 centimètres, pas plus ». Il a rougi. Je lui ai dit de se ragenouiller, ça se voyait qu’il avait encore mal, je lui ai dit de lécher encore mes chaussures, il l’a fait. Et j’ai vu qu’il se touchait en même temps, mais j’ai rien dit. Normalement, je n’autorise pas à ce qu’on fasse ça devant moi, faut au moins me demander l’autorisation, sinon je frappe. Mais là, j’ai rien dit exprès, je mangeais en même temps.

-          T’es une salope non ?

-          Si vous le dîtes Maîtresse

Ca m’a trop énervé, genre sérieux, j’ai senti la colère monter en moi. Je lui ai donné un coup de chaussure dans la joue, plutôt fort, il a poussé un petit cri, je lui ai ordonné « approches toi ». J’étais assise sur son canapé, lui à genoux devant moi.

-          Comment ça « si vous le dîtes » ? T’es là tu suces mes chaussures comme une grosse pute et tu me dis « si vous le dîtes » ?

Il n’a pas su quoi répondre, il avait l’air terrorisé.

-          Ouvre la bouche !

Il a ouvert la bouche, j’ai pris un litchi, je l’ai mâché jusqu’à en faire de la bouillie et je lui ai craché dans la bouche. Il a tout mangé.

-          Alors t’es une salope ?

-          Oui Maîtresse

-          T’as kiffé ?

-          Oui Maîtresse

-          C’était bon ?

-          Tellement bon

Il se touchait toujours, je le laissais faire, il a réouvert la bouche comme pour en redemander et pour que je recommence. Ses va-et-vient étaient de plus en plus énergiques, je sentais qu’il était très excité et que peut-être il aurait pu même jouir juste en lui crachant dans la bouche. De toute façon, comme j’ai vu qu’il avait envie de le faire, je n’avais plus envie de lui cracher dessus.

-          Donnes moi de l’argent

C’est pour ça que je l’ai laissé se toucher, parce que je savais qu’il allait accepter de m’en donner quand il est excité, il n’arrive plus à réfléchir. Il est parti chercher son portefeuille, il a sorti un billet de 50 euro, je l’ai pris et l’ai mis dans ma poche, j’ai demandé « encore », il s’est retouché frénétiquement et m’a donné un autre billet de 50. J’ai dit « je vais faire quoi avec ça même ? », je lui ai arraché son portefeuille des mains, il ne restait que 2 billets de 50, je les ai pris. A ce moment là il a un peu gémi, il se touchait en même temps. Après, il n’y avait que des centimes, je m’en battais les couilles, par contre j’ai pris les quelques pièces de 2 euro qu’il y avait dedans aussi. Je me suis levée et ai dit « azi j’y vais, ciao ». Il a crié « non, je vous en prie, pas maintenant, ne me laissez pas comme ça », j’ai répondu « nique ta mère, je m’en ballek, tu jouiras quand je ne serai plus là », et je suis partie.

Dix minutes plus tard, il m’a envoyé un texto « hmmmm j’ai joui grâce à vous, c’était trop bon », j’ai juste répondu « après ça tu diras que t’es ni un chien ni une salope, à plus grosse pute ».