mardi 31 décembre 2013

Chronique d'Eden : Aide au devoir 1

Juste le premier chapitre d'une nouvelle histoire avec de nouveaux personnages, pour lire la suite, il vous faudra me le demander par email ou commentaire pour me motiver à la publier.
Contact : babtousm@hotmail.fr

Chapitre 1 :
                    Oui, vous êtes ? Me dit froidement la gardienne de l'établissement en ouvrant la porte d'entrée.
                    Heu, eh bien, je participe au programme d'aide aux devoirs, je ..
                    Ça commence à 15h30, il est 40. Me coupa t-elle en me toisant.
                    Oui, j'ai eu un problème de transport, j'habite assez loin d'ici et..
                    Entrez, entrez je n'ai pas le temps de discuter.
Elle me lança un dernier regard mauvais, et me tourna le dos.
Super, l'accueil.
Ayant besoin d'argent, j'avais postulé pour travailler comme aide aux devoirs près de chez moi. N'ayant plus de places dans le 12eme, on m'a envoyé dans le 20eme. A Belleville. Pour l'instant rien de différent. Puis tout d'un coup, je me rendis compte que je ne savais pas où aller. Personne ne m'avait précisé où se passait le temps de l'aide aux devoirs. Soit je demandais à cette vieille conne de gardienne soit je partais en vadrouille dans l'établissement. Ne sachant quoi décider, je restai debout, immobile, les bras ballants, l'air vague et embêté.
La sonnerie de la porte d'entrée retentit, et la gardienne se précipita pour l'ouvrir.
                    Oh Bonjour toi ! Lança t-elle d'un air doucereux, tu vas bien ma belle ?
                    Oui et vous ? lui répondit tout sourire une magnifique fille d'environ mon âge.
                    Oui, on fait aller !
La jeune fille me lança un sourire courtois.
                    C'est un nouveau, lui dit la gardienne d'un ton empli de mépris.
                    Bonjour, me dit la jeune fille, tu t'appelles comment ?
                    Pierre et toi ?
                    Eden ! Tu es aide aux devoirs toi aussi ou tu viens pour les activités ?
                    Eh bien je ..
                    Pour l'aide aux devoirs comme toi, dit en me coupant une troisième fois la gardienne. Ça fait 5 minutes qu'il est planté là les bras le long du corps, comme un poteau. Tu devrais l'accompagner, il a l'air lent, s'tu vois ce que je veux dire.
Eden m'adresse un sourire qui signifiait « Laisse tomber, c'est pas méchant au fond » et me fit signe de la suivre.
Elle devait être métisse, mais je ne saurai dire de quels pays exactement. Elle avait la peau mate, et de très longs cheveux bruns, de grands yeux en amande verts, et un nez retroussé. Elle portait des bottines aux talons de 10 centimètres, un jean déchiré aux genoux, une doudoune Canada Goose rouge, celles que mettent tous les petits fils de riches prétentieux de ma fac, et un sac Prada noir. Elle sentait la vanille. Pas vraiment le style d'une aide aux devoirs lambda, mais en revanche exactement mon type. J'ai toujours été attiré par les filles inaccessibles, trop loin pour moi. C'est peut-être pour ça que je n'ai jamais eu de copine. Peut-être que le fait de se voir pratiquement tous les jours et d'aider des enfants cote à cote nous rapprochera, qui sait ?
Je la suivis sans lui dire de mot.

vendredi 27 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 25

Après plusieurs mois de domination, Ingrid ne se lassait pas et au contraire trouvait toujours de nouvelles idées pour s'occuper de moi (d'autant quelle lisait souvent les histoires vécues des magazines Union qu’elle m'empruntait). Ce soir-là, elle vint chez moi avec quelques affaires. Elle m’obligea à me mettre nu, puis à porter une ridicule perruque blonde et une vieille jupe noire. Elle m'a même verni les ongles et rougi les lèvres, se plaignant qu’elle n'avait pas de maquillage ''de blanche'' mais qu’elle ferait avec. Ensuite elle me demanda de la suivre dans la salle de bain et de me tenir penché sur ma propre machine à sécher le linge, jupe retroussée et fesses tendues vers elle. Elle prit l'aérosol de mousse à raser et m’en badigeonna copieusement le cul, puis elle sortit de son sac un vieux tube aérosol usagé de déodorant Rexona (dont elle a retiré la valve et arraché le tuyau de plastique de celle-ci). Elle me l'enfonça profondément, puis me fit pas mal hurler en essayant de le faire rentrer plus loin, en argumentant ''allez wesh, tu peux rentrer plus, en plus j'ai graissé ton gros cul de pute, allez mets le plus loin’’. Sa main gauche commençait à tirer sur mes couilles, jusqu’à me faire pleurer. Ensuite elle me fit asseoir sur le rebord de la baignoire avec le déodorant dans l'anus et là elle me dit ''la prochaine fois jte le mets à sec, allez bye, tchao Pascaline’’, me laissant comme d'habitude seul avec ma douleur et mon excitation.

mercredi 25 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 24

Alors que nous rentrions d'une petite soirée, Ingrid me dit ''maintenant on va faire l'amour''. Bien qu'on s'appréciait déjà énormément, nous n'en étions pas encore à ce niveau d'intimité donc je m'inquiétai plutôt de ce qu'elle m'avait concocté. En effet, elle avançait vers moi, avec ses jolies bottines, la mettant à 2cm au dessus de ma hauteur (j'étais en chaussettes), une jupe courte en jean dégageant largement ses cuisses fines mais plus musclées que menues à la différence du haut de son corps. Elle m'embrassa réellement me faisant douter de sa volonté de domination. Pourtant, elle me rappela vite fait à l'ordre quand son genou nu est venu s'abattre sur mes testicules jusqu'à me faire tomber, gémissant sur le tapis devant elle. Là, elle s'assit face à moi sur le canapé et se mit à coincer mon pénis entre ses semelles. Puis elle s’arnacha du fameux gode ceinture, le long et fin, et me fit m’asseoir sur elle, sans même m'attacher. Je me laissai violer sans ménagement en la suppliant même de me faire mal, ce qui l'amusa et au contraire l'encouragea à me masturber savamment jusqu’à l'apothéose, j'avais rarement été sodomisé dans une telle excitation, mais nous renouvelâmes souvent cette expérience.

lundi 23 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 23

Il s'agit ici de ma deuxième ''commande '' d'Ingrid. Ayant à plusieurs reprises apprécié l'utilisation du gode ceinture et l'inversion des rôles qu'il permet, elle m'intima l'ordre d'en acquérir un nouveau, mais cette fois-ci plus fin et plus dur que le premier. Cette fois-ci, nous l'avions acheté ensemble de toute façon, après une séance de shopping aux Halles. A peine rentrés de nos emplettes, elle mit le petit ensemble noir avec jupe noire très courte que je trouvai trop excitant et avec le gode à sangle fixé dessus, le sex-appeal de cette tenue s'en trouva décuplé. Elle eu très vite fait de baisser mon pantalon, d'écarter mon caleçon sans même daigner le baisser afin de m'enfiler à sec et profond, la finesse de celui-ci rendait vaine toute résistance et rendait le viol inévitable. Elle eu le plaisir de me ramoner jusqu'à la douleur avant de me libérer, endolori mais terriblement troublé et excité.

dimanche 22 septembre 2013

Faits divers : Elle écrase les testicules de son client

http://tchadinfos.com/societes/faits-divers/faits-divers-crase-testicules-de-client/

Les habitants du quartier sénégalais, dans le 4ème arrondissement, ont été bouleversés dans la nuit du 17 mai dernier par les cris d’agonie d’un homme coincé dans la chambre d’une prostituée. Les curieux qui accourent vers les lieux assistent à une scène inédite dans le quartier.
En effet, une jeune fille presque nue était en train de torturer les testicules de M., un jeune homme la trentaine avancée. Malgré les supplices de quelques voisins présents, la fille refuse catégoriquement de lâcher le porte-monnaie de l’homme qui se tord de douleurs en poussant des cris de détresse comme un bébé qui vient de voir le jour. ” Dites lui, de me donner mon argent, et je le libère. Sinon, je vais le tuer “, déclare la fille d’un air grave au public. Certains badauds trouvent là une scène pour se distraire. Ils s’éclatent de rire. Acrobatie sur acrobatie, Moussa se débat et finit par tomber raide comme un caillou. Mais cette dernière est bien là, arcboutée sur M., les testicules bien serrés entre ses mains. Alertée, la police du 4ème arrondissement débarque sur les lieux et retrouve M. dans le coma, tandis que la fille se trouve debout bien menaçante sur sa victime. . C’est ainsi que M. et la prostituée sont embarqués daredare par la police. M. a été conduit à l’hôpital et sa compagne au commissariat. Là-bas, cette prostituée se justifie sans vergogne ” Cette nuit, mon client est venu me trouver pour une baise. Nous nous sommes entendus sur le prix dont un coup à 5. 000 Fcfa. Il était d’accord. Mais, après le 1er coup, il a continué. Lorsque je lui avais posé la question, il me rassurait qu’il payera totalement la facture après le 3ème coup. Curieusement, à la fin, il s’habille sans rien dire et dès que j’ai ouvert ma bouche pour lui demander mon argent, il s’est mis à me gifler. Puisqu’il est plus fort que moi, j’ai cherché à attraper ses testicules pour le maîtriser ”.
Quelques heures plus tard, le policier qui ont accompagné le corps de Moussa à l’hôpital revient en catastrophe au CA4 pour demander au Chef de Poste de maintenir en garde à vue la prostituée, puisque l’état de M. est inquiétant.
Informée par on ne sait qui, la femme de M. (ils ont trois enfants) débarque en catastrophe au commissariat pour s’imprégner des faits. ” Wen mara al kassara galgate hana radjili ? Allah lekou, Mourgou ley ni chiffou maa !” crie-t-elle
Sous presse on apprend que M. n’arrive pas à pisser et est toujours dans le coma. Il court les risques de perdre sa virilité, d’après le médecin.

La black de la salle de gym chapitre 22

Un après-midi, Ingrid me soumit à un superbe jeu chez moi. Elle me déshabilla, m’ordonna de prendre la pause en levrette et m'attacha comme à l'accoutumée et, fait nouveau, me banda les yeux avec un mouchoir, d'une manière extrêmement efficace car je ne percevais plus la moindre -lumière. Soudains je sentis un petit objet se forcer dans mon cul et faire des va-et viens. Soudain, Ingrid me donna l'ordre suivant : ''tu vas dire c'est quoi l'objet que t’as dans le cul et qui te baise pour que je le retire. Si tu trouves pas, tu seras enculé avec, de plus en plus fort, jusqu’à 100 va-et viens''. Je commençais à paniquer, connaissant sa facilité pour inventer des jeux auxquels personne ne penserait. Au début, la chance me sourit, ou plutôt ma mémoire des objets présents dans ma chambre, car j’ai reconnu dès les tous premiers va-et-viens le stylo bille ainsi que le froid manche d’un couteau de table et celui du martinet. Par contre, je du subir les 100 coups de boutoir du manche carré de la raquette de tennis (à sec, je le rappelle). Cela l'énerva et je l’entendis s'éclipser dans la cuisine avant de revenir. Puis je sentis un froid puis une horrible brûlure de mon cul jusque dans mon ventre avant un engourdissement localisé, elle me fit hurler de peur. En effet, aveuglé par le bandeau, je ne savais pas trop ce qu'elle venait de me faire jusqu’à l'entendre rire et me dire ''C'EST BON UN GLAÇON DANS L'CUL, HEIN ?!''. Et oui, je venais de recevoir mon premier glaçon et je m'en rappellerais.

samedi 21 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 21

Cette histoire se situe 2galement au début de notre relation, alors qu'elle était dans ma chambre, s'amusant à regarder calmement nos albums de photos, elle poussa un petit cri d'étonnement en voyant la photo de sa copine, main dans la main avec moi. Et oui, sa ''cop'' et compatriote congolaise ''Z'' de 2 ans son ainée (mais datant de 2 ans donc). Elle me dit ''t’es sérieux là, tu connais Christel, wesh un truc de malade, donc le mec plus âgé qui roule en cheu-por et merco c'était toi ? Tu penses bien qu’elle t'a tèje en un mois''. En fait, ça avait duré quelques mois et c'est moi qui l'avait larguée pour infidélité et désintérêt pour la pratique que je kiffais le plus ..... amusant au regard de la suite. Soudain Ingrid sortit d'un tiroir une grosse lampe torche américaine longue portée Mag Lite et m'intima l'ordre de mettre les mains contre le mur et me baissa froc et caleçon avant de m'enfoncer dans le cul la Mag Lite de mon père. Bien sûr, j'avais mes couilles dans une de ses mains. Donc pas le choix, je du subir une sodomie par la cousine d'une fille que j'avais quittée pour refus de se soumettre à cette même pratique. Toujours est-il que j'ai hurlé encore et pas mal saigné du cul cette fois et si Ingrid avait su a cette époque le motif de notre rupture, elle m'aurait encore plus torturé. Encore une sacrée séance mémorable et imprévue !

Review from a session with Mistress Treasure

http://www.saradas.org/index.php?topic=209805.0

I asked Mistress Treasure for a scissoring and facesitting session that would make me cry and panic. This was my first mixed wrestling session so I was a bit nervous. I was texting her a lot. When I showed up at her hotel, she told me I was working her nerves. Immediately I knew that I'd be paying for that. She is short and extremely wide. Her legs are massive. Right before we started I told her I'd be interested in some trampling as well. Ok so now we're ready to start. She's wearing a sports bra and some skimpy bottoms. She grabs the back of my neck and immediately becomes aggressive. She starts with a side neckscissor. Almost immediately I start to tap, except she just starts squeezing harder. Now I'm tapping frantically and she just starts laughing, still not letting up on the scissors. She asked if I wanted to be knocked out, I eeked out a no and she let go. That was the last decision I made for the next hour. She scissored me absolutely senseless. I had absolutely no say in the matter. She stayed in that side scissor for most of the session. Even when she did give me a break, she didn't fully let up. Only enough for me to breath a little bit. One time I made the mistake of trying to pull my head out, she squeezed so hard I thought I was going out. Then she put me in a reverse head scissor. Literally 2 seconds into it, I was screaming and frantically trying to escape so I didn't pass out. That hold scared the shit out of me. Later when she went to apply it again, I didn't lift my head for her. She punched me until I agreed, then the pain came again. She also trampled my face, which was difficult to handle given that she weighs 180 lbs. She told me if I moved and she fell, she'd hurt me more than I could imagine. The facesitting was actually a break from it all. She didn't let me breath much, but it was easier to handle than the scissors. By the end, I actually wanted out. It hurt very badly and I just wanted to catch my breath. She just told me not to be a bitch and take it. She refused to let go no matter how much I tapped, begged, or screamed. She actually went over our time limit just because she enjoyed making me whimper.

I took away a couple things from this session. First being that she could absolutely kill a man in her scissors. I didn't get to feel her front headscissor which I regret but her reverse had me on the verge of blacking out within seconds. She was holding back too, because I asked her not to knock me out. Had she applied full force, no question it would have been lights out. Second thing I took from this was to have a safe word. I desperately wanted out, but she would not let up. I was completely at her mercy and no amount of tapping or begging would convince her I really wanted out. I thoroughly enjoyed the session and it's something I'll always remember, but it did teach me a valuable lesson. I'm still sore a day later and there are broken blood vessels all around my eyes. I look like I was in a serious fight. I'm definitely hooked on scissors now, but I feel that no one will dominate the way she did ever again.

La black de la salle de gym chapitre 20

Une des premières semaines de notre relation, Ingrid me demanda d'aller la rejoindre à 17h après ses cours pour qu'on aille se balader au centre, en transport, avec ses copines. Je me réjouissais à l'avance de cette sortie et m'empressa de tirer les 300 francs qu'elle jugea nécessaire pour qu'on soit tous ‘’opé’’. Comme prévu, je me tenais devant un arrêt de bus à proximité, d'où je voyais parfaitement la grille de l'établissement. A 50 mètres je la vis sortir avec les autres lycéens. A 30 mètres un groupe de 4 filles se détacha autour d'elle, Habibatou et Ingrid se démarquaient par leur grande taille, suivies de 3 autres belles mélanodermes de taille plus modeste. Les cinq filles s'avancèrent jusqu’à moi, sourire aux lèvres. Ingrid m'annonça froidement : ''tu as la thune ??''. Je m'empressais de lui filer. A peine je rangeais mon portefeuille qu’Habibatou me colla un gros coup de genoux dans les parties me pliant en deux de douleur et coupant mon souffle. J'étais totalement anéanti, pas tant par la douleur qui était pourtant intense, mais par la déception de voir que c'est cela la vraie domination. Et pourtant, quelle immense excitation en rentrant. Je repensais aux rires des filles et au petit ''tchao la pute, on te laisse'' d'Ingrid, mes 3 billets de cent francs encore dans sa jolie main.

jeudi 19 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 19

Alors que nous étions chez moi avec Ingrid, celle-ci me déshabilla entièrement et m'attacha allongé sur le dos sur un des lits installés dans le salon, à l'aide des petites cordelettes faisant parti de nos ''outils'' depuis déjà près d'une année. Elle se déshabilla entièrement en mode strip-tease devant moi avant de remettre son petit blouson en jean qui, ouvert sur ses beaux petits seins nus, lui donnait l'air très sexy, digne d'un des calendriers érotiques que mon père aimait conserver en haut des armoires. Elle se mit au-dessus de moi en position 69 mais en restant trop éloignée pour que je puisse avoir un contact autre que visuel. Mon sexe était tendu au maximum et elle n'hésitait pas à le caresser de temps en temps. Soudain, elle se retourna comme pour m'embrasser la poitrine, mais au lieu de m'embrasser elle me mordit le téton gauche presque au sang, me faisant hurler de douleur et cabrer sur les cordelettes. Puis elle m'embrassa tendrement l'endroit de sa morsure, avant de passer à mon téton droit qu'elle embrassa chaudement avec sa langue avant de.....le mordre et me faire hurler de nouveau de douleur. Sa tête descendit vers mon sexe toujours turgescent malgré une horrible douleur de brûlure à la poitrine et là, elle entoura mon pénis dans un fin drap de coton avant de me le mordre à travers celui-ci en me fixant dans les yeux, comme pour mieux capter et jouir de ma souffrance. En effet, ses dents me firent un mal cuisant bien qu'elle n'avait en rien forcé sur les muscles de sa mâchoire. De sa main gauche aux ongles pointus, et cette fois-ci main nue, sans le moindre gant, elle me doigta, à sec, deux doigt d'un coup, puis trois). Elle se déchaîna ainsi sur mon cul, s'amusant à caresser mon sexe de ses joues en alternant avec quelques caresses buccales (contact direct également) très furtives, plus excitantes et frustrantes qu'apaisantes. La douleur que j'éprouvais niveau anal m'empêcha d'en apprécier sur le coup la valeur. Finalement, j'éjaculais dans sa main droite pendant que jusqu'à 4 longs doigts de sa si belle main gauche me torturaient et me dilataient. Cette émission de semence fit taire ma douleur les quelques secondes qui auraient été pure extase si seulement elle m'avait lubrifié au préalable, ou au moins si elle avait daigné couper ses ongles. En tous cas, moralement, j'étais dans une totale jouissance masochiste parfaite, entre douleur et orgasme, le tout grâce à la main de ma belle Maitresse.

mercredi 18 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 18

J'arrivais chez elle à 17 heures pile avec la chose qu'elle m'avait demandée de rapporter de ma ballade à Paris, discrètement rangée dans un sac en plastique noir à motifs dorés. Ingrid, pieds nus, en tenue d'intérieur regarda dans le sac et je pu voir s'esquisser sur son visage un sourire de satisfaction, sourire que je connaissais si bien après presque un an de domination, qui devait s'accentuer quand elle déballa l'objet devant moi. Avant de le placer comme il se doit à sa taille, elle me félicita car j'avais entièrement respecté son cahier des charges, à savoir la couleur noire et les plus de 22cm de long et 5cm de largeur de l'imposant GODE-CEINTURE que je venais de lui ramener d'un sex shop parisien. Ingrid était littéralement transportée de joie en me braquant avec cet objet tout en latex, elle tapotait dessus comme s’il s'agissait de sa propre bite. Elle s'approcha de moi, m’embrassa d'un long et langoureux baiser ''lesbien'' profond et sincère et me fit mettre a genoux et effectuer une fellation à l’énorme gode. Jamais en presque une année elle ne m'avait fait sucer un objet, même au temps déjà révolu de la ''Ingrid-humiliatrice''. J'étais troublé, choqué même. J'avais un mal fou à le mettre dans la bouche, malgré les caresses de ses doigts sur ma tête et ses encouragements si excitants d'ambigüité de cette voix féminine et douce m'intimant l'ordre de sucer ''SA QUEUE''. Bref je m'appliquais et des ses doigts, elle s'amusait à ''pénétrer'' mes conduits auditifs, elle en caressait surtout le tour comme pour me dire ''c’est ton cul que je veux''. Je caressais ses fesses, sans m'enhardir à aller plus loin. Je n'étais encore que 'Pascaline sa soumise et c'était trop bon. Je la laissai ensuite me retourner, me mettre en levrette et me déculotter par ses soins. Soudain, elle saisi ma queue d'une main, doucement pour une masturbation très efficace (très rare pour une fille et surtout une jeunette) puis elle me pénétra violemment avec le gode sans aucun lubrifiant, la salive ayant séché depuis longtemps. Je me cambrais de douleur mais me rassurais car je connaissais la mollesse du latex. Je pris le parti de pousser pour laisser le gode rentrer a fond et de me concentrer sur le plaisir que la main d'Ingrid me procurait. Après 5 bonne minutes de coups de reins et de masturbation coordonnés, j'éjaculais dans sa main oubliant la douleur ainsi le temps de l’orgasme, temps dont elle eu la mansuétude de profiter pour retirer le membre factice de mon fondement, chose qu'elle se serait gardé de faire quelques mois en arrière afin d'accroitre ma douleur). Ce fut une superbe expérience.

mardi 17 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 17

Cette fois, nous nous vîmes au centre commercial régional, j'avais pour ordre de venir avec de l'argent (mille francs je crois, je ne m'en souviens plus précisément, car, chez elle, les exigences financières n'étaient jamais une fin en soi mais que des moyens de prouver sa domination). Et oui, c'est bientôt la Saint Valentin et je devais offrir des fringues à Ingrid et surtout être capable de lui prouver ma soumission devant des inconnus. En effet, s'étant pas mal renseignée sur ce qu'elle pratiquait d'abord uniquement a l'instinct en plus de 6 mois de relation, elle s'amusait maintenant à reproduire dans ses grandes lignes des scenarii qui lui plaisaient et dont elle eu connaissance par le net ainsi que par d'autres copines à elles (également dominas, ce que je n'imaginais pas un instant à l'époque). Bref, pour commencer, je du m'habiller selon ses directives, en ''fon-bou'' et oublier pour cette sortie mes ensembles Nike ou Lacoste pour un pantalon de ville, un t-shirt mité trop petit et, comble de la honte, porter en lieu et place de ma casquette NBA,un bob semblant venir tout droit de la tête de Bobby, le personnage malheureux du film ''Delivrance'' de John Borman. Je ne comprenais pas pourquoi j'avais cette horreur dans ma garde-robe. Je ressemblais à une caricature de moi-même, une sorte de sdf (c'est à l'occasion de cette sortie que j'ai pu apprécier ma totale imperméabilité à la honte). J’était, suivant Ingrid, à un mètre derrière elle, c'était le jeu, elle habillée fashion, resplendissante. Je portais tous ses paquets et je payais tout. J’ai remarqué que deux vendeuses black avaient fait des clins d'oeil à Ingrid, qui était amusée et galvanisée par le fait de voir que ce n’était pas une relation unique, la deuxième vendeuse lui disant même ''c’est ton pigeon ?''. Moi, ça m'excitait (surtout de mater le string de ma maitresse dépassant de son taille basse, et comble du bonheur, dès quelle me voyait mater son derrière, elle m'envoyait un grand coup peu discret dans les parties avec sa main. Je poussai ensuite le vice à réclamer quelle me mette un concombre ou directement, ou par allusion, devant parfois des gens outrés. Comme à la caisse d'une boutique de fringues pour 'jeunettes'' où j'ai dit ostensiblement : ''il faut qu’on garde 20 franc pour le concombre à acheter'', sans compter les objets longs et divers sur lesquels je mimais une masturbation en disant ''humm si tu m'enfonces ça en entier, je te donne 10 000 francs''. Elle était heureuse ce jour-là, un peu car elle a récuperé mille balles de fringues mais surtout par les crises de fous rires incontrôlées que je je lui ai offert. Elle m'avoua plus tard que cette sortie fut pour elle un premier pas vers le respect vis-à-vis de moi. Elle pensait que j'aurai été mort de honte. Curieusement cet évènement marqua la fin de toute domination de sa part ''devant un tiers'' ainsi que de l'utilisation envers moi d'un langage dégradant. Ce jour-là, ne réagissant pas du tout comme elle l'attendait, elle perdit définitivement une clef, un levier, celui de la domination psychologique. Cela explique le durcissement de l'aspect SM de notre relation.

lundi 16 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 16

Cette fois-ci, Ingrid et moi étions ''posés'' dans son escalier avec Habibatou et une autre de ses copines, une algérienne prénommée Faiza, avec laquelle je fumais une cigarette (Ingrid et Habibatou ne fumant pas). J'étais extrêmement excité par cette situation car Faiza était écroulée de rire quand Ingrid et Habibatou lui expliquaient absolument tout de nos jeux, sans la moindre dispense pour les détails, même les plus scabreux. Faiza ne croyait qu'à moitié et difficilement. Alors, Ingrid m'ordonna de sortir tout l'argent de mon portefeuille (environ 300 francs ), de mettre les billets dans ma bouche et de ''faire le chien'', marchant à 4 pattes, de tourner autour d'elles avant d'ouvrir la gueule et de déposer les dits billets aux pieds de sa copine en disant '’Donne lui aux pieds pour ses cartouches de cigarettes''. Toute étonnée de gagner immédiatement deux mois de cigarettes, Faiza était autant amusée que médusée, surtout quand, obéissant à Ingrid, j'ai aboyé 3 fois. Et elle ne fut pas au bout de ses surprises. Ingrid dit à Habibatou ''Fais lui un câlin pour la remercier notre pute''. Là, Habibatou se leva et me mit un énorme coup de ''Nike'' dans les parties, me laissant en pleurs, ce sur quoi Faiza commenta ''Vous êtes des ouf, moi je pourrai pas''. Habibatou lui répondit :'' normal, toi t’as pas le sens des affaires, déjà wesh tu fumes, tu perds trop dla tune pour rien''. Cette dernière remarque amusa Ingrid qui dit ''Wesh les filles, on bouge, il a plus de tunes, tchao Pascaline'', me laissant une fois de plus à ma honte avec un beau bleu entre les jambes.

dimanche 15 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 15

Je précise que lors de cette séance, Ingrid s'est inspirée partiellement d'une revue SM consultée quelques jours avant. En effet, elle arriva chez moi assez tôt, je n'ai guère souvenir de son habillement mais me rappelle qu'un grand sourire illuminait son beau visage. Elle m'avait réserver une sacrée surprise. Elle m'ordonna de prendre place sur mon canapé sur le dos, nu puis m' attacha solidement les bras, en agrémentant ses manoeuvres de la phrase suivante ''Et tu relèves tes pattes, comme au gyneco sale pute''. Là, elle voyait que j'appréciais sa nouvelle coiffure (longs rajouts lisses) et se mit seins nus afin de me rendre le plus coopératif possible. De son sacro saint sac de toile, elle sortit 2 pochettes de crayons de couleur (des crayon neuf et lisses). Elle me demanda le prénom de ma première copine(non tarifée) à qui j'avais fait l'amour. Je me rappelai qu'elle s'appelai Nadia. Elle m'enfonça alors un premier crayon (au minimum sur 10cm) puis me cria ''ça c'est pour la chatte à Nadia'' et me posa la question suivante ''et Nadia, tu l'as enculé ? ''Non » répondais-je. ''Et Nadia elle t’a sucé'' me questionna t'elle. « Oui » je rétorquai. Elle m'enfonça un deuxième crayon, à sec sur la même longueur en disant ''là je venge la bouche à Nadia''. En fait elle avait imaginé un jeu pour réussir à reproduire sur mon corps l'image d'une grosse femme blanche avec un bouquet de crayons dans le cul, image qui a du travailler son esprit. Elle continua son jeu de question et au dixième crayon de bois, j’hurlai de douleur, mais elle tenait mes parties entre les doigts de sa main gauche, les malaxant, tirant même dessus, et surtout me les menaçant d'un tour complet ce qui me fit accepter la dilatation à sec par son bouquet de crayons, non sans pleurs car j'avais l'impression que mon muscle anal allait lâcher. Et non sans peur quand elle appuyait sur les crayons pour qu'ils rentrent plus loin, bien que les bouts pointus taillés étaient restés dehors. Ingrid m'étonnait de plus en plus.

samedi 14 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 14

Cette fois-ci, ce fut chez elle, un de ces vendredi soir où ses parents ne rentraient qu'à minuit, que j'allais voir Ingrid. Elle m'ouvrit la porte et nous allâmes dans sa chambre où elle m'ordonnait de me déshabiller avec un langage qui m'excitait au plus haut point (mais qu’elle devait malheureusement édulcorer au fil de nos séances, l'amitié se tissant et prenant le pas sur la pure soumission). « Allez, à poil la grosse salope, juste le bas, et écarte ton cul.'' Elle enfila un gant de ménage sur sa main droite et força mon cul d'entrée avec deux doigts en force. Malgré l'épaisseur conséquente de latex, je ressentais très bien ses ongles assez longs et je souffrais, et elle ,pour toute réponse à mes cris étouffés de douleur ajouta un 3ème doigt pour élargir encore plus mon trou déjà endolori. Elle retira sa main d'un coup sec, puis s'éclipsa quelques secondes dans la salle d'eau pour en revenir avec... une béquille. Un modèle classique en aluminium anodisé, avec butée en caoutchouc au bout et repose-bras plastique gris clair. Soudain, elle posa cette butée en caoutchouc entre mes fesses et força sans ménagement la canne à s'introduire dans mon rectum. Elle m'attrapa violement les bourses pour me tenir tranquille avant de les lâcher. Là elle prit la poignée de la canne et la secoua violemment. Moi, je la suppliais de stopper de peur que la butée se détache et que je sois blessé par l'objet. A quoi elle répondit ''j'en ai rien à foutre, c'est pas mon cul ''. La peur et le frottement discret de ma main sur mon sexe me fit jouir bruyamment, ce qu'elle remarquait en disant ''j'aurai du t'attacher sale porc, nettoie tout et barre toi, tchao' avant de m'abandonner et de retourner au salon. Moi, je retirais précautionneusement la canne au prix d'une immense douleur qui sans la vue d'Ingrid n'était pas calmée par l'excitation, avant de nettoyer, de m'habiller et de partir.

Ghetto Youth New Generation 15

Je les suivis donc dans le jardin, et posai les verres et les bouteilles à l'ombre.
Fanta retira son tee shirt Hello Kitty et son slim noir déchiré. Elle portait un petit bikini rouge.
Bien que la trouvant antipathique, je ne pus m’empêcher d’être fasciné par la beauté de son jeune corps. Sa chute de reins était hallucinante. Son dos mince et musclé, cambré à souhait, ses petites fesses, rondes et fermes surplombaient ses fines jambes athlétiques imberbes. Ses petits seins ronds tenaient tout seul, et apercevoir ses petits tétons pointer sous son maillot de bain, me fit une sensation étrange. Fanta avait eu raison de refuser à ma femme de venir à la piscine avec elles. Cela aurait été avilissant pour elle, de devoir montrer son corps de femme quadragénaire lambda près de ce magnifique corps de jeune femme.
Kimberley portait un trikini rose bonbon. Ses seins semblaient encore plus énormes, on ne voyait que ça. Ses fesses étaient larges, ses jambes courtes et rondes, ses pieds petits. Sa peau mate brillait au soleil.
Scara portait un bikini orange fluo. Son ventre et ses seins débordaient un peu de son maillot de bain.
Je ne pus m’empêcher d’être excité. J'eus honte.
Audrey portait un bikini marron, qui jurait avec sa peau pale.
                    Faut que tu bronzes, c'est trop cheum la peau blanche comme ça, lui dit Fanta avec mépris.
                    Oui t'as raison...
                    Eh monsieur, tu viens pas plonger avec nous ?
                    Non, je suis trop gros, j'aurai peur de trop vous éclabousser,  blaguai-je en souriant.
                    Non tu nous éclabousserais pas !
                    Ah bon ? Dis je étonné qu'elle me dise une chose gentille.
                    Non. Tu viderais la piscine. Gros porc.
Et sous un éclat de rire, elle plongea dans la piscine.
Après 30 minutes de baignade, Fanta, lassée ordonna à Audrey de demander ses cadeaux.
Celle-ci vint donc me les demander.
Je les fis venir dans le salon, et donna ses 3 cadeaux à Audrey. Nous étions tous les 4 assis.
Elle déchira rapidement le papier cadeau du cadeau le plus compact.
Un cri strident retentit.
                    Oh mon dieu, le Iphone 5, je le voulais absolument, oh merci merci merci papa ! Hurla t-elle à s'en exploser les poumons.
Scara et Kimberkey regardèrent avec envie son cadeau.
Fanta le lui arracha des mains.
                    Ah bien, vous devez avoir des thunes pour offrir un truc comme ça à votre fille, nan ? Me demanda t-elle.
                    Heu et bien..
                    Nan c'est bien, c'est bien... Hey Audrey tu me le prêtes despi ?
                    Heu … oui bien sur.
                    Cimer, dit Fanta en enlevant le iphone 5 de sa boite avec l'aide de ses 2 comparses.
Audrey ouvrit le second cadeau, des baskets Isabelle Marrant bleues. Elle sauta de joie en me remerciant.
                    Ça, tu peux le garder par contre, dit Scara en réprimant un rire moqueur.
                    C'est tellement moche comme chaussures. Dit Fanta, je sais pas, si tu veux des sneakers prends en des vraies au lieu d'acheter ces merdes de parisiens qui veulent se la jouer street style. Pue la merde.
                    Ouais vous avez raison.. Mais c'est à la mode, quoi. Répondit Audrey en rougissant comme si cet argument allait faire la différence.
                    Pas ici, lui dit Fanta en lui faisant un clin d'oeil.
La joie d'Audrey retomba et elle poussa les Isabelle Marrant loin d'elle.
                    Finalement je les veux plus, papa. Me dit elle, décidée.
Je fus vexé.
                    Ah bah si tu les veux pas, moi je les prends, dit Scara en les essayant, en plus c'est ma taille. Frais !
Eclats de rire de Fanta et Kimberley. Audrey se mordit la lèvre inférieure de rage, mais ne répondit rien. Que pouvait-elle dire de toute façon ?
Elle ouvrit le dernier cadeau, des pulls et des tee-shirt Asos. Elle attendit l'opinion de ses « amies » sur ses cadeaux afin de savoir si elle  avait le droit de sauter de joie ou pas.
                    Dar ce tee ! Dit Fanta en empoignant un tee shirt sur lequel était écrit « In diamonds we trust », tu me le passes ?
                    Oui, bien sur, répondit Audrey, toute contente que Fanta approuve ses cadeaux.
                    T'façon il m'ira mieux qu'à toi.. Dit-elle en l'essayant tout de suite.
Et en effet, il lui allait parfaitement.
                    Tema comme Jean-Pierre il te matte, dit avec dégoût Kimberley à Fanta.
                    Tranquille, je vais rien dire. Vu la femme qu'il a, il doit pas avoir v'la les occasions de mater un beau corps. Vrai ou faux ? Me dit-elle en souriant.
Je ne répondis pas, mais sentis mes joues rougir.
                    Pourquoi tu réponds pas, j'ai pas un beau corps ?
                    Heu.. si si bien sur.
                    Je t'avais dit qu'il te kiffait, dit Kimberley à Fanta.
Fanta et ses deux amies continuèrent de piocher dans le dernier cadeau de ma fille, et ne laissèrent que les vêtements qu'elles jugeaient ringards. Elles avaient littéralement dépouillé ma fille de ses cadeaux. Celle-ci ne dit rien.
                    Je pourrais avoir mon iphone maintenant ? Faut que je l'allume, demanda Audrey à Fanta.
                    Mais tu sais comment on fait même ?
                    Bah je vais regarder sur la notice et au pire sur internet ?
                    Pas la peine, mon frère c'est un pro dans les nouvelles technologies, il va te le pimper t'inquiète, je l'amène chez moi et je te le rends demain.
                    Hein ? Mais, t'inquiète je peux le faire toute seule.
                    … Tu me fais pas confiance ? Putain ça me fout le seum, parce que je suis noire, que je vis en banlieue, ça y'est je suis une voleuse ? Putain moi je voulais juste être sympa avec toi, comme j'ai pas pu t'offrir de cadeaux, en rendant ton iphone 5 dar, et toi tu refuses parce que tu me soupçonnes ou je sais pas, azi reprends le ton iphone je m'en bats les couilles, cria t-elle en tendant violemment à Audrey son cadeau d'anniversaire.
Surprise et effrayée de la colère soudaine de Fanta, elle abdiqua.
                    Nan c'est bon, désolée, tu peux le garder, je te soupçonnais pas.
                    Azi bref, dit Fanta en rangeant l'iphone dans sa besace.
Énervé de voir ma fille s’être faite extorquée ses cadeaux, que J'avais payé, j'entrepris de m'allumer une cigarette, mais mon zippo ne se trouvait pas sur la table. Ah oui, Kimberley !
                    Kimberley, tout à l'heure je crois t'avoir vu prendre mon zippo.. Commençai-je d'un ton sans reproche.
                    Je vois pas de quoi tu parles, répondit Kimberley indifférente.
Son attitude m'irrita.
                    En fait, je ne crois pas, j'en suis sur, tu l'as mis entre ta poitrine.
                    Putain mais t'es un vicelard toi ! T'es tellement un pervers tu vas jusqu'à m'inventer des vies pour pouvoir toucher mes 'eins, mais remballe putain !
Le groupe de filles dont Audrey me regarda avec écœurement.
                    Eh mais t'es un de ces obsédés en scred, c'est chaud... dit Fanta, je comprends que voir des belles meufs ça t'excite, vu que t'es pas habitué à ça. Ça je comprends. Mais que t'ailles jusqu'à raconter des vieux trucs pour toucher les seins d'une lycéenne c'est grave, wallah.
                    Mais... Je ne mens pas, je l'ai vu ! Je n'ai aucune envie de toucher ses seins, je m'en fous complètement de ses seins ! Je veux juste mon zippo ! Hurlai-je excédé et épouvanté que l'on me traite de cette façon. 
                    Hey déjà tu fermes ta gueule ! Hurla Fanta encore plus fort que moi, si tu mens pas, c'est nous les menteuses alors ? T'es sérieux de nous traiter de menteuses là ? Tu crois on va faire quoi de ton vieux zippo de merde, enfoiré ? On fume même pas ! Putain tu veux savoir si y'a ton zippo entre ses seins ?
Fanta attrapa violemment ma main et l'a mis dans le décolleté de Kimberley qui pouffa de rire.
Elle força mes doigts entre l’impressionnante poitrine de la jeune fille. C'était chaud et moelleux... Je rougis.
-                    Alors, y'a quelque chose fils de pute de menteur ? Hurla Fanta.
                    Non il n'y a rien mais...
                    Quoi mais ? T'es toujours persuadé qu'on a ton zippo ?
Et elle enfonça mes mains entre les seins de Scara. Je ne pus m’empêcher de comparer les jeunes poitrines de ces jeunes filles à celle de ma femme, pendante et molle.
Audrey me regardait avec dégoût.
De honte, je rougis. D'excitation, je durcis.
Je priai intérieurement pour que tout cela cesse, mais je priai encore plus fort pour que Fanta prenne ma main et la mette entre ses deux mignons seins.
Et c'est ce qu'elle fit.
                    T'aimes ça, sale enfoiré de pervers hein ? Me demanda t-elle.
Sans que je le leur ordonne, mes doigts s'aventurèrent dans son soutien gorge de maillot de pain. C'était si doux, si ferme, si chaud, si rond, si... Mon index effleura son téton dur.
J'eus peur que mon érection fut visible.
                    Putain le boug il est en train de me peloter, je suis sure qu'il bande ! Hurla Fanta.
-                    Quel fils de pute, dit Scara avec mépris.
J'entendis des pas rapides, arrivés dans le salon.
Nadine.
Oh non.
                    Mais.. Que se passe t-il ? Dit-elle livide en voyant Fanta bloquer ma main entre ses seins.
                    C'est votre mari, ce sale bâtard qui voulait vérifier si on avait son zippo entre nos seins !
Ma femme me regarda avec incompréhension. Que se passait-il ? Pourquoi n'enlevai-je pas ma main des seins de cette jeune fille ? J'étais pourtant bien plus grand et fort.
Mais j'étais trop faible, toute ma force se concentrait dans mon caleçon, je n'étais plus qu'un mollusque.
Fanta enleva brusquement ma main d'entre ses seins, et de ses petites mains tripota mon entrejambe. Je me sentis durcir davantage.
                    T'as une petite bite, boloss, me dit-elle avec mépris, putain j'en étais sur il bande comme un chien. Je vais te faire débander, t'inquiète pas.
Elle souleva son pied nu, car elle était toujours en maillot de bain, et le laissa tomber avec force sur mon entrejambe. J'hurlai de douleur. Les jeunes filles éclatèrent de rire. Ma fille aussi.
                    Ça t'apprendra à un être un vieux pervers, tu me dégoûtes ! Dit Audrey.
Ma femme semblait paralysée de peur.
Je sentis les larmes monter à mes yeux. La douleur était atroce.
                    Tu crois que c'est fini ? Me demanda Fanta.
Et elle recommença. Elle piétina mon entrejambe avec rage. Automatiquement je me pliai en deux, plaçant mes mains dessus. Mon corps tentant tant bien que mal de protéger mes parties. Les larmes coulaient, je tentai de réprimer des cris de douleur, mais je ne réussis pas.
                    Audrey tiens sa main gauche, Scara sa main droite ! Ordonna Fanta à ses deux sbires d'un air sadique.
Elles s'exécutèrent. Je ne pouvais à présent plus me protéger. Ma propre fille me bloquait le bras pour que son amie me détruise l'entrejambe.
Fanta recommença encore et encore. Ses petits pieds sautaient, foulaient, éclataient mon entrejambe.
C'était comme si l'on me martelait le sexe de coups de marteau. Je me sentis défaillir. Fanta s’arrêta alors, sous les cris de guerrière de ses amies.
                    Fils de pute, ça t'apprendra. Je pourrais très bien aller te balancer aux flics pour attouchements, ta femme et même ta fille t'ont vu. Hein Audrey ?
Audrey approuva.
Paralysé par la douleur, je ne réussis qu'à émettre que de petits borborygmes de douleur.
                    Putain t'es vraiment trop moche. Me dit Fanta en me fixant, comme si elle était sur le point de vomir.
L'horreur de ses propos et de ce qu'elle venait de me faire contrastait avec l'intense beauté de son visage, la pureté, la perfection de sa peau, la douceur de ses lèvres.
                    Si je veux, ta vie je la brise. Mais comme je suis sympa, je le ferai pas. Tu me donnes quoi pour me remercier de mon silence ?
Paralysé je ne réussis à rien dire. Cela sembla la mettre en colère, car elle m'attrapa la tête violemment, plongeant ses ongles manucurés dans mon crane, tellement fort que je sentis ma peau s'enlever.
                    J'ai pas entendu de réponse, hurla t-elle avec sadisme, enfonçant d'avantage ses beaux ongles dans ma peau.
                    J... Q.. Qu'e.. Qu'est ce que vous voulez ? Dis-je faiblement, la voix chevrotante, les yeux larmoyants.
                    A ton avis ? En plus d’être moche et gras, t'es débile ? Envoie de la thune, bordel !
                    Ouais envoie de la thune, fils de pute, sinon on te balance aux flics, dit Kimberley en me crachant au visage.
                    Il est où ton portefeuille, bâtard ? Me demanda Fanta.
Je refusai de répondre. Je comptais justement donner de l'argent de poche à Audrey pour son anniversaire. Il y avait plus de 500 euros dans ce portefeuille, bien que pétrifié par la douleur, et craignant qu'elle continue de me frapper, je refusai de donner cet argent à Fanta.
                    T'es sérieux de pas me répondre ?
J'entendis un bruit sourd. Puis une douleur se propagea dans mon crane. Un bourdonnement intense provenait de mon oreille. Elle venait de m'envoyer une droite sur la tempe gauche. Les larmes jaillirent de mes yeux, et mes cordes vocales émirent des gémissements inquiétants. Fanta eut l'air satisfaite. Audrey me regardait avec pitié.
                    Alors ?
Craignant une autre droite, je lui désignai du menton une chaise sur laquelle se trouvait mon manteau. Elle ordonna à Kimberley d'aller regarder. Celle ci fouilla dans mon manteau et trouva mon portefeuille, elle alla l'apporter à Fanta. Celle-ci l'ouvrit violemment, en sortit une liasse de billets de 100.
                    Putain t'es plein aux as, toi. Maintenant écoute moi bien, chaque moi tu devras raquer pour pas qu'on aille te balancer aux flics. T'as compris ?
Et elle me cracha dessus.
Elle prit l'argent, le mit dans sa poche.
Et les 3 comparses s'en allèrent après avoir détruit ma famille en moins de 2 heures.

vendredi 13 septembre 2013

La black de la salle de gym chapitre 13

Encore une aventure où nous nous voyons Ingrid et moi dans son escalier, au début de mon dressage. Elle m'avait prévenu par téléphone n'avoir que quelques minutes à me consacrer. En effet, comme convenu, je l'attendais à genoux dans le local technique avec deux billets de cent francs dans la bouche et très excité par une abstinence de quelques jours. Quand elle ouvrit la porte, elle était resplendissante, devant sortir juste après s'être occupée de moi. Je me rappelle qu'elle avait une jupe courte et des escarpins fantaisie à talon aiguilles très hauts, en plastique dur transparent. Arrivée debout devant moi, elle m’ordonna de m'assoir devant elle, et d'écarter les jambes, là, elle inséra son talon aiguille dans ma fermeture éclaire très légèrement entrouverte et appuya. Elle se tenait à la poignée de porte pour tenir en équilibre sur sa jambe gauche, vu que son pied droit s'évertuait à me faire bien mal. Le talon dur et fin de sa chaussure était maintenant en contact direct avec mon pénis (très dur car j'avais une superbe vue sur les cuisse de ma Mistress). Elle mettait parfois son poids dessus pour m'arracher un cri, j'avais peur car elle était nerveuse. Elle m'ordonna de me retourner, ce que je fis et me caressa toujours l'entrejambe avec son talon, je sentais que j'allais jouir et lui en fis part. Là elle me fit me relever, referma ma braguette et se mit à me faire éjaculer dans mon froc me branlant à travers mon pantalon. Elle prit un malin plaisir à me dire ''tu vas rentré dans cet état chez toi comme ça hein, tu es à pied hein''. En effet, même si mon pantalon était bleu nuit et que c'était peu visible, j’étais extrêmement humilié de devoir rentrer ainsi et traverser ainsi nos deux cités où j'étais connu. Je rentrais chez moi gêné mais surtout troublé, de plus en plus admiratif de Maitresse Ingrid.

La black de la salle de gym chapitre 11

Alors qu’Ingrid et moi étions dans ma chambre tous les deux pour un motif que même la bonne morale légitimerait (je lui dispensais un cours de soutien en mathématiques), voilà comment cette visite dérapa. Vous constaterez l'évolution de nos rapports, bien que ceux-ci restaient encore à proprement parler ''BDSM''. Ingrid se mit à l'aise pour me troubler (seins nus, une petite poitrine mais extrêmement belle). Elle me dit ''T’as des trucs de cul ici ? Cassettes video, bouquins...?''. Après une tentative de dénégation qui ne fit pas le poids face à sa ''connaissance des mecs'' et son ''vous en avez tous'', je me résignai à prendre ma chaise et monter sur l'armoire afin de lui montrer ce que j'avais là-haut, planqué sous les revues automobiles, cynégétiques et motocyclistes. J’en sorti une pile de revues bien hards où la grande majorité des filles étaient noires et pas qu'à moitié, des vraies femmes au type africain. Elle s'exclama : ''un truc de ouf, même là ya des renoies, tu t'branles renoies'' Elle soulignait le ''machisme de ces publications'' où la femme ''faisait le chien'', je me défendis comme je pouvais, invoquant le fait que j'ai changé grâce à elle et le ''dressage''. Visiblement peu convaincue, elle m'ordonna de baisser mon pantalon (et quitta elle aussi son jean et son string, se retrouvant nue avec moi). Là elle sortit de son grand sac de toile aux couleurs africaines la fameuse paire de menottes (avec laquelle elle me lia les main dans le dos) puis une bouteille de soda cola en verre vide, les petites classiques bien connues. Elle me fit m'assoir sur le fauteuil de ma chambre, mais le goulot de la bouteille était déjà rentré de quelques centimètres dans mon cul, en m'asseyant la bouteille allait me pénétrer. Voyant que de mes jambes, je tentai de minimiser la dite pénétration, elle se mit d'abord à appuyer sur mes épaules me mettant ses seins nus devant mon visage, celui-ci se retrouvant collé à sa peau soyeuse. Elle me fit lécher ses seins, j'étais aux anges, sa peau si magnifique. Mon excitation était si forte que je ne protestai pas quand elle montait sur mes cuisses (elle était nue je rappelle). Se faisant, son poids fit entrer très profond la bouteille, la douleur fut une des plus terribles de ma vie, un déchirement, la bouteille n'étant absolument pas lubrifiée comme d'habitude avec Ingrid. Mais malgré tout, la vue de sa beauté, couplée à son odeur si agréable me permettait de supporter son petit jeu vicieux. En effet, sur mes genoux, moi assis, les mains liées, littéralement empalé sur une petite bouteille, elle m'ordonna de lui bouffer les seins, ce que je fis avec plaisir, et elle s'amusa même a m'embrasser elle aussi, puis me mordit les tétons presque à sang à travers ma chemise. Elle guida mon pénis gonflé à bloc dans son vagin trempé, j'étais a la fois homme devant et soumis derrière. Malgré ma turgescence et la pire excitation de ma vie, la bouteille m'empêcha d'éjaculer vite comme je l'aurai fait dans cette situation. Ma maîtresse quittait son statut d'''inaccessible'' mais me faisait subir un viol cuisant, ET JE N'AVAIS AUCUNE PRISE SUR LE MOUVEMENT, J'ETAIS COMME UN OBJET DE PLAISIR, UN GODE VIVANT, ATTACHÉ ET VIOLÉ. Je mis de longues minutes mais finis par éjaculer dans son vagin, sans plaisir orgasmique (effet de la bouteille contre la prostate) mais avec un immense bonheur intérieur (l'orgasme le plus planant de ma vie à défaut d'être le plus fort) et mon pénis resta dur sans la douleur habituelle de la phase réfractaire post-éjaculatoire. Ainsi Ingrid pouvait continuer à se donner du plaisir jusqu’à son propre orgasme. Ce fut là une des plus fortes séances, nous étions désormais dans une phase de bdsm-amitié précédant une relation classique.