Rude journée hier… Je ne travaillais pas ce vendredi, week-end de 3 jours en perspective, je pensais pouvoir me reposer mais acte 1 : ma coloc' me prévient la veille qu'elle a un train à 6h15 le matin ; il faut donc que je me lève à 5h pour l'accompagner. Evidemment, elle me demande mon avis sur sa tenue le matin, etc., et je l'amène au train qui l'amène vers son homme du moment pour quelques jours. Bon, pas grave, je pourrai me reposer après mais dans la matinée, message d'Atouma (the names have been changed to protect the innocent) qui veut qu'on se voit le soir. Comme j'avais dit non la semaine passée, je dis oui (sans me forcer cela dit), bon, c'est tard, il me restera quand même du temps pour me reposer mais je fais l'erreur de me connecter un peu, grave erreur, Cherry aussi...
Ca devrait être écrit sur les paquets de Freebox, « surfer tue ».
Donc acte 2 : apprenant que je ne travaille pas, elle me convoque, pas le choix, on discute un peu à l'écran avant, je lui confie mon manque de sa chatte..
Elle me dit quand même "prends un gode-ceinture" (je suis de la génération qui a plutôt l'habitude d'arriver chez les gens avec une bouteille, mais il faut vivre avec son temps). Je me gare pas loin de chez elle, je me demande où est-ce-qu’on va se rencontrer puisqu’aux dernières nouvelles, elle vit toujours chez ses parents.
Je lui textote mon arrivée, elle : "j'arrive", elle arrive en effet ; très décontracte, très cité, bonnet noir sur la tête, cul galbé dans un caleçon, ballerines d'intérieur aux pieds, sweat au bord de l'explosion.
Elle me guide à l'ascenseur, on monte, intérieur un peu délabré dans les couloirs, elle se dirige vers une porte, l'ouvre, je m'attends à un petit appart', erreur, local à caves ou un truc comme ça, à l'intérieur elle ouvre une autre porte, un tout petit local avec le vide-ordure de l'étage. Elle m'y fait entrer, elle entre aussi et referme la porte.
Non, elle ne va quand même pas...? Impossible de fermer à clé car c’est un local commun, donc pas de serrure...
Tout de suite à genoux devant elle, baffes, elle me fait lui tourner le dos, fouille dans mon sac à godes, en sort un à ventouse, qu'elle fixe sur le mur et me plante la gorge dessus. Elle me dit de ne pas faire de bruit. incroyable, quelle inconscience !
Elle re-farfouille dans le sac, en sort le gode-ceinture "modeste", ce que je craignais est en train d'arriver, je suis à 4 pattes avec une bite dans la bouche, une autre dans le cul, et au bout de cette deuxième, une ado d'aujourd'hui avec son énergie débordante, tout ça dans le local poubelle commun de l'étage.
Bon, la taille du local ne permet pas des mouvements de large étendue, surtout qu'il faut sans arrêt veiller au bruit, elle sort le gode mais ce n'est que pour en changer...
Cette fois, elle prend celui de ma coloc' (qui était dans le même sac), qui est de taille plus respectable, mais ça, je le sais pas (j'ai le dos tourné). Quand elle me pénètre, impossible de ne pas crier, j'ai mal et je me rétracte, il était gros celui-là. Elle me fait retourner, elle ne veut pas de bruit, elle me redonne le 1er gode, me dit de me le mettre moi même au cul, et de l'y maintenir.
Le caleçon se baisse, le string va se promener aux chevilles, ventre en avant, et m'y voilà, je roule un patin passionné au ventre de Cherry en lui faisant ma déclaration d'amour.
Mes déclarations sont maladroites, mais je voudrais t'y voir avec une furie qui te saisit par les cheveux, les oreilles en t'interrompant sans arrêt pour te rabaisser ou te frapper.
Ah j'oubliais, pendant tout ça, j'ai instruction de me branler, vu la situation, je suis surpris de constater que l'excitation l'emporte sur la peur d'être surpris, et je suis en bonne disposition bitale.
Elle a son attitude caractéristique quand elle se fait sucer et qu'elle est au bord : contractions, prise plus brutale de la tête pour s'en servir à sa guise pour s'y coller l'entrejambe. Avant ça quand même, l'emprise sur ma tête appuie en bas pour l'y mettre à ses pieds.
Elle enlève sa ballerine, me la fait longuement respirer de l'intérieur, ça sent fort, puis un peu lécher les pieds. Quand elle ne se sert plus de mon visage pour s'y frotter le zizi, elle me fait branler plus avant et jouir dans ma main et avaler (glup).
Puis on se rhabille, elle m'engueule parce que je fais du bruit en me rhabillant et en rangeant le matériel.
Elle ouvre la porte du local trèèèèès précautionneusement, ça me fait rire, car on est juste 2 là-dedans et on est "normaux", alors qu'on vient de passer 30 mn dans des situations pas possibles à la merci du premier venu et là, ça avait pas l'air de la perturber, mais pour ouvrir la porte, là, attention, on fait attention. Elle me fait cracher 100 euros, m'a raccompagné à la grille avant de me foutre dehors et de me dire "casse-toi".
Bon, enfin, comme ça a plutôt duré moins longtemps que prévu, j'ai le temps de me préparer pour Atouma. De retour chez moi, je m'occupe de 2/3 bricoles, puis passe à la douche pour me passer le produit apaisant pour muqueuses vaginales pour soulager les dégâts de Cherry (j'ai toujours ça sur le rebord de ma baignoire).
Mon rdv du soir, ça fait un moment que je la connais, une sénégalaise, elle m'avait prévenu qu'on prendrait juste un verre, et que je l'accompagnais pour sa sortie en boite ; "je te prendrai pas de thune" mais quand, un petit message dans l'après-midi : « j’ai passe me prendre une robe, tu me la rembourseras comme j'ai pas trop d'argent en ce moment ».
Je vais la prendre, elle est habillée casual, et on se dirige vers les Champs, elle me montre la robe qu'elle a achetée (il n'y a pas l'air d'y avoir beaucoup de tissu), et se demande où elle va se changer. Pourquoi ne l'a-t-elle fait avant de descendre, ça reste un mystère. On va prendre un verre dans un pub assez sympa et pas trop bling bling.
On bavarde, on rit, on raconte des bêtises.
Il y a une serveuse noire que l'on trouve tous deux belle : elle n'est pas sexy, mais belle, avec un air sérieux et un ensemble assez strict, je dis qu'elle doit être antillaise.
Pas complexée, Atouma l'appelle, la fait approcher et lui demande, la fille répond qu’elle est zaïroise.
Bon, quand on a eu tué la bouteille de Sancerre, elle va aux toilettes avant qu'on y aille.
Dix minutes plus tard, je vois une de ces byatch arriver sur moi, c'était elle, je l'avais pas reconnue, la robe avait du mal à lui couvrir à la fois les seins et la petite culotte. Quant au haut des collants, inutile d'essayer de les couvrir, cette robe n'y arrivera jamais. Aux pieds, des escarpins pailletés d'or (enfin, de l'or de TaÏwan) sur talons bien hauts. On sort, elle rigole en marchant, elle me dit "touche moi le cul", je lui mets une main sur la fesse, c'est tout dur.
Elle me dit qu'elle a vu au magasin une sorte de culotte galbée ou rembourrée (j'ai pas bien compris), c'est ce qu'elle porte et c'est ça qui la fait rire.
Elle l'a prise parce qu'elle trouvait qu'elle avait le cul plat (on n’a pas la même définition du plat).
Au bout de 10 m, elle remet ses ballerines car ça faisait longtemps qu'elle n’avait plus marché en talons hauts. Je l'amène à l'entrée de la boite, elle me dit d'attendre un peu, elle est pas sûre de rentrer, elle m'explique qu'elle est un peu grillée dans plusieurs boites des Champs pour avoir foutu le bordel avec des copines. Enfin, sa version, c'est que ce sont ses copines qui ont foutu le bordel, toutes sauf elle. Mais bon, quand je la regarde en face, elle même a l'air de se forcer à y croire.
Bon, elle a dû finir par rentrer et moi aussi, j'étais bien content de cette soirée, pas très domi, mais bon, je suis chez moi à 2 heures, enfin, après cet acte 3, je vais enfin rattraper tout ce retard.
Mais, acte 4, 5 heures du mat', Kim, mon ex-Maîtresse, 5 ans de domination intense, qui ont pris fin depuis pas mal de temps maintenant, une sublime Antillaise, "ça te dérangerait pas, je suis un peu en galère, là ?". Une voix mal assurée qui sent ses fins de soirées défonce, j'avoue, j'aime quand elle est dans ces états-là. Je dis oui, d'accord, j'arrive (c'était tout près de chez moi).
Au bout de 10-15 min, elle m'appelle en s'étonnant que je ne sois pas encore là.
Oui, j'ai quand même pris le temps de me passer un petit coup avant de partir.
J'arrive à l'adresse, elle descend. Je la vois de loin. Quel spectacle : une robe verte indécente au ras du ras de la foune, la chevelure de lionne ample, bouffante et claire, la démarche titubante, un homme black élégant qui la suit.
Elle minaude un peu, mais surtout avec lui ; ils montent tous deux dans la voiture.
On le raccompagne chez lui, c'est sur le chemin.
Puis chez elle, je ne sais pas si elle va s'écrouler dans son lit ou me garder un peu. En fait, elle va me garder mais pas "un peu", 2 heures.
On commence à papoter, puis à reparler du bon temps.
Elle me met ses pieds toujours sur mon chemin, je ne peux que les prendre, caresser les pieds et les jambes, ça lui va, mais elle me dit qu'elle a envie de me frapper.
Je ne suis pas rustre au point de refuser cela à une dame et je me reprends des mandales dans la gueule.
Elle se couche sur son canapé, me tend l'huile de massage, je masse bien les jambes, les fesses.
Au bout d'un moment, le massage ne suffit plus, elle approche négligemment ma tête entre ses jambes, son trou du cul, j'embrasse, je lèche, j'enfonce la langue et là, j'ai pas chronométré, mais j'ai l'impression d'avoir passé 1 heure dans son entrejambe.
A chaque fois que je prenais du recul pour souffler un peu elle m'y recollait, même que des fois elle commençait à s'endormir, j'en profitais pour arrêter un peu, mais non, elle se réveillait juste pour m'y recoller et plus ça allait, plus elle m'enfonçait loin dans son cul.
Le jour était levé, mais je ne pouvais pas m'en apercevoir, j'ai eu l'impression de rester dans le noir tout ce temps, luttant tout le temps pour trouver de l'air. Il en sortait bien un peu de ses orifices de temps en temps, mais... c’était comme des petits pêts et ça n’aidait pas à se revigorer.
Au bout d'un moment, vu qu'elle ne me laissait pas la distance pour respirer, j'étais obligé de souffler et inspirer directement sans mouvement de recul ; ça provoquait des bruits mouillés qui me gênaient beaucoup, mais pas elle apparemment.
Au bout d'un long moment, "j'ai envie de pisser". Je savais ce qui m'attendait.
Allongé sur le tapis, elle me connaissait suffisamment pour ne pas craindre pour son tapis.
Je ne sais ce qu'elle avait bu et mangé dans sa soirée, mais j'ai connu sa pisse plus douce, elle venait par petites saccades, alors que c'est une pisseuse plus régulière d'habitude.
Souvent, la pisse marque la fin d'une séquence, mais pas là, profitant de sa situation assise sur moi, elle se remet à m'enfoncer la moitié du visage dans la raie de son cul.
Je ne peux pas parler de cunnilingus, c'était du face-fuck féminin.
C'est elle qui mettait des coups de rein, elle se masturbait sur ma face.
Et moi, je ne savais plus avec quoi j'agissais : langue, nez, menton, je crois l'ensemble du visage en fait.
Je n'avais jamais passé aussi longtemps littéralement A L'INTERIEUR d'un cul.
Elle a joui, j’ai senti le goût très salé de sa mouille sur la fin.
A un moment, elle a quand même été fatiguée, il était vers 7h30 du mat’.
Longue longue journée !!!
Sorti de chez elle, en allant prendre un petit café au troquet du coin de sa rue qui venait d'ouvrir (il y avait 3/4 turfistes), je me suis rendu compte que je sentais vraiment la chatte.
Merci Martine Aubry pour avoir inventé les RTT !!!!!!!!!!!!!
merci d'avoir compilé mon récit, cher ami. Histoire vraie; ne nous y méprenons pas: c'est moins excitant à vivre qu'à lire, mais c'est plus excitant à se remémorer qu'à lire. Et dire que tout ça survient dans une phase d'arrêt de soumission irréfléchie...
RépondreSupprimerDe rien l'ami, tu as vu, j'ai même laissé ta dédicace à cette femme politique de poigne que tu apprécies tant.
RépondreSupprimeroui, ça c'est de la Mistress.
RépondreSupprimerC'est juste... sale.
RépondreSupprimerCertes.
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