Je vais vous raconter une petite anecdote croustillante qui s’est produite ce dernier vendredi.
Pour commencer, je dois « dresser le tableau » en commençant par une anecdote relevant du fétichisme du pied et de la pédicure mais je ne pense pas que mes amis lecteurs trouveront ceci très « glamour ».
Tout a commencé jeudi soir en fait. Après une bonne douche et une analyse complète de mes doigts de pied, j’ai pu constater que cela faisait longtemps que je ne m’étais pas coupé les ongles. Je sors donc mon petit coupe-ongle en inox et m’assieds tout nu sur la cuvette des toilettes. Fermez les yeux et imaginez bien cette scène qui atteint des sommets d’érotisme. Je commence par les ongles des petits orteils pour garder pour la fin les ongles des gros orteils, les plus longs et les plus durs, mes préférés à couper. Après avoir coupé 9 ongles, mon coupe-ongle se casse en plein milieu de l’opération du dernier me laissant donc comme un c.. avec un ongle à moitié coupé. Bordel de m….. !
Je décide donc que, dès le lendemain, il me faudra me rendre à la petite boutique près du bureau pour acheter un nouvel outil.
Pendant ma pause-déjeuner, je me rends donc dans ce petit supermarché de quartier.
Il faut que je vous dise que, justement dans cette boutique, il y a une vendeuse que j’ai remarquée depuis longtemps avec laquelle j’essaye d’entrer en contact mais n’y ai jamais réussit avant.
Comme par hasard, ce jour-là, à peine entré, elle me saute littéralement dessus avec un large sourire et m’informe qu’aujourd’hui elle est affectée au rayon boissons et alcool. Tellement surpris qu’elle m’adresse la parole si facilement, je ne sais quoi dire à part un timide bonjour, baisser les yeux et naturellement sortir un très honnête mais impromptu « mais je ne bois jamais d’alcool ». Son regard laisse apparaître sa déception mais je me ressaisis à temps, pour ne pas laisser filer l’occasion qui m’est donnée de lui parler alors je lui dis que finalement je veux bien voir ce qu’elle a à proposer car je peux très bien avoir des invité(e)s un jour.
Comme dynamisée par ce retournement de situation, elle me prend par le bras et me guide vers le rayon alcool. Nous discutons vins rouge, blanc et vert (j’apprends alors que c’est une spécialité portugaise). Elle s’affaire à me montrer les différentes bouteilles et à me dire les prix mais, très sincèrement, ça ne m’intéresse pas plus que ça et j’en profite pour voir la pureté de la peau de son visage ainsi que ses courbes généreuses, bien que vêtue de son uniforme de travail.
Je ne sais pas si c’est mon instinct de soumission, de money slave ou je ne sais quoi, mais je ne peux me résoudre à repartir du magasin sans lui acheter deux bouteilles, elle en est d’ailleurs très heureuse et m’en remercie d’un large sourire. Dans ma tête, je me demande comment faire pour lui glisser mon numéro de téléphone mais la possibilité ne se présente pas.
Elle m’accompagne jusqu’à la caisse en tenant le panier et en me tenant par le bras. Nous passons devant le rayon eau minérale, je m’y arrête et lui dis qu’il me faut de l’eau. Je commence à prendre des bouteilles de la marque que j’ai l’habitude d’acheter. Elle me dit en faisant la moue qu’elle représente une autre marque, bien entendu, un peu plus chère. Résigné, je remets en rayon les premières bouteilles et laisse mon hôtesse remplir le panier des bouteilles d’eau de la marque qu’elle « représente ».
Nous allons jusqu’à la caisse, elle attend bien que je passe tous les articles du panier et que je paye, me fait un petit signe de la main pour dire au-revoir avec un très grand sourire.
Au final, j’ai donc acheté 2 bouteilles de vin que je ne boirais pas, 3 bouteilles d’eau plus chères que d’habitude et j’ai oublié d’acheter mon coupe-ongle.
Qu’est-ce-qu’on est bête quand on est money slave !
Maitresse BB cherche pigeon à plumer.
RépondreSupprimerandreaurelie25@gmail.com
J'ai pas lu l'article en entier mais juste ta phrase c'est très glamour un pied mes pieds sont divins et j'aime mes moneyslave qd ils sont à mes pieds écris moi à shaynaline@hotmail.fr
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