mercredi 13 juin 2012

Histoire du net : la soeur de ma copine

http://ballbusting.leforum.tv/t243-La-soeur-de-ma-copine.htm

Je sortais avec Laura depuis 6 mois, et tout se passait à merveille avec elle. On avait de bons moments, elle était drôle et intelligente, et de loin la fille la plus sexy avec laquelle j'étais sorti. Le sexe était génial, bien qu'elle aimait que ce soit un peu violent : elle prenait le plus son pied lorsque je la prenais violemment en levrette ou lorsqu'elle me pressait les couilles comme des citrons alors que j'éjaculais en elle.


Tout aurait été parfait si il n'y avait pas eu ses soeurs. Enfin, surtout la plus jeune, Julie. Elle venait d'avoir 19 ans, et avait un corps à en faire pâlir tous les mecs. Ma copine était superbe, mais elle était parfaite. Un corps fin avec les courbes là où il faut, des seins bien fermes, de longues jambes et un petit cul bien serré. Elle aimait en plus s'habiller bien sexy à la maison, et je ne pouvais m'empêcher de mater son décolleté profond et ses magnifiques jambes. Bien qu'elle ne dise rien, elle avait bien remarqué mes petits regards…


Et tout a basculé en une soirée.


J'avais prévu une soirée surprise avec Laura: l'emmener dans un bon restaurant, puis voir un film qui lui plaisait et pour finir une folle nuit chez moi. Je ne lui avait rien dit de tout ça, mais pensais la trouver chez elle. Ce fut sa soeur Julie qui m'ouvrit la porte. C'était difficile de ne pas la regarder : elle portait un petit haut jaune bien décolleté, cachant à peine un soutien-gorge rose, un short en jeans mettant bien en valeur son petit cul et ses longues jambes, et elle ne portait pas de chaussures.


"Oh, salut Jason ! Tu viens voir Laura ?"


"Oui, la chercher en fait, est-ce qu'elle est là ?"


"Non, elle n'est pas encore rentrée, elle devrait être là d'ici quelques minutes je crois. Tu veux entrer l'attendre ?"


Elle semblait seule à la maison. Elle ferma la porte, je m'assis sur le canapé et elle prit place juste à côté de moi.
On parla un peu de ses études, et je faisais de mon mieux pour ne pas la mater et pour cacher mon érection. Je n'avais pas vu Laura depuis une semaine, et être assis à côté de la ravissante petite soeur de ma copine ne m'aidait pas à rester calme…


"Comment est-ce que tu trouves mes seins ?" me demanda-t-elle soudain


"… euh… quoi ??" Est-ce que j'avais bien compris ?


"Mes seins, comment tu les trouves ? Moi je les trouves un peu petits…"


J'étais interloqué
"…euh, non, je sais pas, ils m'ont l'air plutôt très bien !…"


"Tu es sûr ? Parce que tu les regardes tout le temps… C'est parce qu'il y a quelque chose qui ne va pas ?"


"Non, non, je regarde pas… tes seins ! C'est juste que…" Rouge de honte, je n'arrivais pas à finir ma phrase.


"Ne t'inquiète pas, il n'y a pas de mal à regarder. Dis-moi comment tu les trouves : bien, petits, gros ?" me dit-elle, les soutenant avec ses deux mains sous mon regard amusé.


"Je… ils sont beaux, plutôt gros et fermes… je veux dire, ils ont l'air bien fermes". J'avais de plus en plus de mal à masquer l'érection qui frappait contre ma braguette.


"Touche-les si tu veux", me dit Julie avec un sourire.


"Non… non !"


"Touche-les !" elle m'ordonna, prenant les deux mains et les plaçant sur sa poitrine.
Je ne fis rien pour l'en empêcher, mon sexe était plus dur que jamais, la sensation de ses magnifiques seins fermes à travers son haut étant juste exquise.


"W… won, ils sont superbes… fermes, et doux" je balbutiais, incapable de dévier mon regard de son décolleté sur lequel j'avais les mains posées.


"Merci, c'est gentil." Enlevant finalement mes mains de sa poitrine, elle se leva pour planter son petit cul devant mes yeux. "Et mes fesses, tu les trouves comment ?"


La vue de ce petit cul parfait me fit presque gicler dans mon boxer. Je salivais.


"Parfait… Bien je veux dire, très beau".


"Merci", me dit-elle en me caressant la joue. "Tu aimes bien regarder mes seins et mon cul, non ?"


"Oui… Non, non je veux dire !"


"Vraiment ? Mon cul n'a aucun effet sur toi ? Petit menteur…" disant cela, elle me caressait la poitrine, puis dirigea doucement sa main vers mon sexe en érection…


"C'est… c'est pas facile de rester concentré avec toi dans la pièce, en eff…" je m'arrêtais net alors que sa main se mis à caresser doucement mon sexe.


"Laura est vraiment amoureuse de toi, tu sais ?" Elle caressait maintenant mes couilles, alors que je luttais pour ne pas éjaculer… "Mais elle serait vraiment, vraiment déçue de savoir que tu bandes en matent sa petite soeur…"
J'étais trop proche de jouir, trop occupé à me retenir de ne pas tout balancer que je ne relevais pas vraiment.


"Que… qu'est-ce que tu veux dire ?" j'arrivais à articuler.


Julie passa soudainement sa main sous mon pantalon dans mon boxer et se mis à me branler vigoureusement.
"Je veux dire qu'elle deviendrait folle si elle savait que son bâtard de copain se branlait en penser à moi !" et soudainement, elle empoigna mes couilles et les serra de toutes ses forces. Au même moment, j'éjaculais, incapable de me retenir plus longtemps. La douleur m'envahit en même temps que la jouissance, alors que mes couilles se vidaient à l'intérieur de mon boxer, avec sa main toujours dedans.
Elle sembla serrer encore plus fort, et le plaisir s'arrêta net, laissant place à une douleur intense. Finalement, elle retira sa main dégoulinante de sperme et la regarda avec dégoût.


"Tu vas payer pour ce que tu viens de faire sale bâtard !" Et elle ferma soudainement le poing pour m'envoyer un uppercut qui vint écraser mes couilles.

"Tu vas payer pour ce que tu viens de faire sale bâtard !" Et elle ferma soudainement le poing pour m'envoyer un uppercut qui vint écraser mes couilles.


"Aiiiiiouuuiillllllleeeee!!!!" Je criais, au moment où je vivais la douleur la plus intense de ma vie.


Avant même que je puisse bouger et essayer d'échapper à ses coups, elle envoya 4 autres fois son poing dans mes parties, avant de me laisser tomber, presque évanoui et avec une envie de vomir.
Elle regarda sa main pleine de sperme, et avec un sourire fit mine de la lécher avant de l'essuyer sur mes cheveux. Elle alla ensuite chercher son appareil photo et pris une photo de moi recroquevillé sur le sol, puis une photo d'elle devant moi, se léchant le doigt.


"Tes couilles sont pas encore remontées ? J'ai oublié de te dire, Laura n'est pas là ce soir. Elle est partie avec les parents à un dîner de famille. J'ai bien fait de rester là ! On vient seulement de commencer à s'amuser tous les deux !"


"Non Julie, s'il te plaît…" Je parvins à articuler.


"Ta gueule vieux pervers ! Maintenant, tu vas bien faire tout ce que je te dis, où je dis tout à Laura, comment tu m'as éjaculé sur la main, la façon dont tu me mate, et je te promets que c'est elle qui va te couper la bite !Alors soit sage avec moi. Enlève ton pantalon !"


Allongé sur le sol, je commençais seulement à me rendre compte de ce qui m'arrivait : je venais de jouir dans mon boxer, la main de la soeur de ma copine à l'intérieur, et mes couilles semblaient bien endommagées par ses coups de poing.
Comment tout cela était-il arrivé ?
Je n'eut pas beaucoup le temps de réfléchir. Julie n'était pas très patiente : me prenant les pieds, écartant mes jambes, elle envoya un bon coup de pieds dans mes parties avant que je puisse dire quelque chose.
"Je t'ai dit d'enlever ton futé, plus vite !" elle cria


"OK, tout ce que tu veux Julie, mais arrête de me détruire les couilles..."


"Ne me dit pas ce que je dois faire, sale merde !" elle me dit, écrasant mes couilles avec ses sandales. Des larmes de douleur commençaient à couler sur mes joues. "Maintenant DÉPÈCHE-TOI !". Et elle me lâcha les jambes.
Inquiet de ce qu'elle pourrait faire si je n'étais pas assez rapide, je me dépêchais de me lever, malgré la douleur, et d'enlever mon pantalon. J'étais là, devant Julie, avec seulement un t-shirt et mon boxer. Elle souriait en regardant mon boxer collant de sperme.


"Qu'est-ce que t'attends ?" elle me dit. "C'est tes petites couilles que je veux voir, à poil !"


Je savais qu'il valait mieux obéir et enlevais donc mon boxer me retrouvant nu pour la première fois devant la petite soeur de ma copine qui m'avait tant fait fantasmé.


"Pas mal", elle dit, fixant mes couilles bien pendantes. "Maintenant, c'est l'heure d'être un homme ! Combien de coups de pieds dans les couilles tu penses pouvoir supporter ?"


"Non Julie, s'il te plaît, tu as déjà détruit mes couilles, je pense pas pouvoir supporter un seul coup… Laisse-moi partir, je t'en prie."


"Si tu crois que j'ai déjà détruit tes petits bonbons, tu n'as encore rien vu !" me dit-elle avec un sourire en coin qui m'effraya encore plus. "Allez, on fait un pari. Je te frappe 10 fois dans les couilles, et si tu arrives encore à tenir debout après ça, je te laisse partir. Ça marche ?"


"Est… est-ce que j'ai vraiment le choix ?"


"Bien sûr. Tu peux être un homme et prendre ces coups, ou je peux te réduire les couilles en purée maintenant. C'est ton choix."


"Donne… donne-moi juste 10 coups, qu'on en finisse, et promets-moi de me laisser partir après ça."


"Si tu arrives encore à tenir debout, bien sûr ! Allez, écarte les jambes !"


Doucement, j'écartais mes jambes, offrant mes couilles aux pieds de Julie, me préparant à l'impact. Le premier coup fut direct. Son pied droit frappa mes couilles de plein fouet, les écrasant et me laissant échapper un petit cri de castrat.


"Deux !" Le second coup fut moins précis, mais elle avait quand même énormément de puissance. Bien sûr, mes couilles gonflées étaient une cible facile.
"Trois !" Elle rigolait en me frappant, m'humiliant encore plus lorsque son pied me frappait. La douleur était immense, mais j'arrivais tant bien que mal à rester debout.


"Quatre ! Cinq !" elle me frappa avec son genou pour ne pas manquer la cible. Je sentais mes boules remonter lorsque son genou s'écrasait contre elles, pour lentement redescendre à leur place. Mes jambes tremblaient maintenant, et chacun de ses coups semblait plus fort que les précédents.


"Six !" Je crû voir des étoiles lorsque son pied entra en contact avec mes couilles pour la 6e fois. Je sentis mon corps se soulever sous la puissance de son coup. C'était de plus en plus dur de rester debout.


"Sept !" Elle semblait vraiment adorer ça, comme si elle avait attendu ce jour depuis longtemps. Elle fit le tour de moi, s'arrêtant derrière et…


"Huit !" L'effet de surprise et la force de son coup de pied me fit sursauter, et mes jambes ne répondant plus, je m'écrasait bruyamment sur le sol. Julie éclata de rire et se pencha au dessus de moi, saisit mes couilles à pleines mains et les serra très fort. J'étais en train de m'évanouir.


"Même pas capable de tenir 10 coups, petite merde !"


Elle allait serrer encore plus fort et les réduire en bouillie lorsque la sonnette retentit.


"Merde, c'est qui ?! Reste où t'es, ne fait pas le moindre bruit ou je te promets que je te castre !"


Elle couru vers la porte et poussa un soupir de soulagement lorsqu'elle y découvrit Camille, sa meilleure amie.


"Dieu merci, c'est toi !"


"Bien sur que c'est moi ! Ça fait 30 minutes que je t'attends ! Qu'est-ce que tu fous ?!" lui répondit Camille


"Merde, j'avais oublié qu'on devait se voir ! Mais j'ai trouvé quelque chose de bien plus intéressant, viens voir !"


Camille suivit Julie jusque dans le salon, où elle me trouvèrent toujours recroquevillé, me remettant doucement.


"Putain Julie, me dit pas que tu as finalement coincé ce pervers ?! Pourquoi tu m'as pas appelé avant ?!"


"Désolé, dans le feu de l'action, j'ai oublié ! Enfin, tu peux encore en profiter !"


"Est-ce que tu lui as déjà éclaté une couille ou quelque chose ?"


"Non, pas encore ! Enfin je pense pas ! Aide-moi à vérifier !"


J'étais incapable de faire quoi que ce soit pour les empêcher de me prendre les couilles, chacune une en main, et de les serrer fortement.


"Noooooonnnnn!!!! S'il…. vous…. plaît !" je parvins à crier.


"Ta gueule salope !" me dit Camille en donnant une grosse claque sur mes couilles. En rigolant, elle prirent, serrèrent et écartèrent mes couilles au maximum. Incapable de supporter plus de douleur et de respirer, je m'évanouis…




Lorsque je me réveilla, la première chose que je ressentis fût la douleur. J'étais à peine capable de bouger, et les filles étaient encore en train de jouer avec mes couilles.


"T'as pas le droit de t'évanouir, tricheur !" me cria Julie en serrant fort mes couilles. "Si tu étais un peu plus malin, tu te serais demandé pourquoi je suis toujours célib', non ?"
En effet, je m'étais toujours demandé pourquoi une fille aussi magnifique qu'elle n'avait toujours pas de copain. Je me disais qu'elle attendait le bon. Mais j'avais tort…


"C'est juste que tous les mecs ont peur d'elle." me chuchota Camille. "Et de moi. On nous surnomme les castratrices, c'est tellement marrant de frapper et écraser vos misérables petites choses. Je pense que les mecs ont peur que Julie les émascule si ils sortent avec elle…"


"Pourtant, j'ai jamais castré quelqu'un !" se défendit Julie. "Enfin… pour le moment !" Les deux filles échangèrent un sourire complice.
"Mais j'en mouille à l'idée de le faire !" Julie et Camille semblaient de plus en plus excitées, et serraient de plus en plus fort mes couilles…


"Non! Julie, fais pas ça !!"


"Tu penses que ce serait marrant avec un casse-noix ?!" demanda Julie à Camille, m'ignorant totalement.


"Ça serait excitant en tout cas !" répondit Camille, toute excitée.


"Surveille-le, je vais en chercher un !"


"Un casse-noix ?! Non ! Camille, s'il-te plait, ne faites pas ça !!" Je suppliais. C'était peut-être ma seule chance de la résonner, sans Julie. Peut-être comprendrait-elle mieux, après tout, je ne lui avais rien fait.


Camille me regarda avec un mélange de pitié et de dédain dans son regard.


"Pauvre petit, c'est vrai, tu ne mérites pas ça, c'est vrai ?!" Elle s'assit et se mit à caresser mes couilles endolories. "C'est vrai, c'est pas comme si tu avais une copine magnifique, Laura, et que tu ne pouvais t'empêcher de mater le cul de sa soeur !" disant cela, elle avait fermé son poing et m'envoya un coup violent dans les boules. J'étais prêt à vomir.
"Tu mérites pas Laura, ni sa soeur, tu ne mérites aucune fille en fait ! Ce que tu mérites, c'est de bons coups dans les couilles, comme tous les mecs d'ailleurs !"


"Je l'ai trouvé Camille !" Julie était de retour dans le salon avec un casse-noisette dans les mains. "Tiens-le bien !"


"Je pense que j'en ai pas besoin, il ne peux même plus bouger !" La douleur était trop forte en effet, et tout ce que je parvenais à dire était "Noooon, faites pas ça !" que Camille et Julie ignoraient totalement.


Camille écarta mes jambes et Julie approcha le casse-noix. Elle pris mes couilles dans les mains, en plaça une dans le casse-noix et commença à fermer. Je sentis doucement ma boule s'aplatir. Je voyais dans ses yeux l'excitation alors que je la suppliais. Camille regardait également ma noix s'aplatir.


"Allez, plus fort ! Je veux l'entendre éclater !" elle cria.


Soudain, Julie stoppa net, je respirais enfin. Allait-elle me laisser libre ?


"C'est pas marrant" dit Julie. "Je veux les sentir se réduire en bouillie dans mes mains."


"Julie, s'il te plait", je suppliais. "Je ferais ce que vous voulez, laisse juste mes couilles tranquille !"


"Ne t'inquiète pas, on en aura bientôt fini avec tes couilles, je te promets !" me dit-elle, et elles éclatèrent de rire. Je ne pouvais rien faire, elles me tenaient littéralement par les couilles.


"T'as raison Julie, c'est plus marrant comme ça." Chacune des filles avaient maintenant une de mes boules en main.


"Il est temps de vraiment s'amuser avec ce looser Camille. T'es prête ? La première qui lui en écrase une ?"


"Noooooooooooonnn" je parvins à crier. "Nooooooonnnn!!!!!!!!!"


"Parti !" cria Julia


Les deux filles serrèrent soudainement mes couilles de toutes leurs forces. La douleur était si forte que j'espérais juste m'évanouir, mais ç'aurait été trop facile… Au lieu de ça, je sentais mes couilles se comprimer, prêtes à exploser.

"Allez, éclate, salope !" criait Camille
"Je vais l'exploser en premier !" répondait Julie en riant.

Mes couilles ne pourraient pas tenir plus longtemps. Les deux filles les tenaient si bien qu'elles ne pouvaient pas s'échapper.
Soudain, je sentis une douleur que je n'avais jamais ressenti. Ma couille gauche venait d'être réduite en bouillie par Julie. Deux secondes plus tard, Camille achevait à son tour de me castrer.

"Wow! J'ai gagné !" dit Julie en éclatant de rire. Les deux filles vérifiaient que mes couilles étaient désormais bien vides. Je regardais les filles jouer avec ce qu'il restait de ma virilité en m'évanouissant.

Quand je me réveillais, Julie et Camille étaient parties. J'étais habillé, assis sur le canapé. On aurait dit que rien n'était arrivé. Mais la douleur me rappela vite l'affreuse vérité.
Je n'ai jamais dit à Laura ce qui s'était passé. Une semaine plus tard, remarquant que je n'étais plus un homme, elle rompit simplement avec moi.
Je croisa encore quelques fois Julie et Camille. N'osant pas les regarder dans les yeux, j'appris plus tard que je n'étais que la première de leurs nombreuses victimes...

2 commentaires:

  1. ce garçon manque d'imagination: ne lui est-il pas venu à l'esprit qu'il avait éventuellement une possibilité, celle de prendre ses jambes à son cou ? et aucun mot sur les conséquences médicales ? une histoire qui fait un peu mal au ventre quand même...

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  2. Je suis le garçon en question :)
    Une histoire bien évidemment fictive (malheureusement diront certains), mais que je suis agréablement surpris de retrouver ici !

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