vendredi 8 août 2014

Mars 2011 : Rencontre avec Son Altesse M.


Dimanche après-midi, promenade en famille avec parents, frère, belle-sœur, sœur, neveux et nièce sur une plage de galets de Seine-Maritime. Appel en absence, numéro bizarre commençant par 09. Je rappelle, une voix assurée répond « tu sais c’est qui tarlouze ? ».Cette voix hypnotisante me coupe de la réalité du moment présent. Je ralentis le pas pour laisser un peu d’avance à la famille et pour pouvoir continuer à discuter plus librement.
« Oui ma princesse, je suis tellement content d’avoir de vos nouvelles, je n’arrivais plus à vous joindre depuis jeudi.
-          Ta gueule, j’ai eu un problème de phone et d’internet depuis jeudi, on n’a pas pu se voir hier matin dommage, tu reviens quand dans la région parisienne connard ?
-          Je retourne chez moi demain, donc je transite par paris demain matin mais pendant à peine quelques heures.
-          Ouais, bah t’as intérêt à ramener ta face de cul blanc sur le Blanc Mesnil demain matin, je m’en fous comment tu te débrouilles mais je serais à la gare RER à 09h00, t’as intérêt à y être toi aussi si tu veux continuer à être l’un de mes larbins officiels. Ya un parking fermé à gauche en sortant de la gare, on s’y retrouve. Tu me ramènes 250 euros.
-          Mademoiselle, il faudra sûrement que je change mon billet de train avec des frais, car il faudra que je prenne le premier train du matin pour être à l’heure, 250 ça va être chaud, peut-être 200 si ça vous va ? Mais je vous apporte le plus que je peux de toute façon.
-          OK tapette, à demain, je crois pas trop que tu viendras vu que sur ton blog tu dis toi-même que t’es un mytho mais bon, tu m’as bien payé ma recharge en temps et en heure alors, je te laisse une chance sale clebs. »
Tout le reste de l’après-midi ne sera que pensées floues, je suis physiquement avec ma famille mais ma tête est bien loin. Obligé de trouver des excuses pour dire que je partirai plus tôt le lendemain matin, cette double-vie ne fait qu’engendrer petits mensonges et fausses excuses.
Lendemain matin, à 05h45 à la gare de Rouen, je change mon billet de train, 45 euros de plus, oui, je ne pourrai que donner 200 à Son Altesse M.
Somnolence dans le train, avec de temps en temps, maux de ventre d’anticipation et d’excitation.
Arrivé en gare St Lazare, obligé de regarder comment faire pour se rendre au Blanc Mesnil, ouah, c’est cool, c’est sur la même ligne de RER que l’aéroport Charles De Gaule, je connais bien, donc facile. J’arrive à la minuscule gare RER du Blanc Mesnil à 08h30, 30 minutes d’avance, assez pour réfléchir, trop pour rester calme.
J’attends la Demoiselle en dehors de la gare, accoudé à un mur, faisant semblant de lire une brochure publicitaire. L’heure fatidique est dépassée, il est déjà 09h30, je ne peux pas l’appeler sur son numéro de téléphone en 09 car elle m’a interdit de le faire et elle n’a plus de portable. Je suis quasi certain qu’elle ne viendra pas. Je me dis que j’attends 10h00 avant de partir.
Vers 09h40, je vois une silhouette lycéenne avancer vers la gare et y entrer. C’est Elle, je La reconnais à ses photos que j’ai du admirer des dizaines de fois.
Aujourd’hui, elle arbore une coiffure très fashion, jeune et plutôt excentrique, mais ça lui va terriblement bien. Un petit blouson en skaï noir sur une chemise à carreaux bleue ouverte sur un joli décolleté, un pantalon jeans avec déchirures, des petites baskets bleues et blanches, de grosses boucles d’oreille fantaisie, un gros collier en chaîne avec de nombreux pendentifs, deux très gros bracelets au poignet gauche et de multiples bracelets fins au poignet droit, 3 grosses bagues à chaque main parsemées entre les différents doigts dont les pouces. Elle semble concentrée dans sa musique s’échappant de ses écouteurs de I-pod.
Pendant que je l’observe, elle inspecte la gare à la recherche du blaireau qu’elle veut dépouiller, elle en ressort et je m’approche d’elle à ce moment-là. Elle n’hésite pas une seconde quand elle lève les yeux sur moi, elle susurre à voix basse quand elle passe à côté de moi :
« C’est toi le bouffon ? 
-          Oui Mademoiselle M. Merci d’être venue, je suis si cont……
-          La ferme, bon, je ne veux pas qu’on me voit en la compagnie d’un boloss comme toi, je suis connue ici, tu me laisses partir devant et tu me suis, tu laisses de la distance, allez grouille toi. »
Je suis estomaqué par l’assurance et le charisme que cette jeune fille de 18 ans dégage en présence d’un homme de presque le double de son âge, elle connaît sa supériorité et sait en user.
Je la laisse passer devant et m’engage, tirant ma petite valise à main. On part sur la droite de la gare, on passe sur un pont suspendu, elle marche très vite, même en voulant lui laisser de la distance, je suis tout de même obligé d’appuyer ma cadence pour pouvoir la garder à distance de vision.
On redescend du pont suspendu, on s’engage sur la gauche dans une petite ruelle pavillonnaire, des maisons individuelles cachées derrière de hauts murets. Focalisé sur ma marche olympique forcée, je m’étais déconcentré un peu de sa silhouette et quand je me recentre de nouveau sur Elle, je la vois, m’attendant impatiente dans une sorte de tout petit parc isolé non loin d’un autre autopont suspendu. Elle est debout à côté d’un gros bac à fleur en béton dont les rebords sont aménagés en petits bancs. Elle me crie dessus de me dépêcher, contredisant son ordre précédent de laisser de la distance entre elle et moi. J’arrive à son niveau, elle s’assoit sur le banc et insulte encore ma lenteur.
Elle est assise, la jambe gauche croisée sur la cuisse droite, son pied droit tapotant le sol, son impatience est réellement perceptible, tout son corps semble en trembler.
Je ne sais pas trop quoi faire, je laisse ma valise sur le côté et me plante devant elle, baissant les yeux naturellement. Après quelques secondes, son nouvel ordre claque :
« Qu’est-ce-que t’attends ? C’est où ta place ? Et regarde, ma basket est sale, t’es censé faire quoi dans ces cas-là ? »
Aucune alternative. Je m’exécute en quelques secondes sans poser aucune question. Et pourtant, je ne suis pas très expérimenté en soumission en lieu publique mais, aujourd’hui, la soumission est instinctive.
A genoux devant cette Demoiselle, je me penche et dépose quelques baisers sur sa basket gauche.
« C’est bon ! Regarde moi ! »
Je redresse le torse mais reste agenouillé. Je croise son regard quelques centièmes de secondes mais ne peux le soutenir, mes yeux se détournent alors vers son décolleté (très très joli, j’ai honte) et sur son collier. En fait, il n’y a qu’un seul pendentif, un gros cœur en strass et couleur argent. Le cœur, un symbole d’amour et de tendresse, de la féminité. Ce que je croyais être d’autres pendentifs sont en fait d’autres grosses bagues fantaisie passées dans la chaîne. J’avoue que ça m’hypnotise un peu.
Je suis rappelé à l’ordre par Son Altesse M. qui toque sur ma tête avec sa main gauche. J’entends le bruit de ses gros bracelets qui s’entrechoquent.
« Ouhouh, ya quelqu’un là ???? »
Elle me pince la joue gauche pour me tourner la tête vers la droite.
« Regarde là-bas, sous le pont, ya des SDF, tu m’inspires la même chose que ces gens. Pour moi, tu es un moins-que-rien. »
Elle me gifle la joue droite pour me remettre le visage dans le bon axe.
Elle fait semblant de renifler l’air : 
« Sniff, sniff, c’est quoi cette odeur ? C’est toi qui pues comme ça bâtard ? Putain tu te laves pas le matin ou quoi ? »
J’essaye de me défendre un peu tout en acquiescant le coup :
« Je ne sais pas Mademoiselle, pourtant je me suis lavé ce matin. »
Elle me reprend tout de suite, sans même y réfléchir, pour elle, la réponse semble sincère :
« Je suis sûre que tu passes juste sous la douche pour te mouiller mais que tu te laves même pas avec du savon. Vous les blancs vous êtes trop dégueulasses.  En plus vous avez une odeur naturelle horrible. »
Cette affirmation innocente est ponctuée par un coup de pied puissant dans mon entrejambe qui ne s’y attendait pas du tout et je suis plié en deux de stupeur et de douleur. Elle a juste eu à tendre sa jambe gauche et la force derrière a fait tout le reste.
« Putain, là, tout ce que j’aurai envie de faire c’est de te cracher à la gueule mais je ne veux même pas gaspiller ma salive pour une sous-merde comme toi. »
J’ai assez de volonté pour me redresser et ainsi voir sur son visage le dégoût et la haine que j’évoque en elle.
« Oui Altesse, je suis tellement désolé d’être une sous-merde comme ça. »
Ca fend le cœur et l’esprit d’avouer ce genre de choses, mais il faut savoir ouvrir les yeux sur la réalité des fois.
Cette fois, c’est son poing droit qui est décroché dans mon ventre, me coupant le souffle. Que cette jeune femme de 18 ans possède de la force.
« Altesse, Altesse, tu ne sais dire que ça ou quoi ? Tu avais la langue bien plus pendue au téléphone. Il y a d’autres mots pour t’adresser à moi. Je veux être ta princesse, ta reine, ta déesse, ton univers. »
Pas le temps de respirer, son coup de pied est à nouveau rechargé, mais au contraire de la première fois, où le pied m’a tapé d’un mouvement remontant dans les testicules, cette fois-ci, il est frappé de façon à m’écraser les parties sensibles d’un mouvement de poussée horizontale. L’effet d’écrasement est intense et je lâche un râle d’agonie.
Au même moment, un vieil homme passe en vélo derrière Mademoiselle M. La vitesse avec laquelle il roule me fait penser que :
-          Soit il roule sur le plateau 3 et la vitesse 6 de son vélo et donc le mouvement de pédalier est très dur
-          Soit il est surpris d’être témoin de cette scène insolite et son étonnement a réduit sa vitesse de pédalement
Son Altesse M. ne porte pas grande attention à ce genre de détail. Mon petit cri de souffrance suite à son dernier coup a du lui donner des envies sadiques et avec sa main gauche, elle me pince la joue, vrille complètement la peau, et ses ongles assez courts me déchirent l’épiderme. Là, j’ai carrément les larmes aux yeux mais elle s’étonne agréablement du fait qu’elle vienne juste de réussir à me faire saigner de la joue.
« Oh regarde, je t’ai fait saigner »en me montrant la petite tâche rougeâtre sur son joli doigt.
Je veux moi aussi toucher la cicatrice pour connaître l’ampleur des dégâts mais elle me décroche deux coups de poings puissants, un en plein sur la poitrine et l’autre sur le côté droit du front, je sens le froid et la dureté de l’acier de ses bagues.
« Bon, on en oublie le but de notre rencontre bouffon, il est où mon fric ? »
La semi-érection que je porte depuis plus de 20 minutes se durcit dès qu’on parle d’argent. Je porte la main au porte-monnaie et en retire les 200 euros prévus. Comme d’habitude, dans ce genre d’occasion, l’envie de donner est trop puissante pour la réfréner et, lorsque je vois les deux derniers billets restant seuls dans ce portefeuille triste, je ne peux m’abstenir de les sortir et de les tendre humblement à cette jeune fille qui a une totale emprise physique et psychologique sur moi.
Elle me les arrache des mains, les compte avec un grand sourire et je n’obtiens que comme simple remerciement son crachat jeté avec force au visage et dans les yeux.
« Bah finalement, tu as bien mérité un peu de ma salive ducon. En plus, ça te nettoiera ta joue ensanglantée.
-          Merci ma Princesse » est tout ce que je trouve à dire, fier de ce présent divin.
« Tu as vu comment j’ai réussi à te faire venir ici alors que je suis en galère de téléphone ? Tu te rends compte du pouvoir que j’ai sur toi ? A partir d’aujourd’hui, tu n’es qu’à moi. Tu es le genre de larve que j’adore racketter et garder dans mes contacts. Je vais te faire devenir ma pute blanche. »
Un merci est encore de rigueur.
« Bien, j’ai séché un cours pour ta sale tronche de pigeon toubab, alors je dois y aller mais avant j’ai un dernier cadeau, ouvre ta bouche boloss. »
Je m’exécute et je la vois retirer de sa jolie bouche glossée son chewing-gum à la menthe et elle me le met dans la bouche.
« Bien, je veux que tu le gardes dans ta bouche jusqu’à ce soir, comme ça tu penseras bien à ta nouvelle Princesse. Maintenant, je veux que tu te casses, tu marches vite et tu te retournes pas, sinon je te tabasse, t’as compris tarlouze ?
-          Oui oui, ma Princesse, vous êtes si géniale, merci pour votre temps, pour …… »
Encore une gifle bien placée résonne sur ma joue gauche, l’effet de la main bien à plat et de ses grosses bagues fantaisie est énorme, encore des larmes à l’œil.
« Ta gueule, casse toi en courant si tu veux pas que je te remonte tes petites couilles dans le fond de la gorge. »
Je me lève, essaye de reprendre un peu de consistance, pas facile avec une érection d’enfer, des douleurs vives un peu partout et des faiblesses dans les jambes à force d’être resté à genoux si longtemps.
Je prend mon bagage et commence à partir, j’ai terriblement peur d’elle et essaye de ne pas me retourner, je prends le chemin, elle me suit de loin, je l’entends crier « marche plus vite bouffon », et mes pas se font instinctivement plus rapides, à la limite de l’allure du trot.
Je fuis cette jeune fille qui se moque royalement de moi, j’ai tellement honte de moi mais je lui appartiens corps et âme désormais.

Juillet 2011 : Son Altesse Memouna : adepte du Krav-Maga


Ma rencontre du 18 juillet 2011 avec Altesse pourrait me faire croire en effet qu’elle est adepte de ces techniques d’auto-défense.
Tout d’abord, qu’est-ce-que le Krav-Maga ? Le Krav-Maga est une discipline regroupant de nombreuses  techniques d’auto-défense qui, à contrario des arts martiaux, n’est pas considérée comme étant un sport. Ces techniques privilégient l’efficacité des coups portés tout en prenant en considération l’environnement comme faisant partie intégrale  du combat. En effet, tout objet environnant peut être utilisé comme une arme pour blesser son agresseur.
Et, lors de cette rencontre, elle m’a en effet démontré qu’elle aussi privilégiait l’efficacité des coups et qu’elle n’avait pas peur de donner une utilisation dangereuse à  des objets anodins  alentour.
Pour resituer rapidement le contexte, nous avions planifié de nous revoir pour la seconde fois seulement après notre première rencontre de Mars lors de mon passage éclair sur Paris en Juillet dernier.
J’avais comme d’habitude réservé une chambre d’hôtel sur La Défense mais elle m’a vite fait comprendre qu’elle voulait que je rapproche « mon cul de blanc-bec » de chez elle.
C’est donc en plein dimanche après-midi de Juillet que je suis parti avec ma grosse valise sur Le Bourget pour chercher une seconde chambre d’hôtel dans cette ville inconnue pour moi.
Après avoir marché un peu et demandé mon chemin aux quelques passants anonymes, j’arrive à trouver un Etap Hôtel assez sympa où je m’installe pour la nuit, anxieux de la rencontre avec cette Reine de mes Rêves prévue pour le lendemain matin.
Le moment fatidique approche à grand pas. Je choisis l’option pas de petit déjeuner, les papillons dans le ventre ne me permettraient pas d’avaler quoi que ce soit. J’ai l’impression d’être un adolescent se préparant pour son premier rendez-vous avec l’élue de son cœur, je me fais beau (autant qu’un boloss croît pouvoir l’être) et attend patiemment Son Altesse.
On frappe à la porte !!!!!! On expire un grand coup et on prend son courage à deux mains pour l’ouvrir. Un véritable ouragan entre en trombe dans la minuscule chambre d’hôtel qui deviendra son lieu de dévastation pour les 2 prochaines heures.
Contrairement à moi qui ai fait un effort pour m’apprêter pour elle, Son Altesse est venue très décontractée et sa présentation me fait bien comprendre à quel point elle n’a pas eu envie de faire d’effort pour un simple bouffon de service, comme elle aime à me le rappeler.
Ses cheveux décoiffés excentriques, son pantalon de jogging vert, ses baskets noires sales, je suis déçue sur le coup mais elle me rappelle que je ne suis qu’un minable et que, si j’avais été ne serait-ce que la moitié d’un homme, peut-être aurait-elle fait un petit effort pour moi.
« Tu n’en vaux pas la peine ». Après tout, oui, c’est exactement ce qu’elle arrive à me faire ressentir.
Altesse, comme de nombreuses femmes, adore qu’on s’occupe de ses pieds. Elle s’installe nonchalamment sur le lit et son ordre claque. Je me retrouve à genoux à enlever délicatement ses baskets et ses chaussettes, et, contrairement à l’aspect extérieur de ses chaussures, alors que je m’attendais à recevoir en plein nez des odeurs fortes, je  me surprends à renifler un délicieux parfum sucré, mélange de noix de coco et d’exotisme, ses pieds sont doux au contact de mes doigts, exquis au contact de mes lèvres (j’ai eu ce privilège de pouvoir les embrasser).
Très peu de bavardage. Incroyable comme cette demoiselle sait me rendre impuissant et soumis par de simples regards ou gestes. Je me délecte de ce moment apaisant pendant qu’elle pianote un roman sur son smartphone à la vitesse de la lumière.
Un coup de pied au visage me sort de mon rêve, « bouge, je vais à la salle de bain ».
Pas assez rapide à son goût, elle me pousse d’une pression du pied sur mon torse et me fait chuter en arrière pour pouvoir passer et faire résonner toute la chambre sur le claquement de porte.
S’ensuivent quelques minutes d’attente interminables pendant lesquelles je me lève un peu pour décontracter mes jambes et mes genoux, sentir mes aisselles (il doit faire 100°C dans cette chambre depuis qu’elle est arrivée) et essayer de reprendre quelque contenance.
La patience est toujours récompensée et, c’est le cas de le dire. Altesse s’est changée, elle porte désormais une sorte de petite robe aux imprimés zébrés noirs et blancs (celle qu’elle porte sur quelques unes de ses photos), sa coiffure est différente et son visage a changé (coiffure et maquillage ? Combien de temps est-elle restée dans la salle de bain ? Magie noire ou art féminin de la séduction ? En 5 minutes, j’ai l’impression d’être face à 2 femmes complètement différentes).
Une claque sur le haut de mon crâne lance un appel aux compliments, « comment trouves-tu ta Princesse (gentille), connard(méchante) ? ». Conditionné pour ça, je trouve facilement les mots pour nourrir son égo dessinant un large sourire sur ses lèvres.
Lassée, elle interrompt mon monologue par une phrase que je lui fais répéter car ne suis pas sûr de comprendre sa signification, « Vas ouvrir la porte, il y a une autre pute qui attend ».
A l’écoute de cet ordre, je suis complètement désorienté par la tournure que prend les évènements de cette deuxième rencontre tant attendue avec ma Princesse.
Son regard noir et autoritaire ne me laisse pourtant pas d’autres alternatives que d’aller ouvrir cette porte avec énormément d’appréhension.
C’est avec grande surprise que je trouve attendant derrière la porte un homme d’âge mûr, grand, black. Mon sang ne fait qu’un tour, mon cerveau est en ébullition et mon imagination folle scénarise les pires histoires.
A-t’elle demandé à son mec de venir avec elle pour me tabasser ?
Suis-je tombé dans un piège tendu par la police ?
Je suis à la limite de la syncope mais l’homme m’accueille timidement par un gentil « bonjour babtou ». Il entre dans la chambre sans se faire prier et Princesse jubile. Elle me demande de me remettre à genoux à ses pieds tout en stipulant à l’inconnu qu’il peut rester debout. L’homme la complimente sur sa tenue, lui dit qu’il la trouve sublime ainsi et qu’elle devrait se mettre plus souvent en jupe car elle a des jambes magnifiques. Le vouvoiement qu’il utilise pour s’adresser à elle me fait comprendre qu’il la respecte et qu’il est certainement aussi l’un de ses soumis. Je me sens un peu rassuré et c’est donc avec moins de peur, mais tout de même avec un certain inconfort que je me remets à masser les pieds de Mademoiselle Memouna. C’est la première fois que je fais ça en « groupe », la dimension de soumission atteint de ce fait un niveau supérieur.
L’homme black et Altesse discutent comme de grands amis, comme si je n’étais même pas là, je ressens une certaine complicité entre les 2, ils doivent se connaître depuis longtemps. Elle lui demande s’il lui a apporté ses cigarettes, il sort un paquet et un briquet. Il enlève le film plastique autour du paquet, lui tend une cigarette et alors qu’elle la glisse entre ses jolies lèvres, il lui allume avec déférence.
Je suis spectateur de cette scène, comme envouté. Mes mains autoguidées continuent le massage des pieds mais  mon cerveau est comme déconnecté. Je ne réfléchi presque plus et suis complètement sous l’emprise de cette jeune demoiselle black de 18 ans à peine.
La fumée de cigarette crachée avec dédain vers moi me sort de ma rêverie.
L’invité inattendu, avec une aisance étonnante, dit à Son Altesse qu’il aimerait bien lui aussi lui prodiguer un bon massage de pieds, qu’il est un expert en ce domaine. Elle le toise de sa position semi-allongée sur le lit et lui fait bien comprendre qu’elle a deux pieds et que ce n’est donc pas un problème. Une claque de pied sur ma joue me fait me serrer entre le mur et le lit pour me dédier au pied gauche, tandis que le deuxième masseur vient s’occuper à genoux aussi du pied droit.
« C’est une bonne journée aujourd’hui, j’ai mes deux putes travailleuses préférées à mes pieds qui s’occupent de moi. Que demander de plus ? Des fois je m’étonne moi-même, vous connaissez beaucoup de lycéennes qui font mettre à genoux 2 vieux bons-à-rien en même temps ? »
Les compliments fusent de toutes parts des 2 confrères sur base de « vous êtes incroyable » ou « personne n’est aussi géniale que vous »pendant qu’Altesse s’en délecte, son large sourire ne peut mentir.
Personnellement, mes genoux me font mal à force de rester dans cette position mais le plaisir de toucher ses pieds et surtout de pouvoir les embrasser de temps en temps est divin. Quand l’un des 2 soumis s’aventure à monter plus haut que le genou, les noms d’oiseaux sortent naturellement, ainsi que les gifles (surtout pour moi car apparemment, je suis le plus mal éduqué des deux). Je jette des coups d’œil vers mon collègue de temps à autre, il a l’air absorbé et passionné par sa tâche. Un petit sentiment de concurrence nous anime. Chacun essaye de faire mieux que l’autre.
Malheureusement, à ce jeu, il semble que je sois le perdant, la prestation de mon adversaire est jugée bien meilleure que la mienne, ma technique de massage est qualifiée de molle et douloureuse en même temps, quant à mes bises sur les pieds sont disqualifiées pour cause de barbe piquante.
Elle repousse l’autre (lol, les soumis peuvent être méchants entre eux parfois) et lui ordonne de sortir l’appareil photo et la caméra pour immortaliser mes instants de soumission.
Il commence à me filmer aux pieds de Son Altesse et me pose pleins de questions sur ce que j’aime chez Altesse, lui-même répondant aussi à ses questions. Je comprends alors qu’il la sert depuis presque un an, qu’il est entièrement dévoué à elle, qu’il est plus du genre soumis – serviteur - homme à tout faire que du genre soumis masochiste.
Il se passe un petit moment de connivence entre nous 3, très agréable. Nous sommes tous 3 réunis autour de notre passion commune, Mademoiselle Memouna J.
Ce moment de magie est soudainement interrompu par une grossière erreur de ma part. Un simple geste anodin qui déclenche une tempête de pure rage. En effet, pendant que je massais Princesse, je ne me suis même pas rendu compte qu’à un moment, je me suis gratté le nez une fraction de seconde pour ensuite retourner au massage.
« Oh putain, j’ai pas rêvé là ???? Tu viens de toucher ton gros nez, ta peau grasse et tu oses me retoucher après ???? Tu te fous de moi là pédale ? »
Une nuée de gifles et de coups de poing puissants s’abat sur moi.
Je me recroqueville complètement, essayant de me protéger, me confondant en excuses, obligé de les crier pour espérer que Princesse les entende entre ses différentes injures et le bruit sourd de ses coups.
« Pardon Princesse, je ne l’ai pas fait exprès, ça me grattait, ça a été un pur reflexe, je ne m’en suis même pas rendu compte.
-          Taffiole, tu vas voir, je vais t’apprendre à ne plus jamais me manquer de respect, je vais te dresser moi. »
Le cameraman de l’évènement est tout de suite pris d’un sentiment de pitié pour moi qui essuie l’expression de la rage de notre maîtresse commune, et certainement aussi, par solidarité masculine, il prend ma défense en essayant de la raisonner (tout en continuant à filmer) :  « Mais non Princesse, ça se voit qu’il vous respecte comme une reine, qu’il vous vénère comme une déesse, il ne l’a pas fait exprès, pardonnez lui s’il-vous-plaît, il vous adore, il ne le refera plus. »
La violence des coups se calme un peu en intensité. Je me sens comme une merde larmoyante à ses pieds et la remercie pour sa clémence.
« Tu sais quoi ? Là, je n’aurai qu’une envie, tu vois la lampe sur le bureau là, j’aimerai trop te la fracasser sur ta sale gueule, ça serait marrant que l’hôtel porte plainte demain contre toi pour détérioration de biens non ???? »
Je ne suis pas sûr si la question appelle une réponse alors je préfère supplier une fois de plus son pardon pour que cela ne se produise pas. Très honnêtement, son regard croisé au moment où elle me pose cette question ne fait aucun doute sur le fait qu’elle aimerait réellement ça.
Elle adore me voir la supplier et cela l’apaise. S’en suit une petite période de quelques minutes où elle m’éjecte complètement du tableau et où elle ne parle plus qu’à son autre soumis. Ils commencent à discuter de sa vie amoureuse, de son petit copain en date, son soumis lui confirme qu’il sera disponible pour la conduire chez le copain le week-end suivant. Elle lui demande de ne pas oublier de bloquer plusieurs heures car il devra l’attendre dans la voiture le temps qu’elle et son mec finissent ce qu’ils ont à faire.
Je suis tout émoustillé d’écouter ces petites histoires, d’entrer un peu dans l’intimité de la vie de cette jeune fille. Alors que je continue le massage, avec un peu moins d’entrain qu’auparavant, la tête un peu lourde des coups reçus plus tôt, je me surprends à apercevoir la petite culotte de ma Princesse alors qu’elle change sa position sur le lit. Ouah, pas de mot pour décrire les sentiments et les bouffées de chaleur ressentis à cette vision interdite.
Princesse commence à se lasser de mon massage. Elle me demande si j’ai bien compris ce qu’elle attend de ses serviteurs, que ce n’est pas parce que je la sers depuis déjà quelques mois en virtuel que je dois croire que ma place à ses côtés est « safe », que je dois y travailler pour garder ce statut de 2ème larbin préféré. Décidemment, l’autre (re-lol) est vraiment en pole position au poste de larbin.
Mon orgueil mal placée de mâle m’oblige à ouvrir ma grande bouche une fois de plus.
« Mais Princesse, tout à l’heure vous avez dit que nous étions vos deux soumis préférés, ça veut dire que vous m’aimez bien quand même non ? J’essaye de bien vous servir.
- Ouais, ce que j’aime surtout, c’est quand tu fermes ta gueule et que tu craches du fric, c’est ça que j’aime chez toi. Dis moi ce que tu ferais de plus pour moi pour assurer ton rôle de pigeon.
- Je serais votre chauffeur, votre nettoyeur de chaussures et de bottes, quand vous vivrez seule, je viendrais vous faire votre ménage, vous faire à manger, je vous gâterais de cadeaux et d’argent de poche, et deviendrais votre meilleur masseur de pied »
J’ai voulu jouer la carte de l’humour avec le dernier rôle à assumer, sachant que quelques minutes plus tôt, elle m’a fait des critiques acerbes sur mes compétences de masseur. Je n’imaginais pas les conséquences de ma petite blague sans envergure.
« Mais putain tu te fous vraiment de ma gueule là, j’en veux pas de tes massages de merde, tu piques ta race et tu n’as pas de force dans les mains, un vrai mollusque, mais là, tu vas la prendre la lampe, t’inquiètes. »
Une panique m’emporte alors que je la vois se tourner dans tous les sens pour inspecter la chambre. Son dévolu est jeté sur le combiné téléphonique de la chambre posé sur la table de chevet. Elle se saisit de l’objet en plastique noir et commence à me tabasser avec (il n’y a pas d’autre mot pour décrire les minutes qui suivent). Elle s’acharne sur le haut et le derrière de mon crâne de nombreuses fois. Je suis à moitié allongé sur le lit, mes bras repliés sur mon crâne pour essayer d’éviter ou d’absorber les impacts. Le combiné, la nouvelle arme de ma Maîtresse, est relié par son cordon au téléphone qui lui-même saute dans tous les sens à chaque nouveau coup.
Je crie, je suis au bord des larmes, je supplie, rien n’y fait pour calmer sa furie. Même les interventions de  son autre admirateur sont vaines cette fois-ci. Je suppose qu’il se dit que c’est dommage, mais que de toute façon, ça fait une bonne vidéo tout de même.
Mon oreille est tirée sèchement pour m’aider à relever mon torse et me remettre en position pour faire face à ma tourmentresse. Tout le reste de mon corps est obligé de suivre si je ne veux pas perdre mon oreille dans l’action. Quelques secondes d’accalmie où nos regards se croisent. Son Altesse est belle, même énervée mais ces yeux, mon dieu, ces yeux me terrorisent.
Elle me présente le combiné téléphonique devant la bouche (cognant mes dents), et force le passage.
« Ouvre grand la bouche salope, tu vas aimer ça. »
Le passage est ouvert et je me retrouve à prendre en bouche cet objet de plastique large et dur.
Elle force vraiment au plus profond et fait quelques mouvements de va-et-vient.
« Tu aimes ça je parie, suce pétasse, entraîne-toi, je vais te préparer moi. »
Aucun son ne peut sortir de ma bouche, c’est donc avec mes yeux larmoyants que j’essaye de lui faire comprendre mes suppliques. Je demande pardon avec mes yeux exhorbités. Jamais je n’ai senti une telle explosion de sentiments mélangés, de soumission, de peur, de souffrance, d’appartenance, de respect, d’humiliation.
Le téléphone, transformé en pénis l’espace de quelques minutes, m’est retiré de la bouche violemment et, après un dernier coup sur le crâne, est jeté au sol. J’ai réellement atteint mes limites de soumission psychologique et physique pour aujourd’hui et c’est complètement vidé de toute fierté que je me jette aux pieds de cette Déesse black pour les embrasser et supplier leur propriétaire de m’épargner pour ce jour.
Les violences physiques sont terminées pour aujourd’hui mais Princesse n’hésitera pas à instaurer un rituel humiliant de remise d’offrande afin d’enfoncer encore plus profondément en moi les graines de ma soumission envers elle.
« Pour me remettre mon fric, je te veux à genoux, la tête soumise plongée vers le sol, tes yeux vers mes pieds, tes mains me tendant mon fric levées au dessus de la tête et tu m’implores d’accepter tes billets. Exécution sale chien. »
Le rituel est bien pensé pour faire en sorte qu’elle devienne l’objet de culte de ma nouvelle religion.
Au moment où je sors les billets de ma poche,  je prépare l’offrande sur laquelle nous nous étions mis d’accord et tente de remettre mon tout dernier billet de 5 euros dans ma poche. Cela ne lui échappe pas et elle m’ordonne de joindre ce dernier billet à sa récompense, et me met bien en garde que, si jamais elle décide de fouiller mes poches et qu’elle en trouve d’autres, elle ne donne pas cher de ma peau.
L’offrande bien méritée est tendue à ma propriétaire selon le rituel qu’elle a instauré, piétinant mes dernières miettes de fierté.
Une petite discussion sympathique, une poignet de main virile entre les deux soumis, le soumis numéro 1 est congédié de la chambre, ordonné d’aller l’attendre dans la voiture. Princesse va se changer tout en me faisant l’attendre à genoux devant la porte de la salle de bain.
Elle en ressort, comme elle y était rentrée la première fois, avec son jogging et ses baskets noires, me tend la main d’un geste majestueux pour que j’y dépose un baiser d’au-revoir et sa silhouette au port de reine s’évanouit en passant la porte de la chambre.
Pendant plusieurs jours qui suivirent cette rencontre, notre principal sujet de discussion par sms fut le plaisir qu’elle prit à se défouler sur moi et mes courbatures et douleurs tenaces.
C’est avec réelle anticipation que je reverrais cette Reine en Octobre lors de ma prochaine visite à paris, mais cela fera l’objet d’un nouveau récit.

26 octobre 2011, une journée entière avec Son Altesse Memouna 1/2

On est resté la journée entière ensemble. Le matin à 10h, shopping.

Moi j’étais décalqué car j’avais fait le vol de nuit, c’était mon premier jour de vacances.
Je l’ai attendue à St Lazare sans aller me reposer avant, j’avais encore mes valises et tout.
Donc, on se textote, elle arrive du côté du Printemps, super belle, jeans super serrés, lunettes grosses montures à la mode, petites bottes, petit blouson en cuir.
Déjà, elle m’oblige à lui faire un baise-main, tout en me disant en pleine rue que je n’ai pas intérêt à la salir.
Elle me dit viens on va faire du shopping.
On commence à marcher, elle s’arrête, me décroche une grosse mandale, t’es sérieux là d’où tu marches à mon niveau, marche derrière comme un chien.
Elle repart, moi obligé de la suivre comme un toutou.
On va dans un magasin dans une petite rue, le magasin s’appelle Citadium, c’est un magasin de jeunes style r’n’b rap américain, tout ça sur plusieurs étages.
Rayon jeans Levis, elle en choisit plusieurs. Dans la cabine, elle m’en balance un, c’est trop large, va me chercher la taille en dessous.
Comme je suis perdu dans les magasins, je demande à la vendeuse. Forcément c’est une black aussi lol.
Elle choisit un du même modèle, la taille en dessous. Elle a du comprendre ce qui se tramait car elle souriait un peu.
Je me sens un peu gêné quand même. Je lui apporte, elle l’essaye, ça a duré pas mal de temps ce manège, j’ai failli la voir en sous-vêtement, mais n’ai pas pu finalement, pas assez rapide.
Elle s’est pris des t-shirt Adidas, un petit sac, 2 jeans Levis et une casquette NBA.





Donc, imaginez la scène, elle est super virevoltante dans le magasin, elle marche vite en plus, fouille partout, et moi, je la suis de loin, car j’ai ma valise roulante, mon sac d’ordinateur portable, et tous les trucs qu’elle achète sur les bras.
Un truc bien humiliant aussi, en fait ce magasin, c’est plusieurs magasins dans un même immeuble, donc quand tu changes de zone, il y a des portiques électriques et à chaque fois que je passe, ça sonne lol.
La particularité est que tu peux payer tout à une seule caisse mais ça n’empêche pas de sonner, donc à chaque fois qu’on change de zone, je suis là comme un con et ça sonne. J’ai l’impression que tout le monde comprend ce qui se passe, c’est quand même vachement humiliant, mais elle est à l’aise, pour elle c’est naturel j’ai l’impression.
Bref, passage à la caisse, elle me dit bien en face de la vendeuse reubeuh de tout payer, elle rajoute des accessoires à la dernière minute, je crois des lacets de couleur fluo et un ou deux bijoux fantaisie.
La vendeuse annonce environ 350 euro, elle dit très fort (il y a une longue queue de filles derrière)
Ah cool c’est pas si cher que ça, combien il me reste sur mon budget ?
J’étais tout petit avec tout mon paquetage, elle a dit ça face à tout le monde, elle n’a pas honte.
150 Mademoiselle
Je ne me suis pas retourné franchement, mais je pense que ça devait bien se marrer derrière.
Heureusement, sinon j’aurai sûrement du affronté les regards de toutes les filles.
On descend les escaliers, elle passe la grosse porte vitrée de sortie, et là, sans que je ne m’y attende, j’essaye de suivre vite derrière avec tout ce que j’ai sur les bras, j’essaye de passer avant que ça ne se referme, mais je ne m’attendais pas, elle a rabattu la porte violemment, je me la suis prise en plein sur la face et dans le corps et là elle me sort putain les babtous ils connaissent plus la courtoisie et tenir une porte a une jeune femme pffff
Je me confonds en excuse, tout en essayant de réajuster mes lunettes avec ma main surchargée de sacs plastique.
On va dans un autre magasin, elle me fait acheter des crèmes et du maquillage.
A chaque fois, elle me fait dire combien ça coute et combien il reste du budget.
Après on va voir des bijoux, elle sait que j’ai ce fétichisme, très rare je pense, des jolies mains de femmes black portant des bagues.
Alors elle en regarde plusieurs qu'elle trouve jolies, elle dit ouah je les kiffe trop celles-ci, dommage que je n’ai pas assez de budget, sinon je les prendrais.
J’ai craqué svp prenez les, c’est hors budget.
Elle est toute contente et c’est reparti pour un tour, je paye, hop, un petit sac de plus.
Il est presque midi, j’ai la dalle tu me payes le restau et c’est hors budget aussi bouffon, la bouffe ça n’a rien à voir avec mes cadeaux, c’est un du.
Je dis bien sûr.
On va dans un petit restaurant, bien franchouillard, les clients ne sont que des blancs, en costumes, bien habillés, elle s’en fout et dit ça pue le mort ici mais j’ai trop faim.
On choisit, j’étais trop stressé, elle se prend un plat qui a l’air sympa, je prends une salade avec jambon.
Elle me sort forcément un français c’est obligé de manger du porc sinon il va déprimer.
Il y avait un couple de papi mami petit fils à la table d’à côté, j’avais envie de disparaitre sous la table.
Je ne mange pas beaucoup, contrairement à elle.
On prend des desserts, on se fait plaisir, 50 euro de restau, hors budget, gasp.
Je paye l’addition pendant qu’elle est déjà sortie. Quand je sors, elle s’exclame j’ai cru que j'allais étouffer dans cette étable à céfran.
Elle ne se force pas, pour elle c’est la vérité.
Bon bouffon tu crèches à quel hôtel ?
Bah vous savez je viens juste de débarquer à Paris je n’ai pas encore pris l'hôtel.
Tant mieux, on prend un taxi et on va a l'hôtel où on s'est rencontrés en juillet, au Bourget, comme ça, ça me rapproche de chez moi, j'ai une surprise pour toi en plus.
Je ne suis pas du tout parisien, je ne sais pas comment ça marche les taxis parisiens, alors je n’arrive pas a en arrêter, elle se fâche, putain tu sers à que dalle, t’as rien dans le froc, tu ne sais pas ouvrir ta gueule pour arrêter ces connards de taxi.
Il y en a un qui s’arrête juste à côté, elle ouvre la portière, elle le tutoie directement, t’es dispo ? On va au Bourget !
Elle monte et ne m’attend même pas, le chauffeur pose les bagages dans le coffre, je veux monter avec elle derrière, mais elle dit nan toi tu montes devant.
Le chauffeur dit ah désolé j’ai tout mon équipement sur le siège avant ça va être compliqué.
Elle s’exclame tout haut putain fait chier, bon monte mais t’as pas intérêt à l’ouvrir.
Elle met direct ses écouteurs de ipod iphone ou autre sur ses oreilles (au passage, petit bijou de technologie offert grâce à mes mandats passés).
C’est un signal, ça veut dire parle à mon cul ma tête est malade.
Devant le taxi, la honte !
Je suis réellement hypnotisé par elle depuis presque 3 heures, par sa beauté, son style, son caractère, sa domination naturelle, alors je ne peux pas m’empêcher de la regarder, presque de la dévisager, ça l’énerve. Je vois qu’elle tape du pied, d’agacement.
Sans même me regarder, elle me dit si tu continues à me regarder, je vais te dégonfler tout à l’heure.
Alors j’arrête tout de suite. Mais le chemin est long, j’ai envie de parler alors je pose quelques questions, elle répond vite fait aux premières, après, au bout de la 3eme ou 4eme question, elle me montre son écran de ipod, et me montre qu'elle hausse le volume de sa musique, et me fait un gros doigt d'honneur.
On était à un feu rouge, je suis sûr que le chauffeur nous a vu dans son rétroviseur, j’ai arrêté direct de lui parler et de la regarder.
Dix minutes de silence, c’est très pesant dans un taxi.
On arrive à l’hôtel, elle s’exclame tout haut, enfin c’est pas trop tôt.
Le taxi n’a pas moufté. Je paye, environ 30 euro hors budget, on va a l’accueil, il y a des chambres disponibles, je paye, environ 80 euro hors budget.
Bien entendu, c’est elle qui prend la clé et qui a demandé le code wifi, elle prend les choses en main à partir de ce moment là.

A suivre……

26 octobre 2011, une journée entière avec Son Altesse Memouna 2/2

Suite de la première partie http://abusedboloss.blogspot.com/2012/07/26-octobre-2011-une-journee-entiere.html


Elle ouvre la porte et rentre direct s’installer à demie allongée sur le lit.
Là il y a une petite période sympa où elle déballe ses paquets et contemple son butin, elle est très contente, on fait des photos, elle me demande mon ordi portable pour aller sur internet avec le code wifi.
Elle zappe sur la télé et trouve une chaine M6 Black et hausse le volume sur la chanson qui passe. Elle me demande si je kiffe cette chanson, c’est « Hang-over » de Taio Cruz, j’aime bien, ça l’étonne qu’un « vieux » toubab comme moi aime mais ça lui fait plaisir.
Bien entendu, pendant tout ce temps-là, je suis à genoux.
Elle consulte ses mails sur le net pendant que je lui fais des compliments, elle se pose bien sur le lit et elle me dit un truc du genre
Faut que je te dise tout ? Pourquoi tu ne m’enlèves pas mes bottines pour me faire un massage ?
Je dis pardon princesse et m’y mets aussitôt.
Alors que je suis en train de lui enlever la première bottine, elle me demande comment je les trouve, je lui réponds que j’aime bien, qu’elles ont du style.
Elle me dit et tu vois, la grosse boucle derrière là, c’est super utile pour mettre la misère à des pédés dans ton genre, tout en soulevant sa jambe au-dessus de moi puis en la rabattant 3 – 4 fois sur mon dos, la partie où il y a la boucle en premier, faisant bien des dégâts.
Mes petits cris efféminés la font rire et prendre pitié de moi alors elle arrête. Une fois la deuxième bottine enlevée, je masse, j’embrasse, je me fais plaisir.
Un grand classique, elle me dit, comme quelques mois plus tôt, tu piques ta race, pouvais pas te raser bâtard ? On dirait une méduse.
Je commence à répéter que j’ai passé toute la nuit dans l’avion mais elle me coupe d’un regard agressif.
Je comprends quelle n’attendait pas d’explication.
A un moment, je crois qu’elle commence à se faire chier, elle balance littéralement mon ordi portable professionnel à l’autre bout du lit. Pas de casse mais elle l’aurait jeté par terre et il se serait cassé, pour elle c’était pareil.
Et là, elle pousse ses pieds, me prend le menton pour me regarder bien dans les yeux et me met un gros coup de pression, un regard très noir.
Tu sais quoi, j’ai grave kiffé ce matin te dépouiller de ton fric, t’as aucun caractère, t’es qu’une merde, comment t’as fait pour te marier et faire des gosses ? T’es pas un mec, t’es mon larbin et je kiffe ça , voir comment tu trembles en face de moi.
C’est vrai que je tremblais. Chaque mot résonne dans tout mon corps et dans ma tête, comme des vérités qui font mal à entendre.
Elle me décroche une gifle magistrale, la pire gifle que je n’ai jamais prise.
Mes lunettes ont volé contre le mur. Je suis myope comme une taupe, je ne vois plus grand-chose.
Elle éclate de rire.
Putain celle-là, on aurait du la filmer, je ne t’ai pas loupé, hein ouais ?!
Oui princesse.
Ramasse tes yeux la lope !
Je cherche à tâtons sur le sol, je les ramasses et les remets.
Elles sont complètement de travers sur mon nez, elle s’esclaffe d’un rire vraiment puissant, elle est pliée de rire sur le lit, c’est vraiment humiliant.
C’est à ce moment-là que je prends conscience qu’elle est différente des jeunes femmes dominatrices que j’ai rencontrées dans le passé. La plupart serait plus des actrices qui essayent de jouer un rôle pendant les séances. Mais elle, elle fait vraiment ça par passion, elle s’éclate.
Je lui avais acheté des cigarettes un peu plus tôt dans l’après-midi alors elle m’ordonne de lui donner le paquet, de l’ouvrir et de lui en donner une,  ce que je fais.
Elle me demande de lui allumer, elle fume tranquille, assise sur le lit, les jambes croisées.



Je suis toujours là à genoux. Elle fait tomber ses cendres sur le sol mais s’en fout.
Elle crache la fumée nonchalamment.
Elle m’insulte toujours un peu. Des fois, elle me crache la fumée au visage, ce que je n’aime pas mais je ne peux pas m’en plaindre.
Elle approche le bout incandescent de cigarette de mes cheveux, et là ça me fait très mal, je le lui dis.
Elle-même a du voir quelque chose, un signe de souffrance sur mon visage, ou les cheveux qui brûlaient un peu, des étincelles ou je ne sais quoi, car elle dit ouais ça doit faire mal en effet.
Mais ça la fait rire alors elle recommence une fois pour le délire, je gémis, la supplie d’arrêter.
Elle me dit de lui tendre mon bras, ce que je fais, et elle me laisse tomber une cendre bien ronde sur l’avant-bras et m’ordonne de la garder.
Au bout de quelques secondes, la brûlure intense se fait sentir, c’est comme un feu couvert, ça brule réellement, ça creuse la peau.
Je la supplie et lui demande si je peux l’enlever, la faire tomber.
Elle dit nan attend !
Elle sort son téléphone.
Je vais te filmer, vas-y bouffe-la !
C’est ma seule alternative à la douleur, je le fais, ça me dégoute, j’ai des haut-le-cœur mais je suis motivé par faire arrêter la brûlure.
C’est bon hein ?
Je suis contraint de dire oui.
Il y a un gros rond rouge sur mon avant-bras où les chaires sont brulées.




Dans ma tête, ça se bouscule, je me demande combien de temps ça va marquer, si on ne va pas me griller au taf. Ca se voit que c’est une brûlure de cigarette et je ne suis pas fumeur. Ma femme va bien s’en apercevoir de cette marque.
Mais tout ça, toutes ces pensées sont renforcées dans leur humiliation par son rire moqueur.
Elle me remet une bonne gifle, bien claquante
Je t’aime bien toi, t’es un bon bouffon, t’es marqué à vie maintenant, allonge toi au sol, sur le ventre !
Elle commence alors une pure séance de trampling pied nus.
Elle me marche dessus, mais franchement, sans ménagement.
Sur le dos, la colonne vertébrale, les épaules, là ça va, c’est soutenable.
Mais des fois, souvent même, sur les articulations, sur le derrière des jambes, là où la peau est molle et ou les os sont plus accessibles.
Ca me fait très mal, mais apparemment elle prend un vrai plaisir sadique car à chaque fois que je crie, que je tremble, que je supplie, elle continue de plus belle plutôt que d’arrêter, tout en rigolant.
De temps en temps même, sur les parties plus solides, elle me saute dessus littéralement.
J’ai mal sur la partie du corps qui reçoit tout son poids mais aussi sur la partie face au sol avec les chocs et les contrecoups.
A un moment, elle m’appuie même le derrière du crane avec son pied nu pour m’écraser le visage au sol, le nez, le front, la bouche ainsi que les lunettes qui commencent à se vriller entre le sol et mon visage.
Elle me file un coup de pieds dans les côtes en descendant de mon corps endolori et me demande de me retourner, allonger sur le dos.
Je m’exécute aussitôt malgré les douleurs.
Elle s’assoie alors à califourchon sur moi, juste au-dessus de mon abdomen, presque au niveau de mon bas-ventre.
Elle me donne deux coups de poing sur la poitrine et une mandale au visage. Elle a compris que je ne répondrai jamais violemment, je suis défait depuis déjà bien longtemps.
Tu banderais si on devait coucher ensemble ?
Je suis choqué par cette question, je ne sais pas quoi répondre.
Si je te faisais grimper au rideau ?!
Elle commence à se déhancher sur mon entrejambe, on est tous les deux habillés mais elle a un de ses déhanchés, j’ai l’impression qu’on fait l’amour.
Je bande comme un fou mais elle me ridiculise, elle me demande pourquoi je ne bande pas, si je suis un mec ou pas. Elle ne ressent sûrement pas mon petit sexe qui est complètement dressé dans mon slip.
J’étais au septième ciel quand même. Elle fait ça pendant au moins 2 ou 3 minutes, mais c'était comme un rêve. Je m'imaginais en train de lui faire l'amour.
Elle avait des mouvements de bassin de folie qui ne laissent supposer que du meilleur et qui font rêver
On se réveille du rêve en sursaut. En effet, je suis comme un fou en train de bander dans mon jeans et quelqu’un frappe à la porte.
Elle se lève d’un coup, toute excitée.
Ahhhhh, c’est ta surprise !
Je ne sais pas quoi faire, mais elle me met le pied sur le torse et me dit de rester coucher comme un bon toutou.
Elle va ouvrir la porte, je me contorsionne pour voir qui c'est.
C'est son autre soumis, celui que j'avais déjà rencontré en juillet.
Coucou princesse, comment ça va ?! Salut babtou, qu'est-ce-que tu fais par terre lol ?
Salut !
Bon, dis-moi pétasse, tu m’as apporté ce que je t’ai demandé ?
Oui princesse
Le gars avait apporté plein de sacs.
Ouais, prépare tout, mais regarde ce que je faisais au babtou, il voulait commencer à se toucher je suis sûre, hein oui connard t’aurais aimé te toucher il y a 2 minutes, bah vas-y fais le maintenant !
Je suis pris au piège, avec un autre soumis dans la pièce, je ne peux définitivement pas faire ça.
Je la supplie comme un sous homme, svp princesse, je vous respecte trop, ne me faites pas faire ça svp.
Elle éclate de rire, l’autre soumis est plutôt du genre étonné.
Bah attend, je vais montrer à mon autre pigeon préféré ce que je faisais.
Et elle recommence à me faire son genre de lap dance sur l’entrejambe.
Avec ses déhanchés de folie, mon bassin est obligé de suivre ses mouvements, c’est comme si on faisait l’amour virtuellement avec nos fringues.
Mais elle est en mode moquerie et humiliation donc elle est du genre à faire des réflexions du style
C’est comme ça que tu baises toi ? C’est toi la meuf dans ton couple ou quoi ?
Elle se lasse au bout d’un moment, elle me remet une grosse tarte.
Putain tu te rends compte que tout à l’heure tu m’as supplié d’arrêter de te demander de te masturber ? C’est quoi ça ? T’es une sous race, t’es pas un mâle !
Une autre grosse gifle suit. Elle me demande de plier mes jambes, de les ramener vers moi et de poser les pieds au sol, comme ça mes genoux sont surélevés et elle s’assoie sur mes genoux.
Je suis là, le dos au sol, allongé, les jambes repliées, les pieds au sol, et elle en position ultra-dominante, assise sur mes genoux en face de moi. Elle regarde l’autre soumis.
T’as apporté mes bonbons ? Donnes-moi en.
Il ouvre la petite boite de Dragibus et lui donne. Elle commence à en manger quelques-uns et se penche au-dessus de moi.
Ouvre la bouche !
Je m’exécute et elle me crache la pâtée de Dragibus à demie mâchée dans ma bouche.
Mâche bien petite pute, sens-toi honoré.
Après, elle en reprend quelques-uns en bouche, mais cette fois ne les mâche pas.
Je pense qu’elle les garde en bouche, les suce plus pour bien les imbiber de salive et une fois de plus me les recrache en bouche. Je les mâche avec passion.
L’autre soumis, a déjà sorti l’appareil photo ou la caméra (me souviens plus) et est en train de filmer.
Il prend son pied aussi, il aime voir Mademoiselle Memouna me torturer. Il est plus du style voyeur ( ;-) )
Et il prend part à ses délires.
Au fait Princesse, j’ai apporté les autres choses que vous m’aviez demandées.
Ah oui tiens donne moi ça
Qu’est-ce-qu-elle sort du sac ? Un petit flacon de piment, genre Tabasco.
Tiens pédale, ça va t’aider à faire passer les bonbec
Et elle m’en verse une bonne rasade dans le gosier.
Ca, je n’aime pas du tout, ça me brule direct la gorge et l’œsophage.
Elle me rejette des Dragibus dans la bouche "pour faire passer le piment".
Franchement un sale moment, je m’étouffe limite, je me tortille au sol mais elle est toujours bien assise sur mes genoux surélevés, ça ne me laisse pas beaucoup de marge de mouvement.
Je tousse et elle suce le bout du flacon de Tabasco et dit bah qu’est-ce-qui se passe, t’aimes pas ça ? C’est pas fort pourtant, vous les blancs vous êtes vraiment des petites natures.
Ensuite, elle m’en remet un coup dans la bouche, encore avec des bonbons.
Là, j’ai carrément des larmes qui me coulent des yeux. En plus avec ma position allongée, ça me coule sur les côtés du visage ou ça stagne dans les yeux, ça pique aussi.
Elle a un sourire machiavélique, elle s’éclate. Même le soumis rigole.
Elle lui dit t’as vu j’ai gagné mon pari, j’ai réussi à le faire pleurer donc tu me dois du fric et t’as intérêt à assurer.
Il acquiesce.
Je tousse vraiment fort et ça me brule la gorge. Elle dit qu’elle va me soigner.
Elle sort du sac quoi ?
Une bouteille de vinaigre !!!!!!
Et elle m’en verse dans la bouche. Franchement je n’en peux plus, les mélanges forts, les bonbons que je n’arrive pas à avaler, je suis fini.
Elle est écroulée de rire.
Toujours en position assise sur mes genoux, elle demande à l’autre soumis de lui allumer une cigarette.
Et elle fume sa clope en me voyant mourir sur place.
Elle a vraiment pris un plaisir sadique à me regarder souffrir. Et, même pour moi, le contraste de ma position, en train de tousser, de m’étrangler au sol sans rien pouvoir faire, et la voir dans cette position, si détendue mais en même temps autant dans le contrôle de la situation, ce contraste là est un stimulus cérébral énorme et mon cerveau est en ébullition de sentiments contradictoires.
Elle jette ses cendres au sol comme d’habitude. A la fin de sa cigarette, elle me met quelques coups dans les côtes.
Bon, passons aux choses sérieuses !
Elle se lève et demande à son soumis s’il a apporté ses chaussures à talons.
Ce sont des chaussures Nike Jordan à talon, assez rares mais très fashion et jolies, ça fait un peu genre bottines aussi.



Pendant que je reprends mes esprits au sol, elle les chausse tranquillement, le soumis l’y aide, à les passer et à les lacer.
J’essaye de me relever mais elle me dit de rester au sol.
Une fois chaussée, elle va alors entamer une marche violente et funèbre sur mon ventre, mon torse, mes clavicules, mes biceps avec ses talons Nike dangereux. Quand elle perd l’équilibre, son poids entier passe sur un seul pied et la souffrance ne s’en fait que plus terrible.
Ils me percent de toute part, je crie et essaye d’implorer sa pitié. Echec !
Elle m’avait promis la séance extrême de mes rêves, pas celle de mes cauchemars.
Après au moins 5 minutes de ce traitement, son sadisme prend pour cible mes parties sensibles et c’est d’abord avec un seul pied puis carrément avec ses 2 talons qu’elle écrase et transperce mon bassin et mon entrejambe. Je vibre et tremble sous son poids pendant au moins 1 minute mais ne peut définitivement plus supporter ce traitement de choc et me retourne sur le côté, la faisant descendre de mon corps dans le même mouvement. J’ai les yeux en larmes et le corps meurtri.
Elle s’est assise sur le lit les jambes croisées en savourant la vision de mon corps se larmoyer et se jeter à ses pieds pour baiser ses chaussures et lui demander grâce. J’avoue ma défaite.
Elle acquiesce j’avoue tu as assez pris cher pour aujourd’hui.
Elle prend une canette de Oasis dans l’un des sacs apportés par son soumis et lui demande de lui ouvrir, ce qu’il fait aussitôt pour lui tendre. Elle en boit une gorgée, puis une seconde qu’elle me recrache immédiatement au visage en rigolant ça a du te donner soif toutes ces émotions non ? Et faim aussi ?!
Elle jette quelques Dragibus au sol et en écrase quelques uns sous ses talons et semelles et m’oblige à me tortiller au sol pour le nettoyer des Dragibus, du jus de fruit et des quelques cendres.
Pas facile d’attraper des bonbons écrasés au sol avec les dents ou de lécher du liquide au sol avec la langue. Je sens du liquide froid me couler sur la nuque, le dos et le crâne. C’est Mademoiselle Memouna qui est en train de verser son Oasis sur moi pour me donner plus de travail.
S’en suivent de nombreuses minutes pendant lesquelles elle me laisse à mon ouvrage et se concentre sur son autre soumis et discute avec lui plus amicalement. Le sentiment dominant dans ce genre de situation est réellement le sentiment d’humiliation, d’être ignoré et isolé dans un coin pendant qu’ils discutent de choses banales.
Une fois le sol plus ou moins propre, de drôles de goûts dans la bouche, les mélanges du Tabasco, du vinaigre, des Dragibus, de la poussière du sol, du jus de fruit et des cendres de cigarettes sont très désagréables et c’est avec plaisir qu’on accueille la nouvelle lorsqu’elle déclare que mon ouvrage de femme de ménage est terminé.
Une dernière tâche tout de même, je suis ordonné de passer quelques derniers coups de langue sur les semelles de ses bottines à talon Nike, il faut même attraper avec les dents quelques derniers morceaux de Dragibus écrasés collés sous les semelles.
Son Altesse Memouna, après avoir passé la journée entière à se divertir avec son pigeon toubab, commence à se lasser de ma présence et a d’autres obligations à gérer, certainement rappelées par tous les sms qu’elle a reçus sur son téléphone portable dans la journée.



Elle m’informe donc qu’elle va prendre congé de moi, son chauffeur commençant déjà à remballer toutes ses affaires.
Bien entendu, elle me rappelle qu’elle n’a pas utilisé tout son budget lors de la séance shopping et qu’elle attend donc que je lui remette le reste de son argent de poche selon le rituel qu’elle avait instauré lors de notre dernière rencontre. C’est donc avec quelques difficultés que je me mets en position, à genoux, que je cherche l’argent dans ma poche de pantalon et que, après avoir compté le peu de billets qu’il me reste, je vois qu’il me reste environ 200 euros. Des calculs mathématiques rapides en simultané dans ma tête et dans celle de ma Princesse nous font comprendre que c’est un peu plus que le budget théorique de la journée mais ça ne l’empêche pas de réclamer la totalité de la somme, comme un remerciement pour avoir perdu son temps si précieux avec une créature insignifiante comme moi.
Ma tête est penchée vers le sol et mes bras tendus vers elle avec son argent, je lui demande humblement d’accepter mon offrande, ce qu’elle fait moins humblement en me les arrachant des mains et en oubliant de me remercier, submergée par l’émotion je suppose.
Un dernier bilan ça a été une excellente journée pétasse, on recommence quand tu veux !
Et nous nous quittons, le pote soumis me sert la main alors que je suis encore à genoux, il n’est pas non plus en position si confortable car il a des tonnes de sacs à transporter et il est suivi de Memouna qui me tend sa main comme à son habitude pour que j’y dépose le signe de mon respect et de mon dévouement total symbolisé par un affectueux baiser.
C’est sur la porte claquante que mes corps et esprit se libèrent d’un trop plein d’émotions et de souffrances subies lors de cette journée chargée mais ô combien excitante.
Princesse me relancera de nombreux sms dans la soirée pour me dire à quel point elle a « kiffé » cette journée et pour se moquer de moi quand je lui décris les douleurs toujours existantes.
Avant même de me mettre au lit, un dernier message, juste informatif, ne demandant pas mon avis, m’avise qu’elle me rendra encore visite le lendemain matin car elle veut encore 50 euro.
Aucune alternative possible, je suis obligé de programmer d’être délesté de quelques billets supplémentaires. Sa visite du lendemain matin sera très rapide, elle ressortira de ma chambre d’hôtel aussi vite qu’elle y sera entrée, aussi belle dans son look streetwear, jeans serré, Uggs noires, blouson style américain et casquette NBA. Avec un grand sourire, elle me prendra des poches mon dernier billet de 50 euro, me donnera un bon coup de genou dans l’entrejambe pour m’obliger à me mettre à genoux devant elle et, à son passage pour partir vers la porte de la chambre, me mettra un coup de cuisse dans le visage comme si je n’étais même pas là. En sortant, elle laissera la porte de la chambre ouverte laissant quelques secondes aux femmes de ménage dans le couloir au même moment pour m’entrapercevoir à genoux.
Honteux, je ferai en sorte de programmer mon check-out de l’hôtel de façon à ne croiser aucune des femmes de ménage.