Elle ouvre la porte et rentre direct s’installer à demie allongée sur le lit.
Là il y a une petite période sympa où elle déballe ses paquets et contemple son butin, elle est très contente, on fait des photos, elle me demande mon ordi portable pour aller sur internet avec le code wifi.
Elle zappe sur la télé et trouve une chaine M6 Black et hausse le volume sur la chanson qui passe. Elle me demande si je kiffe cette chanson, c’est « Hang-over » de Taio Cruz, j’aime bien, ça l’étonne qu’un « vieux » toubab comme moi aime mais ça lui fait plaisir.
Bien entendu, pendant tout ce temps-là, je suis à genoux.
Elle consulte ses mails sur le net pendant que je lui fais des compliments, elle se pose bien sur le lit et elle me dit un truc du genre
Faut que je te dise tout ? Pourquoi tu ne m’enlèves pas mes bottines pour me faire un massage ?
Je dis pardon princesse et m’y mets aussitôt.
Alors que je suis en train de lui enlever la première bottine, elle me demande comment je les trouve, je lui réponds que j’aime bien, qu’elles ont du style.
Elle me dit et tu vois, la grosse boucle derrière là, c’est super utile pour mettre la misère à des pédés dans ton genre, tout en soulevant sa jambe au-dessus de moi puis en la rabattant 3 – 4 fois sur mon dos, la partie où il y a la boucle en premier, faisant bien des dégâts.
Mes petits cris efféminés la font rire et prendre pitié de moi alors elle arrête. Une fois la deuxième bottine enlevée, je masse, j’embrasse, je me fais plaisir.
Un grand classique, elle me dit, comme quelques mois plus tôt, tu piques ta race, pouvais pas te raser bâtard ? On dirait une méduse.
Je commence à répéter que j’ai passé toute la nuit dans l’avion mais elle me coupe d’un regard agressif.
Je comprends quelle n’attendait pas d’explication.
A un moment, je crois qu’elle commence à se faire chier, elle balance littéralement mon ordi portable professionnel à l’autre bout du lit. Pas de casse mais elle l’aurait jeté par terre et il se serait cassé, pour elle c’était pareil.
Et là, elle pousse ses pieds, me prend le menton pour me regarder bien dans les yeux et me met un gros coup de pression, un regard très noir.
Tu sais quoi, j’ai grave kiffé ce matin te dépouiller de ton fric, t’as aucun caractère, t’es qu’une merde, comment t’as fait pour te marier et faire des gosses ? T’es pas un mec, t’es mon larbin et je kiffe ça , voir comment tu trembles en face de moi.
C’est vrai que je tremblais. Chaque mot résonne dans tout mon corps et dans ma tête, comme des vérités qui font mal à entendre.
Elle me décroche une gifle magistrale, la pire gifle que je n’ai jamais prise.
Mes lunettes ont volé contre le mur. Je suis myope comme une taupe, je ne vois plus grand-chose.
Elle éclate de rire.
Putain celle-là, on aurait du la filmer, je ne t’ai pas loupé, hein ouais ?!
Oui princesse.
Ramasse tes yeux la lope !
Je cherche à tâtons sur le sol, je les ramasses et les remets.
Elles sont complètement de travers sur mon nez, elle s’esclaffe d’un rire vraiment puissant, elle est pliée de rire sur le lit, c’est vraiment humiliant.
C’est à ce moment-là que je prends conscience qu’elle est différente des jeunes femmes dominatrices que j’ai rencontrées dans le passé. La plupart serait plus des actrices qui essayent de jouer un rôle pendant les séances. Mais elle, elle fait vraiment ça par passion, elle s’éclate.
Je lui avais acheté des cigarettes un peu plus tôt dans l’après-midi alors elle m’ordonne de lui donner le paquet, de l’ouvrir et de lui en donner une, ce que je fais.
Je suis toujours là à genoux. Elle fait tomber ses cendres sur le sol mais s’en fout.
Elle crache la fumée nonchalamment.
Elle m’insulte toujours un peu. Des fois, elle me crache la fumée au visage, ce que je n’aime pas mais je ne peux pas m’en plaindre.
Elle approche le bout incandescent de cigarette de mes cheveux, et là ça me fait très mal, je le lui dis.
Elle-même a du voir quelque chose, un signe de souffrance sur mon visage, ou les cheveux qui brûlaient un peu, des étincelles ou je ne sais quoi, car elle dit ouais ça doit faire mal en effet.
Mais ça la fait rire alors elle recommence une fois pour le délire, je gémis, la supplie d’arrêter.
Elle me dit de lui tendre mon bras, ce que je fais, et elle me laisse tomber une cendre bien ronde sur l’avant-bras et m’ordonne de la garder.
Au bout de quelques secondes, la brûlure intense se fait sentir, c’est comme un feu couvert, ça brule réellement, ça creuse la peau.
Je la supplie et lui demande si je peux l’enlever, la faire tomber.
Elle dit nan attend !
Elle sort son téléphone.
Je vais te filmer, vas-y bouffe-la !
C’est ma seule alternative à la douleur, je le fais, ça me dégoute, j’ai des haut-le-cœur mais je suis motivé par faire arrêter la brûlure.
C’est bon hein ?
Je suis contraint de dire oui.
Il y a un gros rond rouge sur mon avant-bras où les chaires sont brulées.
Dans ma tête, ça se bouscule, je me demande combien de temps ça va marquer, si on ne va pas me griller au taf. Ca se voit que c’est une brûlure de cigarette et je ne suis pas fumeur. Ma femme va bien s’en apercevoir de cette marque.
Dans ma tête, ça se bouscule, je me demande combien de temps ça va marquer, si on ne va pas me griller au taf. Ca se voit que c’est une brûlure de cigarette et je ne suis pas fumeur. Ma femme va bien s’en apercevoir de cette marque.
Mais tout ça, toutes ces pensées sont renforcées dans leur humiliation par son rire moqueur.
Elle me remet une bonne gifle, bien claquante
Je t’aime bien toi, t’es un bon bouffon, t’es marqué à vie maintenant, allonge toi au sol, sur le ventre !
Elle commence alors une pure séance de trampling pied nus.
Elle me marche dessus, mais franchement, sans ménagement.
Sur le dos, la colonne vertébrale, les épaules, là ça va, c’est soutenable.
Mais des fois, souvent même, sur les articulations, sur le derrière des jambes, là où la peau est molle et ou les os sont plus accessibles.
Ca me fait très mal, mais apparemment elle prend un vrai plaisir sadique car à chaque fois que je crie, que je tremble, que je supplie, elle continue de plus belle plutôt que d’arrêter, tout en rigolant.
De temps en temps même, sur les parties plus solides, elle me saute dessus littéralement.
J’ai mal sur la partie du corps qui reçoit tout son poids mais aussi sur la partie face au sol avec les chocs et les contrecoups.
A un moment, elle m’appuie même le derrière du crane avec son pied nu pour m’écraser le visage au sol, le nez, le front, la bouche ainsi que les lunettes qui commencent à se vriller entre le sol et mon visage.
Elle me file un coup de pieds dans les côtes en descendant de mon corps endolori et me demande de me retourner, allonger sur le dos.
Je m’exécute aussitôt malgré les douleurs.
Elle s’assoie alors à califourchon sur moi, juste au-dessus de mon abdomen, presque au niveau de mon bas-ventre.
Elle me donne deux coups de poing sur la poitrine et une mandale au visage. Elle a compris que je ne répondrai jamais violemment, je suis défait depuis déjà bien longtemps.
Tu banderais si on devait coucher ensemble ?
Je suis choqué par cette question, je ne sais pas quoi répondre.
Si je te faisais grimper au rideau ?!
Elle commence à se déhancher sur mon entrejambe, on est tous les deux habillés mais elle a un de ses déhanchés, j’ai l’impression qu’on fait l’amour.
Je bande comme un fou mais elle me ridiculise, elle me demande pourquoi je ne bande pas, si je suis un mec ou pas. Elle ne ressent sûrement pas mon petit sexe qui est complètement dressé dans mon slip.
J’étais au septième ciel quand même. Elle fait ça pendant au moins 2 ou 3 minutes, mais c'était comme un rêve. Je m'imaginais en train de lui faire l'amour.
Elle avait des mouvements de bassin de folie qui ne laissent supposer que du meilleur et qui font rêver
On se réveille du rêve en sursaut. En effet, je suis comme un fou en train de bander dans mon jeans et quelqu’un frappe à la porte.
Elle se lève d’un coup, toute excitée.
Ahhhhh, c’est ta surprise !
Je ne sais pas quoi faire, mais elle me met le pied sur le torse et me dit de rester coucher comme un bon toutou.
Elle va ouvrir la porte, je me contorsionne pour voir qui c'est.
C'est son autre soumis, celui que j'avais déjà rencontré en juillet.
Coucou princesse, comment ça va ?! Salut babtou, qu'est-ce-que tu fais par terre lol ?
Salut !
Bon, dis-moi pétasse, tu m’as apporté ce que je t’ai demandé ?
Oui princesse
Le gars avait apporté plein de sacs.
Ouais, prépare tout, mais regarde ce que je faisais au babtou, il voulait commencer à se toucher je suis sûre, hein oui connard t’aurais aimé te toucher il y a 2 minutes, bah vas-y fais le maintenant !
Je suis pris au piège, avec un autre soumis dans la pièce, je ne peux définitivement pas faire ça.
Je la supplie comme un sous homme, svp princesse, je vous respecte trop, ne me faites pas faire ça svp.
Elle éclate de rire, l’autre soumis est plutôt du genre étonné.
Bah attend, je vais montrer à mon autre pigeon préféré ce que je faisais.
Et elle recommence à me faire son genre de lap dance sur l’entrejambe.
Avec ses déhanchés de folie, mon bassin est obligé de suivre ses mouvements, c’est comme si on faisait l’amour virtuellement avec nos fringues.
Mais elle est en mode moquerie et humiliation donc elle est du genre à faire des réflexions du style
C’est comme ça que tu baises toi ? C’est toi la meuf dans ton couple ou quoi ?
Elle se lasse au bout d’un moment, elle me remet une grosse tarte.
Putain tu te rends compte que tout à l’heure tu m’as supplié d’arrêter de te demander de te masturber ? C’est quoi ça ? T’es une sous race, t’es pas un mâle !
Une autre grosse gifle suit. Elle me demande de plier mes jambes, de les ramener vers moi et de poser les pieds au sol, comme ça mes genoux sont surélevés et elle s’assoie sur mes genoux.
Je suis là, le dos au sol, allongé, les jambes repliées, les pieds au sol, et elle en position ultra-dominante, assise sur mes genoux en face de moi. Elle regarde l’autre soumis.
T’as apporté mes bonbons ? Donnes-moi en.
Il ouvre la petite boite de Dragibus et lui donne. Elle commence à en manger quelques-uns et se penche au-dessus de moi.
Ouvre la bouche !
Je m’exécute et elle me crache la pâtée de Dragibus à demie mâchée dans ma bouche.
Mâche bien petite pute, sens-toi honoré.
Après, elle en reprend quelques-uns en bouche, mais cette fois ne les mâche pas.
Je pense qu’elle les garde en bouche, les suce plus pour bien les imbiber de salive et une fois de plus me les recrache en bouche. Je les mâche avec passion.
L’autre soumis, a déjà sorti l’appareil photo ou la caméra (me souviens plus) et est en train de filmer.
Il prend son pied aussi, il aime voir Mademoiselle Memouna me torturer. Il est plus du style voyeur ( ;-) )
Et il prend part à ses délires.
Au fait Princesse, j’ai apporté les autres choses que vous m’aviez demandées.
Ah oui tiens donne moi ça
Qu’est-ce-qu-elle sort du sac ? Un petit flacon de piment, genre Tabasco.
Tiens pédale, ça va t’aider à faire passer les bonbec
Et elle m’en verse une bonne rasade dans le gosier.
Ca, je n’aime pas du tout, ça me brule direct la gorge et l’œsophage.
Elle me rejette des Dragibus dans la bouche "pour faire passer le piment".
Franchement un sale moment, je m’étouffe limite, je me tortille au sol mais elle est toujours bien assise sur mes genoux surélevés, ça ne me laisse pas beaucoup de marge de mouvement.
Je tousse et elle suce le bout du flacon de Tabasco et dit bah qu’est-ce-qui se passe, t’aimes pas ça ? C’est pas fort pourtant, vous les blancs vous êtes vraiment des petites natures.
Ensuite, elle m’en remet un coup dans la bouche, encore avec des bonbons.
Là, j’ai carrément des larmes qui me coulent des yeux. En plus avec ma position allongée, ça me coule sur les côtés du visage ou ça stagne dans les yeux, ça pique aussi.
Elle a un sourire machiavélique, elle s’éclate. Même le soumis rigole.
Elle lui dit t’as vu j’ai gagné mon pari, j’ai réussi à le faire pleurer donc tu me dois du fric et t’as intérêt à assurer.
Il acquiesce.
Je tousse vraiment fort et ça me brule la gorge. Elle dit qu’elle va me soigner.
Elle sort du sac quoi ?
Une bouteille de vinaigre !!!!!!
Et elle m’en verse dans la bouche. Franchement je n’en peux plus, les mélanges forts, les bonbons que je n’arrive pas à avaler, je suis fini.
Elle est écroulée de rire.
Toujours en position assise sur mes genoux, elle demande à l’autre soumis de lui allumer une cigarette.
Et elle fume sa clope en me voyant mourir sur place.
Elle a vraiment pris un plaisir sadique à me regarder souffrir. Et, même pour moi, le contraste de ma position, en train de tousser, de m’étrangler au sol sans rien pouvoir faire, et la voir dans cette position, si détendue mais en même temps autant dans le contrôle de la situation, ce contraste là est un stimulus cérébral énorme et mon cerveau est en ébullition de sentiments contradictoires.
Elle jette ses cendres au sol comme d’habitude. A la fin de sa cigarette, elle me met quelques coups dans les côtes.
Bon, passons aux choses sérieuses !
Elle se lève et demande à son soumis s’il a apporté ses chaussures à talons.
Ce sont des chaussures Nike Jordan à talon, assez rares mais très fashion et jolies, ça fait un peu genre bottines aussi.
Pendant que je reprends mes esprits au sol, elle les chausse tranquillement, le soumis l’y aide, à les passer et à les lacer.
J’essaye de me relever mais elle me dit de rester au sol.
Une fois chaussée, elle va alors entamer une marche violente et funèbre sur mon ventre, mon torse, mes clavicules, mes biceps avec ses talons Nike dangereux. Quand elle perd l’équilibre, son poids entier passe sur un seul pied et la souffrance ne s’en fait que plus terrible.
Ils me percent de toute part, je crie et essaye d’implorer sa pitié. Echec !
Elle m’avait promis la séance extrême de mes rêves, pas celle de mes cauchemars.
Après au moins 5 minutes de ce traitement, son sadisme prend pour cible mes parties sensibles et c’est d’abord avec un seul pied puis carrément avec ses 2 talons qu’elle écrase et transperce mon bassin et mon entrejambe. Je vibre et tremble sous son poids pendant au moins 1 minute mais ne peut définitivement plus supporter ce traitement de choc et me retourne sur le côté, la faisant descendre de mon corps dans le même mouvement. J’ai les yeux en larmes et le corps meurtri.
Elle s’est assise sur le lit les jambes croisées en savourant la vision de mon corps se larmoyer et se jeter à ses pieds pour baiser ses chaussures et lui demander grâce. J’avoue ma défaite.
Elle acquiesce j’avoue tu as assez pris cher pour aujourd’hui.
Elle prend une canette de Oasis dans l’un des sacs apportés par son soumis et lui demande de lui ouvrir, ce qu’il fait aussitôt pour lui tendre. Elle en boit une gorgée, puis une seconde qu’elle me recrache immédiatement au visage en rigolant ça a du te donner soif toutes ces émotions non ? Et faim aussi ?!
Elle jette quelques Dragibus au sol et en écrase quelques uns sous ses talons et semelles et m’oblige à me tortiller au sol pour le nettoyer des Dragibus, du jus de fruit et des quelques cendres.
Pas facile d’attraper des bonbons écrasés au sol avec les dents ou de lécher du liquide au sol avec la langue. Je sens du liquide froid me couler sur la nuque, le dos et le crâne. C’est Mademoiselle Memouna qui est en train de verser son Oasis sur moi pour me donner plus de travail.
S’en suivent de nombreuses minutes pendant lesquelles elle me laisse à mon ouvrage et se concentre sur son autre soumis et discute avec lui plus amicalement. Le sentiment dominant dans ce genre de situation est réellement le sentiment d’humiliation, d’être ignoré et isolé dans un coin pendant qu’ils discutent de choses banales.
Une fois le sol plus ou moins propre, de drôles de goûts dans la bouche, les mélanges du Tabasco, du vinaigre, des Dragibus, de la poussière du sol, du jus de fruit et des cendres de cigarettes sont très désagréables et c’est avec plaisir qu’on accueille la nouvelle lorsqu’elle déclare que mon ouvrage de femme de ménage est terminé.
Une dernière tâche tout de même, je suis ordonné de passer quelques derniers coups de langue sur les semelles de ses bottines à talon Nike, il faut même attraper avec les dents quelques derniers morceaux de Dragibus écrasés collés sous les semelles.
Son Altesse Memouna, après avoir passé la journée entière à se divertir avec son pigeon toubab, commence à se lasser de ma présence et a d’autres obligations à gérer, certainement rappelées par tous les sms qu’elle a reçus sur son téléphone portable dans la journée.
Elle m’informe donc qu’elle va prendre congé de moi, son chauffeur commençant déjà à remballer toutes ses affaires.
Bien entendu, elle me rappelle qu’elle n’a pas utilisé tout son budget lors de la séance shopping et qu’elle attend donc que je lui remette le reste de son argent de poche selon le rituel qu’elle avait instauré lors de notre dernière rencontre. C’est donc avec quelques difficultés que je me mets en position, à genoux, que je cherche l’argent dans ma poche de pantalon et que, après avoir compté le peu de billets qu’il me reste, je vois qu’il me reste environ 200 euros. Des calculs mathématiques rapides en simultané dans ma tête et dans celle de ma Princesse nous font comprendre que c’est un peu plus que le budget théorique de la journée mais ça ne l’empêche pas de réclamer la totalité de la somme, comme un remerciement pour avoir perdu son temps si précieux avec une créature insignifiante comme moi.
Ma tête est penchée vers le sol et mes bras tendus vers elle avec son argent, je lui demande humblement d’accepter mon offrande, ce qu’elle fait moins humblement en me les arrachant des mains et en oubliant de me remercier, submergée par l’émotion je suppose.
Un dernier bilan ça a été une excellente journée pétasse, on recommence quand tu veux !
Et nous nous quittons, le pote soumis me sert la main alors que je suis encore à genoux, il n’est pas non plus en position si confortable car il a des tonnes de sacs à transporter et il est suivi de Memouna qui me tend sa main comme à son habitude pour que j’y dépose le signe de mon respect et de mon dévouement total symbolisé par un affectueux baiser.
C’est sur la porte claquante que mes corps et esprit se libèrent d’un trop plein d’émotions et de souffrances subies lors de cette journée chargée mais ô combien excitante.
Princesse me relancera de nombreux sms dans la soirée pour me dire à quel point elle a « kiffé » cette journée et pour se moquer de moi quand je lui décris les douleurs toujours existantes.
Avant même de me mettre au lit, un dernier message, juste informatif, ne demandant pas mon avis, m’avise qu’elle me rendra encore visite le lendemain matin car elle veut encore 50 euro.
Aucune alternative possible, je suis obligé de programmer d’être délesté de quelques billets supplémentaires. Sa visite du lendemain matin sera très rapide, elle ressortira de ma chambre d’hôtel aussi vite qu’elle y sera entrée, aussi belle dans son look streetwear, jeans serré, Uggs noires, blouson style américain et casquette NBA. Avec un grand sourire, elle me prendra des poches mon dernier billet de 50 euro, me donnera un bon coup de genou dans l’entrejambe pour m’obliger à me mettre à genoux devant elle et, à son passage pour partir vers la porte de la chambre, me mettra un coup de cuisse dans le visage comme si je n’étais même pas là. En sortant, elle laissera la porte de la chambre ouverte laissant quelques secondes aux femmes de ménage dans le couloir au même moment pour m’entrapercevoir à genoux.
bien racontée cette histoire tres excitant
RépondreSupprimerHAAHAA QUEL SOUVENIR CETTE JOURNEE.. CROIS MOI CE QUE JE TE RESERVE POUR NOTRE RENCONTRE SERA ENCORE PLUS HARD ET JOUSSIF SALE TRUIE... TU VAS TE JOUIR, TE PISSER DESSUS ET ENCORE PLEURER COMME LA BONNE TARLOUZE QUE TU ES !
RépondreSupprimerMDR
Oui en effet, chaque moment est gravé dans ma tête, tout comme la cicatrice de brûlure de cigarette qu'il me reste sur l'avant bras.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que vous avez déjà un plan bien organisé de ce qui se passera lors de notre prochaine rencontre, j'ai intérêt à venir blindé lol
Woow quelle terrible princesse!
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