De caractère partageur, j'apprécierais que mes lecteurs soient de même et j'invite donc tous soumis ou dominants à m'ajouter sur MSN ( babtousm@hotmail.fr ) pour me raconter leurs différentes histoires et anecdotes que je pourrais retranscrire et faire partager avec leurs autorisations.
Cela permettrait à notre petite communauté d'avoir un lieu d'échange d'expériences et aussi, pourquoi pas, faire découvrir et apprécier à d'autres personnes nos pratiques communes.
D'avance merci.
samedi 23 juin 2012
Histoire du net : longue longue journée
Rude journée hier… Je ne travaillais pas ce vendredi, week-end de 3 jours en perspective, je pensais pouvoir me reposer mais acte 1 : ma coloc' me prévient la veille qu'elle a un train à 6h15 le matin ; il faut donc que je me lève à 5h pour l'accompagner. Evidemment, elle me demande mon avis sur sa tenue le matin, etc., et je l'amène au train qui l'amène vers son homme du moment pour quelques jours. Bon, pas grave, je pourrai me reposer après mais dans la matinée, message d'Atouma (the names have been changed to protect the innocent) qui veut qu'on se voit le soir. Comme j'avais dit non la semaine passée, je dis oui (sans me forcer cela dit), bon, c'est tard, il me restera quand même du temps pour me reposer mais je fais l'erreur de me connecter un peu, grave erreur, Cherry aussi...
Ca devrait être écrit sur les paquets de Freebox, « surfer tue ».
Donc acte 2 : apprenant que je ne travaille pas, elle me convoque, pas le choix, on discute un peu à l'écran avant, je lui confie mon manque de sa chatte..
Elle me dit quand même "prends un gode-ceinture" (je suis de la génération qui a plutôt l'habitude d'arriver chez les gens avec une bouteille, mais il faut vivre avec son temps). Je me gare pas loin de chez elle, je me demande où est-ce-qu’on va se rencontrer puisqu’aux dernières nouvelles, elle vit toujours chez ses parents.
Je lui textote mon arrivée, elle : "j'arrive", elle arrive en effet ; très décontracte, très cité, bonnet noir sur la tête, cul galbé dans un caleçon, ballerines d'intérieur aux pieds, sweat au bord de l'explosion.
Elle me guide à l'ascenseur, on monte, intérieur un peu délabré dans les couloirs, elle se dirige vers une porte, l'ouvre, je m'attends à un petit appart', erreur, local à caves ou un truc comme ça, à l'intérieur elle ouvre une autre porte, un tout petit local avec le vide-ordure de l'étage. Elle m'y fait entrer, elle entre aussi et referme la porte.
Non, elle ne va quand même pas...? Impossible de fermer à clé car c’est un local commun, donc pas de serrure...
Tout de suite à genoux devant elle, baffes, elle me fait lui tourner le dos, fouille dans mon sac à godes, en sort un à ventouse, qu'elle fixe sur le mur et me plante la gorge dessus. Elle me dit de ne pas faire de bruit. incroyable, quelle inconscience !
Elle re-farfouille dans le sac, en sort le gode-ceinture "modeste", ce que je craignais est en train d'arriver, je suis à 4 pattes avec une bite dans la bouche, une autre dans le cul, et au bout de cette deuxième, une ado d'aujourd'hui avec son énergie débordante, tout ça dans le local poubelle commun de l'étage.
Bon, la taille du local ne permet pas des mouvements de large étendue, surtout qu'il faut sans arrêt veiller au bruit, elle sort le gode mais ce n'est que pour en changer...
Cette fois, elle prend celui de ma coloc' (qui était dans le même sac), qui est de taille plus respectable, mais ça, je le sais pas (j'ai le dos tourné). Quand elle me pénètre, impossible de ne pas crier, j'ai mal et je me rétracte, il était gros celui-là. Elle me fait retourner, elle ne veut pas de bruit, elle me redonne le 1er gode, me dit de me le mettre moi même au cul, et de l'y maintenir.
Le caleçon se baisse, le string va se promener aux chevilles, ventre en avant, et m'y voilà, je roule un patin passionné au ventre de Cherry en lui faisant ma déclaration d'amour.
Mes déclarations sont maladroites, mais je voudrais t'y voir avec une furie qui te saisit par les cheveux, les oreilles en t'interrompant sans arrêt pour te rabaisser ou te frapper.
Ah j'oubliais, pendant tout ça, j'ai instruction de me branler, vu la situation, je suis surpris de constater que l'excitation l'emporte sur la peur d'être surpris, et je suis en bonne disposition bitale.
Elle a son attitude caractéristique quand elle se fait sucer et qu'elle est au bord : contractions, prise plus brutale de la tête pour s'en servir à sa guise pour s'y coller l'entrejambe. Avant ça quand même, l'emprise sur ma tête appuie en bas pour l'y mettre à ses pieds.
Elle enlève sa ballerine, me la fait longuement respirer de l'intérieur, ça sent fort, puis un peu lécher les pieds. Quand elle ne se sert plus de mon visage pour s'y frotter le zizi, elle me fait branler plus avant et jouir dans ma main et avaler (glup).
Puis on se rhabille, elle m'engueule parce que je fais du bruit en me rhabillant et en rangeant le matériel.
Elle ouvre la porte du local trèèèèès précautionneusement, ça me fait rire, car on est juste 2 là-dedans et on est "normaux", alors qu'on vient de passer 30 mn dans des situations pas possibles à la merci du premier venu et là, ça avait pas l'air de la perturber, mais pour ouvrir la porte, là, attention, on fait attention. Elle me fait cracher 100 euros, m'a raccompagné à la grille avant de me foutre dehors et de me dire "casse-toi".
Bon, enfin, comme ça a plutôt duré moins longtemps que prévu, j'ai le temps de me préparer pour Atouma. De retour chez moi, je m'occupe de 2/3 bricoles, puis passe à la douche pour me passer le produit apaisant pour muqueuses vaginales pour soulager les dégâts de Cherry (j'ai toujours ça sur le rebord de ma baignoire).
Mon rdv du soir, ça fait un moment que je la connais, une sénégalaise, elle m'avait prévenu qu'on prendrait juste un verre, et que je l'accompagnais pour sa sortie en boite ; "je te prendrai pas de thune" mais quand, un petit message dans l'après-midi : « j’ai passe me prendre une robe, tu me la rembourseras comme j'ai pas trop d'argent en ce moment ».
Je vais la prendre, elle est habillée casual, et on se dirige vers les Champs, elle me montre la robe qu'elle a achetée (il n'y a pas l'air d'y avoir beaucoup de tissu), et se demande où elle va se changer. Pourquoi ne l'a-t-elle fait avant de descendre, ça reste un mystère. On va prendre un verre dans un pub assez sympa et pas trop bling bling.
On bavarde, on rit, on raconte des bêtises.
Il y a une serveuse noire que l'on trouve tous deux belle : elle n'est pas sexy, mais belle, avec un air sérieux et un ensemble assez strict, je dis qu'elle doit être antillaise.
Pas complexée, Atouma l'appelle, la fait approcher et lui demande, la fille répond qu’elle est zaïroise.
Bon, quand on a eu tué la bouteille de Sancerre, elle va aux toilettes avant qu'on y aille.
Dix minutes plus tard, je vois une de ces byatch arriver sur moi, c'était elle, je l'avais pas reconnue, la robe avait du mal à lui couvrir à la fois les seins et la petite culotte. Quant au haut des collants, inutile d'essayer de les couvrir, cette robe n'y arrivera jamais. Aux pieds, des escarpins pailletés d'or (enfin, de l'or de TaÏwan) sur talons bien hauts. On sort, elle rigole en marchant, elle me dit "touche moi le cul", je lui mets une main sur la fesse, c'est tout dur.
Elle me dit qu'elle a vu au magasin une sorte de culotte galbée ou rembourrée (j'ai pas bien compris), c'est ce qu'elle porte et c'est ça qui la fait rire.
Elle l'a prise parce qu'elle trouvait qu'elle avait le cul plat (on n’a pas la même définition du plat).
Au bout de 10 m, elle remet ses ballerines car ça faisait longtemps qu'elle n’avait plus marché en talons hauts. Je l'amène à l'entrée de la boite, elle me dit d'attendre un peu, elle est pas sûre de rentrer, elle m'explique qu'elle est un peu grillée dans plusieurs boites des Champs pour avoir foutu le bordel avec des copines. Enfin, sa version, c'est que ce sont ses copines qui ont foutu le bordel, toutes sauf elle. Mais bon, quand je la regarde en face, elle même a l'air de se forcer à y croire.
Bon, elle a dû finir par rentrer et moi aussi, j'étais bien content de cette soirée, pas très domi, mais bon, je suis chez moi à 2 heures, enfin, après cet acte 3, je vais enfin rattraper tout ce retard.
Mais, acte 4, 5 heures du mat', Kim, mon ex-Maîtresse, 5 ans de domination intense, qui ont pris fin depuis pas mal de temps maintenant, une sublime Antillaise, "ça te dérangerait pas, je suis un peu en galère, là ?". Une voix mal assurée qui sent ses fins de soirées défonce, j'avoue, j'aime quand elle est dans ces états-là. Je dis oui, d'accord, j'arrive (c'était tout près de chez moi).
Au bout de 10-15 min, elle m'appelle en s'étonnant que je ne sois pas encore là.
Oui, j'ai quand même pris le temps de me passer un petit coup avant de partir.
J'arrive à l'adresse, elle descend. Je la vois de loin. Quel spectacle : une robe verte indécente au ras du ras de la foune, la chevelure de lionne ample, bouffante et claire, la démarche titubante, un homme black élégant qui la suit.
Elle minaude un peu, mais surtout avec lui ; ils montent tous deux dans la voiture.
On le raccompagne chez lui, c'est sur le chemin.
Puis chez elle, je ne sais pas si elle va s'écrouler dans son lit ou me garder un peu. En fait, elle va me garder mais pas "un peu", 2 heures.
On commence à papoter, puis à reparler du bon temps.
Elle me met ses pieds toujours sur mon chemin, je ne peux que les prendre, caresser les pieds et les jambes, ça lui va, mais elle me dit qu'elle a envie de me frapper.
Je ne suis pas rustre au point de refuser cela à une dame et je me reprends des mandales dans la gueule.
Elle se couche sur son canapé, me tend l'huile de massage, je masse bien les jambes, les fesses.
Au bout d'un moment, le massage ne suffit plus, elle approche négligemment ma tête entre ses jambes, son trou du cul, j'embrasse, je lèche, j'enfonce la langue et là, j'ai pas chronométré, mais j'ai l'impression d'avoir passé 1 heure dans son entrejambe.
A chaque fois que je prenais du recul pour souffler un peu elle m'y recollait, même que des fois elle commençait à s'endormir, j'en profitais pour arrêter un peu, mais non, elle se réveillait juste pour m'y recoller et plus ça allait, plus elle m'enfonçait loin dans son cul.
Le jour était levé, mais je ne pouvais pas m'en apercevoir, j'ai eu l'impression de rester dans le noir tout ce temps, luttant tout le temps pour trouver de l'air. Il en sortait bien un peu de ses orifices de temps en temps, mais... c’était comme des petits pêts et ça n’aidait pas à se revigorer.
Au bout d'un moment, vu qu'elle ne me laissait pas la distance pour respirer, j'étais obligé de souffler et inspirer directement sans mouvement de recul ; ça provoquait des bruits mouillés qui me gênaient beaucoup, mais pas elle apparemment.
Au bout d'un long moment, "j'ai envie de pisser". Je savais ce qui m'attendait.
Allongé sur le tapis, elle me connaissait suffisamment pour ne pas craindre pour son tapis.
Je ne sais ce qu'elle avait bu et mangé dans sa soirée, mais j'ai connu sa pisse plus douce, elle venait par petites saccades, alors que c'est une pisseuse plus régulière d'habitude.
Souvent, la pisse marque la fin d'une séquence, mais pas là, profitant de sa situation assise sur moi, elle se remet à m'enfoncer la moitié du visage dans la raie de son cul.
Je ne peux pas parler de cunnilingus, c'était du face-fuck féminin.
C'est elle qui mettait des coups de rein, elle se masturbait sur ma face.
Et moi, je ne savais plus avec quoi j'agissais : langue, nez, menton, je crois l'ensemble du visage en fait.
Je n'avais jamais passé aussi longtemps littéralement A L'INTERIEUR d'un cul.
Elle a joui, j’ai senti le goût très salé de sa mouille sur la fin.
A un moment, elle a quand même été fatiguée, il était vers 7h30 du mat’.
Longue longue journée !!!
Sorti de chez elle, en allant prendre un petit café au troquet du coin de sa rue qui venait d'ouvrir (il y avait 3/4 turfistes), je me suis rendu compte que je sentais vraiment la chatte.
Merci Martine Aubry pour avoir inventé les RTT !!!!!!!!!!!!!
dimanche 17 juin 2012
Le comble du money slave en shopping : servir la vendeuse
Je vais vous raconter une petite anecdote croustillante qui s’est produite ce dernier vendredi.
Pour commencer, je dois « dresser le tableau » en commençant par une anecdote relevant du fétichisme du pied et de la pédicure mais je ne pense pas que mes amis lecteurs trouveront ceci très « glamour ».
Tout a commencé jeudi soir en fait. Après une bonne douche et une analyse complète de mes doigts de pied, j’ai pu constater que cela faisait longtemps que je ne m’étais pas coupé les ongles. Je sors donc mon petit coupe-ongle en inox et m’assieds tout nu sur la cuvette des toilettes. Fermez les yeux et imaginez bien cette scène qui atteint des sommets d’érotisme. Je commence par les ongles des petits orteils pour garder pour la fin les ongles des gros orteils, les plus longs et les plus durs, mes préférés à couper. Après avoir coupé 9 ongles, mon coupe-ongle se casse en plein milieu de l’opération du dernier me laissant donc comme un c.. avec un ongle à moitié coupé. Bordel de m….. !
Je décide donc que, dès le lendemain, il me faudra me rendre à la petite boutique près du bureau pour acheter un nouvel outil.
Pendant ma pause-déjeuner, je me rends donc dans ce petit supermarché de quartier.
Il faut que je vous dise que, justement dans cette boutique, il y a une vendeuse que j’ai remarquée depuis longtemps avec laquelle j’essaye d’entrer en contact mais n’y ai jamais réussit avant.
Comme par hasard, ce jour-là, à peine entré, elle me saute littéralement dessus avec un large sourire et m’informe qu’aujourd’hui elle est affectée au rayon boissons et alcool. Tellement surpris qu’elle m’adresse la parole si facilement, je ne sais quoi dire à part un timide bonjour, baisser les yeux et naturellement sortir un très honnête mais impromptu « mais je ne bois jamais d’alcool ». Son regard laisse apparaître sa déception mais je me ressaisis à temps, pour ne pas laisser filer l’occasion qui m’est donnée de lui parler alors je lui dis que finalement je veux bien voir ce qu’elle a à proposer car je peux très bien avoir des invité(e)s un jour.
Comme dynamisée par ce retournement de situation, elle me prend par le bras et me guide vers le rayon alcool. Nous discutons vins rouge, blanc et vert (j’apprends alors que c’est une spécialité portugaise). Elle s’affaire à me montrer les différentes bouteilles et à me dire les prix mais, très sincèrement, ça ne m’intéresse pas plus que ça et j’en profite pour voir la pureté de la peau de son visage ainsi que ses courbes généreuses, bien que vêtue de son uniforme de travail.
Je ne sais pas si c’est mon instinct de soumission, de money slave ou je ne sais quoi, mais je ne peux me résoudre à repartir du magasin sans lui acheter deux bouteilles, elle en est d’ailleurs très heureuse et m’en remercie d’un large sourire. Dans ma tête, je me demande comment faire pour lui glisser mon numéro de téléphone mais la possibilité ne se présente pas.
Elle m’accompagne jusqu’à la caisse en tenant le panier et en me tenant par le bras. Nous passons devant le rayon eau minérale, je m’y arrête et lui dis qu’il me faut de l’eau. Je commence à prendre des bouteilles de la marque que j’ai l’habitude d’acheter. Elle me dit en faisant la moue qu’elle représente une autre marque, bien entendu, un peu plus chère. Résigné, je remets en rayon les premières bouteilles et laisse mon hôtesse remplir le panier des bouteilles d’eau de la marque qu’elle « représente ».
Nous allons jusqu’à la caisse, elle attend bien que je passe tous les articles du panier et que je paye, me fait un petit signe de la main pour dire au-revoir avec un très grand sourire.
Au final, j’ai donc acheté 2 bouteilles de vin que je ne boirais pas, 3 bouteilles d’eau plus chères que d’habitude et j’ai oublié d’acheter mon coupe-ongle.
Qu’est-ce-qu’on est bête quand on est money slave !
samedi 16 juin 2012
Rencontre de Christian la Tarlouze avec Son Altesse Memouna
Depuis plusieurs semaines, j'avais été en contact SMS avec Melle Memouna, qui avait eu mon téléphone par un soumis de mes relations, qu'elle martyrisait et exploitait.
Les échanges étaient nombreux et agressifs, toujours écrits en majuscules, imprégnés d'un style qui me faisait comprendre que j'avais affaire à une jeune personne qui n'avait pas l'habitude de prendre de gants avec les larbins qu'elle mettait à sa botte, méprisante et sûre de sa force.
Un peu terrorisé, je répondais à chacun de ses messages (parfois espacés de plusieurs heures, la conversation étalée sur plusieurs jours étant une de ses spécialités apparentes) mais j'évitais de tendre la perche pour une rencontre tant elle m'inspirait de crainte.
En même temps, je vivais dans l'attente de ses réponses, elle avait réussi à me faire penser à elle toute la journée.
Après plusieurs semaines à ce rythme, je reçois un jour une instruction, je devais être à la gare du RER de chez elle à 5h du matin, il lui faut un chauffeur pour l'emmener à l'aéroport.
J'étais déchiré, que faire ? C'était sûr qu'elle trouverait un larbin, alors, quoi ? Laisser les choses en l'état ou surmonter ma crainte ?
Après une petite tempête cervicale, j'optais pour la seconde option, boum boum dans la poitrine.
Le moins qu'on puisse dire est qu'elle n'accueillit pas ma proposition avec un débordement de gratitude.
Elle me précisait l'heure (4h30 à la gare) et le lieu.
Elle ne prit pas les précautions d'usage que prennent certaines en faisant confirmer 14 fois que j'y serais bien, je pense qu'elle avait compris que je ne pourrais pas m'en dédire et elle avait raison.
Je calais donc mon sommeil du jour précédent pour concilier au mieux mes obligations professionnelles avec mon obligation obsessionnelle.
Le jour dit, je prenais évidemment les dispositions pour prévoir 20 minutes d'avance. Les Princesses m'ont habitué à être entre 45 minutes et 2 heures en retard à leurs rendez-vous, mais à ne pas tolérer si je ne suis pas moi en avance.
Il pelait grave ce matin-là.
La gare comportait un très grand parking, je m'y gare et me dirige vers la gare et l'attends. Gare !
Ne l'ayant jamais rencontrée, et ne me renseignant jamais sur l'aspect physique d'une personne que je m'apprête à servir, j'observais pendant 20 minutes toutes les personnes passant, en projetant sa personnalité sur elles. Voilà qui n'était pas pour arranger mon obsession d'elle.
Quand le téléphone a vibré dans ma poche, j'ai vibré 4 fois plus. Lui, c'étaient les ondes, moi, c'était la trouille.
"Où t'es, connard ?"
Ne me voyant pas, elle a dû parcourir la côte du Blanc Mesnil, montant (mmh..) les marches vigoureusement.
C'est là que je l'ai vue
Moi qui essayais depuis 20 mn de me positionner de façon à la voir arriver de loin pour bien sentir la tension monter, elle m'est tombée dessus quasi à l'improviste.
L'obscurité mêlée à la surprise et la peur font que je ne pris guère le temps de la contempler.
Sa fin de montée des marches, son déplacement dans son jean serré, sa chevelure ample et ondulée, ses colliers, ses bracelets... J'ai compris que j'étais doomed.
Expéditive, elle me demande où est ma voiture, je dis en bas.
Elle me regarde éberluée. Sans dire un mot, je comprends sa pensée : "ben dis donc, sale con, je monte les marches, et tu me dis que la voiture est en bas et qu'il faut redescendre, tu veux ma main dans ta gueule ou quoi ?"
Ca, c'était mes pensées
En fait, elle a dit : "ben dis donc, sale con, je monte les marches, et tu me dis que la voiture est en bas et qu'il faut redescendre, tu veux ma main dans ta gueule ou quoi ?"
Je baisse les yeux, ce qui me permet de me mettre au niveau de ses bottes mi-mollet à talons courts.
Avec l'énergie de sa jeunesse, elle caracole en bas, je la suis, en retrait et arrive alors qu'elle est plantée depuis quelques secondes devant la porte de ma voiture.
Je me précipite pour lui ouvrir, et elle prend possession de sa caisse.
Quelques échanges pour lui permettre de cibler sa victime du jour.
Elle a dû vite détecter la docilité naturelle de son interlocuteur et comprendre qu'elle n’avait pas besoin de forcer.
Un mauvais mot de ma part a été une bonne raison pour qu’elle me décroche une gifle magistrale.
Le froid matinal cinglant avec la gifle rougit ma joue d’une couleur écarlate.
Comme le jour était au voyage, elle a assez vite donné le top départ. Elle cale l’autoradio sur une station plus ancrée à sa génération qu’à la mienne.
Au cours du voyage, ma boule au ventre s'est un peu desserrée, et j'ai pu constater que Memouna savait être agréable aussi quand on fait tout pour la satisfaire.
Il n'y a pas que ça que j'ai pu constater.
Sa beauté aussi, exotique et urbaine, noire et douce, grave et sèche et sa fragrance qui emplit la voiture et mes poumons, épicée, africaine, féminine, un régal dont ma mémoire olfactive n'est toujours pas rassasiée.
Baignant dans cette atmosphère troublante, douce et agressive en même temps, les kilomètres disparaissent peu à peu.
Mon intimité aussi. En quelques minutes elle savait qui j'étais, impossible de rien lui cacher.
Je m'en voulais presque de ne pas lui résister un peu plus pour la faire se fâcher pour de bon, mais, ami lecteur, je te mets au défi de lui résister dans une telle situation. Que celui qui n'a jamais obéi me balance la première mandale (euh, la deuxième en fait, la première, je me l'étais déjà prise de Memouna, histoire de briser la glace).
A l'aéroport, dont elle ne semblait guère familière, je l'aidais un peu pour les démarches, etc.
Comme on était en avance, elle m'envoie acheter de la boisson et du grignotage pour le voyage.
Puis, période d'attente avant l'enregistrement. Elle préfère passer cette attente avec moi dans le hall plutôt que dans la zone voyageur seule. Quel amour !
Bon, là, petite période de gène, car je n'ose guère l'entreprendre et lui poser des questions, bien qu'elle m'û, elle, dépouillé de mon intimité quelques minutes plus tôt dans la voiture.
Elle me dit que mon service jusque là a été plutôt bon, et qu'en principe, elle se resservira pas mal de moi.
Pas le temps de trop me réjouir, elle me fait vite comprendre qu'on ne laisse pas partir une jeune fille comme elle sans vider son portefeuille et je le vide bien entendu.
Au final, une bien agréable rencontre avec une jeune fille au caractère de feu mais qui, sous sa carapace, laisse apparaître tout de même aussi un tempérament chaleureux.
mercredi 13 juin 2012
Histoire du net : la soeur de ma copine
http://ballbusting.leforum.tv/t243-La-soeur-de-ma-copine.htm
Je sortais avec Laura depuis 6 mois, et tout se passait à merveille avec elle. On avait de bons moments, elle était drôle et intelligente, et de loin la fille la plus sexy avec laquelle j'étais sorti. Le sexe était génial, bien qu'elle aimait que ce soit un peu violent : elle prenait le plus son pied lorsque je la prenais violemment en levrette ou lorsqu'elle me pressait les couilles comme des citrons alors que j'éjaculais en elle.
Tout aurait été parfait si il n'y avait pas eu ses soeurs. Enfin, surtout la plus jeune, Julie. Elle venait d'avoir 19 ans, et avait un corps à en faire pâlir tous les mecs. Ma copine était superbe, mais elle était parfaite. Un corps fin avec les courbes là où il faut, des seins bien fermes, de longues jambes et un petit cul bien serré. Elle aimait en plus s'habiller bien sexy à la maison, et je ne pouvais m'empêcher de mater son décolleté profond et ses magnifiques jambes. Bien qu'elle ne dise rien, elle avait bien remarqué mes petits regards…
Et tout a basculé en une soirée.
J'avais prévu une soirée surprise avec Laura: l'emmener dans un bon restaurant, puis voir un film qui lui plaisait et pour finir une folle nuit chez moi. Je ne lui avait rien dit de tout ça, mais pensais la trouver chez elle. Ce fut sa soeur Julie qui m'ouvrit la porte. C'était difficile de ne pas la regarder : elle portait un petit haut jaune bien décolleté, cachant à peine un soutien-gorge rose, un short en jeans mettant bien en valeur son petit cul et ses longues jambes, et elle ne portait pas de chaussures.
"Oh, salut Jason ! Tu viens voir Laura ?"
"Oui, la chercher en fait, est-ce qu'elle est là ?"
"Non, elle n'est pas encore rentrée, elle devrait être là d'ici quelques minutes je crois. Tu veux entrer l'attendre ?"
Elle semblait seule à la maison. Elle ferma la porte, je m'assis sur le canapé et elle prit place juste à côté de moi.
On parla un peu de ses études, et je faisais de mon mieux pour ne pas la mater et pour cacher mon érection. Je n'avais pas vu Laura depuis une semaine, et être assis à côté de la ravissante petite soeur de ma copine ne m'aidait pas à rester calme…
"Comment est-ce que tu trouves mes seins ?" me demanda-t-elle soudain
"… euh… quoi ??" Est-ce que j'avais bien compris ?
"Mes seins, comment tu les trouves ? Moi je les trouves un peu petits…"
J'étais interloqué
"…euh, non, je sais pas, ils m'ont l'air plutôt très bien !…"
"Tu es sûr ? Parce que tu les regardes tout le temps… C'est parce qu'il y a quelque chose qui ne va pas ?"
"Non, non, je regarde pas… tes seins ! C'est juste que…" Rouge de honte, je n'arrivais pas à finir ma phrase.
"Ne t'inquiète pas, il n'y a pas de mal à regarder. Dis-moi comment tu les trouves : bien, petits, gros ?" me dit-elle, les soutenant avec ses deux mains sous mon regard amusé.
"Je… ils sont beaux, plutôt gros et fermes… je veux dire, ils ont l'air bien fermes". J'avais de plus en plus de mal à masquer l'érection qui frappait contre ma braguette.
"Touche-les si tu veux", me dit Julie avec un sourire.
"Non… non !"
"Touche-les !" elle m'ordonna, prenant les deux mains et les plaçant sur sa poitrine.
Je ne fis rien pour l'en empêcher, mon sexe était plus dur que jamais, la sensation de ses magnifiques seins fermes à travers son haut étant juste exquise.
"W… won, ils sont superbes… fermes, et doux" je balbutiais, incapable de dévier mon regard de son décolleté sur lequel j'avais les mains posées.
"Merci, c'est gentil." Enlevant finalement mes mains de sa poitrine, elle se leva pour planter son petit cul devant mes yeux. "Et mes fesses, tu les trouves comment ?"
La vue de ce petit cul parfait me fit presque gicler dans mon boxer. Je salivais.
"Parfait… Bien je veux dire, très beau".
"Merci", me dit-elle en me caressant la joue. "Tu aimes bien regarder mes seins et mon cul, non ?"
"Oui… Non, non je veux dire !"
"Vraiment ? Mon cul n'a aucun effet sur toi ? Petit menteur…" disant cela, elle me caressait la poitrine, puis dirigea doucement sa main vers mon sexe en érection…
"C'est… c'est pas facile de rester concentré avec toi dans la pièce, en eff…" je m'arrêtais net alors que sa main se mis à caresser doucement mon sexe.
"Laura est vraiment amoureuse de toi, tu sais ?" Elle caressait maintenant mes couilles, alors que je luttais pour ne pas éjaculer… "Mais elle serait vraiment, vraiment déçue de savoir que tu bandes en matent sa petite soeur…"
J'étais trop proche de jouir, trop occupé à me retenir de ne pas tout balancer que je ne relevais pas vraiment.
"Que… qu'est-ce que tu veux dire ?" j'arrivais à articuler.
Julie passa soudainement sa main sous mon pantalon dans mon boxer et se mis à me branler vigoureusement.
"Je veux dire qu'elle deviendrait folle si elle savait que son bâtard de copain se branlait en penser à moi !" et soudainement, elle empoigna mes couilles et les serra de toutes ses forces. Au même moment, j'éjaculais, incapable de me retenir plus longtemps. La douleur m'envahit en même temps que la jouissance, alors que mes couilles se vidaient à l'intérieur de mon boxer, avec sa main toujours dedans.
Elle sembla serrer encore plus fort, et le plaisir s'arrêta net, laissant place à une douleur intense. Finalement, elle retira sa main dégoulinante de sperme et la regarda avec dégoût.
"Tu vas payer pour ce que tu viens de faire sale bâtard !" Et elle ferma soudainement le poing pour m'envoyer un uppercut qui vint écraser mes couilles.
"Tu vas payer pour ce que tu viens de faire sale bâtard !" Et elle ferma soudainement le poing pour m'envoyer un uppercut qui vint écraser mes couilles.
"Aiiiiiouuuiillllllleeeee!!!!" Je criais, au moment où je vivais la douleur la plus intense de ma vie.
Avant même que je puisse bouger et essayer d'échapper à ses coups, elle envoya 4 autres fois son poing dans mes parties, avant de me laisser tomber, presque évanoui et avec une envie de vomir.
Elle regarda sa main pleine de sperme, et avec un sourire fit mine de la lécher avant de l'essuyer sur mes cheveux. Elle alla ensuite chercher son appareil photo et pris une photo de moi recroquevillé sur le sol, puis une photo d'elle devant moi, se léchant le doigt.
"Tes couilles sont pas encore remontées ? J'ai oublié de te dire, Laura n'est pas là ce soir. Elle est partie avec les parents à un dîner de famille. J'ai bien fait de rester là ! On vient seulement de commencer à s'amuser tous les deux !"
"Non Julie, s'il te plaît…" Je parvins à articuler.
"Ta gueule vieux pervers ! Maintenant, tu vas bien faire tout ce que je te dis, où je dis tout à Laura, comment tu m'as éjaculé sur la main, la façon dont tu me mate, et je te promets que c'est elle qui va te couper la bite !Alors soit sage avec moi. Enlève ton pantalon !"
Allongé sur le sol, je commençais seulement à me rendre compte de ce qui m'arrivait : je venais de jouir dans mon boxer, la main de la soeur de ma copine à l'intérieur, et mes couilles semblaient bien endommagées par ses coups de poing.
Comment tout cela était-il arrivé ?
Je n'eut pas beaucoup le temps de réfléchir. Julie n'était pas très patiente : me prenant les pieds, écartant mes jambes, elle envoya un bon coup de pieds dans mes parties avant que je puisse dire quelque chose.
"Je t'ai dit d'enlever ton futé, plus vite !" elle cria
"OK, tout ce que tu veux Julie, mais arrête de me détruire les couilles..."
"Ne me dit pas ce que je dois faire, sale merde !" elle me dit, écrasant mes couilles avec ses sandales. Des larmes de douleur commençaient à couler sur mes joues. "Maintenant DÉPÈCHE-TOI !". Et elle me lâcha les jambes.
Inquiet de ce qu'elle pourrait faire si je n'étais pas assez rapide, je me dépêchais de me lever, malgré la douleur, et d'enlever mon pantalon. J'étais là, devant Julie, avec seulement un t-shirt et mon boxer. Elle souriait en regardant mon boxer collant de sperme.
"Qu'est-ce que t'attends ?" elle me dit. "C'est tes petites couilles que je veux voir, à poil !"
Je savais qu'il valait mieux obéir et enlevais donc mon boxer me retrouvant nu pour la première fois devant la petite soeur de ma copine qui m'avait tant fait fantasmé.
"Pas mal", elle dit, fixant mes couilles bien pendantes. "Maintenant, c'est l'heure d'être un homme ! Combien de coups de pieds dans les couilles tu penses pouvoir supporter ?"
"Non Julie, s'il te plaît, tu as déjà détruit mes couilles, je pense pas pouvoir supporter un seul coup… Laisse-moi partir, je t'en prie."
"Si tu crois que j'ai déjà détruit tes petits bonbons, tu n'as encore rien vu !" me dit-elle avec un sourire en coin qui m'effraya encore plus. "Allez, on fait un pari. Je te frappe 10 fois dans les couilles, et si tu arrives encore à tenir debout après ça, je te laisse partir. Ça marche ?"
"Est… est-ce que j'ai vraiment le choix ?"
"Bien sûr. Tu peux être un homme et prendre ces coups, ou je peux te réduire les couilles en purée maintenant. C'est ton choix."
"Donne… donne-moi juste 10 coups, qu'on en finisse, et promets-moi de me laisser partir après ça."
"Si tu arrives encore à tenir debout, bien sûr ! Allez, écarte les jambes !"
Doucement, j'écartais mes jambes, offrant mes couilles aux pieds de Julie, me préparant à l'impact. Le premier coup fut direct. Son pied droit frappa mes couilles de plein fouet, les écrasant et me laissant échapper un petit cri de castrat.
"Deux !" Le second coup fut moins précis, mais elle avait quand même énormément de puissance. Bien sûr, mes couilles gonflées étaient une cible facile.
"Trois !" Elle rigolait en me frappant, m'humiliant encore plus lorsque son pied me frappait. La douleur était immense, mais j'arrivais tant bien que mal à rester debout.
"Quatre ! Cinq !" elle me frappa avec son genou pour ne pas manquer la cible. Je sentais mes boules remonter lorsque son genou s'écrasait contre elles, pour lentement redescendre à leur place. Mes jambes tremblaient maintenant, et chacun de ses coups semblait plus fort que les précédents.
"Six !" Je crû voir des étoiles lorsque son pied entra en contact avec mes couilles pour la 6e fois. Je sentis mon corps se soulever sous la puissance de son coup. C'était de plus en plus dur de rester debout.
"Sept !" Elle semblait vraiment adorer ça, comme si elle avait attendu ce jour depuis longtemps. Elle fit le tour de moi, s'arrêtant derrière et…
"Huit !" L'effet de surprise et la force de son coup de pied me fit sursauter, et mes jambes ne répondant plus, je m'écrasait bruyamment sur le sol. Julie éclata de rire et se pencha au dessus de moi, saisit mes couilles à pleines mains et les serra très fort. J'étais en train de m'évanouir.
"Même pas capable de tenir 10 coups, petite merde !"
Elle allait serrer encore plus fort et les réduire en bouillie lorsque la sonnette retentit.
"Merde, c'est qui ?! Reste où t'es, ne fait pas le moindre bruit ou je te promets que je te castre !"
Elle couru vers la porte et poussa un soupir de soulagement lorsqu'elle y découvrit Camille, sa meilleure amie.
"Dieu merci, c'est toi !"
"Bien sur que c'est moi ! Ça fait 30 minutes que je t'attends ! Qu'est-ce que tu fous ?!" lui répondit Camille
"Merde, j'avais oublié qu'on devait se voir ! Mais j'ai trouvé quelque chose de bien plus intéressant, viens voir !"
Camille suivit Julie jusque dans le salon, où elle me trouvèrent toujours recroquevillé, me remettant doucement.
"Putain Julie, me dit pas que tu as finalement coincé ce pervers ?! Pourquoi tu m'as pas appelé avant ?!"
"Désolé, dans le feu de l'action, j'ai oublié ! Enfin, tu peux encore en profiter !"
"Est-ce que tu lui as déjà éclaté une couille ou quelque chose ?"
"Non, pas encore ! Enfin je pense pas ! Aide-moi à vérifier !"
J'étais incapable de faire quoi que ce soit pour les empêcher de me prendre les couilles, chacune une en main, et de les serrer fortement.
"Noooooonnnnn!!!! S'il…. vous…. plaît !" je parvins à crier.
"Ta gueule salope !" me dit Camille en donnant une grosse claque sur mes couilles. En rigolant, elle prirent, serrèrent et écartèrent mes couilles au maximum. Incapable de supporter plus de douleur et de respirer, je m'évanouis…
Lorsque je me réveilla, la première chose que je ressentis fût la douleur. J'étais à peine capable de bouger, et les filles étaient encore en train de jouer avec mes couilles.
"T'as pas le droit de t'évanouir, tricheur !" me cria Julie en serrant fort mes couilles. "Si tu étais un peu plus malin, tu te serais demandé pourquoi je suis toujours célib', non ?"
En effet, je m'étais toujours demandé pourquoi une fille aussi magnifique qu'elle n'avait toujours pas de copain. Je me disais qu'elle attendait le bon. Mais j'avais tort…
"C'est juste que tous les mecs ont peur d'elle." me chuchota Camille. "Et de moi. On nous surnomme les castratrices, c'est tellement marrant de frapper et écraser vos misérables petites choses. Je pense que les mecs ont peur que Julie les émascule si ils sortent avec elle…"
"Pourtant, j'ai jamais castré quelqu'un !" se défendit Julie. "Enfin… pour le moment !" Les deux filles échangèrent un sourire complice.
"Mais j'en mouille à l'idée de le faire !" Julie et Camille semblaient de plus en plus excitées, et serraient de plus en plus fort mes couilles…
"Non! Julie, fais pas ça !!"
"Tu penses que ce serait marrant avec un casse-noix ?!" demanda Julie à Camille, m'ignorant totalement.
"Ça serait excitant en tout cas !" répondit Camille, toute excitée.
"Surveille-le, je vais en chercher un !"
"Un casse-noix ?! Non ! Camille, s'il-te plait, ne faites pas ça !!" Je suppliais. C'était peut-être ma seule chance de la résonner, sans Julie. Peut-être comprendrait-elle mieux, après tout, je ne lui avais rien fait.
Camille me regarda avec un mélange de pitié et de dédain dans son regard.
"Pauvre petit, c'est vrai, tu ne mérites pas ça, c'est vrai ?!" Elle s'assit et se mit à caresser mes couilles endolories. "C'est vrai, c'est pas comme si tu avais une copine magnifique, Laura, et que tu ne pouvais t'empêcher de mater le cul de sa soeur !" disant cela, elle avait fermé son poing et m'envoya un coup violent dans les boules. J'étais prêt à vomir.
"Tu mérites pas Laura, ni sa soeur, tu ne mérites aucune fille en fait ! Ce que tu mérites, c'est de bons coups dans les couilles, comme tous les mecs d'ailleurs !"
"Je l'ai trouvé Camille !" Julie était de retour dans le salon avec un casse-noisette dans les mains. "Tiens-le bien !"
"Je pense que j'en ai pas besoin, il ne peux même plus bouger !" La douleur était trop forte en effet, et tout ce que je parvenais à dire était "Noooon, faites pas ça !" que Camille et Julie ignoraient totalement.
Camille écarta mes jambes et Julie approcha le casse-noix. Elle pris mes couilles dans les mains, en plaça une dans le casse-noix et commença à fermer. Je sentis doucement ma boule s'aplatir. Je voyais dans ses yeux l'excitation alors que je la suppliais. Camille regardait également ma noix s'aplatir.
"Allez, plus fort ! Je veux l'entendre éclater !" elle cria.
Soudain, Julie stoppa net, je respirais enfin. Allait-elle me laisser libre ?
"C'est pas marrant" dit Julie. "Je veux les sentir se réduire en bouillie dans mes mains."
"Julie, s'il te plait", je suppliais. "Je ferais ce que vous voulez, laisse juste mes couilles tranquille !"
"Ne t'inquiète pas, on en aura bientôt fini avec tes couilles, je te promets !" me dit-elle, et elles éclatèrent de rire. Je ne pouvais rien faire, elles me tenaient littéralement par les couilles.
"T'as raison Julie, c'est plus marrant comme ça." Chacune des filles avaient maintenant une de mes boules en main.
"Il est temps de vraiment s'amuser avec ce looser Camille. T'es prête ? La première qui lui en écrase une ?"
"Noooooooooooonnn" je parvins à crier. "Nooooooonnnn!!!!!!!!!"
"Parti !" cria Julia
Les deux filles serrèrent soudainement mes couilles de toutes leurs forces. La douleur était si forte que j'espérais juste m'évanouir, mais ç'aurait été trop facile… Au lieu de ça, je sentais mes couilles se comprimer, prêtes à exploser.
"Allez, éclate, salope !" criait Camille
"Je vais l'exploser en premier !" répondait Julie en riant.
Mes couilles ne pourraient pas tenir plus longtemps. Les deux filles les tenaient si bien qu'elles ne pouvaient pas s'échapper.
Soudain, je sentis une douleur que je n'avais jamais ressenti. Ma couille gauche venait d'être réduite en bouillie par Julie. Deux secondes plus tard, Camille achevait à son tour de me castrer.
"Wow! J'ai gagné !" dit Julie en éclatant de rire. Les deux filles vérifiaient que mes couilles étaient désormais bien vides. Je regardais les filles jouer avec ce qu'il restait de ma virilité en m'évanouissant.
Quand je me réveillais, Julie et Camille étaient parties. J'étais habillé, assis sur le canapé. On aurait dit que rien n'était arrivé. Mais la douleur me rappela vite l'affreuse vérité.
Je n'ai jamais dit à Laura ce qui s'était passé. Une semaine plus tard, remarquant que je n'étais plus un homme, elle rompit simplement avec moi.
Je croisa encore quelques fois Julie et Camille. N'osant pas les regarder dans les yeux, j'appris plus tard que je n'étais que la première de leurs nombreuses victimes...
Je sortais avec Laura depuis 6 mois, et tout se passait à merveille avec elle. On avait de bons moments, elle était drôle et intelligente, et de loin la fille la plus sexy avec laquelle j'étais sorti. Le sexe était génial, bien qu'elle aimait que ce soit un peu violent : elle prenait le plus son pied lorsque je la prenais violemment en levrette ou lorsqu'elle me pressait les couilles comme des citrons alors que j'éjaculais en elle.
Tout aurait été parfait si il n'y avait pas eu ses soeurs. Enfin, surtout la plus jeune, Julie. Elle venait d'avoir 19 ans, et avait un corps à en faire pâlir tous les mecs. Ma copine était superbe, mais elle était parfaite. Un corps fin avec les courbes là où il faut, des seins bien fermes, de longues jambes et un petit cul bien serré. Elle aimait en plus s'habiller bien sexy à la maison, et je ne pouvais m'empêcher de mater son décolleté profond et ses magnifiques jambes. Bien qu'elle ne dise rien, elle avait bien remarqué mes petits regards…
Et tout a basculé en une soirée.
J'avais prévu une soirée surprise avec Laura: l'emmener dans un bon restaurant, puis voir un film qui lui plaisait et pour finir une folle nuit chez moi. Je ne lui avait rien dit de tout ça, mais pensais la trouver chez elle. Ce fut sa soeur Julie qui m'ouvrit la porte. C'était difficile de ne pas la regarder : elle portait un petit haut jaune bien décolleté, cachant à peine un soutien-gorge rose, un short en jeans mettant bien en valeur son petit cul et ses longues jambes, et elle ne portait pas de chaussures.
"Oh, salut Jason ! Tu viens voir Laura ?"
"Oui, la chercher en fait, est-ce qu'elle est là ?"
"Non, elle n'est pas encore rentrée, elle devrait être là d'ici quelques minutes je crois. Tu veux entrer l'attendre ?"
Elle semblait seule à la maison. Elle ferma la porte, je m'assis sur le canapé et elle prit place juste à côté de moi.
On parla un peu de ses études, et je faisais de mon mieux pour ne pas la mater et pour cacher mon érection. Je n'avais pas vu Laura depuis une semaine, et être assis à côté de la ravissante petite soeur de ma copine ne m'aidait pas à rester calme…
"Comment est-ce que tu trouves mes seins ?" me demanda-t-elle soudain
"… euh… quoi ??" Est-ce que j'avais bien compris ?
"Mes seins, comment tu les trouves ? Moi je les trouves un peu petits…"
J'étais interloqué
"…euh, non, je sais pas, ils m'ont l'air plutôt très bien !…"
"Tu es sûr ? Parce que tu les regardes tout le temps… C'est parce qu'il y a quelque chose qui ne va pas ?"
"Non, non, je regarde pas… tes seins ! C'est juste que…" Rouge de honte, je n'arrivais pas à finir ma phrase.
"Ne t'inquiète pas, il n'y a pas de mal à regarder. Dis-moi comment tu les trouves : bien, petits, gros ?" me dit-elle, les soutenant avec ses deux mains sous mon regard amusé.
"Je… ils sont beaux, plutôt gros et fermes… je veux dire, ils ont l'air bien fermes". J'avais de plus en plus de mal à masquer l'érection qui frappait contre ma braguette.
"Touche-les si tu veux", me dit Julie avec un sourire.
"Non… non !"
"Touche-les !" elle m'ordonna, prenant les deux mains et les plaçant sur sa poitrine.
Je ne fis rien pour l'en empêcher, mon sexe était plus dur que jamais, la sensation de ses magnifiques seins fermes à travers son haut étant juste exquise.
"W… won, ils sont superbes… fermes, et doux" je balbutiais, incapable de dévier mon regard de son décolleté sur lequel j'avais les mains posées.
"Merci, c'est gentil." Enlevant finalement mes mains de sa poitrine, elle se leva pour planter son petit cul devant mes yeux. "Et mes fesses, tu les trouves comment ?"
La vue de ce petit cul parfait me fit presque gicler dans mon boxer. Je salivais.
"Parfait… Bien je veux dire, très beau".
"Merci", me dit-elle en me caressant la joue. "Tu aimes bien regarder mes seins et mon cul, non ?"
"Oui… Non, non je veux dire !"
"Vraiment ? Mon cul n'a aucun effet sur toi ? Petit menteur…" disant cela, elle me caressait la poitrine, puis dirigea doucement sa main vers mon sexe en érection…
"C'est… c'est pas facile de rester concentré avec toi dans la pièce, en eff…" je m'arrêtais net alors que sa main se mis à caresser doucement mon sexe.
"Laura est vraiment amoureuse de toi, tu sais ?" Elle caressait maintenant mes couilles, alors que je luttais pour ne pas éjaculer… "Mais elle serait vraiment, vraiment déçue de savoir que tu bandes en matent sa petite soeur…"
J'étais trop proche de jouir, trop occupé à me retenir de ne pas tout balancer que je ne relevais pas vraiment.
"Que… qu'est-ce que tu veux dire ?" j'arrivais à articuler.
Julie passa soudainement sa main sous mon pantalon dans mon boxer et se mis à me branler vigoureusement.
"Je veux dire qu'elle deviendrait folle si elle savait que son bâtard de copain se branlait en penser à moi !" et soudainement, elle empoigna mes couilles et les serra de toutes ses forces. Au même moment, j'éjaculais, incapable de me retenir plus longtemps. La douleur m'envahit en même temps que la jouissance, alors que mes couilles se vidaient à l'intérieur de mon boxer, avec sa main toujours dedans.
Elle sembla serrer encore plus fort, et le plaisir s'arrêta net, laissant place à une douleur intense. Finalement, elle retira sa main dégoulinante de sperme et la regarda avec dégoût.
"Tu vas payer pour ce que tu viens de faire sale bâtard !" Et elle ferma soudainement le poing pour m'envoyer un uppercut qui vint écraser mes couilles.
"Tu vas payer pour ce que tu viens de faire sale bâtard !" Et elle ferma soudainement le poing pour m'envoyer un uppercut qui vint écraser mes couilles.
"Aiiiiiouuuiillllllleeeee!!!!" Je criais, au moment où je vivais la douleur la plus intense de ma vie.
Avant même que je puisse bouger et essayer d'échapper à ses coups, elle envoya 4 autres fois son poing dans mes parties, avant de me laisser tomber, presque évanoui et avec une envie de vomir.
Elle regarda sa main pleine de sperme, et avec un sourire fit mine de la lécher avant de l'essuyer sur mes cheveux. Elle alla ensuite chercher son appareil photo et pris une photo de moi recroquevillé sur le sol, puis une photo d'elle devant moi, se léchant le doigt.
"Tes couilles sont pas encore remontées ? J'ai oublié de te dire, Laura n'est pas là ce soir. Elle est partie avec les parents à un dîner de famille. J'ai bien fait de rester là ! On vient seulement de commencer à s'amuser tous les deux !"
"Non Julie, s'il te plaît…" Je parvins à articuler.
"Ta gueule vieux pervers ! Maintenant, tu vas bien faire tout ce que je te dis, où je dis tout à Laura, comment tu m'as éjaculé sur la main, la façon dont tu me mate, et je te promets que c'est elle qui va te couper la bite !Alors soit sage avec moi. Enlève ton pantalon !"
Allongé sur le sol, je commençais seulement à me rendre compte de ce qui m'arrivait : je venais de jouir dans mon boxer, la main de la soeur de ma copine à l'intérieur, et mes couilles semblaient bien endommagées par ses coups de poing.
Comment tout cela était-il arrivé ?
Je n'eut pas beaucoup le temps de réfléchir. Julie n'était pas très patiente : me prenant les pieds, écartant mes jambes, elle envoya un bon coup de pieds dans mes parties avant que je puisse dire quelque chose.
"Je t'ai dit d'enlever ton futé, plus vite !" elle cria
"OK, tout ce que tu veux Julie, mais arrête de me détruire les couilles..."
"Ne me dit pas ce que je dois faire, sale merde !" elle me dit, écrasant mes couilles avec ses sandales. Des larmes de douleur commençaient à couler sur mes joues. "Maintenant DÉPÈCHE-TOI !". Et elle me lâcha les jambes.
Inquiet de ce qu'elle pourrait faire si je n'étais pas assez rapide, je me dépêchais de me lever, malgré la douleur, et d'enlever mon pantalon. J'étais là, devant Julie, avec seulement un t-shirt et mon boxer. Elle souriait en regardant mon boxer collant de sperme.
"Qu'est-ce que t'attends ?" elle me dit. "C'est tes petites couilles que je veux voir, à poil !"
Je savais qu'il valait mieux obéir et enlevais donc mon boxer me retrouvant nu pour la première fois devant la petite soeur de ma copine qui m'avait tant fait fantasmé.
"Pas mal", elle dit, fixant mes couilles bien pendantes. "Maintenant, c'est l'heure d'être un homme ! Combien de coups de pieds dans les couilles tu penses pouvoir supporter ?"
"Non Julie, s'il te plaît, tu as déjà détruit mes couilles, je pense pas pouvoir supporter un seul coup… Laisse-moi partir, je t'en prie."
"Si tu crois que j'ai déjà détruit tes petits bonbons, tu n'as encore rien vu !" me dit-elle avec un sourire en coin qui m'effraya encore plus. "Allez, on fait un pari. Je te frappe 10 fois dans les couilles, et si tu arrives encore à tenir debout après ça, je te laisse partir. Ça marche ?"
"Est… est-ce que j'ai vraiment le choix ?"
"Bien sûr. Tu peux être un homme et prendre ces coups, ou je peux te réduire les couilles en purée maintenant. C'est ton choix."
"Donne… donne-moi juste 10 coups, qu'on en finisse, et promets-moi de me laisser partir après ça."
"Si tu arrives encore à tenir debout, bien sûr ! Allez, écarte les jambes !"
Doucement, j'écartais mes jambes, offrant mes couilles aux pieds de Julie, me préparant à l'impact. Le premier coup fut direct. Son pied droit frappa mes couilles de plein fouet, les écrasant et me laissant échapper un petit cri de castrat.
"Deux !" Le second coup fut moins précis, mais elle avait quand même énormément de puissance. Bien sûr, mes couilles gonflées étaient une cible facile.
"Trois !" Elle rigolait en me frappant, m'humiliant encore plus lorsque son pied me frappait. La douleur était immense, mais j'arrivais tant bien que mal à rester debout.
"Quatre ! Cinq !" elle me frappa avec son genou pour ne pas manquer la cible. Je sentais mes boules remonter lorsque son genou s'écrasait contre elles, pour lentement redescendre à leur place. Mes jambes tremblaient maintenant, et chacun de ses coups semblait plus fort que les précédents.
"Six !" Je crû voir des étoiles lorsque son pied entra en contact avec mes couilles pour la 6e fois. Je sentis mon corps se soulever sous la puissance de son coup. C'était de plus en plus dur de rester debout.
"Sept !" Elle semblait vraiment adorer ça, comme si elle avait attendu ce jour depuis longtemps. Elle fit le tour de moi, s'arrêtant derrière et…
"Huit !" L'effet de surprise et la force de son coup de pied me fit sursauter, et mes jambes ne répondant plus, je m'écrasait bruyamment sur le sol. Julie éclata de rire et se pencha au dessus de moi, saisit mes couilles à pleines mains et les serra très fort. J'étais en train de m'évanouir.
"Même pas capable de tenir 10 coups, petite merde !"
Elle allait serrer encore plus fort et les réduire en bouillie lorsque la sonnette retentit.
"Merde, c'est qui ?! Reste où t'es, ne fait pas le moindre bruit ou je te promets que je te castre !"
Elle couru vers la porte et poussa un soupir de soulagement lorsqu'elle y découvrit Camille, sa meilleure amie.
"Dieu merci, c'est toi !"
"Bien sur que c'est moi ! Ça fait 30 minutes que je t'attends ! Qu'est-ce que tu fous ?!" lui répondit Camille
"Merde, j'avais oublié qu'on devait se voir ! Mais j'ai trouvé quelque chose de bien plus intéressant, viens voir !"
Camille suivit Julie jusque dans le salon, où elle me trouvèrent toujours recroquevillé, me remettant doucement.
"Putain Julie, me dit pas que tu as finalement coincé ce pervers ?! Pourquoi tu m'as pas appelé avant ?!"
"Désolé, dans le feu de l'action, j'ai oublié ! Enfin, tu peux encore en profiter !"
"Est-ce que tu lui as déjà éclaté une couille ou quelque chose ?"
"Non, pas encore ! Enfin je pense pas ! Aide-moi à vérifier !"
J'étais incapable de faire quoi que ce soit pour les empêcher de me prendre les couilles, chacune une en main, et de les serrer fortement.
"Noooooonnnnn!!!! S'il…. vous…. plaît !" je parvins à crier.
"Ta gueule salope !" me dit Camille en donnant une grosse claque sur mes couilles. En rigolant, elle prirent, serrèrent et écartèrent mes couilles au maximum. Incapable de supporter plus de douleur et de respirer, je m'évanouis…
Lorsque je me réveilla, la première chose que je ressentis fût la douleur. J'étais à peine capable de bouger, et les filles étaient encore en train de jouer avec mes couilles.
"T'as pas le droit de t'évanouir, tricheur !" me cria Julie en serrant fort mes couilles. "Si tu étais un peu plus malin, tu te serais demandé pourquoi je suis toujours célib', non ?"
En effet, je m'étais toujours demandé pourquoi une fille aussi magnifique qu'elle n'avait toujours pas de copain. Je me disais qu'elle attendait le bon. Mais j'avais tort…
"C'est juste que tous les mecs ont peur d'elle." me chuchota Camille. "Et de moi. On nous surnomme les castratrices, c'est tellement marrant de frapper et écraser vos misérables petites choses. Je pense que les mecs ont peur que Julie les émascule si ils sortent avec elle…"
"Pourtant, j'ai jamais castré quelqu'un !" se défendit Julie. "Enfin… pour le moment !" Les deux filles échangèrent un sourire complice.
"Mais j'en mouille à l'idée de le faire !" Julie et Camille semblaient de plus en plus excitées, et serraient de plus en plus fort mes couilles…
"Non! Julie, fais pas ça !!"
"Tu penses que ce serait marrant avec un casse-noix ?!" demanda Julie à Camille, m'ignorant totalement.
"Ça serait excitant en tout cas !" répondit Camille, toute excitée.
"Surveille-le, je vais en chercher un !"
"Un casse-noix ?! Non ! Camille, s'il-te plait, ne faites pas ça !!" Je suppliais. C'était peut-être ma seule chance de la résonner, sans Julie. Peut-être comprendrait-elle mieux, après tout, je ne lui avais rien fait.
Camille me regarda avec un mélange de pitié et de dédain dans son regard.
"Pauvre petit, c'est vrai, tu ne mérites pas ça, c'est vrai ?!" Elle s'assit et se mit à caresser mes couilles endolories. "C'est vrai, c'est pas comme si tu avais une copine magnifique, Laura, et que tu ne pouvais t'empêcher de mater le cul de sa soeur !" disant cela, elle avait fermé son poing et m'envoya un coup violent dans les boules. J'étais prêt à vomir.
"Tu mérites pas Laura, ni sa soeur, tu ne mérites aucune fille en fait ! Ce que tu mérites, c'est de bons coups dans les couilles, comme tous les mecs d'ailleurs !"
"Je l'ai trouvé Camille !" Julie était de retour dans le salon avec un casse-noisette dans les mains. "Tiens-le bien !"
"Je pense que j'en ai pas besoin, il ne peux même plus bouger !" La douleur était trop forte en effet, et tout ce que je parvenais à dire était "Noooon, faites pas ça !" que Camille et Julie ignoraient totalement.
Camille écarta mes jambes et Julie approcha le casse-noix. Elle pris mes couilles dans les mains, en plaça une dans le casse-noix et commença à fermer. Je sentis doucement ma boule s'aplatir. Je voyais dans ses yeux l'excitation alors que je la suppliais. Camille regardait également ma noix s'aplatir.
"Allez, plus fort ! Je veux l'entendre éclater !" elle cria.
Soudain, Julie stoppa net, je respirais enfin. Allait-elle me laisser libre ?
"C'est pas marrant" dit Julie. "Je veux les sentir se réduire en bouillie dans mes mains."
"Julie, s'il te plait", je suppliais. "Je ferais ce que vous voulez, laisse juste mes couilles tranquille !"
"Ne t'inquiète pas, on en aura bientôt fini avec tes couilles, je te promets !" me dit-elle, et elles éclatèrent de rire. Je ne pouvais rien faire, elles me tenaient littéralement par les couilles.
"T'as raison Julie, c'est plus marrant comme ça." Chacune des filles avaient maintenant une de mes boules en main.
"Il est temps de vraiment s'amuser avec ce looser Camille. T'es prête ? La première qui lui en écrase une ?"
"Noooooooooooonnn" je parvins à crier. "Nooooooonnnn!!!!!!!!!"
"Parti !" cria Julia
Les deux filles serrèrent soudainement mes couilles de toutes leurs forces. La douleur était si forte que j'espérais juste m'évanouir, mais ç'aurait été trop facile… Au lieu de ça, je sentais mes couilles se comprimer, prêtes à exploser.
"Allez, éclate, salope !" criait Camille
"Je vais l'exploser en premier !" répondait Julie en riant.
Mes couilles ne pourraient pas tenir plus longtemps. Les deux filles les tenaient si bien qu'elles ne pouvaient pas s'échapper.
Soudain, je sentis une douleur que je n'avais jamais ressenti. Ma couille gauche venait d'être réduite en bouillie par Julie. Deux secondes plus tard, Camille achevait à son tour de me castrer.
"Wow! J'ai gagné !" dit Julie en éclatant de rire. Les deux filles vérifiaient que mes couilles étaient désormais bien vides. Je regardais les filles jouer avec ce qu'il restait de ma virilité en m'évanouissant.
Quand je me réveillais, Julie et Camille étaient parties. J'étais habillé, assis sur le canapé. On aurait dit que rien n'était arrivé. Mais la douleur me rappela vite l'affreuse vérité.
Je n'ai jamais dit à Laura ce qui s'était passé. Une semaine plus tard, remarquant que je n'étais plus un homme, elle rompit simplement avec moi.
Je croisa encore quelques fois Julie et Camille. N'osant pas les regarder dans les yeux, j'appris plus tard que je n'étais que la première de leurs nombreuses victimes...
dimanche 10 juin 2012
Histoire du net : The Superior Ebony Female Pimps
http://thesuperiorebonyfemalepimps.blogspot.com/
True Ebony Financial Domination / The Day I Was Turned-Out.
Wow...every now-and-then i take a cruise by the red-light district in my city, as i get with-in 5 minutes of the heart of it, my knees begin to shake, and my mouth becomes dry...it's all from the adrenaline-rush, which i love. As i get closer, the neighborhood starts to change before my eyes, i definitely am on the wrong side of the tracks the moment i spot the first police helicopter circling above.
My favorite time to cruise is around 1:45 am Friday and Saturday nights, it's live at that time, my preference is Loud, Vulgar, Extremely Voluptuous, Dominate, Ebony Women, to give you an idea of how Voluptuous i like my women...the ideal figure for me is 34-26-45, with a slow, Confident, Feminine, Arrogant strut.
Don't get the wrong idea...i don't visit the Women for sex...lord no, the ladies that i am attracted to, know by my short stature and race, that A) I have a small penis. B) I crave Black Dick. Believe me, they won't sex me even for a large fortune.
They all ignored me since the first time i cruised the red-light district, i strongly believe that they really, really, smell your kink-preference too, from a mile away. Because to this day i remember in my early stages of cruising, one Brick-House-of-a-Women i tried to pull-up-to, oh god...(whimpering) i could still remember that body so thick and voluptuous, wearing a micro-skirt that shrinks with each step, and doing a poor job covering the chunks of precious ass hanging out the bottom of her skirt.
Anyway as i pulled-up to her she looked my way and said with so much conviction "Now you know damn well you Motha-Fuckas are into Black Dick, get the fuck out-my face faggot." She got closer to my car as her girl-friends started nearing, and said "You that type-a-bitch that pays women to call you a fag, right? That's you right?"
She was showing off for her three super-thick friends that just walked-up, god, they are all so thick and voluptuous in that area. She was making my penis pulsate so hard...oh god the way she was humiliating me, by calling me a fag in front of her friends made my semi-limp penis leak, i often times fight off a full erection and maintain it limp, due to the fact that it brings on an Extremely heavy state of arousal, god she knew exactly what to say to me.
She continued on by saying "Pay me bitch, come-on...pay me to call you a fag," it was all over for me when she said "Be honest, for-real...am i making you want to suck dick? Huh? And that's when she broke me down...i said "Yes (whimpering) oh god, your beautiful voice convinced me, how did you know?" I asked as she turned to her giggling girl-friends and said to them something to the effect of "I told you this bitch-a-undacova fag! I know these fags, i'm telling you!"
My newly found discovery of lust for cock, her beautiful-bubblebutt, and her raw viciousness towards me seduced me so deeply into a state of submission, that all i wanted to do, more than anything in the world was show her that she was a 100%, Pure, Pimp-Goddess, addictive like crack, and the only way to do so was by pulling out my wallet and handing over to her, everything i had in my wallet, i told her "I can't resist your beautiful body, oh god your beautiful bubble-butt, (whimpering) oh god i can't resist you...i need to give you every penny i have, i'm giving it all to you because you are a true, 100%, Pure, Pimp-Goddess...(whimpering) here p-l-e-a-s-e take it all." She turned to me and got some-what serious, and said in a low tone "That's right Daddy, pay me...give me all-that shit.
As i handed her all of my cash...$495. dollars...she said "Uh-Uh, come on nigga, i know you got more. What else you got? That's it?!" Before i could answer her, she unlocked the passenger-side door, got in and started going through my pockets, she said "Fuck that! You giving me more!" I pulled out my penis and started masturbating when she started looking out both the front and rear windows for cops as she went through my pockets, at that point i knew that this Goddess-of-a-Woman...with a body to suck cock for, was robbing me.
When she noticed me pull down my pants and started masturbating she said with out even looking in my direction, while she was savagely tossing my stuff out of the compartments, she said "Yeah, jerk that dick...would you suck dick for me Daddy? How do you like them? Huh? Do you like them Big? I said "Oh god, your robbing me blind and all i want to do is jerk-off and tell you how much i want to suck Big Black Cock for you. Her friends were laughing and cheering her on, one said "Shit...she pimpin' that fool.
I was jerking-off furiously, she then said "What else do you want to do for me daddy?" She stopped abruptly and said "Open the fucking glove compartment"...i obeyed her, ahuh...and what else do you want to do for me? Would you put on a dress for me? Huh? While sucking dick for me? Before i could answer she said "Yeah...jack-pot! She found my Compaq laptop $375. dollars, and my ipod $275. dollars. She took my stuff from the glove compartment and slammed it's door with such force that she literally broke it's door, she left the compartment door caved in, it surpassed it's limit.
God...she stepped out with my stuff with-out even saying good-bye...she left the passenger-side door hung-open. "I could hear her tell her girl-friends as they walked off "I got that nigga good." Out of this tragedy, i will say this...i thank this woman till this day, everytime i have the pleasure of paying her to call me a fag, i thank her...i thank her for *Making me become a sissy-faggot and crave Hung Black Cock. *This is one of my favorites out of the list, I especially thank her for introducing me to the highly addictive world of "Ebony Financial Domination," for which now, i cannot live with-out.
Oh god, i am so in love with Loud, Vulgar, Extremely Voluptuous, Highly-Dominate, "Viciously-Ruthless," Ebony Women that set out to take complete advantage of me, while confessing it to my face.
An orgasm for me is not complete, until i have kneeled before an Ebony Women, "Kissed her Precious feet," and thanked her repeatedly for allowing me to hand her my entire pay-check.
I now understand the term "Being Turned-Out," this term is usually used when a non-prostitute falls-in-deep-lust with a pimp and her lust for him is so great, that she desperately feels an enormous need to (to be continued)
True Ebony Financial Domination / The Day I Was Turned-Out.
Wow...every now-and-then i take a cruise by the red-light district in my city, as i get with-in 5 minutes of the heart of it, my knees begin to shake, and my mouth becomes dry...it's all from the adrenaline-rush, which i love. As i get closer, the neighborhood starts to change before my eyes, i definitely am on the wrong side of the tracks the moment i spot the first police helicopter circling above.
My favorite time to cruise is around 1:45 am Friday and Saturday nights, it's live at that time, my preference is Loud, Vulgar, Extremely Voluptuous, Dominate, Ebony Women, to give you an idea of how Voluptuous i like my women...the ideal figure for me is 34-26-45, with a slow, Confident, Feminine, Arrogant strut.
Don't get the wrong idea...i don't visit the Women for sex...lord no, the ladies that i am attracted to, know by my short stature and race, that A) I have a small penis. B) I crave Black Dick. Believe me, they won't sex me even for a large fortune.
They all ignored me since the first time i cruised the red-light district, i strongly believe that they really, really, smell your kink-preference too, from a mile away. Because to this day i remember in my early stages of cruising, one Brick-House-of-a-Women i tried to pull-up-to, oh god...(whimpering) i could still remember that body so thick and voluptuous, wearing a micro-skirt that shrinks with each step, and doing a poor job covering the chunks of precious ass hanging out the bottom of her skirt.
Anyway as i pulled-up to her she looked my way and said with so much conviction "Now you know damn well you Motha-Fuckas are into Black Dick, get the fuck out-my face faggot." She got closer to my car as her girl-friends started nearing, and said "You that type-a-bitch that pays women to call you a fag, right? That's you right?"
She was showing off for her three super-thick friends that just walked-up, god, they are all so thick and voluptuous in that area. She was making my penis pulsate so hard...oh god the way she was humiliating me, by calling me a fag in front of her friends made my semi-limp penis leak, i often times fight off a full erection and maintain it limp, due to the fact that it brings on an Extremely heavy state of arousal, god she knew exactly what to say to me.
She continued on by saying "Pay me bitch, come-on...pay me to call you a fag," it was all over for me when she said "Be honest, for-real...am i making you want to suck dick? Huh? And that's when she broke me down...i said "Yes (whimpering) oh god, your beautiful voice convinced me, how did you know?" I asked as she turned to her giggling girl-friends and said to them something to the effect of "I told you this bitch-a-undacova fag! I know these fags, i'm telling you!"
My newly found discovery of lust for cock, her beautiful-bubblebutt, and her raw viciousness towards me seduced me so deeply into a state of submission, that all i wanted to do, more than anything in the world was show her that she was a 100%, Pure, Pimp-Goddess, addictive like crack, and the only way to do so was by pulling out my wallet and handing over to her, everything i had in my wallet, i told her "I can't resist your beautiful body, oh god your beautiful bubble-butt, (whimpering) oh god i can't resist you...i need to give you every penny i have, i'm giving it all to you because you are a true, 100%, Pure, Pimp-Goddess...(whimpering) here p-l-e-a-s-e take it all." She turned to me and got some-what serious, and said in a low tone "That's right Daddy, pay me...give me all-that shit.
As i handed her all of my cash...$495. dollars...she said "Uh-Uh, come on nigga, i know you got more. What else you got? That's it?!" Before i could answer her, she unlocked the passenger-side door, got in and started going through my pockets, she said "Fuck that! You giving me more!" I pulled out my penis and started masturbating when she started looking out both the front and rear windows for cops as she went through my pockets, at that point i knew that this Goddess-of-a-Woman...with a body to suck cock for, was robbing me.
When she noticed me pull down my pants and started masturbating she said with out even looking in my direction, while she was savagely tossing my stuff out of the compartments, she said "Yeah, jerk that dick...would you suck dick for me Daddy? How do you like them? Huh? Do you like them Big? I said "Oh god, your robbing me blind and all i want to do is jerk-off and tell you how much i want to suck Big Black Cock for you. Her friends were laughing and cheering her on, one said "Shit...she pimpin' that fool.
I was jerking-off furiously, she then said "What else do you want to do for me daddy?" She stopped abruptly and said "Open the fucking glove compartment"...i obeyed her, ahuh...and what else do you want to do for me? Would you put on a dress for me? Huh? While sucking dick for me? Before i could answer she said "Yeah...jack-pot! She found my Compaq laptop $375. dollars, and my ipod $275. dollars. She took my stuff from the glove compartment and slammed it's door with such force that she literally broke it's door, she left the compartment door caved in, it surpassed it's limit.
God...she stepped out with my stuff with-out even saying good-bye...she left the passenger-side door hung-open. "I could hear her tell her girl-friends as they walked off "I got that nigga good." Out of this tragedy, i will say this...i thank this woman till this day, everytime i have the pleasure of paying her to call me a fag, i thank her...i thank her for *Making me become a sissy-faggot and crave Hung Black Cock. *This is one of my favorites out of the list, I especially thank her for introducing me to the highly addictive world of "Ebony Financial Domination," for which now, i cannot live with-out.
Oh god, i am so in love with Loud, Vulgar, Extremely Voluptuous, Highly-Dominate, "Viciously-Ruthless," Ebony Women that set out to take complete advantage of me, while confessing it to my face.
An orgasm for me is not complete, until i have kneeled before an Ebony Women, "Kissed her Precious feet," and thanked her repeatedly for allowing me to hand her my entire pay-check.
I now understand the term "Being Turned-Out," this term is usually used when a non-prostitute falls-in-deep-lust with a pimp and her lust for him is so great, that she desperately feels an enormous need to (to be continued)
Histoire du net : encore cocufiée par une copine dominatrice
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samedi 9 juin 2012
lundi 4 juin 2012
Bref, j’ai passé mon dimanche sur internet
Bref, c’était un dimanche d’hiver, il faisait un froid de canard, il pleuvait comme vache qui pisse et je m’ennuyais comme un rat mort.
Comme je n’avais rien d’autre à foutre et que j’étais grave en manque, j’ai appelé mon plan cul préféré.
Natacha, 24 ans, 1m75, 90-60-90, Hôtesse de l’air chez Air France, Ex-Miss Paris 12ème arrondissement, ou 13ème, je ne suis pas sûr mais on s’en fout.
J’ai appelé, elle a décroché après quelques sonneries.
Elle était en plein repas de famille et n’aurai pas dû se mettre sur « haut-parleur ».
Elle a raccroché avant que je ne finisse ma phrase « alors petite cochonne, ça fait longtemps que tu n’es pas venue chercher ta grosse sucette ».
Je me suis donc rabattu sur mon plan cul de secours.
Stéphanie, 31 ans, 1m57, 60-90-60, Hôtesse de caisse chez Lidl, pas ex-Miss 12ème arrondissement, mais alors pas du tout.
J’ai appelé, elle a décroché tout de suite.
Je lui ai demandé ce qu’elle faisait et si elle voulait passer, elle a répondu qu’elle avait ses règles mais que ce n’était pas grave et qu’elle voulait bien venir.
J’ai raccroché avant qu’elle ne termine sa phrase. Et j’ai éteint mon téléphone, juste pour être sûr !
Je me suis assis devant mon ordinateur avec mon paquet de Kleenex.
Bref, j’ai passé mon dimanche sur internet !
dimanche 3 juin 2012
Histoire : soumis à sa belle-fille
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