Comme bcp de mec je cherche des ballbusteuses. Pas simple à trouver.
Alors j'ai trouvé un stratagéme.
J'ai répondu à des annonce de filles qui cherche des filles.
En gros, je leurs donne mes envies clairement et leur confis que les "vrais filles" (oui je sais c'est blessant) aime pas ça et que les bouffeuse de minou devais pas avoir autant de considération pour ce qui fait des hommes les dominant de l'éspéce...
J'eu une réponse virulante de la part d'une fille qui disait avoir 18ans.
Genre " Tu à de la chance que j'ai autre chose à faire, des salop comme toi ça mérite rien de plus que de ce faire couper les couilles... éspéce de pervers maniac, débile, tordu...".
Je répondit que je comprenais pleinement sa peur d'assumer, qu'elle était trop jeune et qu'elle avait peur du mâle et qu'elle devait ressembler à un vieux camionneur comme toutes les bouffeuse de chatte..... Ca l'à rendu folle.
Elle me répondit : Aller vas y vient à tel adresse, je serais avec 2 copines, ont vas t'éclater les couilles, je leur en ai parlé elles sont chaudes bouillantes.
Moi (toujours par Mail) = Tu à dit à tes copines que tu cherchais une chatte à bouffer sur le net ?
- Si tu leurs dit je te prévient, je t'éxplose les couilles.
C'est pas déja ce que tu voulais faire sans que je leur dises ?
Alors OK je viens, je leur dit rien, tu peut t'amuser à me shooter mais tu me garantis que je repart avec mes couilles.
- Ok Batard, je vais te les mettre en miettes viens.
Je suis allé à l'adresse indiqué.
3 filles était assise sur un muré, elles semblait attendre qq chose.
- Bonsoir mesdemoiselle, connaissez-vous une certaine Faty ?
- Ok, c'est moi. C'est toi le débile qui vient te faire démonter les couilles ?
- Oui

- Au moins tu à des couilles, ont pensés que tu aller pas venir. Viens avec moi dans la cave, on vas te transformer en gonzesse.
- Mais avec plaisir (ça avait le dont de l'ennerver ma douceur).
Arrivé dans le grand local commun fermé à clef, Faty me mis un violent kick dans les noix, sans prévenir. Je suis tombé à genou.
- Alors tu prend ton pied vieux PD ?
- Bof, j'ai rien sentis.

- T'à quel age branleur ?
- 36ans, pourquoi ?
- Ok, vas y sort tes couilles. Sa fait assez longtemps que tu les proméne dans ton ben ont vas pouvoir te les éclater, a ton age t'en à plus besoin.
J'avais mon vieux pantalon fétiche avec le trou à l'entre jambe. Je laissa pendouiller mes lourdes boules en qq secondes. Les 3 filles restaient sans voix et contemplaient mes noix.

Une copine à elle, une grosse black d'1m75 trés jeune, certainement moins de 18ans mais qui devait peser au moins 100km, m'attrapa les deux couilles avec ses deux mains :
- Pourquoi tu à dit à ma copine que c'était une grosse moche sur facebook ?
Tien, Facebook, c'est nouveau, OK c'est l'excuse de Faty pour mettre ses copines dans le jeu. Je vais jouer avec alors.
- Elle est pas moche mais elle est pas terrible quand même ta copine.
J'ai à peine fini ma phrase que j'étais sur la pointe des pieds. La grosse m'éclatait les couilles dans les régles. Elle en avait de la force la salope.
- Excuse toi me dit elle.
Je pouvais même pas ouvrir la bouche tellement je serrais mais dents.
- Faty, accroche lui les bras dans le dos.
Elle avait prévus une corde. J'avais trés mal aux noix toujours sous l'emprise de la grosse black. Je commençait à m'inquiéter.
Faty m'accrocha les mains dans le dos. La black me lacha doucement les couilles.... je commençais à respirer.
En lâchant sa prise lentement, elle passa ses mains sur ma queue.
La black :
- Putain je le crois pas, IL BANDE. Ca l'excite ce con de ce faire écraser les couilles (tien, visiblement elle lui manquait des infos, Faty le savait bien ça, je lui avait dit).
- Ok, s'il veux pas s'excuser, on vas lui apprendre à être moins con. On vas lui shooter les couilles à tour de rôle à ce vieux pervers.
- A toi l'honneur Faty. Le passe aprés toi.
Et Paf, un bon coup, bien ciblé. Pour ceux que ça intéresse, elle était en basquette.
Je lâcha à un cri, putain elle m'avait pas raté.
Au tour de la grosse black. Elle me remis bien droit, m'écarta bien les jambes et me mis un vilain coup de genou en prenant bien appuis sur mes épaules, comme si elle voulait que son genou et mes couilles remontent jusqu'au plafon. Je me retrouvas à ses pieds. Les couilles en feu... putain que j'avais mal.... je pouvais même pas me les malaxer. J'avais jouer avec une black, si elle sont toutes comme ça... c'est à essayé.
- Tu la ramène moins là petit PD. Tu l'à bien sentis mon genou ?
Je ne pouvais pas répondre... J'étais à la fois super excité et je commencé franchement à me demandais comment ça aller finir.
La 3éme, jusqu'ici très discrète et en retrait rentra en scéne.
- Vas y Leila, montre nous si tes chaussures de castreuse méritent la réputation qu'elles ont.

Elle avait des chaussures type babouche, petit talon mais long bout pointu.
Si elle me shootait une couille de la pointe de ces trucs là, elle allait marcher avec une de mes couilles embrochée au bouts des pieds.

La je commença à franchement baliser.
Laila : - Vous inquiétez pas monsieur, vous serez pas le 1er mec que je castre.


- Non stp, doucement, soit douce....
- TA GUELLLE VIEUX MANIAC me dit elle.
Quand Leila s'approcha pour me planté ses babouches, je resserie les jambes.
Faty passa derriére, ce colla à moi et mis ses pieds entre mes pieds. J'avais l'entre jambe trés ouvert.
Et Paf, la gamine me lança un kick à faire palir Zidane. C'est comme si elle avait voulu me mettre les couilles sur orbitte. Je lâcha un cri sourt et fort.
Par chance, elle le fit du plat de la chaussure, mes couilles étaient sauves mais j'avais quand même extrémement mal. Je restai debout car Faty me tenais par derriére.
Les filles souriait bêtement.... elles devaient féliciter Leila, j'était concentré sur ma douleur, les yeux vers le bas. Je me souvient juste que pendant ce temps la black était au tél. Aprés mon cri elle dit à son interlocuteur " c'est rien, on s'entraine à un nouveau jeu dans la cuve, tu à qu'à venir si tu veux".
Je me disais qu'une 4éme comme elles ça ne pouvait pas ce finir bien.
La black racrocha, sourie à ses copine, s'approcha de moi toujours bien droit dans les bras de Faty, posa sa main sur ma queue et dit :
- Il bande toujours... Aller les filles, 2émes tournante. Faty tiens lui bien les jambes, ce coup si je vais lui exploser contre le plafond.

Elle pris 2 pas de recul, avança doucement, ajusta son tir, repris à nouveau du recul. ET PAFFFF.
J'ai eu si mal que je me suis penché en avant avec tellement de violence que Faty dus me lacher. Je ne pouvais même plus crier... J'avais les couilles en miette... LA SALOPE, elle voulait me castrer, j'en suis certain.
Du coup je me trouvais la tête contre le bide de la grosse black. Penché en avant, Faty le tenant toujours les pieds écarté.
Elle ce reculla et PAFFF un bon coup dans les couilles par derrière.
Son coup de pied bien que violent me sembla une caresse aprés celui de la grosse black.

J'entendis la porte de la cave s'ouvrir, rapidement la black me contourna, me chopa les couilles et m'emmenas dans un recoin.
J'était la tronche contre le mur, une folle qui voulait me castrer (j'en suis sur) avait une main sur ma bouche, l'autre sur mes couilles qu'elle écraser sans remore.
Pour ne pas l'ennerver et ne pas perdre ma virilité immédiatement, je ne dit rien.
Visiblement fausse alerte, ça s'est remis à discuter fort. Je compris que c'était leur copine qui venait d'arriver.
La black retira sa main de ma bouche et me fit passer devant en direction de la nouvelle inviter en mettant bien en évidence le trophé qu'elle avait dans la main.
Et là, grosse surprise, je m'attendait à voir une fille mais c'était un mec.
Quand il me vis tout rouge avec du mal à marcher et ma grosse paire de couilles, violette de coup, écrasée dans la grosse main potelé de la black, il changea de couleur et il serra les jambes.
Lui - Mais vous faites quoi ?
La Black - On castre ce mec pour s'entrainer au cas ou tu nous emmerde. Leila, montre lui comment tu explose les couilles d'un mec. Tu vas voir elle est douée pour son age.
La grosse me lacha les couilles, me retourna, mais grosses couilles pendait de mon jean bien à la vus du mec et de Leila qui était juste à coté. Elle s'avança prés de moi, présenta son genou et dit au mec :
-Si je lui met un coup de pied avec ces chaussures là je le castre tout de suite, vus que j'ai envie de jouer je préfère le genou.
Et sans que je le vois arrivé elle me mis sont petit genou si mignon en plein dans les couilles avec une force inouie. Je tomba par terre de douleur, je me roula et je regardais le mec en gémissant.
Ce con ce tenais les couilles.
Leila - Ben pourquoi tu te tiens les couilles ? C'est pas les tiennes que je viens d'éclater

La black - C'est peut être qu'il aimerais lui aussi que l'on s'occupe de lui.
La black me redressa et me revoya son super coup de genou. Faty en avait profité pour faire le tour et profita que je tombe à 4 pattes pour me mettre un coup d'Adidas bien violent.
Je tombais au sol sur le ventre, jambe serrais. Faty et la grosse m'écarta les jambes et chacune en tenais une pendant que la petite castreuse enfonçais son talon pointu dans mes couilles par petit coup franc et précis. Je hurlais.
Leila en regardant le mec : - C'est ça que tu veux que je te fasse si tu fait pas ce que je veux ?
Elle arrêté et se tourna pour écouter sa réponse. Mec couilles était en feu, j'ai jamais eu aussi mal. J'avais peur de repartir de cette cave sans mes couilles.
J'était contant que la situation ce déplace un peut sur l'autre. Je restais au sol pendant que ça discuter sévère sur "si on castre les deux, on auras 4 couilles, chacune une, c'est cool....". Elle voulaient vraiment lui faire peur.
Il fini par remonter et sortir de la cave.
Au bout d'un moment, je sentis une main me chopper à nouveau les noix. C'était Faty.
- Alors toi petit PD, tu t'excuse ou on passe aux choses sérieuses ?
Je me suis excusé, évidement.
Elle me remis qq bon coup en remontant l'escalier et je suis rentré chez moi.
J'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie, jamais mes couilles ne m'ont fait aussi mal, mais j'ai jamais autant bandé non plus... Quel pied.

Oooh babtou mytho, toujours en vie apparemment!
RépondreSupprimerEt oui toujours en vie, au grand dam de ces dames
RépondreSupprimerTant mieux!
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