mardi 27 août 2013

La black de la salle de gym chapitre 2

Trois jours apres la rencontre du gymnase, Ingrid m'appela a 18h precises afin de me donner rendez vous pour 20h dans son hall d'immeuble., je vous rapelle que nous habitions la meme ville ,le meme quartier,ainsi nos deux cites respectives n'etaient distantes que d'a peine a dix minutes de marche... J'arrivais donc comme elle m'avait ordonne a cote de son interphone,dix minutes a l'avance avec dans la poche les cinquantes Francs qu'elle avait reclame pour l'occasion,y ajoutant de mon initiative un billet de 20 francs. A l'heure pile,je l'a vis arrivé,majestueusement grande et d'une grace de jeune femme quittant moralement adolescence mais qui y restai physiquement ancree, criante de simplicite,avec un t shirt blanc publicitaire,un bas de survet rose des mules usees et plates et surtout sans fioriture ni maquillage,pas du tout les sportwear de marques qu'elle arborait pour aller au sport.....elle me regarda avec un air dedaigneux en machant un chewing gum ...et hurla preske ''ta la tune ? Tes chokee de mes sap ma pascaline ? Mais jvai pas m'habiller en princess pour voir mon yench...,tes pas mon mec , ta capter ? '' je baissa immediatement le regard en tendan les 70 franc,quelle prit en soulignant d'un merci les 20 francs non prevus. La elle me dit ''monte avec moi dans l'ascenseur,on va tout en haut au neuvieme,ya personne dans le local technique,et on se connait pas,tu fait comme si tu va ailleur ma salope'' ,bref nous ne croisames personne et arrives en haut,je la devancait ,entrant dans la petite piece quelle m'indiquai avant de my rejoindre apres un petit tour de feinte au cas ou des regards de curieusx nous surprenaient.. La elle me donna immediatemen l'ordre de baisser mon fute afin de voir ''l'horreur'' ...elle ne pu reprimer un rire en voyan ma bite(qui durcissai et se levai...,,la peur et la vue de sa petite poitrine sous son t-shirt) elle s'ecria '' c un truc de malade,une bite circoncise,longue,mignone mais..fiiiiine...c'est une queue de souris ...et avec ca tu drague au gymnase,tes teu-bé . Moi a 16 piges jprefere me mettre un oide que ca,ton truc bande en plus,c'es chelou...'' disant ca elle leva son pied et appuya sur mon sexe de sa semelle (assez fort pour m' arracher un ptit cri) et enfin m'ordonnat de me mettre a ses pied mais accroupia... La ell me di apeu pres cela ''ta des grosse couilles,mes copains aiment pas ke je joue avec, ils disen de les toucher doucement...ils on mal..toi jvai leur faire la misere car elle sont trop grosse,et j'aime pas te voir bander devant moi, tu croi tu va me baiser ou qoi ?'' disant cela elle appuyai assez doucement sur mes boules du haut de sa chaussure... Soudain elle m'ordonna de lecher sa semelle pui me fit lever ..la ell ramassa un vieu chifon (taille de mouchoir)par terre le posa sur mon penis eriger et,sans conta direct,serra mon gland en me le secouan,comm si ell voulai l'ecraser reelmen...malgre la douleur je jouis comm un puceau...ce k'elle ne vi que en lachant prise car la pression de ses doigt empechai toute emission spermatique.(a tester...) Jvou di meme pas la douleur post orgasmique ...la je debandait et toute ma semance s'ecoulait sur mon pantalon reste au sol....la,elle me tourna le dos en me disant ''tchao,jy vai...jte rapelle'' en regardant ostensiblement une derniere fois quelle avait bien pris mes 70e,d'une petite voix, me laissant a ma douleur et a ma gene....je me rhabillais et tant bien que mal m'essuyait...rentrait chez moi avec deux bleus sur le gland...definitivement accroc a la soumission et amoureux de ''Mistress Ingrid''.........

Ghetto Youth New Generation 11

Je ne sais pas combien de temps j'ai passé à penser à toutes ces choses, mais lorsque je suis arrivé dans les gradins, l'échauffement était terminé, et le match allait commencer.
Je tentai de m'asseoir à l'écart du monde, mais les gradins étaient bondés, ce qui me surprit. Voir autant de gens se déplacer pour un match de basket ball féminin était surprenant. Peut-être avaient-elles du talent, et peut-être que je m'étais trompé sur le compte d'Audrey ?
Je m'assis donc à coté de familles, d'adolescents, très enthousiastes à l'idée d'assister au match.
En me retrouvant au milieu de ces gens, je me suis demandé qu'une chose « Merde, qu'est ce que je fous là ?". Mais malgré son attitude avec ses nouvelles amies, ma fille semblait heureuse. Et c'était le principal pour moi. Que ma fille aille bien.
Les équipes entrèrent sur le terrain, et une musique à la mode retentit dans le gymnase.
L'arbitre entra. Les supporters criaient de tous cotés. Je ne comprenais rien, alors je me focalisai sur ma fille et son équipe. J'aperçus, Fanta, fière, s'avancer vers nous, les spectateurs, et hurler des choses d'un air autoritaire. Etant trop loin, je ne compris pas, mais je vis les gens se lever d'un coup, hurlant d'un air enthousiaste. Fanta sembla satisfaite, fit des signes de guerrière et rejoint son équipe.
                    Pourquoi vous levez vous ? Demandai-je à un jeune maghrébin assis à ma gauche.
                    Parce que Fanta l'a dit, c'est la chef de l'équipe, elle vient toujours chauffer le public avant, elle a dit « Wesh j'entends rien, vous êtes des supporters ou c'est comment ? Levez vous ! », c'est une ouf !
                    Et quand elle demande aux gens de se lever, tout le monde s'exécute ?
                    Bah ouais pourquoi ?
Étonné par le magnétisme et l'influence que Fanta exerçait sur les gens, je restai muet.
Je la vis donner des instructions à son équipe, qui lui répondit en scandant un chant guerrier, que je ne compris pas, étant donné le brouhaha dans le gymnase puis un coup de sifflet retentit. Le match commença.
J'étais hypnotisé par Fanta, elle était si vive, si féline, d'un coup de hanche, d'un pas sur le coté, elle dérobait le ballon à son adversaire, puis sous l'impulsion d'un bond élégant, elle l'envoyait dans le panier. La foule se levait à chaque fois, l'applaudissant avidement.
La chef de l'équipe adversaire, une imposante noire aux nattes collées, irritée du talent de Fanta, et des gens qui scandaient son nom, arriva brutalement vers elle, et réussit à taper dans le ballon. Fanta sourit, fit un tour sur elle-même, ce qui décontenança son adversaire, et en profita pour reprendre le ballon et marquer un panier à 3 points. La foule exultait. Fanta fit une petite danse, secoua ses hanches et ses fesses d'une façon sexuelle et  fit un doigt d'honneur, de son majeur aux deux bagues, à la chef de l'équipe adversaire, qui l'insulta. Fanta, pour seule réponse, garda son majeur levé vers celle ci en continuant sa petite danse. Tout le monde rit de son insolence. Elle était géniale.
Je repris mes esprits et tentai de suivre du regard Audrey. C'était elle ma fille, c'était elle que je devais regarder.
Elle était encore plus timorée sur le terrain que devant le stade tout à l'heure. Elle osait à peine bouger. Personne ne lui faisait de passe, elle était invisible. Soudainement, Scara se tourna vers elle avec le ballon. Ma fille, pleine d'espoir, tendit les mains pour l'attraper, ce qui n'était jamais arrivé depuis le début de la partie. Scara la toisa, et envoya la balle à Fanta, pourtant entourée d'adversaires et beaucoup plus loin qu'Audrey. Par chance, Fanta réussit à attraper le ballon. Elle donna un léger coup de hanche à la chef de l'équipe adversaire pour l'énerver, celle ci l'insulta, et Fanta en profita pour balancer le ballon dans le panier. En plein dans le mille. La chef de l'équipe adversaire était folle de rage. Fanta esquissa un nouveau pas de danse, et envoya de la main un bisou à son ennemie.
Les gens éclatèrent de rire. J'entendis plusieurs personnes dirent d'elle, qu'elle était trop fraîche, trop dar. Et je me demandais alors si dar venait de daron. Mais dans ce cas là, ça n'aurait aucun sens.
Je jetai un regard sur ma fille, elle était seule. Cela me fit de la peine, même si elle semblait contente de jouer avec ces filles.
J'aimais voir Fanta courir, car elle était si rapide, que ses vêtements moulaient son corps et l'on pouvait deviner sous son tee shirt le galbe de ses petits seins ronds et fermes, la fermeté de son ventre. Elle était superbe. Je n'avais jamais connu des filles de ce genre là. Je me disais qu'on pouvait dire ce qu'on voulait sur les noires, mais elles étaient quand même mieux faites que les blanches. Puis j'eus honte de ma réflexion. Merde, Jean-Pierre on parle d'une lycéenne.
Soudain, je vis Fanta s'avancer vers ma fille d'un air menaçant. Elle semblait énervée. Elle lui parlait violemment. Ma fille baissait les yeux et hochait la tete, elle approuvait ce qu'elle disait. Ce n'eut pas l'air de suffire car Fanta la poussa violemment. Je réussis à entendre des bribes de phrases « Mais réveille toi wesh » « T'es trop nulle » « C'est grâce à moi si tu joues, me fais pas honte putain », « Qu'est ce que les autres vont dire, impose toi je sais pas, fais quelque chose au lieu de rester comme une trisomique », « Tu pues la merde, j'ai juré ! » « Putain de loss, va ! »
Je fus d'abord choqué par la violence de ces propos, mais elle avait tout de même raison. Audrey ne se défendait pas, elle restait planter comme un poteau sur le terrain. Il fallait qu'elle apprenne à s'imposer, à se battre, à s'affirmer. Fanta le disait de façon cash, certes, mais peut être que c'était ce qu'il fallait pour que ma fille se prenne en main. Elle le faisait pour son bien je le sais bien. C'était une sorte de mentor, pour le basket, mais aussi certainement pour la vie. À sa manière, un peu brusque certes, mais pour le bien d'Audrey quand même.
Fasciné par Fanta, je ne la quittai pas du regard, soudainement, elle tourna son visage vers moi, et nos regards se croisèrent. Je ne sus pourquoi, mais je rougis aussitôt. Et me sentant rougir, je rougis d'avantage de rougir parce qu'une jeune fille me regardait. Elle sourit narquoisement.
Brusquement, on lui fit une passe, elle l'attrapa adroitement et l'envoya... à Audrey. Celle ci eut l'air étonnamment ébahie, comme moi et tout le public d'ailleurs, qui sembla enfin se rendre compte de sa présence. Elle eut tellement l'habitude depuis le début du match de ne rien faire, qu'elle fut prise au dépourvue quand la balle lui fut envoyée. Elle n'eut pas le réflexe de l'attraper, et le ballon fit un bruit sourd en percutant son front. Elle tomba par terre.
Aucune de fille de son équipe n'alla voir si elle allait bien. Fanta, folle de rage, se dirigea vers le ballon, le prit, et insulta vivement Audrey.
« Putain mais tu pues la merde, c'est une dinguerie ! », les autres filles, des deux équipes toisèrent et se moquèrent d'Audrey.
J'eus mal de voir ma fille, humiliée devant tout ce monde.
Elle était blême, d'un blanc spectral. L'arbitre lui fit signe de se relever rapidement pour que la partie puisse continuer. Un bref instant, je crus apercevoir Fanta me faire un clin d’œil.
Encore sonnée par le coup, Audrey eut du mal à se relever tant elle chancelait. Personne ne vint l'aider. Finalement, la partie continua quelques minutes, et l'équipe de ma fille en sortit victorieuse.
Loin de jouer une attitude fair-play et modeste, Fanta et son équipe humilièrent verbalement l'équipe adverse. J'aperçus même Scara faire tomber à terre une membre de cette dernière.
Fanta, d'un geste sec de la main, demanda aux spectateurs en liesse de se taire. Dans les gradins de l'équipe, tout le monde se tut. Fanta pointa du doigt la chef de l'équipe adversaire, et  hurla ceci «  Foutez le camp ! Foutez le camp », ses coéquipièrent l'imitèrent, Audrey fut celle qui y mis le plus de zèle. Puis d'un effet boule de neige, tous les gradins se joignirent à elles. Et tout le stade ordonna en chœur à l'équipe adverse de foutre le camp. Certains lui lancèrent des détritus et l'insultèrent. Je vis quelques filles éclater en sanglots, d'autres rouges de honte, quoi qu'il en soit elles déguerpirent rapidement du terrain, sous les applaudissements et les cris de guerrière de Fanta et du reste...
Cela faisait maintenant 30 minutes que j'attendais que ma fille sorte du stade pour la ramener. Mais loin de penser à ce que j'attendais depuis le début de la journée : pouvoir végéter tranquillement le reste de la journée, je repensais au charisme de Fanta qui d'un geste, d'une parole, galvanisait des dizaines de personnes. C'était dingue.
Brusquement, je vis Audrey sortir du stade en courant, radieuse.
                    C'est bon, on y va ? Lui demandai-je alors qu'elle était arrivée devant moi.
                    Heu oui, mais.. on peut ramener Kimber, Scara et Fanta chez elles ? Dit-elle en désignant ses 3 « amies », s'avançant vers nous.
                    … Ce n'est pas ce qui était convenu, Audrey.
Sa mine radieuse se décomposa. Ses joues étaient devenues aussi rouges que sa blessure au front. Elle était furieuse.
                    Mais tu peux pas me faire ça ! T'as bien dit que fallait que je m'y fasse à tout ça, et maintenant que je me fais des amies, tu refuses qu'elles et moi, on se lie d'amitié !
                    Mais de quoi tu parles ? C'est pas parce que ton père refuse de leur servir de chauffeur, qu'elles ne vont plus te parler. Et d'abord, elles faisaient comment pour rentrer, quand elles ne te connaissaient pas ? Allez monte dans la voiture, je vais pas parler 20 ans.
                    Non mais... Le truc c'est que je leur ai promis que t'allais accepter de les raccompagner.
                    Et qu'est ce que tu veux que ça me fasse ? La prochaine fois, tu m'en parles avant, c'est     tout.  Avant de m'embarquer dans des histoires farfelues. Non mais on est où là ?
Son  visage s'assombrit, et je crus qu'elle fut sur le point de pleurer. Je fus embarrassé et triste pour elle. Elle avait déjà été assez humiliée aujourd'hui, je n'allais quand même pas en rajouter.
                    Bon ok. Tu les appelles rapidement, j'ai pas que ça à faire.
Elle sauta de joie et m'embrassa sur la joue.

dimanche 25 août 2013

Ghetto Youth New Generation 10

                    Voilà, nous sommes arrivés. Lui dis-je comme si je n'avais pas entendu la remarque de la jeune fille devant le stade.
Littéralement blanche de honte, Audrey défit sa ceinture de sécurité et sortit de la voiture les yeux rivés vers le sol.
                    We, We', Wesh' Audrey, c'est quoi les bails ? Dit une fille du groupe, une petite métisse à la poitrine démesurément grosse.
                    Putain, c'est ta voiture, aight, tu te mets bien. T'es riche en fait. La première fois que je t'ai vu je croyais t'étais une clocharde. Dit la fille qui m'avait interpellé.
Choqué de la remarque, je m'attendais à ce que ma fille réplique, mais au contraire, elle rit en chœur avec le petit groupe.
Peut-être qu'il était dans leur habitude de s'envoyer des piques. J'avais plusieurs fois entendu des jeunes se dire « bâtard » ou « fils de pute », avec amitié. Je n'eus pas l'envie de la défendre, ayant peur qu'elle perde le respect que ses camarades portaient envers elle.
                    T'es trop forte, Fanta, dit ma fille à la fille l'ayant traitée de clocharde.
Cette attitude lèche-botte me déplut fortement, mais encore une fois je n'intervins pas.
                    C'est ton daron ? Demanda Fanta en me fixant.
                    Ouais, répondit en soupirant Audrey.
Tout le petit groupe se tourna vers moi, toujours dans la voiture, pour me dévisager, avec, il me semblait, une pointe de mépris.
                    Ça va, il fait jeune quand même, dit Fanta.
Ma fille reprit d'un coup des couleurs et me sourit. Comme si le fait que Fanta m'ait fait un compliment, m'avait aussitôt rendu présentable.
                    Kimberley, envoie le paquet, ordonna Fanta à la petite métisse aux gros seins.
Étonné, je la vis sortir d'entre sa poitrine un paquet de cigarettes et l'envoyer à Fanta.
                    Tema où elle met son paquet là-celle, entre ses gros 'eins, dit en riant une fille en jogging adidas.
                    J'ai pas de poches, répondit-elle simplement d'un air coquin.
                    Putain, regardez comment il matte ses 'eins, le père d'Audrey, il a faim, wallah.
Tous les gens devant le stade éclatèrent de rire. Ma fille rougit et me foudroya du regard.
                    Mais absolument pas ! La poitrine de mademoiselle m'indiffère !
                    Allez allez, dit Fanta en inspirant une bouffée de nicotine.
Elle portait un mini short en jean, exagérément déchiré, aussi court qu'une culotte moulante, laissant deviner le galbe parfait de ses fesses. Son haut, était le tee shirt de l'équipe de Basket Ball orange et violet, elle avait si bien replié les courtes manches sur elles-mêmes, qu'elle semblait avoir un débardeur. Tous ces doigts étaient entourés de bagues en argent, le majeur de la main droite en avait 2, une argentée et une dorée. Ses poignets étaient ensevelis sous une foule de bracelets, en perles, en métaux, qui cliquetaient lorsqu'elle portait sa cigarette à sa bouche, en me toisant. Elle portait des sneakers, des nike free run 2 bleu pastel et gris clair, aux lacets roses bonbons, et une besace en cuir marron clair, en piteux état. Ses jambes étaient fines, mais athlétiques, sa peau brune, imberbe semblaient étonnamment douce, la folle envie de les toucher me traversa l'esprit quelques secondes puis je repris mes esprits. On parlait d'une lycéenne d’à peine 19 ans, quand même. Merde, reprend- toi Jean-Pierre.
Elle avait entouré ses yeux de khol noir, à l'égyptienne, et sur sa bouche il y avait du gloss rose foncé. Sa coiffure était de longues nattes brunes attachées en un haut et énorme chignon.
Son allure et son attitude contrastaient avec ma fille à ses cotés. Audrey portait le tee shirt et le short de son équipe, correctement, des nike dunk bleue, pas de maquillage, ses cheveux châtains attachés en queue de cheval, l'air timide et timoré.
                    Tu t'appelles comment ? Me demanda Kimberley.
Hésitant à lui parler, de peur que l'on me reproche injustement une seconde fois de reluquer sa poitrine, je restai silencieux plusieurs secondes. Elle portait un débardeur rose bonbon, trop petit pour elle, mais je la soupçonnais d'avoir fait exprès d'en prendre un plus petit, afin de faire ressortir  davantage son énorme poitrine, un legging noir laissant deviner ses petites jambes potelées mais fermes, sur lequel était écrit au niveau des fesses « Swagg » en tag, rose et orange, et des ballerines blanche, affichant à leur pointe le visage d'Hello Kitty. Elle portait un fond de teint une teinte plus foncée que sa vraie couleur, du gloss rose claire, et du crayon bleue pastel en dessous de ses yeux. Son nez était court mais plutôt large, ses yeux petits, elle portait des lentilles bleues turquoise, sa bouche pulpeuse. Ses cheveux étaient longs et bruns, sa frange lui arrivait sur les sourcils.
                    Wesh ton daron c'est un autiste ou quoi ? Demanda Kimberley, visiblement agacée, à Audrey.
Je crus comprendre que « daron » signifiait « père ». La remarque me vexa et l'attitude d'Audrey, encore plus.
                    Mais putain réponds papa, fais pas ton autiste ! Cria t-elle énervée.
Les filles rirent, ma fille sembla satisfaite comme si leurs rires à sa « vanne » légitimaient sa présence au sein du groupe. Mais aux regards des filles je compris rapidement qu'elles ne riaient pas avec ma fille, mais de ma fille, elles riaient de son attitude de lèche-botte. Je fus mal à l'aise.
J'aurais voulu descendre de ma voiture, les remettre à leur place rapidement, mais ça n'aurait fait qu'empirer la situation de ma fille, qui m'en aurait voulu toute sa vie. Je décidai d'agir au mieux pour elle.
                    Non je ne suis pas autiste, j'étais juste dans mes pensées. Je m'appelle Jean-Pierre, et vous ?
Kimberley ne me répondit pas.
                    Putain, Jean-Pierre le vrai nom de babtou. Dit-elle en soupirant.
Le petit groupe, dont Audrey, rit.
                    Il a une tête de loss, et une voiture fraîche, on peut faire quelque chose de lui je crois, dit à Fanta la fille en jogging adidas.
Je ne compris pas ce qu'elle voulut dire, mais Fanta éclata de rire.
                    T'es une ouf Scara, wallah ! Dit-elle.
Scara portait le bas d'un survêtement adidas noir, aux bandes multicolores et un tee shirt « Dump Fresh » tigré rose bonbon et noir, sur sa taille, elle portait une sorte de bracelet de hanche bleu en perles appelé « bin bin », elle avait une volumineuse chevelure bouclée noire, dans laquelle elle avait placée une énorme barette nœud papillon rose fuschia, et elle portait des stan smith roses pales.
                    Bon, il est l'heure, l'échauffement va commencer. Dit Fanta.
D'un seul homme, le petit groupe se dirigea vers le stade.
J'en profitai pour aller me garer.
J'étais chamboulé. Il y avait tellement de sentiments, de réflexions qui virevoltaient, se percutaient dans mon esprit, que je ne réussis à m’attarder sur aucun d'entre eux.
Je repensais à la vulgarité et la sensualité de ces jeunes filles, puis tout de suite après à l'attitude pathétique de ma fille, puis à l'énorme poitrine de Kimberley, et à la beauté hypnotisante de Fanta son nez retroussé, ses grands yeux en amandes noir, puis à ce qu'il se serait passé si j'avais écouté ma fille, si j'avais pris sur moi, et m'étais arrêté 50 mètres avant le stade, puis à la façon méprisante avec laquelle elles me parlaient à moi et Audrey, puis au sentiment de pitié et de révolte que j'éprouvais envers ma fille, puis je me demandais si je n'avais pas raté quelque chose dans son éducation, est ce que si j'avais plus passé de temps avec ma famille, j'aurais pu aidé ma fille à devenir quelqu'un de plus fort, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, qui se fait respecter des autres, puis je repensais à Audrey petite, me disant que j'étais le papa le plus fort du monde, et ce qu'elle était devenue, la déception que je ressentais, et si j'avais su ce qu'elle deviendrait, aurais-je eu envie d'avoir un enfant ? Non non, il faut que je chasse ces idées noires. Elle est ma fille, elle peut encore changer, ce n'est qu'une lycéenne, tous les ados sont ingrats de toute façon, un jour elle se rendra compte du mal qu'elle m'aura fait et me demandera pardon. Et puis je pensais à Fanta et ses copines et à ma femme, je les comparais. Bon dieu, ce qu'elles étaient séduisantes. Arrête ça, Jean-pierre, c'est que des gosses, elles ont l'age de ta fille. Oui, mais elles sont si différentes... Allez, j’arrête, c'est que des gamines.

Histoire réelle reçue d'un soumis : la black de la salle de gym chapitre 1

J'avais deja 25ans ,avec un passé sexuel deja bien rempli,ayant connu le sexe tarifé depuis mes 13ans.(profitant d'une puberté precoce ,de mon 1m77 deja acquis et d'une barbe deja sacrement fournie,je m'adonnai au joies de la chair dans les bras des jolies africaines officiant dans le fameux bois attenant a paris,le petit ,situé au sud-est de la capitale) ainsi que de tres nombreuses petites amies (toutes etaient egalement blacks ou parfois arabes tres typees,en effet je ne suis jamais sorti avec une blanche de ma vie,cela ne m'attirant pas le moins du monde). En cette ete de l' annee 2000,je fis connaissance à la salle de muscu ou je m'entrainait comme chaque jour d'une magnifique Congolaise Zairoise repondant au doux nom d'Ingrid. Malgres mon experience ,sa jeunesse et sa beauté m'on subjugué, fine,elancee un bon metre 75...elle me rapellait de corps mon ex,une sprinteuse d'assez haut niveau mais avec des yeux bien plus beaux ,en amande avec une bouche pulpeuse et un sourire a defroquer le cardinal Ratzinger.Je n'osait pas dire un mot,assis sur le banc a 1metre d'elle..., Elle me sourit et entama la conversation,... ouf ...sauvé, je pu entamer mon speech de ''dragueur de renoies''...je vous,rapelle que a l'epoque je n'etait absolument pas soumis,ni consciement attire par le BDSM... Je lui demande son age afin de m'assurer qu'elle a plus de 15 printemps. ..ouf pile poil.,presque 16.... Mais la elle m'arette net en me disant '' moi jsortirait jamais avec un toubab, je peu etre ami mais pas plus,c'est trop sale, uniquement africain ou feuj sepharad,la verite les blancs on rien dans la culotte'' apparamen une fan de ''la verite si je ment'' film dont elle parlait sans,arret. Ayant moi meme un grand pere juif sepharade,je cru pouvoir l'amadouer et jouer a ce jeu,commencant meme a lui parler en lingala. Seulement,meme avec 19cm, mon sexe est plutot fin tres loin de rivaliser avec un ''patriiick B... ''ou un'' Gerard D...'' le fait de me savoir circoncis l'a quand meme incité a lever une premiere barriere ,tout en m'excluant de la liste de ses ''bails potentiels'' du fait de ma lignee maternelle, elle commenca a rigoler...et quel rire... magnifique !, la, elle pose sa main gauche (avec des jolis ongles) sur ma cuisse en me regardant droit dans les yeux ..elle me dit '' mon pote,cherche pas,tu seras jamais mon mec,par contre,jai pas de gonzesse, tu voudrais etre ma chienne? J'ai trop envie d'avoir ma pute. Mais tu mtouche meme pas,juste un jeu entre adultes..mais c'est moi l'adulte toi tu OBEIS'' ......bien sur j'acceptai immediatement son offre,mon coeur battant la chamade,les joues ecarlate et..la plus forte erection de ma vie.... Elle avait l'air aux anges.. Et me donnat mon nouveau prenom en feminisant le mien... Sa premiere phrase ,sont premier ordre '' PASCALINE,T'A UNE CB ? VA TIRER 200 FRANCS MA PETITE CHERIE...''

Bien entendu,je m'executais et pour la premiere fois de ma vie j'avais ete domine et dans la foulee avait donne ma premiere offrande. S'en suivi une conversation ou j'appris beaucoup de choses,deja le fait qu' On habitait quelque centaines de metre l'un de l'autre..enfin l'une de l'autre... De plus,je su que j'etais son premier soumis,quelle avait deja une vie sexuelle bien remplie,mais aucun partenaire fixe..,ainsi elle avait adore des films SM tres hard ou elle voyai des hommes domines par femmes et viole par celles ci a l'aide d'objets .,j'appris plus tard que c'etait limite une obsession pour elle,..(meme si elle minimisait son interet pour cet echange de roles,sodomiser les hommes l'exitait plus que ne le ferait un simple amusement) ajoutez a cela une envie d'argent... Bref l'on rentraient chez nous ensrmble a pied,nous nous,separames et je lui laissai mon numero..elle n'avait pas ....encore....de telephone mais pourrait faire sonner mon ''startak'' quand bon lui semblerait. Dailleurs,le soir meme je recu un appel d'Ingrid ,seule chez elle (alors que je me masturbais deja en pensant a elle...) Elle me remerciait pour les sous et me di '' j'en reviens ap's , tu mythone aps,tu fera tout ce que je voudra physiqement sans limite ..'' je repondi ''oh oui ,je veu etre ta pascaline,....mais jsuis pas milliardaire,en depit de ce que mes auto(...cadeau paternels) laissent croire''....elle repondi ''chuis pas une pince,jveu just que tu fasse le max pour me mettre bien,comme si moi jsuis ton beau mec,,ton lascar et toi tes une ptite pute bourge que je baise,jveu surtou te faire mal et la ces moi qui decidera ,tu va vraiment avoir mal''... Moi j'avoue que jaurai reve quelle me domine au tel,mais pas cette foi ci..elle continua au contraire la discussion sur un.ton amical comme avec ses autre copines,hors de toute dimension sexuelle....deja, premier bilan de cet appel, financierement,pas de soucis,aucune obligations,des parents aises,2 auto de luxe un peu anciennes mais avitaillees et assurees par papa qui s'en ai lasse en achetant les modeles neufs mais qui voulai pas s'en separer pour pas sentir la decote et les vignettes a12 000 balles achetees vainement 5 ou 6ans de suite. Bref...meme si elle me prenait la moitie de mon petit salaire de 2x le smic,je la mettrait bien et n'en souffrirais pas...par contre.je me demandais bien q'entendait elle par ''souffrir'' ...excite et inquiet ,a 25 piges devant l'olivetti ''familial ''en surfant sur altavista (mon moteur fetiche a l'epoque) pour m'informer sur le bdsm ?! Bref du bdsm avec Ingrid...c'est ca qui compte,Ingrid c'est une bombe...moi aussi j'ai peu etr fait souffrir des filles sans le vouloir.on verra bien apres tout me dis-je terminant ma recherche par mes habituels sites classiques de black sculpturales pilonnees tout azimuts par des floppees de penis de toutes les ethnies.........

vendredi 23 août 2013

Tournante avec mes couilles

http://ballbusting.leforum.tv/t308-Tournante-avec-mes-couilles.htm

Comme bcp de mec je cherche des ballbusteuses. Pas simple à trouver.
Alors j'ai trouvé un stratagéme.
J'ai répondu à des annonce de filles qui cherche des filles.
En gros, je leurs donne mes envies clairement et leur confis que les "vrais filles" (oui je sais c'est blessant) aime pas ça et que les bouffeuse de minou devais pas avoir autant de considération pour ce qui fait des hommes les dominant de l'éspéce...
J'eu une réponse virulante de la part d'une fille qui disait avoir 18ans.
Genre " Tu à de la chance que j'ai autre chose à faire, des salop comme toi ça mérite rien de plus que de ce faire couper les couilles... éspéce de pervers maniac, débile, tordu...".
Je répondit que je comprenais pleinement sa peur d'assumer, qu'elle était trop jeune et qu'elle avait peur du mâle et qu'elle devait ressembler à un vieux camionneur comme toutes les bouffeuse de chatte..... Ca l'à rendu folle.
Elle me répondit : Aller vas y vient à tel adresse, je serais avec 2 copines, ont vas t'éclater les couilles, je leur en ai parlé elles sont chaudes bouillantes.
Moi (toujours par Mail) = Tu à dit à tes copines que tu cherchais une chatte à bouffer sur le net ?
- Si tu leurs dit je te prévient, je t'éxplose les couilles.
C'est pas déja ce que tu voulais faire sans que je leur dises ?
Alors OK je viens, je leur dit rien, tu peut t'amuser à me shooter mais tu me garantis que je repart avec mes couilles.
- Ok Batard, je vais te les mettre en miettes viens.
Je suis allé à l'adresse indiqué.
3 filles était assise sur un muré, elles semblait attendre qq chose.
- Bonsoir mesdemoiselle, connaissez-vous une certaine Faty ?
- Ok, c'est moi. C'est toi le débile qui vient te faire démonter les couilles ?
- Oui Mr. Green
- Au moins tu à des couilles, ont pensés que tu aller pas venir. Viens avec moi dans la cave, on vas te transformer en gonzesse.
- Mais avec plaisir (ça avait le dont de l'ennerver ma douceur).
Arrivé dans le grand local commun fermé à clef, Faty me mis un violent kick dans les noix, sans prévenir. Je suis tombé à genou.
- Alors tu prend ton pied vieux PD ?
- Bof, j'ai rien sentis. Twisted Evil
- T'à quel age branleur ?
- 36ans, pourquoi ?
- Ok, vas y sort tes couilles. Sa fait assez longtemps que tu les proméne dans ton ben ont vas pouvoir te les éclater, a ton age t'en à plus besoin.
J'avais mon vieux pantalon fétiche avec le trou à l'entre jambe. Je laissa pendouiller mes lourdes boules en qq secondes. Les 3 filles restaient sans voix et contemplaient mes noix. Shocked
Une copine à elle, une grosse black d'1m75 trés jeune, certainement moins de 18ans mais qui devait peser au moins 100km, m'attrapa les deux couilles avec ses deux mains :
- Pourquoi tu à dit à ma copine que c'était une grosse moche sur facebook ?
Tien, Facebook, c'est nouveau, OK c'est l'excuse de Faty pour mettre ses copines dans le jeu. Je vais jouer avec alors.
- Elle est pas moche mais elle est pas terrible quand même ta copine.
J'ai à peine fini ma phrase que j'étais sur la pointe des pieds. La grosse m'éclatait les couilles dans les régles. Elle en avait de la force la salope.
- Excuse toi me dit elle.
Je pouvais même pas ouvrir la bouche tellement je serrais mais dents.
- Faty, accroche lui les bras dans le dos.
Elle avait prévus une corde. J'avais trés mal aux noix toujours sous l'emprise de la grosse black. Je commençait à m'inquiéter.
Faty m'accrocha les mains dans le dos. La black me lacha doucement les couilles.... je commençais à respirer.
En lâchant sa prise lentement, elle passa ses mains sur ma queue.
La black :
- Putain je le crois pas, IL BANDE. Ca l'excite ce con de ce faire écraser les couilles (tien, visiblement elle lui manquait des infos, Faty le savait bien ça, je lui avait dit).
- Ok, s'il veux pas s'excuser, on vas lui apprendre à être moins con. On vas lui shooter les couilles à tour de rôle à ce vieux pervers.
- A toi l'honneur Faty. Le passe aprés toi.
Et Paf, un bon coup, bien ciblé. Pour ceux que ça intéresse, elle était en basquette.
Je lâcha à un cri, putain elle m'avait pas raté.
Au tour de la grosse black. Elle me remis bien droit, m'écarta bien les jambes et me mis un vilain coup de genou en prenant bien appuis sur mes épaules, comme si elle voulait que son genou et mes couilles remontent jusqu'au plafon. Je me retrouvas à ses pieds. Les couilles en feu... putain que j'avais mal.... je pouvais même pas me les malaxer. J'avais jouer avec une black, si elle sont toutes comme ça... c'est à essayé.
- Tu la ramène moins là petit PD. Tu l'à bien sentis mon genou ?
Je ne pouvais pas répondre... J'étais à la fois super excité et je commencé franchement à me demandais comment ça aller finir.
La 3éme, jusqu'ici très discrète et en retrait rentra en scéne.
- Vas y Leila, montre nous si tes chaussures de castreuse méritent la réputation qu'elles ont.
Shocked Mais de quoi elle parle ? Un coup d'oeil aux pieds de la petite Leila (40Kg tout mouillé, 1m50 max, de superbe jambe, un micro short et certainement la plus jeune des 3) et je compris direct.
Elle avait des chaussures type babouche, petit talon mais long bout pointu.
Si elle me shootait une couille de la pointe de ces trucs là, elle allait marcher avec une de mes couilles embrochée au bouts des pieds. Shocked
La je commença à franchement baliser.
Laila : - Vous inquiétez pas monsieur, vous serez pas le 1er mec que je castre.
Shocked Mais de quoi elle me parle elle ??? Elle à pas 16ans, peut-être 14, elle un mec de prés de 40 ans devant elle, les couilles à l'air et elle lui dit du plus naturellement du monde qu'elle vas le castrer comme si elle avait déja explosé 10 paires de couilles dans la journée... La je commencé franchement à baliser. Rolling Eyes
- Non stp, doucement, soit douce....
- TA GUELLLE VIEUX MANIAC me dit elle.
Quand Leila s'approcha pour me planté ses babouches, je resserie les jambes.
Faty passa derriére, ce colla à moi et mis ses pieds entre mes pieds. J'avais l'entre jambe trés ouvert.
Et Paf, la gamine me lança un kick à faire palir Zidane. C'est comme si elle avait voulu me mettre les couilles sur orbitte. Je lâcha un cri sourt et fort.
Par chance, elle le fit du plat de la chaussure, mes couilles étaient sauves mais j'avais quand même extrémement mal. Je restai debout car Faty me tenais par derriére.
Les filles souriait bêtement.... elles devaient féliciter Leila, j'était concentré sur ma douleur, les yeux vers le bas. Je me souvient juste que pendant ce temps la black était au tél. Aprés mon cri elle dit à son interlocuteur " c'est rien, on s'entraine à un nouveau jeu dans la cuve, tu à qu'à venir si tu veux".
Je me disais qu'une 4éme comme elles ça ne pouvait pas ce finir bien.
La black racrocha, sourie à ses copine, s'approcha de moi toujours bien droit dans les bras de Faty, posa sa main sur ma queue et dit :
- Il bande toujours... Aller les filles, 2émes tournante. Faty tiens lui bien les jambes, ce coup si je vais lui exploser contre le plafond. Twisted Evil
Elle pris 2 pas de recul, avança doucement, ajusta son tir, repris à nouveau du recul. ET PAFFFF.
J'ai eu si mal que je me suis penché en avant avec tellement de violence que Faty dus me lacher. Je ne pouvais même plus crier... J'avais les couilles en miette... LA SALOPE, elle voulait me castrer, j'en suis certain.
Du coup je me trouvais la tête contre le bide de la grosse black. Penché en avant, Faty le tenant toujours les pieds écarté.
Elle ce reculla et PAFFF un bon coup dans les couilles par derrière.
Son coup de pied bien que violent me sembla une caresse aprés celui de la grosse black. Embarassed
J'entendis la porte de la cave s'ouvrir, rapidement la black me contourna, me chopa les couilles et m'emmenas dans un recoin.
J'était la tronche contre le mur, une folle qui voulait me castrer (j'en suis sur) avait une main sur ma bouche, l'autre sur mes couilles qu'elle écraser sans remore.
Pour ne pas l'ennerver et ne pas perdre ma virilité immédiatement, je ne dit rien.
Visiblement fausse alerte, ça s'est remis à discuter fort. Je compris que c'était leur copine qui venait d'arriver.
La black retira sa main de ma bouche et me fit passer devant en direction de la nouvelle inviter en mettant bien en évidence le trophé qu'elle avait dans la main.
Et là, grosse surprise, je m'attendait à voir une fille mais c'était un mec.
Quand il me vis tout rouge avec du mal à marcher et ma grosse paire de couilles, violette de coup, écrasée dans la grosse main potelé de la black, il changea de couleur et il serra les jambes.
Lui - Mais vous faites quoi ?
La Black - On castre ce mec pour s'entrainer au cas ou tu nous emmerde. Leila, montre lui comment tu explose les couilles d'un mec. Tu vas voir elle est douée pour son age.
La grosse me lacha les couilles, me retourna, mais grosses couilles pendait de mon jean bien à la vus du mec et de Leila qui était juste à coté. Elle s'avança prés de moi, présenta son genou et dit au mec :
-Si je lui met un coup de pied avec ces chaussures là je le castre tout de suite, vus que j'ai envie de jouer je préfère le genou.
Et sans que je le vois arrivé elle me mis sont petit genou si mignon en plein dans les couilles avec une force inouie. Je tomba par terre de douleur, je me roula et je regardais le mec en gémissant.
Ce con ce tenais les couilles.
Leila - Ben pourquoi tu te tiens les couilles ? C'est pas les tiennes que je viens d'éclater Mr. Green
La black - C'est peut être qu'il aimerais lui aussi que l'on s'occupe de lui.
La black me redressa et me revoya son super coup de genou. Faty en avait profité pour faire le tour et profita que je tombe à 4 pattes pour me mettre un coup d'Adidas bien violent.
Je tombais au sol sur le ventre, jambe serrais. Faty et la grosse m'écarta les jambes et chacune en tenais une pendant que la petite castreuse enfonçais son talon pointu dans mes couilles par petit coup franc et précis. Je hurlais.
Leila en regardant le mec : - C'est ça que tu veux que je te fasse si tu fait pas ce que je veux ?
Elle arrêté et se tourna pour écouter sa réponse. Mec couilles était en feu, j'ai jamais eu aussi mal. J'avais peur de repartir de cette cave sans mes couilles.
J'était contant que la situation ce déplace un peut sur l'autre. Je restais au sol pendant que ça discuter sévère sur "si on castre les deux, on auras 4 couilles, chacune une, c'est cool....". Elle voulaient vraiment lui faire peur.
Il fini par remonter et sortir de la cave.
Au bout d'un moment, je sentis une main me chopper à nouveau les noix. C'était Faty.
- Alors toi petit PD, tu t'excuse ou on passe aux choses sérieuses ?
Je me suis excusé, évidement.
Elle me remis qq bon coup en remontant l'escalier et je suis rentré chez moi.
J'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie, jamais mes couilles ne m'ont fait aussi mal, mais j'ai jamais autant bandé non plus... Quel pied. Okay

Ghetto Youth New Generation 9

                    Oh non je déteste cette station de vieux, mets  plutôt NRJ, papa ! C'est 100.3 ! m'ordonna impatiemment Audrey.
                    Ok ok, ça va. Dis-je en m'exécutant.
Une musique aux sonorités familières retentit.
                    Encore une reprise de Goldman ! Ils en sortent une tous les mois, ça devient ridicule. Y'a plus d'artistes de nos jours, ils ont tellement plus d'inspiration qu'ils passent leur temps à plagier les anciens, les vrais. Triste époque pour la musique !
Audrey me toisa.
                    Moi j'adore Amel Bent, elle chante trop bien et Soprano est trop cool, dit elle en bougeant sa tête en rythme.
Je ne répondis rien et me concentrai sur la route. Elle pouvait m'imposer dans ma voiture toutes les musiques merdiques du monde, pourvu que ça la fasse se sentir bien. Le mois dernier, nous avons déménagé en banlieue parisienne, à cause de mon boulot. Comme tout parisien, l'idée de bouger en banlieue m'a refroidi mais j'ai réussi à nous trouver une jolie maison dans un tout aussi joli quartier, avec une piscine également jolie, hors sol en bois, 5 mètres sur 6. Ma femme et moi nous y plaisons plutôt bien, mais pour ma fille ça a été le choc. Comme ça c'est fait aux environs de Janvier, je n'ai pas pu l'inscrire dans le lycée prévu, et j'ai du la mettre dans  le lycée de la ville, un lycée classé ZEP... Bien sur, j'ai les nerfs, à 4 mois du Bac, ça nous fout mal. Enfin bref, c'est que 4 mois, et puis c'est fini. J'ai eu beau lui répéter ça, elle n'a rien voulu savoir. Elle a passé 1 semaine enfermée dans sa chambre à sangloter.
Mais depuis qu'elle a commencé à suivre les cours dans son nouveau lycée, bizarrement ça va mieux. Elle a même réussi à intégrer l'équipe de basket du lycée. Alors qu'entre nous, elle joue comme un pied... M'enfin si ça la rend heureuse, et si ça lui permet de se faire des amis, ça me va aussi. J'avoue être étonné qu'elle ait réussi à s'adapter à ces nouveaux camarades. Elle fait même partie d'une bande maintenant, dont la chef a un prénom de boisson, Coca ou Orangina, quelque chose dans le genre. J'ai pas osé lui demandé si c'était un surnom. Ce qui importe c'est que ma fille ait réussi à se fondre dans la masse. Dans ce genre d'endroits, vaut mieux. C'est un caméléon, elle tient de moi. Mais j'avoue que malgré tout ça, ça me fait quand même chier de l'emmener à un match de basket où je sais pertinemment qu'elle va se ridiculiser. Elle est comme sa mère, ; gauche. Pas faite pour le sport. Elle a l'esprit d'équipe, ça je dis pas. Mais ça suffit pas, on est d'accord. Ça fait 2 semaines que je travaille comme un fou, sans pause, et le seul jour où je peux me reposer, faut que je l'emmène faire du basket. Merde, si je suis pas un bon père, je me demande ce qui je suis.
                    Pourquoi tu fais cette tête ? Me demanda t-elle.
                    Quelle tête ?
                    Oh arrête, depuis que maman a dit que tu devais m'emmener au match parce qu'elle travaillait toute la journée, tu fais la tête.
                    Mais pas du tout...
                    J'ai l'air d’être une débile ? … Si on était resté à Paris, je t'aurais jamais demandé de m'emmener à un match de basket, parce que si on y était, je ne serai même pas dans un club de basket, étant donné qu'il n'y en avait pas dans mon lycée, et d'ailleurs à l'heure qu'il est, je serai dans ma chambre avec Mélanie et Anne-so' en train d'écouter de la musique.
                    Avec des « si » on refait le monde, ma chérie. Le fait est qu'on est plus à Paris, mais dans le 94, point. Faut t'y faire.
                    Bah je m'y fais, c'est bien pour ça que je me suis inscrite dans ce club. Tout ce que je dis, c'est que tu dois assumer tes choix professionnels. Si tu voulais pas m'emmener au basket, fallait pas déménager. C'est tout. Alors arrête de faire la gueule.
                    Je fais pas la gueule. On est bientôt arrivée à ton gymnase, je vois des jeunes là bas.
Ma fille se redressa d'un coup.
                    Ok, je veux que tu t’arrêtes maintenant. Allez s'il te plait papou.
                    Pourquoi maintenant ? Je t'amène juste devant, t'auras pas à marcher, et tu t'économises pour le match, non ?
                    Non, au contraire, faut que je commence à m'échauffer. Allez arrête toi, quoi.
                    Mais pourquoi ?
Elle se mordit la lèvre inférieure, et rougit.
                    Bah... Tu vas me foutre la honte.
Cette anodine phrase, que beaucoup de parents doivent entendre de la part de leurs adolescents, me fit plus de mal que je ne le pensais. Ma fille, ma petite Audrey, que j'ai toujours protégé, toujours encouragé, toujours câliné, avait honte de moi, son père, son créateur. Je fis comme si sa phrase était la chose la plus ridicule que j'entendis de ma vie, et haussai mon sourcil droit.
                    Comment ça je vais te foutre la honte ?
Les rougeurs sur son visage se dissipèrent aussitôt et firent place à une mine exaspérée.
                    Mais papa, c'est évident. Je sais pas, regarde comment t'es habillé, t'es juste... trop pas moderne, et puis ta façon de parler, c'est tellement.. vieux. Enfin tu fais vraiment daron, quoi. Sans vouloir te vexer.
                    Pardon, je fais quoi ? Daron tu as dit ?
                    Rien que le fait que tu saches pas ce que ça veut dire, veut tout dire...
                    Écoute, je ne tolère pas que tu me parles sur ce ton. Je suis ton père tu n'as pas à avoir honte de moi, est ce que j'ai eu honte de toi quand Madame Pierret, ta maîtresse de maternelle, m'a dit que tu faisais souvent pipi au lit ? Non. Est ce que j'ai eu honte de toi, quand tu as glissé sur une pot de banane, chose qui n'arrive que dans les bandes dessinées, au salon de l'agriculture il y a 4 ans ? Non. Je t'ai consolé. Parce que c'est ce qu'on fait avec les membres de sa famille.
Malheureusement, mon discours n'eut pas l'air de l'émouvoir.
                    Bah désolée, mais c'est ce que je ressens au fond de moi, même si tu dis que je devrais pas avoir honte de toi, désolée mais c'est le cas, j'ai honte de toi. Mais putain arrête toi, on va nous voir !
Plus qu'énervé par son attitude, je ne répondis pas et décidai de m’arrêter juste à coté des 3 jeunes filles qui dansaient devant le stade.
Je jetai rapidement un regard vers Audrey. Elle était livide.
                    Putain c'est trop la honte, murmura t-elle en mettant son visage dans ses mains.
Ce qui me fit sourire intérieurement. Ça t'apprendra à avoir honte de ton vieux père, tiens.
À 10 mètres du stade, une des filles du petit groupe m'interpella :
                    Hey ton GPS fonctionne pas ducon, les Champs c’était la première à droite !
Le petit groupe éclata de rire. Tout d'un coup, je pris conscience que ma petite vengeance allait peut être faire plus de mal à Audrey que je ne le pensais.

Qui veut lire la suite ?????

mardi 13 août 2013

Minutes poétiques

Trouvés sur le net :

<LES PETITES>
Corps de Jeunes Femmes,
Bonhomme dans l'Âme,
Fort sale est le langage,
Un vécu un peu bancal pour leur si jeune âge ,
Troc de l’étoffe traditionnelle ,
Dehors...
Le swagg mérite l'effort ,
Sneakers rééditions,legging,sac Channel ,
Démarche de racailleuse Princesse à la beauté éternelle ,
Rien "Niafou"tre,
Les Petites Sœurs Marchent en groupe,
En troupe ,
Aiment les lieux où La Jeunesse autour du Néant s’attroupent ,
Cigarette à la bouche,
Make Up, cheveux rouge pourpre,
Ont le regard louche,
Flambes d'un tchippp elles te couchent ,
Les Petites Sœurs c'est aussi L'avenir ,
Le cœur remplit d'espoir, d'un meilleur devenir ,
Des ou futures Mères ,
Battantes, pour certaines déjà Femmes d'affaires,
La tenue ne fait pas la Religieuse ,
Alors ne prenons pas toutes Nos Sœurs pour de simples petites traîneuses ...
PEAU M aka Zourson