Cela fait désormais un tout petit peu plus de 2 ans que j'ai ouvert le blog babtoupayeur suivi par le blog abusedboloss.
Il y a eu des périodes fastes et des périodes de creux. Je définirais la période actuelle par un gros creux car je ne vis plus d'aventures S/M ou de soumission financière depuis plusieurs mois maintenant.
De plus, alors que je sais que le blog est régulièrement suivi, le manque de participation des lecteurs est plutôt frustrante et démotivante.
J'ai plusieurs projets personnels quant à ce blog, des possibilités d'articles sur des anecdotes passées (qui peuvent être très croustillantes, notamment avec la légende Tylia Diamond ou Princesse Blackette) ou des envies d'écrire des histoires fictives, mais pour cela, il faut une certaine motivation.
Donc, cet article a pour but de sonder les lecteurs en leur demandant une participation minimale.
Une simple réponse aux questions suivantes par voie de commentaire sur le blog ou par email sur ma messagerie babtousm@hotmail.fr suffira pour me rendre ma motivation :
Qu'aimeriez-vous lire prochainement sur ce blog :
- Des anecdotes véridiques SM ou moneyslavery de babtou et/ou d'autres soumis et/ou de princesses ?
- Des histoires fictives trouvées sur d'autres sites ?
- Des histoires fictives imaginées et écrites par babtou ou ses amis ? Si positif, avez-vous des idées / fantasmes que vous aimeriez voir revisités en histoire (soumis à une bourgeoise ? Une transsexuelle ? Des hommes ? Envies pour la suite de la chronique des Ghetto Youth ? Toute autre idée sera la bienvenue).
A vos claviers !
samedi 23 février 2013
samedi 16 février 2013
Humilié injustement par l'Autorité
Une enfance sage à vivre et grandir dans un petit village de la campagne normande n’aide pas vraiment à se rendre compte rapidement des difficultés et des injustices de la vie.
Grâce à des parents prévenants, le petit garçon est toujours à l’heure en classe, n’est pratiquement jamais malade et jamais absent. Pire, il respecte tellement l’autorité professorale qu’il a des maux de ventre dès qu’il ne peut travailler ses leçons et a peur de décevoir ses parents et instituteurs si mauvaise note il y a.
Jamais premier de la classe, pas de facilité particulière, il est obligé de travailler dur pour se hisser dans les têtes de la classe, surpassant les difficultés par sa motivation à travailler, toujours en jalousant un peu ceux qui obtiennent des notes supérieures aux siennes sans trop se forcer, d’après eux.
Les enfants, des champs comme des villes, sont méchants entre eux mais, dans cette petite école d’un village de 500 âmes, une certaine innocence règne encore et ce petit garçon ne se souvient pas que son comportement effacé et soumis à l’autorité attire les moqueries de ses camarades.
Non, toute sa scolarité en école primaire sera calme et sans heurt.
Le tournant critique se produit dès l’entrée au collège dans le village un peu plus grand de la région, chef-lieu de la modernité.
La classe d’élèves, amis soudés, qu’il a connue de ses 3 à 10 ans est éclatée en différentes classes.
Dans ces classes de 30 élèves, il n’en connaît aucun, il va falloir travailler sur sa timidité pour faire connaissance avec tous ces inconnus.
A contrario de l’école primaire où pour toute une année, on s’installe dans une seule et unique classe en face d’un seul et unique instituteur, il va falloir aussi se forcer à comprendre ce nouveau mode de fonctionnement, pourquoi après chaque heure de cours, faut-il ranger ses affaires, sortir en courant pour trouver sa nouvelle salle de classe et ne pas y arriver en retard ? Pourquoi faut-il apprendre par cœur les noms de tous ces nouveaux professeurs, un pour chaque sujet d’étude ? Que de travail pour plaire à chacun ! Autre question, pourquoi autant de professeurs différents pour enseigner autant de sujets que dans l’ancienne école ? Tous ces professeurs ne peuvent-ils pas faire le même effort que l’ancien instituteur pour maîtriser tous les cours ?
En primaire, tout le monde se connaissait par le prénom ou le nom de famille. Chacun avait sa réputation pour laquelle il avait fallu batailler dur. Même les durs à cuir avaient travaillé pour être reconnus tels quels.
Dans ce collège, on est là incognito, noyé dans la masse. On a été sage toute sa vie mais, dans cette confusion anonyme, une seule anecdote peut changer la donne.
C’est ce qui s’est passé une matinée froide d’octobre. Le petit garçon commence à peine à prendre ses marques dans ce nouvel établissement. Il connaît par cœur son emploi du temps, la localisation de toutes ses salles de classe ainsi que les noms de ses professeurs. Il a déjà ses préférences. Pour les élèves, il ne s’est pas encore fait de copain potentiel avec lequel discuter de dessins animés et des devoirs à rendre. Il a toujours la nostalgie de ses années de primaire et essaye de rester en contact avec son meilleur copain malgré les emplois du temps qui ne coïncident pas.
A 10h05, la sonnerie a déjà retenti depuis 5 bonnes minutes, c’est l’heure de la récréation. En passant devant une salle de classe aux larges fenêtres, il aperçoit justement ce meilleur copain qu’il n’a pas vu depuis au moins 2 semaines. Comme ça fait plaisir ! Il décide d’attendre devant la fenêtre, que ce professeur décide enfin de les laisser sortir pour la récréation, elle prend son temps. Son copain l’a vu et lui fait un petit signe de la main et un sourire chaleureux. En réponse, il lui rend son coucou de la main, ample et innocent.
Ce geste plein d’innocence attire les foudres de la surveillante, cette jeune femme de caractère, intimidante, à la plastique généreuse d’une Béatrice Dalle au meilleur de sa forme, au look excentrique de cow-girl, à la mode de l’époque. Alors qu’elle fume sa cigarette dans la cour de récréation et discute amicalement avec les élèves fortes têtes du collège, elle voit ce petit garçon rebelle perturber un cours et se doit donc de montrer son autorité et de remettre dans les rangs ce jeune perturbateur. Elle écrase sa cigarette sous le talon de sa santiag pointue et va à la rencontre du chahuteur. D’une force assez inattendue, elle l’attrape derrière le col de son imperméable et le lui remonte presque à hauteur du crâne, elle le tire ensuite à l’écart des fenêtres de la salle de classe. La prise sur l’imperméable n’étant pas confortable, elle le lâche et lui pince l’oreille et le tire encore plus loin. S’en suit une véritable leçon de civisme et un rappel sur le règlement intérieur de l’établissement avec force et persuasion, sans prêter attention à la petite foule qui s’agglutine autour pour ne rien manquer du spectacle de ce petit binoclard de 10 ans qui n’en mène par large devant cette amazone d’une vingtaine d’années le dépassant de 2 têtes, ses formes féminines toutes en courbes surlignées dans un jeans très serré, ceinture et ceinturon de type western, un chemisier échancré laissant apparaître sa grosse poitrine et ses santiags dangereuses.
Toute une réputation de garçon sage gâchée pour un simple geste innocent.
Un geste innocent puni par l’archétype même de la Femme qui hantera des nuits pendant de nombreuses années, même encore 25 ans plus tard.
Une Femme, un corps, des attitudes, un style vestimentaire, une situation humiliante alimentant des désirs et des fantasmes d’un petit garçon qui encore à ce jour a du mal à devenir un homme.
vendredi 15 février 2013
Ghetto Youth New Generation 2 : politesse de voisinage
– Alors, t'as eu quoi comme sanction ? Demanda Scara.
Elle était assise sur l'immense lit de Fanta, en pyjama. Un tee shirt moulant orange hello kitty qui laissait voir ses énormes seins et ses bourrelets, et un petit short en peau de pêche rose.
– Ces fils de pute m'ont viré 2 semaines.
– Franchement, c'est tranquille, je croyais t'aurais été virée définitivement moi. Dit Zaza qui assise par terre, se faisait coiffer par Fanta.
– Le gars il insulte ma mif, c'est normal je me défends, nan ?
– En tout cas, dit Zaza, tes darons ont dit quoi ?
– Ils savent même pas encore mais je vais dire à ma mère que mon prof les avait insulté, elle sera de mon côté c'est sûr.
Fanta portait un legging léopard, et un débardeur noir simple, transparent et très moulant, elle n'avait pas de soutien gorge, mais ses seins tenaient tout seuls.
– Putain y'a des meufs qui se respectent pas wallah ! Cria Scara.
– Y'a quoi ? Demanda Zaza.
– Je suis sur facebook là, avec mon blackberry. Samedi dernier y'a eu une grosse réssoi dans le 78. Y'a Laura qui s'est faite baisée par 2 bougs en même temps à ce qui paraît. Y'a une photo bien sale qui circule sur fb.
– Azi montre, montre ! Demanda Zaza.
On pouvait voir à la une de l'accueil de Scara, une photo de la Laura en question, l'air jovial, tenant deux gros pénis noirs dans sa main.
– Mais c'est des gamins, les bougs, d'afficher Laura comme ça aussi. La go elle a que14 ans wesh. Dit Zaza.
– 14 ans ou pas, c'est une tchoin, elle est dégeulasse. Dit Scara d'un ton méprisant. Et toi, t'étais pas à cette réssoi ? Demanda t-elle à Fanta.
– Si si, je suis partie là bas avec Alvin.
Gloussements de Scara et Zaza.
– ça a du être chaaaaaaud ! Aïe aïe aïe ! S'esclaffa Scara.
– Vas y raconte ! Demanda Zaza, vous l'avez enfin fait ?
– Même pas...
Soupirs de Scara et zaza.
– Mais t'attends quoi wesh ? Demanda Scara.
– Une fois il m'a doigté, juste un doigt et ça m'a fait archi mal. Donc j'imagine même pas avec sa bite. Elle est énorme wesh.
– Tu sais pas ce que tu rates ! Dit Scara.
– En même temps c'est normal que t'aies eu mal, le boug il commence à te doigter comme ça, direct. Tu mouillais même ? Demanda Zaza, l'air experte.
– Franchement un peu, on venait de s'embrasser, et il me caressait les seins en même temps..
– Ouais c'est pas assez. Tu demandes à Alvin de te lécher, tu vas bien mouiller et en plus y'aura sa salive, donc t'inquiète pas, ça va glisser tout seul.
Scara poussa un faux gémissement qui fit rire ses amies.
– Arrête de parler de ça comme ça wesh, tu donnes envie aux gens comme ça là ! Mais j'ai pas de boug en ce moment ! Dit-elle.
– Mais ça vous fait pas mal ? Demanda Fanta.
– Au début, si, normal. Mais après... C'est doux même ! Avoua Scara.
Fou rire général.
– Salle folle, va ! Lui dit Fanta, en lui jetant un coussin dans la tête.
Scara rit, et chantonna un air de la chanson de Khia « Lick my pussy and my crack », en bougeant son bassin de manière très explicite.
– Sinon pour la première fois t'auras qu'à faire ça avec un blanc à petite bite. Dit Zaza.
– Avec un blanc ? Sale ! Dit Fanta.
– Ouais genre le gros lossbo qui kiffent sur tes 'iep là ! Dit Scara en riant.
– Ouais viens on va le voir là ? Demanda Fanta
– Il est pas encore là, il rentre toujours à 22h. Je sais parce que je l'entends toujours souffler comme un gros porc quand il ouvre sa porte. Le boug il est tellement gros, rien qu'en faisant 3 pas il est essoufflé. Il dégoûte, j'ai juré !
– C'est dans 10 minutes seulement. On a qu'à l'attendre devant sa porte. Dit Scara.
– 'Azi, approuva Fanta.
Elle se leva, et se déshabilla. Elle portait juste un string.
– Putain elle est trop bien foutue cette meuf. Dit Zaza à Scara en parlant de Fanta.
– J'te jure. On dirait elle grossit jamais. J'aurais un corps comme le tien, je passerais mon temps à baiser avec des bougs beaux de ouf wallah. Surtout avec Alvin. Humm.
Fanta pouffa de rire. Elle choisit dans son armoire une jupe extrêmement courte et extrêmement moulante noire, et un débardeur décolleté noir. Beaucoup de bracelets en argent. Un bracelet de cheville. Comme chaussures, elle mit simplement ses tapettes (ou claquettes ou tongs) roses.
Zaza mit un foulard sur ses cheveux pas totalement coiffés, prit un sac de bonbons krema qui traînait sur le lit, et les 3 comparses se rendirent dans la cage d'escalier.
Arrivées seulement sur le pallier, la porte de l’ascenseur s'ouvrit et un grand homme blanc, assez rond en sortit.
– Bonsoir, dit-il, un peu intimidé.
– C'est lui le gros porc ? Demanda Scara.
Fou rire.
– Oui c'est lui, mais wesh parle mieux il est devant toi. Dit en riant Fanta.
– Et alors ?!
– Monsieur, c'est vrai que vous kiffez lécher les pieds des meufs ? Demanda Zaza.
– Heu.. Excusez moi ?
– Wesh t'es sourd ou quoi ? A ce qui paraît, tu mattes les pieds de ma pote. Tu lui as même dit qu'ils étaient beaux.
– ... Je ne sais pas de quoi vous parlez.
– Ah ouais, donc ma pote c'est une menteuse ?
– Non non je n'ai pas dit ça.
– Bah tu lui as dit qu'elle avait des beaux pieds ou pas ?
– Heu … Oui oui c'est vrai je le lui ai dit. Mais ce n'était pas pour l'offenser. Dit il en ouvrant la porte de chez lui, bon, eh bien, bonne soirée.
– Tu nous invites pas ? Demanda Zaza.
– Pardon ?
– Ouais, c'est vrai, renchérit Fanta, t'es mon nouveau voisin, tu m'as même pas invité chez toi pour te présenter. C'est ce que les gens polis font.
– Heu... écoutez, j'ai passé une rude journée et il faut que j'aille me coucher. Bonne soirée.
Et il ferma sa porte.
- Il est pas sérieux là ?! Dit Scara.
Choquées et énervées les 3 comparses décidèrent de ne pas en rester là. Elles se mirent à tambouriner sa porte, et à appuyer sur sa sonnerie sans interruption.
Après 3 minutes de vacarme, le gros porc vint ouvrir la porte.
– S'il vous plaît, arrêtez.
– Laisse nous entrer 3 minutes alors. Si tu nous laisses rentrer tu pourras lécher les pieds de Fanta. Dit Scara.
Fanta lui fit son plus beau sourire.
– Je n'ai aucune envie de lécher les pieds de votre amie, s'il vous plaît, laissez moi.
– Si tu nous laisses pas entrer vite fait, je dis à mes parents et à mes frères que tu m'as fait des attouchements dans l’ascenseur, et wallah t'es mort. Dit Fanta à son voisin.
Choqué il ne répondit rien, et les 3 filles en profitèrent pour rentrer dans son appartement.
– Non mais qu'est ce que vous voulez à la fin ?
– Faire connaissance, c'est tout wesh. Dit Zaza.
Zaza et Scara se dirigèrent vers la cuisine, tandis que Fanta s'assit sur le canapé du salon.
– Tu peux t'asseoir si tu veux, on reste pas longtemps t'inquiète, c'est juste pour parler despi, dit Fanta au gros porc.
– Ok... Pas longtemps alors.
Il s'assit à côté de Fanta.
– Tu t'appelles comment ? Demanda Fanta
– Guillaume.
– Ah ok, et t'aimes mes pieds Guillaume ? Dit elle en dépliant ses longues et fines jambes brunes sur le canapé, si bien que ses pieds étaient posés sur les cuisses de Guillaume.
– … Qu'est ce que vous faîtes ?
– Bah réponds wesh. Si tu réponds pas ça veut dire que tu les trouves moches.
– Heu...
Guillaume était déstabilisé.
– T'es sérieux là, tu les trouves moches ?
– Non pas du tout, ils sont magnifiques.
– 'Azi, masse les, j'ai grave marché aujourd'hui.
– Heu, je ne crois pas que...
Fanta lui donna un puissant coup de pied au visage.
– Fais le c'est tout. Et je pars vite de chez toi après.
Rouge de honte, Guillaume commença à masser les petits pieds cambrés et fins de Fanta.
Fou rire de Scara et Zaza qui revenaient de la cuisine, bouteilles de coca à la main.
– Vous êtes sérieux là ?! Ça va tu te mets bien toi ! Dit Scara à Fanta.
– C'est mon esclave maintenant ! Il a tout compris, dit Fanta, l'air satisfaite.
– Eh monsieur, t'aimes lécher les pieds ? Demanda Scara à Guillaume.
– Heu …
– Réponds rapidement, sinon on reste là toute la soirée.
– J'aime lécher les pieds des femmes, oui.
– Vas-y lèche les pieds de Fanta alors, lui ordonna Scara.
Guillaume rougit.
Fanta éclata de rire.
– C'est mort, il pose sa vieille langue de babtou sur moi, la vie de ma mère je le défonce.
– Vas y essaie ça fait une expérience, dit Zaza, ça se trouve c'est doux.
– C'est mort. Conclue Fanta. Vous avez qu'à essayer vous.
Scara enleva ses chaussettes et présenta ses pieds à Guillaume.
– Lèche mes pieds. Dit-elle à Guillaume.
Ses pieds étaient plus grands et plus larges que ceux de Fanta. Ses orteils étaient longs. La plante était noircie, certainement parce qu'elle avait dû beaucoup marcher pieds nus avant.
Fanta et Zaza éclatèrent de rire.
– Sérieux tu veux que ce gros porc mette sa langue sur oit ? Demanda Zaza.
– On m'a déjà léché les seins, le ventre, la chatte, même le cul, à chaque fois je pensais que j'allais pas aimer, mais en fait c'était doux. Ça se trouve là, je vais kiffer.
Guillaume était dépassé.
– Mesdemoiselles, je ne suis pas un esclave, si vous voulez qu'on vous lèche les pieds, achetez vous un chien. Maintenant partez, ça fait plus de 3 minutes que vous êtes ici.
Scara, énervée, se leva et gifla le crâne chauve de Guillaume.
– C'est toi le chien ici, donc maintenant tu lèches mes pieds et c'est tout.
– Vous n'avez pas à me frapper ! Partez de chez moi !
Elle lui donna un coup de genoux dans les parties.
Le souffle coupé, Guillaume tomba à terre. Fou rire général.
– Maintenant, tu lèches.
Et Guillaume, humilié, rouge de honte, commença à passer lentement sa langue sur les pieds sales de Scara. Dégoûté par la saleté, il ne léchait ses pieds qu'avec le bout de sa langue.
– Tu kiffes ? Demanda Fanta.
– Ça va, normal. Je préfère quand même qu'on me lèche la chatte ou les seins mais bon, c'est tranquille. Dit-elle fièrement. Lèche pas qu'avec le bout de la langue, gros porc, passe toute ta langue sur mon pied ! Ajouta t-elle à Guillaume en lui donnant un coup de pied dans le nez.
Il eut très mal mais s'exécuta.
– Moi aussi, je veux que tu me lèches les pieds en fait. Dit Fanta en donnant un coup de pied dans le ventre de Guillaume.
Guillaume s'approcha des pieds de Fanta et les lécha avidement.
– Tema le boug, on dirait il va te manger les pieds, il fait trop peur ! Dit Zaza.
– J'te jure ! Dit Fanta.
– Eh mais guette la bosse ! Ah guette comment il bande ce batard ! Dit Scara.
Cris dégoûtés des filles.
– Sale gros porc ! Lança Fanta en donnant un énorme coup de pied dans le nez de Guillaume.
Il gémit, un long filet de sang jaillit de son nez. Elles en profitèrent pour s'enfuir rapidement.
Dans la course, Fanta se rendit compte au contact de son string qu'il était un peu mouillé. Elle décida de retourner voir Guillaume lorsque ses amies seraient parties....
jeudi 14 février 2013
Minutes orientales
Blog http://princesses-maghreb.forumgratuit.org/
« Mademoiselle Sherazade » par soumis La Khaba
Mademoiselle Sherazade a repondu a une de mes annonces sur le net.
Elle a 20 ans, et je l'ai rencontrée une première fois vers la Part Dieu, après un échange de sms.
Elle m'a dit qu'Elle aime exploiter les francais, et qu'Elle avait deux copines qui partagent Son gout pour ca.
Nous avons convenu d'un rendez Vous vers le centre commercial. Elles seraient deux.
je devais Leur remettre a chacune 50 euros, juste pour Leur montrer que je suis serieux.
je Les ai attendu docilement a l'endroit convenu. je scrutait les alentours en essayant de Les reperer.
j'ai fini par voir arriver tranquillement deux ravissantes Jeunes Filles. Elles se sont dirigées vers moi. Nous nous sommes isolés dans un coin tranquille.
Elle m'ont dit "bonjour" et je Leur ai repondu "bonjour Mesdemoiselles". je Les ai un peu regardées avant de baisser ensuite définitivement les yeux. Elle étaient tout a fait charmantes, très jeunes. Mademoiselle Sherazade était accompagnée d'une amie de 19 ans. Celle ci a dit a Mademoiselle Sherazade qu'Elle aimait que les hommes baissent les yeux devant Elle et que j'avais l'air très soumis.
je Leur ai offert a chacune les 50 euros convenus. Nous avons discuté un peu et convenu que je Leur proposerai une autre rencontre, a l'hotel cette fois ci pour qu'Elles puissent m'humilier. Elle sont reparties tranquillement avec Leur argent.
j'ai revu Mademoiselle Sherazade il y a 48h, pour un autre rendez Vous devant la grande poste de Bellecour.
Cette fois ci Elle était accompagnée d'une autre amie a Elle, évidemment Maghrébine aussi, qui devait avoir elle aussi 18 ou 19 ans. Mademoiselle Sherazade a empoché les 100 euros que j'avais retiré pour Elle quelques minutes avant. Elle m'a dit qu'Elle voulait que je trouve vite un hotel pour qu'Elle puisse me dresser.
Son amie est restée silencieuse, Elle etait sans doute moins a l'aise, ou moins experimentée, mais j'espère qu'Elle va vite prendre Elle aussi le gout a l'exploitation des francais.
Elle sont reparties toutes les deux, et je pense qu'Elles ont du bien s'amuser ensuite...
j'espère qu'Elles seront toutes les trois a l'hotel pour s'occuper de moi...
Mademoiselle Sherazade me l'a assuré.
Elle a 20 ans, et je l'ai rencontrée une première fois vers la Part Dieu, après un échange de sms.
Elle m'a dit qu'Elle aime exploiter les francais, et qu'Elle avait deux copines qui partagent Son gout pour ca.
Nous avons convenu d'un rendez Vous vers le centre commercial. Elles seraient deux.
je devais Leur remettre a chacune 50 euros, juste pour Leur montrer que je suis serieux.
je Les ai attendu docilement a l'endroit convenu. je scrutait les alentours en essayant de Les reperer.
j'ai fini par voir arriver tranquillement deux ravissantes Jeunes Filles. Elles se sont dirigées vers moi. Nous nous sommes isolés dans un coin tranquille.
Elle m'ont dit "bonjour" et je Leur ai repondu "bonjour Mesdemoiselles". je Les ai un peu regardées avant de baisser ensuite définitivement les yeux. Elle étaient tout a fait charmantes, très jeunes. Mademoiselle Sherazade était accompagnée d'une amie de 19 ans. Celle ci a dit a Mademoiselle Sherazade qu'Elle aimait que les hommes baissent les yeux devant Elle et que j'avais l'air très soumis.
je Leur ai offert a chacune les 50 euros convenus. Nous avons discuté un peu et convenu que je Leur proposerai une autre rencontre, a l'hotel cette fois ci pour qu'Elles puissent m'humilier. Elle sont reparties tranquillement avec Leur argent.
j'ai revu Mademoiselle Sherazade il y a 48h, pour un autre rendez Vous devant la grande poste de Bellecour.
Cette fois ci Elle était accompagnée d'une autre amie a Elle, évidemment Maghrébine aussi, qui devait avoir elle aussi 18 ou 19 ans. Mademoiselle Sherazade a empoché les 100 euros que j'avais retiré pour Elle quelques minutes avant. Elle m'a dit qu'Elle voulait que je trouve vite un hotel pour qu'Elle puisse me dresser.
Son amie est restée silencieuse, Elle etait sans doute moins a l'aise, ou moins experimentée, mais j'espère qu'Elle va vite prendre Elle aussi le gout a l'exploitation des francais.
Elle sont reparties toutes les deux, et je pense qu'Elles ont du bien s'amuser ensuite...
j'espère qu'Elles seront toutes les trois a l'hotel pour s'occuper de moi...
Mademoiselle Sherazade me l'a assuré.
« Mademoiselle Nadia » par soumis la Khaba
j'ai contacté Mademoiselle Nadia par le net, ou plutot c'est Elle qui a repondu a une annonce que j'avais postée.
Nous avons échangé nos numeros de portables, puis discuté un peu par telephone. je Lui ai avoué mon immense admiration pour les Maghrébines qui exploitent des francais, et le tres grand respect que j'ai pour Elles.
je Lui ai dit que j'aimerai énormément Lui offrir de l'argent lors d'une rencontre en ville. Evidemment Elle était d'accord et nous avons rapidement convenu d'un rendez vous dans un coin discret. Pour ceux qui connaissent Lyon, il s'agit de la Doua, c'est un quartier tranquille ou il y a un grand campus universitaire, mais avec beaucoup de coins tranquille, des bosquets, de la verdure, des petites allées, etc...
Nous avons fixé l'heure, et je suis arrivé un peu en avance, avec les 100 euros que je devais Lui remetre. Par pur plaisir, je portais une cage de chasteté, afin d'etre tres excité, mais sans pouvoir avoir d'érection.
Aussitot arrivé, je Lui ai envoyé un sms pour Lui dire que j'etais pret.
Elle a pris Son temps, puis est venue au lieu du rendez vous. Quelle excitation d'attendre ainsi Celle qui devait profiter de moi!
Quand je l'ai vue arriver, j'ai vu une ravissante Jeune Femme, aux longs cheveux chatains méchés de blond, vetue d'un jean avec des bottes en cuir par dessus.
Elle s'est approchée de moi, j'ai évidemment baissé les yeux, et Elle m'a dit "viens par là", d'un ton hautain et autoritaire. je l'ai suivie, Elle s'est dirigée vers un recoin un peu plus discret, et s'est ensuite retournée vers moi. Elle a simplement dit "alors?"
j'ai aussitôt tendu les deux billets de 50 euros, qu'Elle a pris.
je Lui ai dit "merci Mademoiselle", en gardant toujours les yeux baissés en signe de respect.
Elle m'a regardé un moment sans rien dire. Puis Elle a dit d'un ton méprisant "j'ai envie de te cracher à la gueule!"
je n'ai pas répondu. j'ai gardé les yeux baissés. j'avais peur qu'Elle le fasse car j'aurais été souillé et je devais rentrer chez moi, mais en même temps, j'avais terriblement envie de sentir son crachat sur mon visage.
Au bout de quelques secondes pendant lesquelles j'ai senti qu'Elle hésitait vraiment à me cracher dessus, Elle a fini par cracher par terre devant moi. j'ai vraiment senti le mépris et le degout que je Lui inspirais.
Puis Elle m'a dit "on se reverra" et Elle est partie sans se retourner.
j'etais honteux, penaud, et tres excité.
Nous avons échangé nos numeros de portables, puis discuté un peu par telephone. je Lui ai avoué mon immense admiration pour les Maghrébines qui exploitent des francais, et le tres grand respect que j'ai pour Elles.
je Lui ai dit que j'aimerai énormément Lui offrir de l'argent lors d'une rencontre en ville. Evidemment Elle était d'accord et nous avons rapidement convenu d'un rendez vous dans un coin discret. Pour ceux qui connaissent Lyon, il s'agit de la Doua, c'est un quartier tranquille ou il y a un grand campus universitaire, mais avec beaucoup de coins tranquille, des bosquets, de la verdure, des petites allées, etc...
Nous avons fixé l'heure, et je suis arrivé un peu en avance, avec les 100 euros que je devais Lui remetre. Par pur plaisir, je portais une cage de chasteté, afin d'etre tres excité, mais sans pouvoir avoir d'érection.
Aussitot arrivé, je Lui ai envoyé un sms pour Lui dire que j'etais pret.
Elle a pris Son temps, puis est venue au lieu du rendez vous. Quelle excitation d'attendre ainsi Celle qui devait profiter de moi!
Quand je l'ai vue arriver, j'ai vu une ravissante Jeune Femme, aux longs cheveux chatains méchés de blond, vetue d'un jean avec des bottes en cuir par dessus.
Elle s'est approchée de moi, j'ai évidemment baissé les yeux, et Elle m'a dit "viens par là", d'un ton hautain et autoritaire. je l'ai suivie, Elle s'est dirigée vers un recoin un peu plus discret, et s'est ensuite retournée vers moi. Elle a simplement dit "alors?"
j'ai aussitôt tendu les deux billets de 50 euros, qu'Elle a pris.
je Lui ai dit "merci Mademoiselle", en gardant toujours les yeux baissés en signe de respect.
Elle m'a regardé un moment sans rien dire. Puis Elle a dit d'un ton méprisant "j'ai envie de te cracher à la gueule!"
je n'ai pas répondu. j'ai gardé les yeux baissés. j'avais peur qu'Elle le fasse car j'aurais été souillé et je devais rentrer chez moi, mais en même temps, j'avais terriblement envie de sentir son crachat sur mon visage.
Au bout de quelques secondes pendant lesquelles j'ai senti qu'Elle hésitait vraiment à me cracher dessus, Elle a fini par cracher par terre devant moi. j'ai vraiment senti le mépris et le degout que je Lui inspirais.
Puis Elle m'a dit "on se reverra" et Elle est partie sans se retourner.
j'etais honteux, penaud, et tres excité.
« Une soirée avec Maîtresse M****** » par soumis Jhomdocile
J'avais rencontré MaitresseM******* la veille suite à son annonce : elle me donnait rdv pour faire connaissance.
Je découvrais Maitresse M********, comme une splendide jeune femme de 25ans, très classe.
Sous son charme et son autorité naturelle évidente, je lui proposais alors de l'inviter à dîner, ce qu'elle accepta. Je me laissais guider par elle. Puis elle voulut prendre le thé dehors, en terrasse, dans un quartier relativement animé le soir. Puis elle me fit m'agenouiller devant elle (donc devant la rue passante) et me demanda de glisser son cadeau dans sa chaussure. D'abord hésitant avec le monde autour de nous, je me suis mis à genoux devant elle et finalement, j'ai passé presque 2minutes à lui caresser ses chaussures avant de lui glisser les billets.
Je ne vous raconte pas les clients autour de nous, la tête qu'ils tiraient...
Puis j'ai raccompagné Maitresse M****** à son taxi.
Le lendemain, Maitresse M******* me recontactait par sms, demandant de la rejoindre pour prendre un verre. Elle était accompagnée d'une amie un peu plus jeune qu'elle, également domina, très belle elle aussi.
Nous sommes ensuite allé dîner, bien sûr j'ai reglé la note avec plaisir.
Elles sont ensuite allées voir des amis, je devais les attendre pour les retrouver plus tard.
Maitresse M********* me renvoyait un sms disant qu'elles étaient sur le point d'arriver, et donc d'aller m'installer en terrasse et de commander pour elles.
Nous passions un moment fort agréable, Maitresse M******** est une jeune femme très cultivée.
Maitresse M******** coupa alors la conversation, pour me dire qu'elle voulait que nous allions chez elle, qu'elle avait très envie de me dominer. Elle fit signe au serveur de m'apporter la note.
Nous allions vers son appartement quand arrivé au niveau d'une agence bancaire, elle et son amie me firent m'arrêter devant le Dab. Entouré par elles, je pianotais sur le clavier quand Maitresse M******** voulut taper elle même le montant nécessaire à retirer.
Arrivé chez elle, je leur remettais chacune leur offrande.
Maitresse M******* me fit mettre nu, demandait à son amie de me passer les menottes et moi d'embrasser les pieds de son amie.
J'eus l'honneur de masser les pieds de Maitresse M. ainsi que ses jambes.
Puis elle demanda que j'ai la même attention pour son amie.
Il se faisait tard, Maitresse M******** ordonna que je me rhabille et de prendre la porte.
Je découvrais Maitresse M********, comme une splendide jeune femme de 25ans, très classe.
Sous son charme et son autorité naturelle évidente, je lui proposais alors de l'inviter à dîner, ce qu'elle accepta. Je me laissais guider par elle. Puis elle voulut prendre le thé dehors, en terrasse, dans un quartier relativement animé le soir. Puis elle me fit m'agenouiller devant elle (donc devant la rue passante) et me demanda de glisser son cadeau dans sa chaussure. D'abord hésitant avec le monde autour de nous, je me suis mis à genoux devant elle et finalement, j'ai passé presque 2minutes à lui caresser ses chaussures avant de lui glisser les billets.
Je ne vous raconte pas les clients autour de nous, la tête qu'ils tiraient...
Puis j'ai raccompagné Maitresse M****** à son taxi.
Le lendemain, Maitresse M******* me recontactait par sms, demandant de la rejoindre pour prendre un verre. Elle était accompagnée d'une amie un peu plus jeune qu'elle, également domina, très belle elle aussi.
Nous sommes ensuite allé dîner, bien sûr j'ai reglé la note avec plaisir.
Elles sont ensuite allées voir des amis, je devais les attendre pour les retrouver plus tard.
Maitresse M********* me renvoyait un sms disant qu'elles étaient sur le point d'arriver, et donc d'aller m'installer en terrasse et de commander pour elles.
Nous passions un moment fort agréable, Maitresse M******** est une jeune femme très cultivée.
Maitresse M******** coupa alors la conversation, pour me dire qu'elle voulait que nous allions chez elle, qu'elle avait très envie de me dominer. Elle fit signe au serveur de m'apporter la note.
Nous allions vers son appartement quand arrivé au niveau d'une agence bancaire, elle et son amie me firent m'arrêter devant le Dab. Entouré par elles, je pianotais sur le clavier quand Maitresse M******** voulut taper elle même le montant nécessaire à retirer.
Arrivé chez elle, je leur remettais chacune leur offrande.
Maitresse M******* me fit mettre nu, demandait à son amie de me passer les menottes et moi d'embrasser les pieds de son amie.
J'eus l'honneur de masser les pieds de Maitresse M. ainsi que ses jambes.
Puis elle demanda que j'ai la même attention pour son amie.
Il se faisait tard, Maitresse M******** ordonna que je me rhabille et de prendre la porte.
« Princesse Andie » par soumis Luciienms
la Sublime et Incomparable MAitresse Andie m'a fait l'honneur d'une premiere rencontre. moi un etre sans honneur ni dignité, je me suis retrouvé en pleine rue gare Montparnasse derriere
un abri bus. autant vous dire qu'il y avait du monde. devant la pharmacie où la Princesse m'avait donné rendez vous je patiente pour voir une très jolie jeune Femme de 18ans maxi, typée, j'apprendrai plus tard ses origines Algeriennes. avec un dégout prononcé Elle me regarde, me dit "t'es moche! tu as le fric?, donne le moi tout de suite" je tends 100e qui disparaissent dans son sac, et là les mains libres Princesse m'envoie une gifle en pleine rue, devant tout le monde et d'une voix forte et sans rien dissimuler Elle me dit " Allez degage, fous le camp pauvre merde" cette humiliation publique si naturelle pour cette Divinité de 18a m'a subjugué, de retour à ma voiture je me suis permis de l'appeler au tel et du lui proposer immédiatement de l'emmener à un DAB. dans la voiture je l'ai conduite au DAB le plus proche j'ai pris les 50equ'il lui revenait immediatement. Princesse m'a giflé à plusieurs reprises avant de quitter la voiture.
JAMAIS je n'avais été traité avec autant de mépris et humilier aussi naturellement.
ces Jeunes Maghrebines ont vraiment quelque chose de plus !! exploiter sans aucun scrupule les gros cons comme nous leur semble si naturel!!
2h plus tard j'ai recraqué et j'ai supplié Princesse de m'autoriser à lui remettre a nouveau 50e devant un DAB. Elle me l'a accordé. 18h dans Paris je me suis tapé1h30 d'embouteillage et autant au retour pour satisfaire l'appetit insassiable de Déesse.
sa franchise est désarmante "pauvre merde je vais TOUT te prendre, ton fric est MON fric et le jour où je ne pourrais plus rien te prendre parce que ruiné , je te jetterai aux ordures, tu ne me servira plus à rien" inutile de lutter cette Princesse à raison et je lui voue ma vie, mon ame (de tout cela Elle n'en a rien à foutre) et mon fric (c'est la seule chose qui l'interesse) MERCI PRINCESSE ANDIE
profitez,exploitez sans scrupule et abusez des cons comme moi, on est là pour VOUS
un abri bus. autant vous dire qu'il y avait du monde. devant la pharmacie où la Princesse m'avait donné rendez vous je patiente pour voir une très jolie jeune Femme de 18ans maxi, typée, j'apprendrai plus tard ses origines Algeriennes. avec un dégout prononcé Elle me regarde, me dit "t'es moche! tu as le fric?, donne le moi tout de suite" je tends 100e qui disparaissent dans son sac, et là les mains libres Princesse m'envoie une gifle en pleine rue, devant tout le monde et d'une voix forte et sans rien dissimuler Elle me dit " Allez degage, fous le camp pauvre merde" cette humiliation publique si naturelle pour cette Divinité de 18a m'a subjugué, de retour à ma voiture je me suis permis de l'appeler au tel et du lui proposer immédiatement de l'emmener à un DAB. dans la voiture je l'ai conduite au DAB le plus proche j'ai pris les 50equ'il lui revenait immediatement. Princesse m'a giflé à plusieurs reprises avant de quitter la voiture.
JAMAIS je n'avais été traité avec autant de mépris et humilier aussi naturellement.
ces Jeunes Maghrebines ont vraiment quelque chose de plus !! exploiter sans aucun scrupule les gros cons comme nous leur semble si naturel!!
2h plus tard j'ai recraqué et j'ai supplié Princesse de m'autoriser à lui remettre a nouveau 50e devant un DAB. Elle me l'a accordé. 18h dans Paris je me suis tapé1h30 d'embouteillage et autant au retour pour satisfaire l'appetit insassiable de Déesse.
sa franchise est désarmante "pauvre merde je vais TOUT te prendre, ton fric est MON fric et le jour où je ne pourrais plus rien te prendre parce que ruiné , je te jetterai aux ordures, tu ne me servira plus à rien" inutile de lutter cette Princesse à raison et je lui voue ma vie, mon ame (de tout cela Elle n'en a rien à foutre) et mon fric (c'est la seule chose qui l'interesse) MERCI PRINCESSE ANDIE
profitez,exploitez sans scrupule et abusez des cons comme moi, on est là pour VOUS
lundi 11 février 2013
Ghetto Youth New Generation 1 : bully le boulet
– Vas-y, donne ton DM d'anglais, m'ordonna Fanta en se laissant tomber sur la chaise à côté de moi.
J'étais nouveau. Depuis mon arrivée dans sa classe, elle avait pris l'habitude de s'asseoir à côté de moi. J'étais le premier de la classe dans pratiquement toutes les matières, alors elle trichait sur moi à tous les contrôles, et elle copiait tous mes devoirs maison. Au début, je trouvais son attitude pénible, mais j'ai vite compris que j'étais un privilégié. Elle et ses 2 meilleures potes étaient craintes comme la peste. Elles rackettaient, bolossaient, agressaient les autres élèves. Filles ou garçons. Élèves ou profs. Le jour de mon arrivée, je l'avais surprise avec son amie Scara cracher sur un garçon parce qu'il avait pas voulu faire les lacets de Fanta. Elle était sympa avec moi, enfin elle était moins désagréable avec moi qu'avec le reste du monde. Elle me tolérait. J'ai dû développer au fil du temps une sorte de syndrome de Stockholm. Vous savez, quand une victime éprouve de l'empathie pour son bourreau. Je m'empressai donc de lui donner mon DM d'anglais, j'avais fait bien attention à mon écriture. Une fois, parce qu'elle trouvait que j'avais trop mal écrit, elle m'a giflé. Sans remerciement, sans regard, elle l'arracha littéralement de mes mains et se mit à le copier. Évidemment, elle n’avait pas de feuilles, alors elle prit ma pochette et en sortit 10 feuilles doubles, à grands carreaux. Comme ça, sans me demander la permission. J'étais habitué maintenant. Et valait mieux ne rien dire, croyez moi. Brusquement des fous rires, de la musique bruyante et des hurlements parvinrent jusqu'à ma classe. Scara et Zaza. Les 2 acolytes de Fanta. Elles déboulèrent bruyamment dans la classe, esquissant des pas de danse de kuduro, une danse cap verdienne je crois. Du portable de Scara provenait une musique bruyante, «Costuleta - Tchiriri Kuduro ». Le prof, nouveau comme moi, ne dit rien. Il les regardait simplement d'un œil hostile mais un peu timoré. Elles s'assirent devant moi et Fanta. Scara ne prit même pas la peine d'éteindre la musique de son portable (qui était au volume maximum) et se dandinait sur sa chaise. Les autres élèves étaient gênés mais ne dirent rien.
– Wesh tu fais quoi là ? Demanda Zaza à Fanta.
– Dm d'anglais.
– Putain j'avais oublié. Quand t'as fini passe le DM.
Je ne dis rien. Elles avaient l'habitude de se partager mon DM. Les profs comprenaient très bien le petit manège mais me punissaient aussi. Ils divisaient la note par 2. J'ai eu l'idée de faire 2 DM, un pour elles et un pour moi. Mais un jour Fanta s'en est rendue compte. Elle m'a littéralement défoncé le visage. Après 3 coups de poings je me suis évanoui. Elle m'accusait d'avoir voulu lui refiler un mauvais DM. Personne n'a bougé.
– Bon, vous arrêtez de faire du bruit maintenant ? Je vais commencer le cours. Dit le prof à Zaza et Scara.
– Bah continue ton cours, personne t'en empêche mon gars. Dit Zaza. C'est un ouf lawis, il parle trop mal j'ai juré, dit elle en parlant à Scara et Fanta qui éclatèrent de rire.
– Pour commencer le cours, il faudrait que les autres élèves puissent l'entendre... Éteignez votre portable.
– Eh putain, on fait rien, t'es là, tu viens nous embrouiller pour rien. Après va pas dire que c'est nous qu'avons commencé à chahuter ou je sais pas quoi. Tu cherches trop les problèmes wallah. Dit Scara, en éteignant son portable. C'est bon, j'ai éteint mon portable, commence ton cours. On perd du temps là.
Fou rire général. Le prof déstabilisé ne dit rien et retourna sur son estrade. Il commença le cours.
Zaza, qui était devant Fanta, se retourna et commença à écrire sur la table de Fanta avec un poska rose. Leurs tables, celles de Fanta, Zaza et Scara étaient recouvertes de tag multicolores. Bien sûr c'est interdit de dégrader les meubles scolaires, mais qui allaient leur dire d'arrêter ? Les profs préféraient largement les voir gribouiller sur des tables qu'agresser des élèves. Après 3 traits, le poska de Zaza l'abandonna. Plus d'encre. Elle interpella Emeline, une petite blanche introvertie, pas loin d'elle.
– Emeline Emeline, donne ton marqueur despi.
Emeline qui savait que si elle acceptait, elle ne reverrait plus jamais son marqueur, fit comme si elle n'avait rien entendu. Grosse erreur.
Scara pouffa de rire, et « engrena en soum soum ».
– Elle t'a pas respecté wallah ! Tu lui parles et elle fait crari t'existes 'ap.
Zaza se dirigea vers Emeline. Sans demander l'autorisation au prof de se lever. Évidemment.
– Wesh, tu comprends pas quand on te parle ?
– Non mais, j'en ai besoin du marqueur, il reste presque plus d'encre.
– Putain ça me fout le seum ça ! T'es quel genre de pince ? Après on dit c'est les noirs et les arabes les plus radins ? En vrai, les gouères c'est les pires à tous les niveaux, j'ai juré !
Gloussements approbatifs de part et d'autre de la classe.
– Non mais j'ai vraiment pratiquement plus d'encre et j'en ai besoin pour le cours d'art plastique !
Zaza attrapa violemment la trousse de Emeline et en sortit le marqueur.
– Azy ta gueule, je m'en bats les couilles de ta vie. Dit Zaza en retournant s'asseoir.
– Oh vous vous calmez là ! Zaza, retourne à ta place ! Ordonna le prof qui sentait les esprits s'échauffer.
– Hey mais rends moi mon marqueur ! Dit Emeline en attrapant le coude de Zaza.
La classe entière, dont le prof, s'arrêta de respirer.
– Mais … t'es pas sérieuse là ? Commença Zaza. Mais t'es sérieuse de me toucher avec des gros doigts de gouères ? Azi fonce dans le mur !
Une gifle partit. Emeline, choquée, se rassit. Le prof, choqué aussi, ne dit rien. Les élèves, excités et hilares, se mirent à crier. D'autres élèves, enthousiastes à l'idée d'une « tape », essayèrent d'engrener Emeline en soum-soum. « Wesh rebelle toi ! La go elle te met une gifle comme ça, tu dis rien ! Respecte toi wsh ! ». Emeline était sur le point de pleurer.
– Bon taisez vous tous maintenant ! Hurla le prof.
Personne ne se tut. Au contraire.
Fanta qui n'arrivait plus à se concentrer pour tricher, se leva d'un coup.
– Wesh fermez vos putain de gueules, y'a des gens qu'essaient de travailler là !
Silence générale. Ça, c'est ce qui s'appelle avoir de l'autorité. Seules Zaza et Scara éclatèrent de rire.
Pendant que le prof débitait son cours, Scara sortit de son faux sac american apparel violet, un pot de crème pour les cheveux au beurre de karité. Elle prit une toute petite quantité de crème et l'étala dans ses cheveux. Scara était d'origine mauritanienne et algérienne. Elle était noire claire, elle avait un nez large et légèrement aquilin, des petits yeux marrons noisettes et toujours entourés de khol. Elle était ronde. Ses cheveux était une touffe de boucles noirs jais. Elle s'en occupait méticuleusement, pour que les boucles soient toujours parfaites. Son vrai prénom était Sarah. On l'avait surnommée Scara à cause de sa crinière noire, qui rappelait Scar, le méchant dans le roi lion. Zaza qui avait terminé son gribouillis sur le bureau de Fanta, sortit sa grosse trousse de maquillage aux motifs africains. Elle en sortit un petit miroir et des crayons pour les yeux. En haut des yeux, elle passa du crayon noir, en dessous du crayon bleu. Le vrai prénom de Zaza était Bénédicte. On l'appelait Zaza parce qu'elle était d'origine Zaïroise, c'etait une « Z » comme on dit, elle en était très fière. Elle avait la peau sombre. Elle sentait toujours l'encens et l'alloco. (De la banane plantain cuite) Elle avait toujours dans ses cheveux, des rajouts, très nombreux, qu'elle rassemblait en un énorme chignon. Elle avait toujours des mèches bleues dans ses cheveux. Et même, toujours un vêtement bleu. Ce jour là, elle portait des superga bleue marine, un jean délavé bleu très clair, déchiré, un faux sweat franklin et marshall de clignancourt bleu clair, une gourmette en argent, et quelques bracelets de perles aux couleurs du Zaïre. Elle avait un nez épaté, une bouche très pulpeuse et des yeux en amande, noirs. Très noirs.
Fanta qui venait de finir de copier mon DM, le passa à Scara et Zaza et s'étira. Elle posa ses pieds sur la table. Bien sûr, se maquiller, se coiffer en cours, poser ses pieds sur son bureau étaient interdits. Mais les profs, et moi même, adorions ces moments. Pas pour les mêmes raisons. Les profs les appréciaient, parce que c'était les seuls moments où elles étaient calmes. Moi, parce que j'étais fascinée par ce spectacle. Je venais d'un petit patelin de Bretagne, et y'avait pas de « gettho youth. », d'ailleurs y'avait pas d'étrangers tout court. Je n'avais jamais connu de filles comme ça. Aussi coquettes, aussi vulgaires. J'étais fasciné par leurs manières, leur mentalité, leur féminité, mais aussi leur masculinité. Le vrai prénom de Fanta est … Fanta. Au début, j'avais pris ça pour une blague, mais ce prénom existe bien en Afrique de l'Ouest. Elle était la chef du groupe. Elle était également la plus belle. Et de loin. Elle était fine. Une coiffure semblable à celle de Zaza mais en mieux. A vrai dire, tout était mieux chez elle. Elle avait un petit nez rond, des grands yeux en amande marrons foncés, une jolie bouche un peu boudeuse. Une peau parfaite. Toujours maquillée. Très maquillée. Une poupée noire. Du khol autour des yeux, du fond de teint brun pour fixer la poudre brune qu'elle mettait ensuite. Du mascara. Beaucoup de mascara. Ce qui lui faisait des cils immenses. Du rouge à lèvre foncés ou du gloss selon les jours. Elle mâchait toujours de façon très vulgaire un chewing-gum à la fraise. Elle avait énormément de bracelets aux poignets, de toutes sortes. Bracelets de perles, et minces bracelets d'argent. 2 bagues sur la main gauche, au pouce et à l'index, 4 à la main droite, sur tous les droits sauf le pouce. Certaines étaient rouillées. Mais elle s'en fichait. Elle s'enduisait toujours les mains de crème au beurre de karité et à la noix de coco. J'adorais cette odeur. C'est vrai que les noirs souffrent davantage de la peau sèche que les blancs. Ils ne sont pas faits pour vivre dans un climat froid, gris et sans soleil. C'est ce que m'avait dit un jour d'un ton méprisant Fanta. Elle se parfumait tout le temps d'un parfum bon marché à la noix de coco. Si bien qu'entourés de ces 3 filles, j'avais parfois la tête qui tournait à cause de toutes ces odeurs qui s'entremêlaient. Ce jour là Fanta était assez peu vêtue. Un mini short en jean déchiré. Un tee shirt blanc sur lequel y'avait un éléphant orange blanc vert très moulant qui laissait apercevoir ses formes parfaites, un ventre plat, et des seins tout ronds. Des spartiates noires. Elle portait un bracelet de cheville en argent. D'innombrables bracelets en perles et en argent à ses poignets qui cliquetaient bruyamment dés qu'elle bougeait la main. Un collier en or sur lequel elle avait mis 2 pendentifs, une main de fatma, et la côte d'ivoire. Son blackberry vibra. Elle le sortit et en apercevant l'écran, un large sourire vint illuminer son visage. Elle venait certainement de recevoir un texto d'Alvin. Son copain. Un métis qui plaisait beaucoup aux ghetto youth. Et d'ailleurs à toutes les filles en règle générale. Il sortait avec des jolies bourgeoises désinvoltes de Neuilly comme il sortait avec Fanta la belle et vulgaire ghetto youth de Clicli. Je le voyais souvent devant le lycée, quand il venait chercher Fanta. C'est vrai qu'il était beau. Je le haïssais pour ça. Mais c'était pas le pire. Fanta lui ayant parlé de moi comme d'un « lossbo qui faisait ses devoirs » il avait pris l'habitude de se moquer de moi avec elle. Devant le lycée. Devant tout le monde. Il était grand, mince, athlétique, cambré presque comme une fille, les traits fins, les dents blanches, les yeux félins bleu vert, les cheveux bruns, la peau caramel. Il n'allait plus en cours, et était mannequin. Et il était stupide. Vraiment stupide. Mais qui s'en préoccupait ?
Le prof, qui continuait le cours, passa à côté de Fanta, et lui effleura le pied.
– Tu peux pas faire attention ? Abruti, dit-elle au prof, qui ne répondit pas.
– Y'a quoi ? Demanda Scara en se retournant.
– Le boug il passe, il me touche le pied, il s'excuse même pas. En plus c'est pas la première fois, dés que j'ai des spartiates il me touche.
– Il doit se branler sur tes 'iep, s'esclaffa Scara en passant ses mains dans ses boucles.
– Ça me fait penser à mon nouveau voisin ! Il est trop chelou. Dés que je porte des chaussures ouvertes, rien qu'il matte mes pieds. Au début je disais rien, juste je le toisais. Normal. Après un jour, le boug il vient me voir il me dit « Vous avez vraiment des beaux pieds ». J'ai même pas répondu wallah, je l'ai tchippé et je suis partie.
– Sérieux ? Tu sais que ça existe les bougs as kom ? A l'ancienne quand j'avais mon skyblog, y'a un gros porc qui m'a envoyé un message crari comme quoi il me proposait 80e pour me sucer les orteils.
Fou rire du petit groupe. Je ris intérieurement pour ne pas attirer l'attention sur moi.
– Je suis sure tellement t'es en chien d'argent, t'as accepté ! Dit Zaza
– Mais t'es une ouf toi, jamais j'accepterai ! Les gens comme ça ils font trop peur, c'est des psychopathes de dingue en scred !
– En tout cas ! Approuva Fanta.
J'appris qu' « en tout cas » était un synonyme de « j'avoue ».
– J'avoue, c'est chelou, mais t'sais y'a plein de bougs qu'ont des délires chelou, moi même quand je sortais avec Ibrahim, tu sais ce qu'il kiffait me faire quand on baisait ? Me donner des fessées et me cracher dessus. Dit Zaza.
Regards dégoûtés de Fanta et Scara.
– Sale. Conclue Fanta.
– Ouais mais encore, qu'un boug ait envie de soumettre vite fait sa meuf c'est plus normal qu'un inconnu qui vient te parler pour te demander de te lécher les pieds. Dit Scara. Encore les seins ou la chatte j'aurais compris, mais les pieds, c'est chelou !
Petits éclats de rire du groupe.
– Viens soir ce, comme on dort chez toi, on rend visite à ton voisin ? Demanda Zaza à Fanta.
– 'Azi, si vous voulez.
– Bon, mon cours dérange pas trop votre petite discussion j'espère ? S'énerva le prof.
– Si ça nous dérange, parle moins fort, nan ? Lança Fanta.
Plusieurs élèves rirent.
– Écoutez, si vous, vous ne voulez pas réussir, c'est bien pour vous. Mais d'autres élèves aimeraient pouvoir étudier. Soyez moins égoïstes. Si vous ne voulez pas étudier, eh bien, ne venez pas en cours !
– Putain il est trop con lawis, dit Fanta, si je viens pas en cours j'ai des absences. Et si j'ai des absences je me fais défoncer par mes darons. Donc nan je viens en cours, et je serai là à tous les cours que tu le veuilles ou non. Baltringue, va.
– Te « défoncer » vraiment ? Si tes parents étaient aussi sévères tu serais mieux éduquée, je pense.
Toute la classe, excitée, commença à hurler. Tout le monde essaya d’engrener Fanta. « Olbataaar ! », « Comment il t'a pas respecté ! » « J'ai entendu tes darons ils t'ont pas éduqué ! ». Fanta se leva. Le prof rougit. Il venait de prendre conscience de son erreur. « On ne parle pas sur les parents. »
– Ah ouais, mes parents ils m'ont mal éduqué ? T'es sérieux quand tu dis ça ? Parce que mes parents sont noirs j'ai pas eu une bonne éducation c'est ça ?
Le professeur commença à paniquer. Ses mains tremblotaient, et sa bouche tressautait.
– Pardon ? Mais ce n'est absolument pas ce que je …
– Putain Monsieur vous êtes un gros raciste en scred ! Lancèrent des élèves.
– Taisez vous ! Cessez d'extrapoler ! C'est pénible à la fin !
– C'est ta daronne l'extrapole ouais ! Lança Scara, évite d'insulter les gens sinon ça va mal se finir wallah !
– Mais extrapoler ce n'est pas une insulte bon sang ! C'est un...
– Azi ta gueule, arrête de parler pour rien ! Dit Fanta.
– Bon ça suffit, Daniel, va chercher le CPE tout de suite ! Dit le prof.
Daniel, qui était un des délégués, se dirigea vers la porte. Fanta l'interpella.
– Daniel, t'es sérieux dans ton délire là ? Si tu vas chercher le CPE, tu vas pas assumer wallah Dit-elle d'un air sadique.
– Daniel, je t'ordonne d'aller chercher le CPE. Je suis le prof, tu m'écoutes. Bon sang, on est où là ?!
– Dans ta mèèère ! Hurla un élève du fond de la classe.
Fou rire général. Mais Daniel ne bougea pas pour autant, il repartit s'asseoir. Il savait très bien qu'il valait mieux une heure de colle, que de se faire coincer par Fanta. Les mains du professeur tremblait.
– Bon bah j'y vais moi même dans ce cas. Vous n'avez pas intérêt à partir ! Dit il en se dirigeant vers la sortie.
Mais Fanta rapidement, se plaça entre lui et la porte.
Le prof fit mine de la pousser.
– La vie de ma mère tu me touches, t'es mort. Dit Fanta d'un air très sérieux
– Maintenant, vous vous poussez. Ordonna le prof fébrilement.
– Sinon tu vas faire quoi ? Dit Fanta sur un ton de défi.
La classe exultait. Tout le monde n'attendait que ça : un affrontement.
– Bon, ça suffit. Dit le prof en poussant Fanta.
Choquée, elle lui attrapa le poignet et le tordit. Il gémit de douleur, courbé. Elle en profita pour lui faire une balayette. Il tomba à terre.
Tous les élèves hurlaient. Ils avaient presque l'air proche de l'orgasme.
Le professeur rougit, et encore choqué par la scène essaya de se relever. Fanta lui donna un puissant coup de pied dans l'abdomen. Il tomba encore une fois à terre, rouge de honte et de douleur.
– Mais tu n'es pas bien de faire ça. Dit il la voix nouée à Fanta.
Il avait l'air sur le point de pleurer. J'avais de la peine pour lui, mais que pouvais-je faire ?
– T'es qu'un raciste ! Et tout le monde en est témoin ! Hurla Fanta.
Tout le monde hurla pour approuver.
– Allez venez on sort tous ! Le cours est terminé ! Dit Fanta.
Et nous sortîmes tous en se bousculant. Dans la bousculade, j'aperçus même Fanta cracher sur le prof.
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