J'ai promis que je raconterai ma soirée de dimanche au centre commercial et au cinéma avec Wilma mais je n'ai pas eu le temps, trop de travail.
Donc, je vais la faire en style télégraphique, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.
Pour résumer, quand je suis arrivé chez elle pour la prendre, elle m'a envoyé un sms pour me dire qu'elle finissait de se préparer et que je devais l'attendre dans la voiture.
Quarante-cinq minutes plus tard (sans mentir), je vois dans le rétroviseur 2 silhouettes féminines, elle n'était pas seule, elle était avec une de ses copines et ne m'a même pas demandé si cela me génait qu'elle se joigne à nous pour la sortie ciné, je pense même qu'elle l'a planifié exprès pour me tester.
Elles étaient toutes les 2 très jolies, bien apprétées, vétues très court.
Le fait que Wilma ne soit pas seule a fait que j'étais donc mal à l'aise pour lui offrir la boîte de chocolat que j'avais achetée pour elle. Petit rire de la copine.
Sur le parking du centre commercial, j'entend quelques sifflets masculins pas trop discrets pour accueillir le mini-short et le décolleté provocateur de la jolie Wilma.
Au Mall, son amie, Rita, me fait savoir qu'elle a froid, qu'elle n'a pas pensé à prendre de gilet ou de petit pull et me demande naturellement si on peut entrer dans une boutique pour qu'elle en choisisse un.
Alors qu'elle me tire par le bras, Wilma, elle, est en train de faire la bise à un grand type croisé dans la galerie commerciale. La jalousie commence à pointer. Elle nous rejoint quelques minutes plus tard au rayon lingerie féminine ce qui me conforte sur l'idée reçue que les femmes n'ont pas trop de sens de l'orientation puisqu'on était entré dans ce magasin pour un pull.
Le petit manteau léger en simili-skaï choisi (les gilets ne lui plaisaient pas), on se retrouve à la caisse, pas de mouvement au niveau des sacs à main, je comprend donc qu'elles comptent sur leur accompagnateur pour régler ce genre de petit problème technique. Je paye, telle est ma nature. Au même moment, Wilma est en train de regarder les bagues, elle s'attarde sur une énorme couleur argent, je crois que si elle me l'avait demandé, je lui aurai payé, les pulsions d'un money slave ne se contrôlent pas facilement.
Elle me fera une petite remarque sympa en sortant du magasin, "Tu sais, il ne faut pas trop nous habituer aux cadeaux, nous les femmes, sinon on peut en abuser facilement."
Nous allons dîner dans un restaurant portugais, le dîner se passe bien, nous faisons connaissance, Wilma me montre sur son Iphone ses photos prises pendant ses dernières vacances au Brésil. Je dois avouer que ses photos m'ont rendu fou car ses poses très sensuelles en boîte de nuit avec ses amies sont sans équivoque.
A 21h50, alors qu'elles commandent des desserts, je leur fais remarquer que le film va bientôt commencer et c'est là que Wilma demande au serveur si la boutique Unitel (opérateur local de téléphonie) est encore ouverte. Il répond que oui, qu'elle ferme dans 10 minutes et elle me demande donc gentiment, sa main sur la mienne, joli sourire charmeur, si je peux me dépêcher d'y aller pour acheter une recharge.
J'y vais au trot sans oublier de redire que le film est presque commencé et en lui laissant un billet pour payer l'addition pendant mon absence, pour gagner du temps (pas très gentleman mais je déteste louper le début d'un film).
A mon retour, elles papotent comme si de rien n'était, en train de boire un café, mes dollars n'étant plus sur la table, j'imagine que l'addition est déjà payée et supplie à nouveau mes invitées pour aller voir notre film.
Le serveur arrive avec la note, quelques secondes de silence, Wilma me regarde dans les yeux, je comprend donc que j'avais fait un très mauvais choix stratégique en lui laissant le billet avant de partir à la boutique Unitel, je paye donc l'addition, pour la deuxième fois comme me criera plus tard mon porte-monnaie.
Au cinéma, les demoiselles réclament des pop-corn, une queue de 10 personnes, et soulagé à nouveau d'une dizaine de dollars, c'est aussi une dizaine de minutes en moins de film mais je ravale mes sentiments négatifs, toujours savourant toute nouvelle expérience de soumission financière à une ou plusieurs femmes.
Le film sera génial, si ce n'est entrecoupé de quelques sonneries de téléphone et de commentaires à haute voix dans le public (localisés comme par hasard juste à ma droite et à ma gauche).
A 01h00 du matin, Rita est déposée chez elle.
A 01h30, une bise chaleureuse de Wilma dans la voiture en bas de chez elle.
A 02h00, de retour seul chez moi à repenser à cette nouvelle expérience sympathique et pleine d'enseignement mais aussi aux quelques heures de repos qu'il me reste avant une nouvelle dure journée de travail.
samedi 3 mai 2014
vendredi 2 mai 2014
Rencontre d'un soumis avec Goddess Shana
http://give-me-your-money-bitches.over-blog.com/
Shana Goddess est de passage à Paris. Comment peut-on connaître cette information et trouver la force de résister à l’élan qui pousse à la supplier de bien vouloir accorder le privilège d’être en sa présence quelques minutes, d’être dépouillé par elle ? Honnêtement, quand on a déjà été confronté à elle, on sait que ce n’est guère possible, que l’attirance vers elle va devenir une obsession et qu’il est des personnes qui s’imposent comme une évidence.
Shana Goddess est de passage à Paris. Comment peut-on connaître cette information et trouver la force de résister à l’élan qui pousse à la supplier de bien vouloir accorder le privilège d’être en sa présence quelques minutes, d’être dépouillé par elle ? Honnêtement, quand on a déjà été confronté à elle, on sait que ce n’est guère possible, que l’attirance vers elle va devenir une obsession et qu’il est des personnes qui s’imposent comme une évidence.
J’ai succombé évidemment, comme le font tous ceux qui ont croisé Shana Goddess sur leur route. C’est donc avec cette boule au ventre que je connais bien que je me rendais à la cité universitaire, le cœur battant plus vite à chaque flot de passagers sortant des rames successives du RER. Autant dire que ça a pas mal palpité car une bonne heure s’est écoulée entre l’heure du rendez-vous et sa concrétisation, m’obligeant à une tension permanente dans l’intervalle, guettant dans chaque vague de voyageurs l’objet de mon obsession, façon de me mettre dans un état d’abandon nerveux avancé lors de la confrontation entre la prédatrice et la proie.
Enfin elle surgit du hall de la gare. A peine le hall franchi, elle s’immobilise debout dans une pose qui semble servir d’illustration au mot « classe ». Je me précipite vers elle : son attente ne doit pas s’éterniser au delà de quelques secondes. « Bonjour Goddess » dis-je humblement. Elle est contente, me tend son sac, me demande où est sa voiture, puis s’élance vivement et je la suis. Elle est à la fois légère et imposante, vive et impressionnante, elle irradie de beauté dans son jean serré et ses bottes. Je hâte le pas pour suivre sa démarche de femme décidée et être à temps devant la portière pour lui ouvrir.
Dès que j’ai pénétré à mon tour dans le véhicule, bam, sa jambe se lève et sa botte s’abat avec vigueur sur le volant. Une grosse botte de cuir noir à semelles à crampons qui respire la puissance. Je sais qu’elle veut que je fasse preuve d’entrée de démonstration du rapport d’infériorité que j’entretiens à elle, et je me penche vers cette botte, je l’enserre avec toute ma tendresse, la couvre de bisous à la hauteur du sentiment amoureux et soumis que j’éprouve. Jugeant sans doute que j’ai atteint un état de passion suffisant, elle me prive soudainement du rapport que j’entretenais avec sa botte et me fait démarrer, non sans avoir mis au clair certaines choses : « tu m’appelles Goddess ». Oui Goddess, évidemment Goddess, rumine-je, dans un état second du fait de la proximité d’une telle créature.
La géographie Shanesque ne tarda pas à nous attirer vers un joli DAB sous des arcanes de pierre. Nous marchons ensemble vers ce but comme un couple moderne : une diva et son blanc à son service. Difficile de travailler mon retiré-de-billet avec Shana Goddess plantée juste à côté, m’imposant plus que jamais sa présence. Aussitôt les billets dans ses mains, elle me fait passer à la suite logique : un second retrait… Oui Goddess, oui Goddess, oui Goddess, je fais sonner ces phrases très logiques dans ma tête pour m’aider à m’exécuter sans mesquinerie, par respect en quelque sorte.
Elle m’explique où elle voudra que je l’amène pour la fin de sa soirée, tout en me précisant qu’elle avait envie auparavant de m’imposer un peu plus son corps. Hin hin, je, glb… Elle me demande de trouver une place quelque part pour se stationner. Non, quand pas même pas comme ça, en pleine rue ? Heureusement (enfin…), l’encombrement urbain de Paris m’amène à devoir me rabattre sur un parking souterrain après avoir trop longtemps cherché, alors que Shana Goddess semblait incommodée, se tortillant quelque peu. Enfin garés, la place est exiguë, elle me dit de me mettre derrière et de me préparer. Pendant que j’obéis, elle sort sur le côté. Je vois qu’elle ne rentre pas tout de suite ; elle s’accroupit ; j’ai compris la source de ses tortillements… ; elle baisse son pantalon et se déculotte ; elle ne s’est à aucun moment préoccupée de savoir si quelqu’un la voyait dans le parking, ni d’utiliser la portière pour cacher ; j’aperçois le jet d’urine, la flaque qui se forme. Une fois soulagée, elle ne se donne pas la peine de reculotter ou même de nettoyer. Elle se présente directement sur la banquette, postérieur en premier. Je dois comprendre à toute vitesse la position à prendre car elle ne prononce pas un mot. Suffisamment vif/passionné, j’arrive à allonger la tête et je me retrouve entre ses cuisses. Elle m’impose le contact de la peau de ses jambes, l’odeur de son entrejambe, le poids de son assise, puis, d’une approche des reins, le goût de sa vulve. La position m’est très pénible. En levant les jambes au maximum, je parviens à gagner un peu de place et mieux placer ma tête et mon cou, me permettant d’utiliser la langue pour bien la nettoyer et tenter de lui procurer quelques sensations. Dans cette position, je ne vois rien et ne peux apprécier, mais ça me permet de me concentrer uniquement sur elle. A force d’efforts, je perçois un petit couinement ; je le perçois plus descendant à travers son corps et sa vulve, qui m’enduit de son odeur et de la texture de ses liquidités, que par les oreilles. Omg, je dois dire que ce cocktail est incroyable, franchement cette chatte laisse un goût et un parfum absolument prodigieux. Au gré de quelques tortillements de sa chatte de déesse, je peux saisir quelques bribes de son visage de déesse, de ses seins de déesse, de son ventre déesse. Quand elle juge en avoir eu assez, elle se retire, me laissant suffoqué et à moitié brisé. Je sais que je ne dois pas récupérer mais m’occuper d’elle. En sortant, elle se reculotte, se retourne vers moi, me sourit (je suis content), et m’allonge aussitôt deux mandales Shana-style (seuls ceux qui ont subi comprendront) avant de se réinstaller à l’avant. Au passage, je ne peux détourner mon regard de la flaque sur le sol, je me baisse subrepticement pour en récupérer quelques gouttes sur mon doigt et goûter de nouveau avant de reprendre le volant.
Elle me précise bien qu’elle m’interdit de m’essuyer pour que je sois dans ses odeurs toute la soirée. Je comprends bien le marquage de territoire que représente une telle pratique, et essaye de lui parler du goût incroyable que m’a laissé ce dont elle venait de m’imposer la dégustation. Elle m’explique que sa pisse résiduelle explique en partie cela. Je pense quand même qu’elle dispose entre les jambes d’un sérum divin et addictif dont elle minimise le pouvoir, sans doute parce qu’elle est habituée au pouvoir qu’elle en tire et n’y fait plus guère attention.
Arrivée à destination, elle marche droit à son but, après ce qui n’étaient après tout que 2 heures très ordinaires dans une journée de Shana Goddess.
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