samedi 25 janvier 2014
Blog de Moneyslave-pour-reubeuse
Le divin crachat de Samira
En cette période plutôt calme je remémore certaines expériences passées que je vous fais partager. Celle-ci m'a marqué car elle ne s'est pas déroulé exactement que prévu.
C'était il y a 2 ans, juste avant le premier tour des élections présidentielles, il y avait des affiches partout et cela explique un événement que je vais raconter.
J'avais répondu à une annonce et j'étais en conversation par mail avec une jeune fille de 21 ans, Algérienne, Samira. J'avais une envie folle d'un plan DAB mais peu de moyens, raison pour laquelle je pensais que nous pouvions tomber d'accord.
Finalement, nous nous sommes mis d'accord sur la simple remise de 80 euros dans un banc d'un parc urbain. J'étais en avance au lieu du rendez-vous (je ne connaissais pas ce parc et étais parti
avec une demi-heure de plus que la durée normale. J'atendais sur un banc, le premier après une entrée du parc définie, j'avais un t-shirt rouge. J'ai croisé plusieurs jeunes Maghrébines à qui j'aurais volontiers
donné mon argent mais ce n'était pas elle. Elle connaissait mon visage car je lui avais envoyée une photo. D'elle je ne connaissais que sa voix et la photo d'un doigt me faisant un fuck.
J'ai de suite compris que c'était elle lorsque j'ai vu une belle fille, cheveux chatains, assez ronde, avec des jeans moulants et un t-shirt plein de paillettes. Elle s'est dirigée vers moi en souriant. Le
sourire carnassier de la Rabza devant sa proie blanche, celle qui sait qu'elle va dépouiller très facilement un clebs sans libre arbitre. Je reste assis pendant qu'elle reste debout, accentuant encore
l'aspect dominante / soumis. Je lui tends les billets, elle me les arrache me faisant bien comprendre que cet argent a toujours été à elle, que 80 euros ce n'est rien et que je devrais avoir honte.
Effectivement, je me sens tellement honteux de la faiblesse de la somme, d'offrir de l'argent à un moment où j'en ai bien besoin à une inconnue.
C'est un sentiment que les moneslaves doivent bien connaitre :
on se sent tellement dévalorisé par l'acte que notre confiance s'en trouve encore diminuée et donc l'impérieuse nécessité de recommencer. Alors, je cherche dans mon portefeuille les billets que j'avais encore mais que je souhaitais garder. Et je sors les billets, un de 20, deux de 10 et un ou deux de 5, 45 ou 50 euros au total, en plus de 130 euros. Je la vois sourire, satisfaite de cet argent en plus.
Aussitôt, en une seconde, ce sourire se transforme en une expression de colère méprisante. "Bâtard, tu avais dit que tu ne pouvais que 80 euros." Je baisse la tête et subis un assaut verbal. A ce moment, je n'ai plus la peur qui me paralysait quelques secondes avant, celle qui me paralyse toujours dans les endroits publics, que des tiers entendent nos échanges. Non, je subis en acceptant pleinement les reproches de cette jeune Algérienne devant qui je ne suis rien.
Elle me dit des mots en arabe, j'imagine des insultes car parfois elle rit. Elle utilise le ressort de l'humiliation raciale, nous avions échangé par courriels, elle a un profond dégoût pour les français, sa famille a subi des morts pendant la guerre d'Algérie. "Avec ce que vous nous avez faits bande de haloufs, vous nous devez le respect, on vous colonise, on prend le flous, fils de pute..." Elle ne le crie mais le dit fortement, je ne sais pas si des gens entendent mais je subis.
Je crois que c'est fini car elle reste silencieuse quelques secondes. Non, elle me dit "regarde moi". Je lève les yeux avec l'air d'un esclave devant sa propriétaire. "Je crache sur les tiens, sur ces connards de halloufs qui votent Marine". Elle gonfle sa bouche et je vois un énorme crachat qui s'écoule lentement à mes pieds. Elle me dit mais j'avais compris ce qui m'attendait, "lèche bâtard, vous votez Marine mais vous kiffez lécher les crachats des Arabes, allez, arrête tes timiniks salope".
Et évidemment, je me baisse en bon chien et lèche le crachat sur le sol. Je me relève avec un regard canin, à ce moment je suis prêt à tout ce qu'elle m'ordonnera. Mais non, elle me regarde, dit faiblement un mot arabe que je ne connais pas et s'en va.
Je la vois s'éloigner, elle se saisit de son Iphone qu'elle avait gardé à la main et commence à taper dessus. Je ne suis même pas sûr qu'elle ait raconté ça à quelqu'un. Non, pour elle je n'existe pas, je ne suis qu'un boloss. Elle s'éloigne de moi et va retrouver
sa vraie vie. Elle m'avait complètement dominé, dévasté en même pas 5 minutes.
Je raconterai peut être d'autres rencontres avec Samira, il y en a 3 autres.3
Souvenir d’un plan DAB avec Nawel
C'était il y a 5 ans, une de mes premières expériences de plan DAB. Cela va rappeler des bons souvenirs à certains : à l'époque un site, Missive, avait une rubrique "money slavery" où les annonces étaient nombreuses.
J'avais posé une annonce pour un plan DAB. Je n'avais pas précisé que je souhaitais une Maghrébine. J'avais eu 4 réponses, toutes en provenance de Filles Arabes. A l'époque cela me surprenait cette sur-représentation.
Depuis, j'ai appris que c'était tout à fait normal. Finalement, c'est avec une jeune Marocaine, Nawel, que les échanges par mails avaient le plus évolué. Le feeling était bien passé. Ce qui m'attirait le plus chez elle était
sa détermination dans cette affaire. A 19 ans, elle avait déjà pratiqué à quelques reprises. Prendre rendez-vous avec un inconnu pour lui prendre de l'argent lui paraissait tout à fait naturel. J'adore cette assurance de
certaines jeunes filles à dépouiller des hommes plus âgés !
Donc, nous nous mettons d'accord sur le lieu, à l'entrée du centre commercial Centre Bourse à 13H00 sur le Cours Belsunce. C'est près de chez elle, elle doit passer par là pour se rendre à sa formation d'aide soignante et pour moi,
je profite de la pause de midi pour me libérer un moment dans un quartier éloigné du mien pour éviter les rencontres malencontrueses.
Je la vois arriver, on se reconnait facilement, au téléphone elle et moi regardant autour de nous. Elle est bien évidemment magnifique. Petite, brune aux cheveux longs et noirs. On devine derrière des habits qui ne la mettent pas
spécialement en valeur, bonnet, doudoune, pantalons amples, baskets (il fait assez froid) des formes féminines déjà bien affirmées. Le plus impressionnant est son regard. Elle doit faire tout juste 1m60, moi 1m80, elle est bien plus jeune que moi mais, au fur et à mesure que j'approche d'elle, j'ai l'impression que c'est elle qui me regarde de haut tellement elle me voit approcher avec supériorité et mépris. Oui, elle va récupérer de l'argent d'un inconnu et cela est tout à fait normal pour elle, c'est ce qui est extrêmement troublant. Pour elle, je ne suis pas quelqu'un de son niveau : je suis un homme, je suis un jambon comme elle aimait me le dire au téléphone, je suis un vieux, un bouffon.
C'est elle qui me fait l'honneur d'être à un rendez-vous avec un être supérieur et cet argent lui est dû.
Elle s'approche, me regarde d'un air de moquerie et d'autorité, me tend la main et me dit simplement "mon fric" comme seule réponse. à mon "bonjour Nawel". Je lui tends, tremlant comme si j'avais Alzheimer, les 2 billets de 50 et le billet de 20 (nous avions convenu de 100 euros, elle constate que je lui ai donné 20 euros de plus mais elle n'a même pas un sourire de surprise, pour elle c'est naturel qu'un gwer donne ses billets à une jeune Marocaine, une Lalla comme elle.
Ses petits doigts me troublent, je les vois prendre avec ce mélange de douceur et de détermination typique des filles du Maghreb. En vrai looser, c'est moi qui la remercie au moment de lui remettre les billets. Elle les mets dans son classeur qu'elle avait à la main, me lance un dernier regard encore plus hautain et se retourne. Je la contemple s'éloigner, le coeur battant à 200 à l'heure. Je sais que mes billets sont bien mieux entre ses jolies mains fines.
J'ai été dépouillé, je retourne travailler, elle va à son cours. Nos vies se sont croisées pendant 1 minute simplement, une minute terriblement intense.
J'avais posé une annonce pour un plan DAB. Je n'avais pas précisé que je souhaitais une Maghrébine. J'avais eu 4 réponses, toutes en provenance de Filles Arabes. A l'époque cela me surprenait cette sur-représentation.
Depuis, j'ai appris que c'était tout à fait normal. Finalement, c'est avec une jeune Marocaine, Nawel, que les échanges par mails avaient le plus évolué. Le feeling était bien passé. Ce qui m'attirait le plus chez elle était
sa détermination dans cette affaire. A 19 ans, elle avait déjà pratiqué à quelques reprises. Prendre rendez-vous avec un inconnu pour lui prendre de l'argent lui paraissait tout à fait naturel. J'adore cette assurance de
certaines jeunes filles à dépouiller des hommes plus âgés !
Donc, nous nous mettons d'accord sur le lieu, à l'entrée du centre commercial Centre Bourse à 13H00 sur le Cours Belsunce. C'est près de chez elle, elle doit passer par là pour se rendre à sa formation d'aide soignante et pour moi,
je profite de la pause de midi pour me libérer un moment dans un quartier éloigné du mien pour éviter les rencontres malencontrueses.
Je la vois arriver, on se reconnait facilement, au téléphone elle et moi regardant autour de nous. Elle est bien évidemment magnifique. Petite, brune aux cheveux longs et noirs. On devine derrière des habits qui ne la mettent pas
spécialement en valeur, bonnet, doudoune, pantalons amples, baskets (il fait assez froid) des formes féminines déjà bien affirmées. Le plus impressionnant est son regard. Elle doit faire tout juste 1m60, moi 1m80, elle est bien plus jeune que moi mais, au fur et à mesure que j'approche d'elle, j'ai l'impression que c'est elle qui me regarde de haut tellement elle me voit approcher avec supériorité et mépris. Oui, elle va récupérer de l'argent d'un inconnu et cela est tout à fait normal pour elle, c'est ce qui est extrêmement troublant. Pour elle, je ne suis pas quelqu'un de son niveau : je suis un homme, je suis un jambon comme elle aimait me le dire au téléphone, je suis un vieux, un bouffon.
C'est elle qui me fait l'honneur d'être à un rendez-vous avec un être supérieur et cet argent lui est dû.
Elle s'approche, me regarde d'un air de moquerie et d'autorité, me tend la main et me dit simplement "mon fric" comme seule réponse. à mon "bonjour Nawel". Je lui tends, tremlant comme si j'avais Alzheimer, les 2 billets de 50 et le billet de 20 (nous avions convenu de 100 euros, elle constate que je lui ai donné 20 euros de plus mais elle n'a même pas un sourire de surprise, pour elle c'est naturel qu'un gwer donne ses billets à une jeune Marocaine, une Lalla comme elle.
Ses petits doigts me troublent, je les vois prendre avec ce mélange de douceur et de détermination typique des filles du Maghreb. En vrai looser, c'est moi qui la remercie au moment de lui remettre les billets. Elle les mets dans son classeur qu'elle avait à la main, me lance un dernier regard encore plus hautain et se retourne. Je la contemple s'éloigner, le coeur battant à 200 à l'heure. Je sais que mes billets sont bien mieux entre ses jolies mains fines.
J'ai été dépouillé, je retourne travailler, elle va à son cours. Nos vies se sont croisées pendant 1 minute simplement, une minute terriblement intense.
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