dimanche 27 janvier 2013

Je l'aime mais je suis son larbin

http://www.jeuxvideo.com/forums/1-51-28661104-1-0-1-0-je-l-aime-mais-je-suis-son-larbin.htm

Voilà, je suis fou amoureux d'une fille de ma promo depuis 2 ans. Elle s'appelle Mélanie, yeux verts, brune, 1m67 pour 57kg, 90D alors que moi je suis une crevette sans aucune confiance en moi ... Il y a 3 jours, j'ai pris mon courage à deux mains et je lui ai avoué mes sentiments comme suit :

Moi :- "Mélanie, je voulais te dire un truc ..."

Mélanie : - "Ouais quoi ? Un truc pour les partiels ?"

Moi : - "Non c'est plus ... personnel."

Mélanie : - "C'est à propos de la fois où ta grand mère t'as surpris en train de te branler devant la scène du baiser dans la Belle et le Clochard ?"

Moi : - "Non c'est pas ça non plus ..."

Mélanie : - "T as découvert que tes parents étaient frères et soeurs ?"

Moi : - "Non, j'ai des sentiments pour toi, j'ai écris ce poème pour toi : Mélanie, tu es ma poésie, celle qui apporte la joie à ma vie, être sans toi est pire que la mélancol..."

Elle me coupe alors brusquement la parole :

Mélanie : - "Non mais je t'arrête tout de suite, t'es trop bien pour moi, je te mérite pas, je suis perdu en ce moment, j'ai besoin de faire un point dans ma vie, t'es comme un grand frère pour moi, tu en trouveras plein de beaucoup mieux que moi, j'ai peur de perdre cette relation d'amitié qu'on a, je préfère qu'on reste amis. Ca te dérange pas ?"

Moi : - "Non, non ça me dérange pas ... :-( "

Et après, on a reparlé comme avant, elle m'a notamment raconté qu'en ce moment il y avait le BG de notre promo, Douglas, qui lui faisait des avances et que c'était ce qu'elle recherchait depuis qu'elle était arrivée à notre fac. :(

Le lendemain, je reçois ce texto de sa part :

"Hello Bestah !! Douglas m'a invité au resto ce soir !! hihihi Tu viens chez moi vers 18h pour me conseiller sur ma tenue et me conduire au resto ? Douglas n'a pas le permis ! ^^"

Alors là c'était trop !! Comment osait-elle m'envoyer un truc pareil après la déclaration que je lui avais faite ?? Alors là je vais lui répondre d'une manière dont elle va se souvenir !!! :-(( Fou de rage, je lui envoie :

"Ok je serai là un peu avant 18h"


Le soir vers 15h30, je sonne chez elle.

Mélanie : - "Ah t'es déjà là !! Attends je suis avec un pote, Josh, tu peux repasser vers 19h30 plutôt ?"

Elle était en train de se foutre de moi !!! :-(( Pourquoi je pouvais pas rentrer pour voir son pote aussi ???

Moi : - "Ok pas de problème je reviens à 19h30 :-( "

Je passe donc 4h dans ma voiture garé devant chez elle à écouter France Bleue. A 19h30, enfin, celui qui -je suppose- est Josh sort enfin de chez Mélanie, jetant au passage dans la poubelle une bouteille de vodka vide et 3-4 petits sachets plastique de forme allongée remplis de ce qui semble être du lait concentré :( Bizarre, pourquoi faisait-il le ménage chez Mélanie, de plus il avait l'air tout essoufflé :question:

Bref, toujours est-il que je peux enfin sortir de ma voiture et me dégourdir les jambes après 4h assis sans bouger. Je sonne à la porte et Mélanie accompagné d'un garçon de notre âge m'ouvre, ils sont tout transpirants et essoufflés, peut-être avaient-ils joué au loup dans le jardin durant tout l'aprem :

Mélanie : - "Ah il est déjà 19h30 ! Entre Salle-aux-Prix !"

Puis elle se tourne vers le garçon :

Mélanie : - "Josh, je te dis merci et à bientôt, bonne soirée ! :cute: "

Moi : - "Hein ? Mais le garçon qui est sorti il y a 2 minutes c'était pas Josh ? :( "

Mélanie et le garçon explosent de rire.

Mélanie : - "Non c'était Steeve ! Allez bisous Josh !"

Et le prénommé Josh sort de la maison en jetant au passage, lui aussi, des petits sachets plastiques allongés remplis de lait concentré :( Bizarre ...

Mélanie : - "Allez viens bestah, je vais essayer ma nouvelle robe ! hihihihi !"

Je la suis dans sa chambre et elle retire son peignoir pour me dévoiler son corps sublime avec son soutif et son string rouge en dentelle :ouch:

Mélanie : - "Oh attends je vais peut être quand même prendre une douche sinon ça risque d'être vraiment hardcore pour Douglas ce soir :rire: !

Moi : - "Hein ? Quoi ? :( "

Mélanie : - "Tu peux ranger un peu ma chambre s'il te plaît mon gros nounours ? Josh et Steeve ont un peu tout retourné :rire: "

Mais c'est pas vrai !! Elle me prenait pour sa boniche maintenant ?? Elle pensait vraiment que j'allais ranger sa chambre tout ça parce qu'ils avaient pas su ranger après leur chat perché ?? :-((

Moi : - "Oui, pas de problème"

Pendant qu'elle prenait sa douche je commence donc à ranger sa chambre et surtout à nettoyer un peu le mur qui était plein de lait concentré. Ils avaient sans doute dû faire une bataille de berlingo nestlé.

Elle sort de la douche, remets ses sous-vêtements, elle était si belle, elle mets son débardeur et dans ma tête je me dis "Ben dis donc il est court ce débardeur, on va voir la forme de ses fesses à travers son jean moulant". Mélanie me dit alors :

Mélanie : - "Ca va, elle est pas trop longue ma robe ?"

Moi : - "Quoi c'est pas un débardeur ? Tu mets pas de pantalon avec ? :ouch: "

Mélanie : - "Bah non voyons :rire: Oh il est déjà 20h30, je vais être en retard, je vais appeler Douglas pour lui dire que j'arrive !"

Elle commence à chercher son portable mais ne le trouve pas.

Mélanie : - "Salle-aux-Prix, tu peux m'appeler, je trouve plus mon portable !"

Je l'appelle, son téléphone sonne et j'entends qu'il est sous un coussin juste à côté de moi. Je soulève son coussin et prends le téléphone pour lui rendre lorsque je vois affiché sur son écran de portable :

Appel : Meilleur ami gay

J'étais enregistré dans son portable en tant que "Meilleur ami gay" !! :ouch:

Franchement là c'était trop ! Je lui rends son portable et lui dis :

Moi : - "Tiens il est là."

Mélanie : - "Super ! Allez on file !"

Je la conduis donc à son resto, en sortant elle me dit :

Mélanie : - "Par contre là Douglas est venu en bus mais après il y en aura plus, il sera trop tard, ça te dérange pas de repasser vers 22h pour nous raccompagner chez lui ?"

Moi : - "Ah je savais pas que tu allais chez lui, j'espérais t'inviter chez moi pour parl..."

Elle me coupe :

Mélanie : - "Merci ! C'est sympa, à tout' !"

J'attends donc jusque 22h30 dans ma voiture en écoutant France Bleue quand Mélanie accompagné de Douglas entre dans ma voiture, tous les deux assis sur la banquette arrière.
Malgré ma jalousie, je m'efforce d'être poli avec Douglas :

Moi : - "Bonjour Douglas, enchanté."

Douglas : - "22 rue de la poste"

Non mais il me prenait pour un taxi ou quoi ?? Il m'avait même pas dit bonjour !!

Moi : - "Ok."

Je les conduis jusque devant chez lui, ils sortent et Mélanie me susurre à l'oreille :

Mélanie : - "Tu peux m'attendre une petite demi heure, comme ça tu me raccompagnes si jamais son engin est trop petit :cute: "

Moi : - "D'accord mais quel engin ? :( "

Elle éclate de rire et rentre chez Douglas.

5 minutes plus tard je reçois de Mélanie un texto :

"Bestah, tu sais que je suis un peu maniaque niveau propreté et les chiottes de Douglas sont dégueu. J'ose pas lui demander de nettoyer alors que c'est notre premier rdv, tu veux bien venir le faire pendant qu'il se prépare en haut ? Il entendra rien ^^"

NON MAIS C'EST QUOI CA ?? Je vais aller curer la merde chez son mec maintenant ?? Je lui envoie alors un texto pas piqué des vers :

"Ok"

Elle m'ouvre sans faire de bruit et je nettoie avec la brosse à chiotte les traces de merde dans la cuvette de Douglas lorsqu'on entend :

Douglas : - "Bon Mélanie tu viens ?? J'en peux plus, j'ai une trique de fou !!"

Mélanie : - "J'arrive baby !!"

Elle me murmure alors :

Mélanie : - "Non ba laisse en fait, je devais pas trop pisser en fait, c'était juste au cas où ! Attends moi 5 minutes dans la voiture, histoire d'être sur que son engin est assez gros !"

Moi : - "Mais quel engin ?"

Elle monte alors les escaliers en gloussant.

Je retourne à ma voiture, un tantinet courroucé d'avoir nettoyé des chiottes dégueulasses pour rien. Je l'attends 5 minutes jusqu'à 10h du matin en écoutant France Bleue puis je rentre finalement chez moi, comprenant qu'elle restait dormir là bas, satisfaite par son "engin" :(

De retour chez moi, éreinté et ayant très mal au dos après avoir passé presque une vingtaine d'heures assis dans la voiture, une question me boulverse :

J'avais complètement oublié de passer à Mélanie de l'argent pour payer le resto !!! :ouch:

mardi 22 janvier 2013

Fantasme des femmes de ménage



L’esclave des femmes de ménage

Contexte : Un immeuble de bureaux parisien tard le soir : un retardataire à son poste de travail. Paul, jeune informaticien débutant, contraint d’effectuer des heures supplémentaires, afin d’atteindre les objectifs draconiens fixés par son chef de projet (ou plutôt ‘ sa’ chef de projet), sait qu’il ne pourra y parvenir. Il est seul, stressé, desespéré par la perspective de perdre son job, en cas d’échec. Son cerveau, saturé d’endomorphine, finit par divaguer sérieusement, lui dictant d’échapper, coûte que coûte, à cette désagréable situation apparemment sans issue : le genre de sensations qu’il éprouvait lors d’examens scolaires particulièrement ardus. D’ un stress extrême, à l’excitation sexuelle, il n’y a qu’un pas. Le côté obscur de son esprit finit par prendre le dessus. Hagard, fébrile, une irrépressible envie masturbatoire l’envahit. Il ressent le besoin d’être puni, humilié, pour son incapacité à honorer son contrat.

De la fuite

Brusquement, Paul se lève, rejette sa chaise en arrière et se précipite hors de son box de travail. Il rejoint le couloir principal de l’étage et déambule dans la travée, désoeuvré, d’un pas vif, tandis que défile, dans un brouillard bourdonnant, l’alignement symétrique des portes. ‘Etudes’, ‘Exploitation’, ‘Contentieux ’, ‘Courrier’, ‘C.E’..., la litanie des plaques ovoides, dénominatrices des services de l’entreprise, de forme semblable à des cartouches égyptiens, défile devant ses yeux. Soudain, une porte entre-ouverte, laissant filtrer une lumière blafarde l’attire comme un éphémère. Il entre dans la pièce, machinalement, sans savoir ni pourquoi, ni comment, ces pas l’ont mené là plutôt qu’ailleurs. Une atmosphère chaude, moite, règne en ces lieux. Une buée se forme rapidement sur ses lunettes, ralentissant, stoppant sa marche inexorable vers nulle part. Hébété, il retire ses lunettes et essuie ses verres machinalement. Le souffle court, il ne parvient pas à déterminer la vocation de cette pièce, dans laquelle il n’a jamais pénétré auparavant.

Du franchissement

Concentré par une tâche à la fois simple et mécanique, l’esprit de Paul parvient petit à petit à s’apaiser. Un élément nouveau, toutefois commence à gagner ses sens, ou plutôt un sens : celui de l’odorat. Une odeur de vestiaires, de transpiration, plus particulièrement de pieds. Paul remet ses lunettes et distingue petit à petit son nouvel environnement : carrelage blanc, bancs, quatre casiers métalliques étroits et gris, douches, lavabos, vêtements épars, chaussures dispersées, féminines. Des prénoms inscrits sur les étiquettes des casiers : Farida, Malika, Désirée, Maria. Un picotement caractéristique commence à se répandre dans les organes génitaux du jeune homme. Sans état d’âme, instinctivement, il s’approche d’un des bancs, s’agenouille, non, s’applatit devant une paire de chaussures, en l’occurence des mules compensées en liège, dont la semelle intérieure, salie, révèle un usage répété et intensif. Il plonge son nez directement sous une des larges bandes de vynil blanc, dont l’utilité est de retenir l’avant du pied plaqué à cette même semelle. Un arôme à la fois vinaigré et amoniaqué envahit ses narines. Son excitation va croissante, accrue par la vision, noircie et nettement marquée, de l’empreinte des orteils, sur la pointe interne et découverte des mules. Certain d’être le seul employé encore présent à l’étage, tout en étant, inconsciemment et délicieusement stimulé par l’éventuelle possibilité d’être découvert par une tierce personne, il s’engage dans une masturbation fiévreuse, à même le sol, à plat ventre. Il peut enfin laisser libre cours à son besoin d’abnégation masochiste, s’imaginant anéanti par le pied autoritaire et méprisant de ‘sa’ chef de projet, pour punir sa grave incompétence professionnelle.

Du flagrant délit

Paradoxalement porté par le caractère avilissant de son acte, le jeune homme ne peut retenir des gémissements de plus en plus indiscrets. Au plus fort de ceux-ci, de nouvelles plaintes, plus aigues, leurs font soudain écho, suivies d’une tempête d’éclats de rires. Tétanisé, livide, Paul, se retourne, pour visualiser la source importune de ces rires. Il ne fait qu’exposer ainsi, l’indécence de son état. Quatre silhouettes féminines, revêtues de blouses de nylon rose se découpent dans l’encadrement de la porte, sur laquelle une plaque, toujours ovoide, énonce : ‘Entretien ménager’. A la vue de son membre librement dévoilé, les femmes de ménage s’en revenant de leur tournée à travers les étages, redoublent de rire. Sans hésiter, en territoire conquis, elles entrent toutes dans ce qui est, de fait, leur local de travail. L’une d’elles pousse un chariot, ressemblant à un grand caddie, rempli de produits ménagers, seaux et balais. Toujours secouées de rire, elles entourent, cernent le corps allongé du jeune homme sur le sol cimenté.

De l’humiliation la plus vile

L’une d’elles, la plus agée, celle qui pousse le chariot, prend la parole :

‘Regardez moi ça ! Tandis qu’on se tue à la tâche, il y a des rats qui viennent renifler et manger nos chaussures.‘

‘Alors, petit rat, elles sentent bon au moins mes chaussures ?’

Ponctuant sa dernière phrase, Farida, donne un violent coup de pied dans les parties exposées du jeune homme.

‘AAArghh!’

Le souffle coupé, Paul se tord de douleur, toujours tétanisé.

Encouragée, par le manque de réaction du jeune homme, la matrone s’approche de sa tête et lui balance un crachat au visage.

‘Tiens, petit rat, ça t’aideras peut être à nettoyer mes pieds fatigués, à cause des saloperies que vous faites dans vos bureaux!’

Sur ce, Farida extrait de sa pantoufle usée, un pied large, massif, sale et moite, qu’elle écrase aussitôt sur le nez du jeune homme.

‘Allez, renifle mon pied. Il sent encore bien plus fort que mes chaussures. Allez, vas-y.Qu’est-ce que tu attends ?’

Farida presse sa plante et remue ses orteils en tous sens sur la figure de Paul impuissant, étalant la salive de son crachat sur son nez, sa bouche et jusque dans ses yeux.

Terrorisé, le jeune informaticien, est assailli par une épouvantable odeur mêlée, de salive et de sueur de pied négligé, sans compter la douleur subie par l’écrasement vigoureux, qu’engendre le pied lourd et charnu de Farida sur son visage. Ses compagnes, tordues de rire, encouragées par son attitude dominatrice, tiennent, elles aussi, à participer plus activement à cette humiliation collective. Comment ne pas apprécier, en effet, l’avilissement d’un homme faisant partie d’une catégorie de personnel habituellement hautaine et méprisante à leur égard.

De l’organisation improvisée du jeu

‘Allons Farida’, dit Désirée, la jeune, grande et lourde antillaise, en poussant gentiment celle-ci ‘Tu vois bien que ce pauvre petit monsieur, a surtout besoin de changer d’air ‘. Ce faisant, s’appuyant au mur, Désirée abandonne ses claquettes, monte de tout son poids sur la tête de Paul et commence à essuyer ses grands pieds sur sa figure.

La douleur est cette fois intolérable. Bien que toujours paralysé par la peur, Paul ne peut réprimer un cri. Désirée n’en a cure. Hormis elles, personne n’est là pour prêter l’oreille à sa détresse. Cela la met au contraire en joie, lui faisant augmenter la pression et la lourdeur de son mouvement. Ses grands pieds noirs et ridés pressent son visage comme raisin au fouloir. Le nez de Paul cède soudain dans un craquement sinistre, ce qui ne l’empêche toutefois pas de continuer à sentir cette odeur désagréablement rance, conséquente au peu de soin qu’ont certaines femmes de leurs pieds.

‘Regarde ’, dit Maria, ‘Ce porc te met du sang plein les pieds’.

‘C’est ma foi vrai’, dit Désirée en pliant la jambe pour regarder la plante d’un de ses pieds, tout en maintenant l’autre fermement écrasé sur la figure du jeune homme. Elle consent enfin à descendre de son piédestal improvisé, mais seulement pour s’assoir sur le banc contigu et tendre les plantes de ses pieds ensanglantées à la bouche de Paul.

‘Allez nettoie tes cochonneries sale rat’, dit-elle tout en remuant ses doigts de pieds sous son nez fracturé.

Croyant peut être pouvoir échapper à sa cruauté, Paul tend sa langue sèche et se met à éponger son propre sang sous les pieds de la cruelle femme de ménage antillaise. L’assemblée féminine continue à s’esclaffer. L’immonde tâche achevée, Malika décide d’agir elle aussi.

‘Je vais laver cette figure de cochon, avant qu’il n’en mette partout’.

Elle relève sa jupe et sa blouse, enjambe le corps de Paul et s’accroupit de dos tout contre son visage. Elle se met alors à uriner abondamment sur sa figure, à travers sa culotte, longuement, patiemment. L’urine dilue, emporte effectivement le sang, en une rigole continue vers l’évacuation centrale de la pièce. Pour finir, Malika s’assoie de tout son poids humide sur le visage maintenant lavé et libère un pet bruyant et nauséabond sur le nez torturé.

Nouvelle tempête de rires. Malika se relève, enlève sa culotte trempée, se dirige vers son casier personnel, l’ouvre et en retire une paire de ciseaux, avec laquelle elle entreprend de découper deux petites bandes de tissu imbibé d’urine, qu’elle roule en forme de tampons. Elle revient vers Paul, maintenant en état de choc, lui relève légèrement la tête et lui glisse avec force, un à un, les tampons dans chacune de ses narines. Puis elle lui balance une volée de gifles extrêmement violentes et dit :

‘Maintenant, on peut lui marcher dessus tant qu’on veut, il ne saignera plus et ne fera plus de cochonneries!’

‘Oui, mais il ne pourra plus sentir nos pieds non plus’ dit Maria.’Et moi, je veux qu’il sente mes pieds, ce porc. Je trouve ça plus amusant que de lui marcher sur la tête. Une ordure, ça doit sentir l’ordure.’

‘Bon OK’, dit Farida.’On lui marche plus dessus! On le déshabille, on lui enlève ses tampons, on le met sous la table et on s’en sert comme repose-pieds, pendant qu’on joue aux cartes. D’accord les filles ?’

‘Chouette’ dit Maria. D’un commun accord, les quatres femmes de ménages placent la table au-dessus de Paul, rapprochent quatre chaises, et confortablement installées, commencent à jouer aux cartes, bavardant de tout et de rien, ignorant jusqu’à l’existence du pauvre jeune garcon sous elles, qui souffre sous le poids aggravé des quatres paires de pieds reposant, fermement sur son corps trempé et meurtri. Et tandis que leurs mains jouent avec les cartes, leurs pieds, eux, jouent à entrer et sortir continuellement de leurs pantoufles et claquettes de travail à même son corps. Maria, quand à elle, a exigé et obtenu la place d’honneur, c’est-à-dire, près de la tête de Paul. Elle a pu ainsi, retirer ses espadrilles nauséabondes de ses pieds non moins puants, afin de les poser avec délectation, bien à plat sur le visage tuméfié du jeune homme, qui dut tout le reste de la nuit, respirer tant bien que mal dans cette odeur de fromage fermenté, au son des rires incontrôlés des quatres bougresses.

dimanche 20 janvier 2013

Troll mais marrant

http://www.jeuxvideo.com/forums/1-50-80387036-1-0-1-0-des-filles-m-ont-raquette.htm

C'était ce matin :honte: 

J'ai pris le train très tôt car je devais me rendre à l’hôpital (longue histoire) bref sur le chemin y'avait pas beaucoup de monde, j'étais passé devant un parc et y'avait un banc devant, y'avait 4 filles, 3 étaient blacks et l'autre blanche, la blanche était vraiment mignonne, j'ai pas pu m’empêcher de la regarder en passant à coté d'elles.....mais là sa copine (la plus moche du groupe :malade: ) s'est levée et m'a barré la route en me disant 
"Pourquoi tu dévisage ma copine !" 
Je précise qu'elle parle comme un wesh, un vrai mec, aucune féminité dans sa voix...là je dis que je la regardais pas mais elle surenchéri et dit qu'elle m'a bien vue la regarder et les autres filles du groupe ouvrent leurs gueule et confirment, j'ai fini par dire que je la regardais parce que je la trouvais mignonne... 
La moche devant moi rigole en disant "tu vois tu l'a bien regardé pk tu ment ! allez vazy c'est pas gratuit donne ce que t'a dans les poches" 
J'ai dis "c'est quoi ces conneries ? j'ai juste regardé" elle ne me répond même pas et me met une baffe ! ses copine se lèvent et l’entourent ! même si je suis un mec je n'aurait pas pu les battre toutes les 4 et pas envi de me battre avec des filles, j'ai fini par lui donner mon vieux ipod et me suis cassé, elle n'ont pas pu s’empêcher de me lancer un "tapette !" en rigolant 

je suis dégouté

mardi 15 janvier 2013

Quelques clips sympa

http://www.youtube.com/watch?v=r8oqjDA2J-k

http://www.youtube.com/watch?v=AI0gk2KJeho

http://www.dailymotion.com/video/x2mbz_boney-m-ma-baker_music#.UPW-U-QsB9s

dimanche 13 janvier 2013

Racketté dans le bus



Bonsoir. 

Voilà c'était hier matin, j'étais dans le bus en direction de mon travail avec mon mp3+ ecouteur. Tranquille. Je regarde autour de moi y a des meufs au fond du bus elles gueulent un peu fort, et se font remarquer par tous le bus. 

Là je me dis : " chaud les assistés " je met ma casquette lacoste et je met ma capuche par dessus pour pas qu'on me casse les burnes comme d'habitude. 

Et là, le bus s'arrête, y en a une elle arrive vers moi et me frappe en plein milieu du ventre au point américain j'ai eu trop mal putain. 
Ensuite les deux autres ont commencé à me mettre des droites, j'étais immobilisé par le coup dans le ventre et je pleurais. Y a personne qui bougeait, elles m'enchainaient de droite et m'ont prit ma casquette, ma saccoche avec mon portable et mon porte carte ( carte bancaire carte vitale, carte de pointage pour le boulot ) 

Personne n'a bougé, personne n'est venu m'aider alors que je me faisais lyncher sur le sol et humilier par trois racailles. 

Maintenant j'ai peur d'aller travailler, j'ai peur de les recroiser et qu'elles me tabassent. J'ai peur de sortir dans la rue, bref j'en ai vraiment marre de ma vie